Catégorie: "Presse, livres, imprimés"
1er mai – Horoscope
Poissons : Ne ratez pas aujourd'hui l'ouverture de la pêche au carnassier !
« L'impatience et même la fébrilité étreignent chaque année les amateurs de pêche avant le début de l'ouverture officielle de la saison ». (la depeche.fr/)
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Quand on n'a rien à dire, le mieux c'est… de mettre une photo
Jeudi, je m'inquiétais pour l'avenir de la Presse quotidienne sur papier, desservie qu'elle est par ses placards photographiques ineptes. Je craignais en effet que les nouvelles technologies, sans doute aux mains de jeunes geeks plus en prise avec leur époque, ne viennent ringardiser une forme de journalisme racoleur où de belles images en couleurs tiennent lieu de reportage rigoureux…
Me voilà rassuré par l'ami Jeff, notre efficace blogmaster, qui n'a pas hésité à aller voir ce qu'il en était de l'article sur « la tuerie derrière le portail » dans l'édition de Var-Matin diffusée sur le web. Voici le résultat de sa quête :
Longue vie à cette impayable presse de divertissement !
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UN PORTAIL !
La voila, la photo épouvantable censée nous remuer les tripes à l'annonce de ce sanglant accès de violence passionnelle !
Sans doute ce portail à l'ombre démesurée, laissant apercevoir sous de lointaines frondaisons la possible maison du crime, fait-il appel à notre subconscient pour en faire ressurgir la sinistre grille du château de Frankenstein…
Un cliché bien évocateur qui méritait assurément sa demi-page à la une… et sa reprise en format élargi sur trois colonnes en page intérieure !
Pourvu que les nouvelles technologies de la communication ne viennent jamais mettre à mal une Presse Quotidienne Régionale aussi réjouissante !
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Y a-t-il un journaliste dans la salle !
L'expression « tirer à la ligne » s'utilise dans le secteur de la rédaction professionnelle et signifie « développer excessivement un travail rémunéré à la ligne ». On dit aussi « délayer ». Notons ici l'emploi extensif du verbe « tirer » signifiant « exercer une force sur quelque chose de façon à l'allonger ».
(Google)
Mais cette expression s'applique-t-elle aussi lorsqu'on se sert d'une image plus ou moins démesurée, plus ou moins en rapport avec le sujet, pour donner « de la surface » à un article de presse !
Voici la Une de Var-Matin de ce jour. Saurez-vous deviner quelle photo en 19/13 cm, assez explicite et riche d'informations complémentaires aura été choisie pour illustrer ce dramatique évènement !
Réponse dans notre édition de demain.
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Dura lex, sed lex… enfin presque…
Ouf ! J'ai bien failli rendre copie blanche cette semaine ! Ma totale inculture en matière footballistique comme dans les choses du libertinage vidéo-enregistré m'a fait passer à côté d'une collision d'informations propre à alimenter un Mot du Jour.
C'est Mathieu Madénian qui, avec sa « Carte postale » hebdomadaire à Charlie-Hebdo, me permet de combler cette lacune.
Il y est question de Karim Benzema, un talentueux joueur de football qui se retrouve privé de coupe d'Europe pour avoir manqué à la Charte de déontologie de la Fédération Française de Football. (Parce que oui, la Fédération Française de Football possède une Charte de déontologie…)
La F.F.F. donc, juge que Benzema ne serait pas exemplaire, donc pas d'Euro pour lui. Et là, je suis d'accord avec Madénian qui préconise que toutes les personnes qui sont censées représenter notre pays soient soumises à une charte de ce type.
Te rends-tu compte, lecteur rigoureux, et toi vertueuse lectrice, qu'en France, quand tu es mis en examen tu n'as pas le droit de jouer au foot, mais tu peux sans problème te présenter à l'élection présidentielle. Mieux, quand tu es définitivement condamné, tu peux sans souci continuer à exercer une fonction publique et pas des moindres.
Apparemment, en France, on est plus regardant en ce qui concerne les gens qui tapent dans un ballon qu'envers ceux qui tapent dans la caisse.
