On m'a rapporté… mais je n'ai pas pu sourcer l'info, que Marine Le Pen, Présidente, ne logerait pas ses chats à l'Élysée, trop ouvert et propice à toutes les escapades, mais plutôt au Pavillon de La Lanterne, plus facilement contrôlable…
Ah chat ira, chat ira, chat ira… Les aristochats, à La Lanterne ! Ah chat ira, chat ira, chat ira… Les aristochats, on les pendra !
Trouvé, au hasard de mes pérégrinations sur Face Book, cette phrase extraite d'un long laïus catho dénonçant la politique suivie par le Président sortant et incitant, par antiphrases, à voter Le Pen :
« [On] s’en prend aux enfants, afin de les formater, en leur inculquant, dès le plus jeune âge, des théories fumeuses »…
Vaut mieux entendre ça que d'être sourd !
P.S : Hostie sur le gigot pascal, cette longue diatribe anti-Macron atteint vite l’inévitable point Godwin🛈On dit d’une conversation en ligne (on le dit aussi parfois des conversations hors ligne, mais c’est récent), qu’elle a atteint le « point Godwin » quand l’un des interlocuteurs en réfère au nazisme, à Hitler, à la Shoah, pour disqualifier l’argumentation de son adversaire. :
« quand on promeut des traitements médicamenteux quasi-obligatoires, sans en suivre les effets secondaires, comme les Nazis, qui expérimentaient, ou les scandinaves qui stérilisaient de force ».
Au départ, au départ / Un homme une rose à la main / Elkabbach au placard / La Bastille, la pluie qui vient Au départ au départ / La guillotine au panier / Il aurait dit, quelle histoire ! / Cinquième semaine de congé Au départ au départ / Tu sais c'est comme pour nous deux / J'y croyais sans trop y croire Au départ c'est toujours mieux Et puis la rigueur, et puis les mots qui blessent, les tensions Moi c'est moi, lui c'est lui et la cohabitation
Au départ au départ / C'est toujours le mois de mai / Écharpe rouge et chapeau noir / La lettre à tous les français Au départ au départ / Des accords à Matignon / RMI, Michel Rocard / Des affiches « générations » Au départ au départ / Tu sais c'est comme pour nous deux / J'y croyais sans trop y croire Au départ c'est toujours mieux Et puis au bord du canal, Un premier « mais » sans raison Nos amours se tirent une balle et de la cohabitation
Au départ au départ, /Odeur de gaz et de poudre / Les matraques à Saint Bernard / J'ai décidé de dissoudre Au départ au départ / C'est tout beau, c'est tout pluriel / ‘Trente-cinq heures et ça repart / C'est les mariages arc-en-ciel Au départ au départ / Tu sais c'est comme pour nous deux / J'y croyais sans trop y croire / Au départ c'est toujours mieux Et puis 21 avril / coup de tonnerre, de canon Nos amours qui se défilent / Fin de cohabitation
Au départ au départ / Tu sais c'est comme pour nous deux J'y croyais sans trop y croire / Au départ c'est toujours mieux Et puis vingt-et-un avril / coup de tonnerre, de canon Nos amours qui se défilent / Fin de cohabitation
Source : LyricFind
Paroliers : Alexandre Michel Beaupain / Jean Philippe A. Verdin
– C'est nous qu'on a le plus de centrales nucléaires en Europe ! Ça assure notre indépendance énergétique !
Hier soir :
– Va faire froid ! Faut être bon citoyen ! Coupez vos chauffages électriques… Sinon on sera obligé d'importer du courant de chez nos voisins qui n'ont que des vieilles centrales à charbon ou à gaz poutinien !
Une image furtive au JT de 20 h et il me revient cette atmosphère grise et cynique des chansons de Bertolt Brecht découvertes en camp de vacances et qui nourrissaient si bien les rebellions feutrées de nos adolescences idéalistes.
Un boulet dans un ventre vide Mon capitaine, c’est malsain. Quand je leur aurai rempli les tripes Fais-les crever, moi je m’en fous bien !
Mère Courage et ses enfants(Mutter Courage und ihre Kinder) Bertolt Brecht (1941)
* Titre emprunté à Eugène Pottier (Mouloudji - Jean Misère)
Un autocrate sans pitié qui promet à son peuple la jouissance d'une terre fertile au prix de la destruction des infrastructures et de l’extermination des autochtones… Ça ne vous rappelle rien ? C'était pourtant écrit… dans « La Sainte Bible » – Ancien testament – Le Pentateuque : Les Nombres, Le Deutéronome (entre autres…)
Samedi, je me suis fait sèchement réprimander par une lectrice de la génération d'en-dessous qui me soupçonne de « ramollir du bulbe » pour n'avoir pas joint cette illustration musicale au Mot du Jour sur l'ouverture de la pêche. Il est vrai qu'elle est on ne peut plus pertinente et mérite ce rajout !
J'vais vous avoir mes p'tits gluants/Si vous approchez d'mon crochet/Du haut d'mon rocher sournoisement/J'vais vous embrocher mes brochets/Remuez vous dans vos remous/Plus vous vous cachez plus j'aime ça/J'vais vous trouver dans vos p'tits trous/J'vais vous faire gruger mon appât !
J'aime la pêche/Oui c'est mon passe-temps préféré/J'aime la pêche/Ça me permet d'tout oublier/J'aime la pêche/Ça me détend, ça m'fait rêver/J'aime la pêche
J'vais vous faire sortir de votre lac/J'vais vous coincer dans mon filet/J'vais vous étouffer dans un sac/J'vais vous faire cuire comme des poulets/J'vais vous ouvrir jusqu'aux arêtes/J'vais vous farcir aux p'tits oignons/Juste avant d'vous trancher la tête/Et d'vous bouffer comme un cochon !
J'aime la pêche/Oui c'est mon passe-temps préféré/J'aime la pêche/Ça me permet d'tout oublier/J'aime la pêche/Ça me détend, ça m'fait rêver/J'aime la pêche
J'aime la pêche/J'aime regarder vos grands yeux ronds/Quand vous gigotez à mes pieds/Qu'vous vous débattez comme des cons/Pendant que j'vous laisse crever !/Ça me détend, ça m'fait rêver/J'aime la pêche !