Tag: "var-matin"
Les mots pour le dire
Quand Var-matin se mêle d'initier ses lecteurs aux gestes écologiques en vogue…
… ça frise l'incitation à la débauche !
(On notera avec amusement la limitation de l’engagement dans la durée…)
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Mais qu'est-ce qu'elle a bien pu vouloir dire ?
Ô Var-matin ! toi sans qui la lecture de la presse quotidienne dominicale ne serait que grisaillle et torpeur ! Mais toi, tu nous offres (pour 2.40 € quand même) un cahier central plein d'historiettes locales historiques, instructives, voire, comme aujourd'hui, touchantes d'humanité.
Mais quelle fatalité s'acharne-t-elle sur tes rédacteurs pour qu'à la fin une maligne incongruité vienne nous ramener les deux pieds bien dans l'humus ?
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La déveine
Quand ça veut pas, ça veut pas !
Info Var-matin / Images Google
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fait des émules…
Cette crise a changé notre vie, notre relation aux autres, notre rapport au travail…
Elle a aussi changé notre vocabulaire.
Et puis pangolin (« un artichaut à l'envers avec des pattes » disait Pierre Desproges)…
Wuhan, Hubel, pandémie, prévalence, cluster (foyer), patient zéro (à la recherche du…). Ro (taux de contamination), anosmie et agueusie (les sœurs infernales), asymptomatique, super-contaminateur, létalité, comorbidité.
Et encore : confinement et déconfinement (pas si différents qu'on l'aurait espéré), attestation de déplacement dérogatoire (avant) et déclaration de déplacement (après).
Plus technique : chloroquine, hydroxychloroquine (HQC pour les intimes) azythromycine, protocole Raoult (avec ses fans, les raoultophiles, et ses détracteurs, les raoultophobes), étude observationnelle, interventionnelle ou non-interventionnelle, à ne pas confondre – malheureux ! – avec l'essai clinique randomisé; remdesivir, lopinavir, ribavirine et cie, artémisia (une poudre de perlimpinpin venue de Madagascar), masque FFP (pour filtering facepiece) FFP1, FFP2, FFP3, masque chirurgical et masque grand public (ceux que le grand public, justement, a eu tant de mal à trouver), aérosolisation, test virologique ou sérologique, PCR (réaction de polymérisation), frottis naso-pharyngé, tracking.
Sans oublier ces bijoux de jargon technocratiques : « Distanciation sociale » (dire plutôt distanciation physique), « gestes barrières », « publics à risque », « cas contact », « brigade sanitaire ».
Et bien sûr nos chers « premiers de corvées », héros de l'heure.
Autant de mots, de locutions qui étaient inconnus de la plupart d'entre nous il y a trois mois. La crise du coronavirus a changé notre vie, notre relation aux autres, notre rapport au travail, notre regard sur l'actualité – où rien d'autre ne semble plus exister. Elle a changé notre vocabulaire. Il y a un glossaire de la crise sanitaire qui fait désormais partie de la langue commune. Des mots que nous utilisons sans même y prendre garde. Entre nous, au téléphone, sur Internet, nous parlons le coronavirus comme monsieur Jourdain, la prose.
Dire, raconter, est le propre de l'homme. Les guerres, toujours, créent le même genre d'inflation langagière.
Que cet affreux idiome paramédical, cette novlangue de crise, ait ainsi bousculé le parler ordinaire donne la mesure de l'ébranlement dans nos vies et nos consciences. Plaise au ciel que nous l'oubliions aussi vite.
Ce serait un bon indice que la guerre est finie.
Var-matin 13/05/20
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Ô Var-matin ! toi sans qui nos journées
Ne seraient que long confinement !
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Ils(1) nous prendraient pas un peu pour des quiches(2) ?
Var-matin – 27/04/20
Tout et son contraire dans le même article ! Courons donc dès aujourd'hui, muni de l'Attestation réglementaire et en respectant les mesures de distanciation sociale, acheter les masques non sanitaires que l'apothicaire habilité à délivrer les médicaments n'a pas encore été autorisé à commander…
(1) Ils : Amalgame volontaire : Var-matin, les médias, le Gouvernement…
(2) Quiches : Non pas que je veuille déprécier cette emblématique spécialité lorraine, mais je me refuse à employer un vocable plus court depuis que Tonton Georges m'en a fait percevoir l'infinie non-pertinence !
► Source 🛈Sur YouTube
Le blason - Georges Brassens. Postée sur YouTube par xxSoraNoIshoxx, 120 abonnés
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Faites-le vous-même !