► Source (ℹ)Sur YouTube
Gloria Gaynor – I Will Survive (Live 1979). Posté sur YouTube par Ichnos71live.
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À ma fashion
06/04/16
Un dessin de Wozniak, du Canard Enchaîné vaut des heures des débats qu'on voit à la télé !
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Ah ! Var-Matin…
… si bien qu'en une demi-journée, la semaine est pliée !
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29 février !
Ne ratez pas le numéro 10 !
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Mise en boîte
On traduit : lors de l'inhumation, on s'est rendu compte que le fossoyeur avait eu le coup de pelle (ℹ)De Tracto-pelle ! un peu vigoureux et détérioré le cercueil de Madame…
Levons nos verres (de bière) à la gloire de Var-matin !
► Source (ℹ)Sur YouTube
Brassens. Le Fossoyeur. Posté sur YouTube par tefan34.
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Porter le chapeau
Jean-Paul II avait une femme dans sa vie (La presse)
Non François ! Ce n'est pas un casque qu'il te fallait !
Pour ne pas se faire choper, une tiare c'est plus efficace !
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Dans l’air du temps
Supplément féminin à Var-Matin du 17/01/16
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À la virgule près…
Et oui…
<Les poules s'étaient échappées dès qu'on leur avait ouvert la porte. (*)
(*) Phrase extraite d’une dictée qui était devenue pour certains élèves : « Les poules s’étaient échappées, des cons leur avaient ouvert la porte ».
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Message subliminal
Elle, l'œil humide, la bouche entrouverte, se penche lascivement en avant…
Lui, surveillant les alentours, dégrafe subrepticement son veston, la main gauche partie en exploration intime…
Mais quel rêve ces deux-là sont-ils donc en passe de réaliser ?
Mais non ! Que vas-tu penser là ?
► Suite : le fin mot de l'histoire
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La réunion parents/professeurs
À vous, professeurs (seuses) du secondaire qui, en cette période, malgré les rigueurs de l'hiver, ne rentrez pas toujours très tôt à la maison, je dédie cette fatwa de Charb.
Par les temps qui courent, est-il besoin
de rappeler que tout ceci n'est qu'une caricature ?
« D'accord, il ne faut pas que la drogue entre à l'école. D'accord, il ne faut pas que la violence entre à l'école. D'accord, d'accord, l'école doit rester ce temple sacré moquetté d'amour et tapissé d'intelligence qu'elle n'a jamais été. Mais alors, pourquoi laisse-t-on grouiller les parents d'élèves dans les couloirs des écoles ? Pourquoi les laisse-t-on même approcher les grilles des établissements scolaires ? Pourquoi ne pas éradiquer carrément ces vers qui n'arrivent à justifier leur existence qu'en brandissant le navrant résultat de leurs accouplements asthéniques ? Les parents d'élèves ne sont pas seulement les parasites de leurs enfants, ils sont aussi les parasites de l'Éducation nationale. Des insectes xylophages peuvent détruire une école. Les parents d'élèves, eux, détruisent l'institution. Au motif que son gosse contient des morceaux de son ADN, le parent d'élève se croit autorisé à se mêler de tout ce qui touche de près ou de loin à sa progéniture. Son seul brevet de compétence en matière d'éducation, c'est d'avoir réussi à procréer. Parce qu'un spermatozoïde a exceptionnellement fini dans un ovule plutôt que dans un Kleenex, le parent d'élève est omniscient. Il est capable de réécrire les programmes scolaires, d'enseigner la pédagogie aux profs, de composer les menus de la cantine, de décider des sorties scolaires, d'estimer que telle matière est plus importante que telle autre et de rogner les cours du vendredi après-midi pour pouvoir partir en week-end avec son chiard. Dès qu'un parent d'élève ouvre sa gueule, c'est pour postillonner les lieux communs les plus nauséabonds sur l'éducation. Il déplore que les profs n'aient plus d'autorité sur le sale petit con qu'il n'a lui-même jamais su dresser, mais il ameute la Cour européenne des droits de l'homme si un enseignant claque le beignet du gnome en surpoids qu'il a engendré.
Je crois que vous en serez d’accord avec moi, (…)
Amen »
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