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Tag: "casernes"
Pour ce qui est des écoles et de l'usine, je n'ai rien à en dire de personnel car je ne les ai pas fréquentées.
Il parait qu'à l'école mon père Étienne était aussi bon en lettres qu'en maths. Je n'ai pas hérité de ses aptitudes en maths !
À mon époque, au milieu des années 1950, l'usine Sainte-Marguerite 🛈Sur persee.fr
Un établissement industriel dans une région agricole. employait 1200 personnes. Autant dire que j'en entendais parler. Mais je ne me baladais pas dans cet endroit.
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Google a supprimé Google Photos. Bien que prévenu, j'ai omis de sauvegarder mes nombreuses cartes anciennes que le service contenait. Il va falloir que je les retrouve dans mes vieux ordis. |
L'album Montauban, qui vient s'ajouter à ma collection de cartes postales en ligne, est riche de 362 éléments.
Cet album comporte plusieurs séries qui sortent de l'ordinaire. La plus fournie concerne la guerre de 1914-1918. Après les casernes montalbanaises sont montrés les nombreux établissements scolaires et les séminaires transformés en hôpitaux provisoires. Il y a cette vue de la statue de la Vierge de Montauban, seule chose restée intacte après les bombardements. Sa légende me fait découvrir avec étonnement que Montauban faisait partie du Front anglais. Elle est suivie d'une vue plutôt insolite de membres de l'Armée hindoue à bord d'un train à Montauban. Cette carte, envoyée en décembre 1914, est adressée à Mademoiselle Jeanne Rouby, de Saint-Porquier, qui pourrait bien être la future maman d'Étienne Saby, notre papa. Trois cartes de l'arrivée des prisonniers allemands terminent le chapitre.
Autres vues inhabituelles : les inondations de 1930. Je n'imaginais pas que l'eau puisse faire tant de dégâts. Les images sont très semblables à celles des villes détruites par des bombardements en temps de guerre. Plus conventionnelles sont les vues des endroits emblématiques de la ville. Le musée Ingres, ex-Hôtel
de ville, les ponts dont le très ancien Pont des Consuls, les quais, les quartiers, la Place Nationale et ses arcades sont très photographiés. Mention particulière pour la tour de Leautier, aussi appelée Le Beffroi, qui s'est effondrée le 11 août 1910. Je ne serais pas étonné que personne ne se rappelle l'avoir vue debout.
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