De toutes les consignes plus ou moins contradictoires qui nous ont été prodiguées au sujet de l'utilisation du masque de protection, j'ai à peu près retenu :
Dans un premier temps, que porter un masque ne se justifiait qu'en cas de maladie avérée pour protéger les autres. Ensuite, que seuls les masques de type FFP2 offraient une protection efficace en raison de leur fin maillage. À condition de le changer toutes les 3 heures…
Et puis, c'est nous qui avions la plus grosse usine de masques d'Europe, alors pas de panique…
Malgré tout, est arrivé le temps de la pénurie. Plus un masque anti-poussière dans les Bricoflex du quartier. On en appelait à la solidarité des artisans priés de céder leurs masques de protection aux personnels soignants… Si, si… On a vu fleurir alors, dans les journaux et sur le Net des tas de recettes avec patrons de découpe pour se fabriquer soi-même ses masques avec tout ce qui pouvait nous tomber sous la main, du Sopalin au Kleenex en passant par les pans des vieilles chemises à grand papa ! Certains de ces masques « home made », croisés hier dans les rayons du supermarché ne manquent pas de créativité par le choix de leur matériau de confection : motif Vichy, petites fleurs ou héros de BD enfantines… De la fantaisie, que diable !
Tout ce long préambule pour en arriver à… tresser des couronnes de laurier à Var-matin !
Depuis le début du confinement, notre quotidien varois favori consacre sa dernière page à la reproduction d'une Attestation de Déplacement dérogatoire à découper. Heureuse initiative qui nous fait économiser des cartouches d'encre ou nous épargne de fastidieuses recopies.
Big up pour Var-mat' !
A mon tour de participer à cet élan altruiste en leur proposant de consacrer l'espace restant à l'impression d'un masque de protection à découper, puisqu'il semble désormais que tout soit bon à la filtration du Covid !
Ne me remerciez pas… C’est tout naturel !
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Comme un parfum d’antan…
Bientôt… le remake !!
Affiche détournée et clichés extraits de Var-Matin
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Enfin !
On n'allait tout de même pas laisser indéfiniment la vedette à la Bretagne !
(amical clin d'œil aux jfs.blogueurs )
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Si l'on en juge par cette photo à la une de Var-Matin qui organisait ce "grand débat", il s'est bien trouvé 250 à 300 personnes pour débattre face à ces 5 candidats…
Si l'on tient comme faisant partie du décor et de la claque les notables officiels, les colistiers, les militants, les colleurs d'affiches, leurs familles, parents et alliés… il ne devait pas rester grand monde pour apporter la contestation…
D'autant que l'invitation au public précisait :
– accès libre dans la limite des places disponibles –
Les réunions électorales devaient être bien plus "rock and roll" sous les préaux d'école de la IIIe République !
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Pour ne pas rendre copie blanche…
En panne d'inspiration, le Mot du Jour sous-traite à une célébrité locale
et fait, sans chauvinisme aucun, l'apologie de “la plus belle rade du monde”…
Yves Pujol du groupe "Aïoli" – " À Toulon aussi "
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Les bons conseils (pleine page !) de Var-matin
Quand il s'agit de sauver la planète, on ne lésine pas !
Et puis, pour apprendre aux enfants, c'est bien plus imagé que l'étymologie
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Jeune loup & vieux renard
C'est un métier ! Dont les ficelles s'apprennent à l'usage…
Exemple :
Une catastrophe. Surtout ne pas rater l'occasion d'aller prouver sa capacité à aller sur le terrain, prouver son attachement au terroir et surtout démontrer son empathie au petit peuple.
Le jeune loup va revêtir sa tenue de campagne Smalto et chausser des Cerruti à tige montante.
Il se fera escorter par une escouade de gendarmes qui tiendra le bon peuple à distance et, accompagné de son officier de sécurité, il s'en ira, la mine renfrognée, patauger dans la flaque de boue la plus proche des photographes.
Le vieux renard, qui en a vu d'autres, chaussera ses bottes "A l'Aigle" et un blouson de baroudeur.
Il viendra se mêler aux équipes de sauveteurs dès qu'ils auront correctement nettoyé un carré du dernier pavage qu'il aura récemment fait voter et c'est le sourire compatissant aux lèvres qu'il ira, pas trop loin des photographes, passer la main dans le dos de ses administrés…
Salut les artistes !
Photos Var-Matin
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