Pro Assange protesters protest in front of the the headquarters of the French Daily Newspaper Le Monde in Paris on April 13, 2019. WikiLeaks founder Julian Assange was arrested on April 11, 2019, by the British police at the Ecuadorian Embassy in central London after his asylum status has been withdrawn by Ecuador’s president Lenin Moreno following 7 years of providing a refuge for the whistleblower. The arrest was made on behalf of the US authorities’ request for extradition over alleged computer related offence and conspiracy with Chelsea Manning for publishing the Iraq War Logs.
Prise de vue: Samedi 13 avril 2019, à 17 h 55. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre 150 et 250 personnes se sont rassemblées à Paris le 13 avril 2019 devant le siège du journal Le Monde pour exprimer leur solidarité avec le lanceur d’alerte Julian Assange, arrêté le 11 avril par la police britannique après sept années passées à Londres dans l’ambassade d’Équateur, où il avait obtenu l’asile sous la présidence de Rafael Correa. La justice britannique a demandé son arrestation, à la suite de la révocation de son asile par arrestation, au motif qu’il n’avait pas respecté les conditions de sa liberté sous caution en 2012, ce qu’il conteste. Les participants ont vivement dénoncé l’attitude de nombreux médias qui se sont « largement servis des informations révélées par Wikileaks ».
This picture taken on February 24, 2018 shows former Elysee senior security officer Alexandre Benalla (L with a beard) who insures the security of French President Emmanuel Macron during a visit to the 55th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris. Two weeks ago it emerged that Benalla travelled to Chad in early December and met with President Idriss Deby, shortly before Macron himself paid a visit to the African country. Benalla said he was accompanying a "foreign business delegation" promoting major Middle Eastern companies. But the fresh revelations have sparked questions in France over why he was granted such high-level access to an African leader.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 21 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/5, ISO 10000. Flash: non
EXTRAIT : 242 mots Le ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, va saisir le procureur de la République après des informations de presse sur l’utilisation d’un passeport diplomatique par l’ancien conseiller de l’Élysée Alexandre Benalla, a annoncé vendredi 28 décembre son ministère. Selon des informations diffusées par Le Monde et Mediapart, M. Benalla, malgré sa mise à pied liée aux violences du 1er Mai, continue de voyager avec un passeport diplomatique émis le 24 mai. C’est en effet avec un tel document qu’il a voyagé dans certains pays d’Afrique, en tant que « consultant » (comme il définit aujourd’hui ses nouvelles fonctions) en novembre et en décembre. (…) La présence de M. Benalla au Tchad au début de décembre, où il a rencontré le président, Idriss Déby, trois semaines avant la visite officielle d’Emmanuel Macron, a profondément embarrassé l’Élysée. Dans ce pays, comme au Cameroun, l’ancien chargé de mission de l’Élysée était, selon nos informations, dans une délégation mandatée par des sociétés détenues notamment par des acteurs gouvernementaux du Qatar et de la Turquie. (…) M. Benalla a été à l’origine d’une tempête politique cet été, après avoir été filmé en train d’interpeller violemment des manifestants à Paris en mai, alors qu’il n’en avait pas la prérogative. Cet incident fut le point de départ d’une série de révélations sur le périmètre très flou de ses attributions dans l’appareil élyséen. (source : lemonde.fr)