This picture taken on February 24, 2018 shows former Elysee senior security officer Alexandre Benalla (L with a beard) who insures the security of French President Emmanuel Macron during a visit to the 55th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris. Two weeks ago it emerged that Benalla travelled to Chad in early December and met with President Idriss Deby, shortly before Macron himself paid a visit to the African country. Benalla said he was accompanying a "foreign business delegation" promoting major Middle Eastern companies. But the fresh revelations have sparked questions in France over why he was granted such high-level access to an African leader.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 21 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/5, ISO 10000. Flash: non
EXTRAIT : 242 mots Le ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, va saisir le procureur de la République après des informations de presse sur l’utilisation d’un passeport diplomatique par l’ancien conseiller de l’Élysée Alexandre Benalla, a annoncé vendredi 28 décembre son ministère. Selon des informations diffusées par Le Monde et Mediapart, M. Benalla, malgré sa mise à pied liée aux violences du 1er Mai, continue de voyager avec un passeport diplomatique émis le 24 mai. C’est en effet avec un tel document qu’il a voyagé dans certains pays d’Afrique, en tant que « consultant » (comme il définit aujourd’hui ses nouvelles fonctions) en novembre et en décembre. (…) La présence de M. Benalla au Tchad au début de décembre, où il a rencontré le président, Idriss Déby, trois semaines avant la visite officielle d’Emmanuel Macron, a profondément embarrassé l’Élysée. Dans ce pays, comme au Cameroun, l’ancien chargé de mission de l’Élysée était, selon nos informations, dans une délégation mandatée par des sociétés détenues notamment par des acteurs gouvernementaux du Qatar et de la Turquie. (…) M. Benalla a été à l’origine d’une tempête politique cet été, après avoir été filmé en train d’interpeller violemment des manifestants à Paris en mai, alors qu’il n’en avait pas la prérogative. Cet incident fut le point de départ d’une série de révélations sur le périmètre très flou de ses attributions dans l’appareil élyséen. (source : lemonde.fr)
Zouhoura, une jeune fille de 17 ans, a été enlevée le 13 février 2016 alors qu’elle se rendait au lycée et violée par cinq jeunes hommes issus de familles d’officiers supérieurs du Tchad. L’affaire a suscité une telle émotion dans le pays que des manifestations ont été organisées le lundi 15 février à Ndjamena, puis le 20 février à Paris au sein de la diaspora tchadienne pour réclamer « réparation pour Zouhoura ». Une mobilisation qui a poussé le président Idriss Deby Itno à déclarer « que justice sera rendue et que plus jamais cela ne se répétera ».
Zouhoura, a 17-year-old girl, was kidnapped on February 13th, 2016 while she went to the high school and raped by five young men stemming from families of superior officers of the Chad. The affair aroused such an emotion in the country as demonstrations were organized on Monday, February 15th in Ndjamena, then on February 20th in Paris within the Chadian Diaspora to demand ” repair for Zouhoura “.