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© Photo Jeff SABY. Prise de vue: Vendredi 26 juillet 2013, à 15 h 03. Appareil: Panasonic HDC-SD700. Objectif: F/24.10 ; focale: 100 mm (=64 mm en 24x36). Exposition: Normal program, 1/2000. Flash: non
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Guy, bien connu de mes services, comme multi-récidiviste des Mots du jour (onglet Blanchard en haut de cette page), et Cathy, m'ont fait un cadeau que j'ai beaucoup apprécié. Ils sont venus me voir sur mes terres ignaciennes. J'ai été content de retrouver mon copain de l'école primaire et du cours complémentaire, à Lyon (déjà rencontré à Guerlédan le 22 juillet 2010) et de faire la connaissance de son épouse. Mes visiteurs m'ont invité au restaurant. J'en ai profité pour faire découvrir, en Bretagne septentrionale, à ces méridionaux des bords de la Méditerranée un bout de littoral de la Manche auquel je me suis attaché, en 46 années de présence dans le Nord-Finistère. D'autant qu'avant d'atterrir à Kéradennec j'ai vécu dans les deux endroits où je les ai emmenés aujourd'hui.
Au Dourduff, le Café du port nous a ouvert, pour le déjeuner, les bras des fauteuils de sa terrasse avec vue sur la mer puis nous avons admiré, depuis le parapet d'en face, le port de plaisance à marée basse et l'embouchure de la rivière de Morlaix. On s'est ensuite déporté après l'entreprise ostréicole, pour embrasser du regard l'ensemble de la baie de Morlaix. Tiens, je croyais que le château du Taureau, notre Fort-Boyard à nous, était mieux visible d'ici.
À Térénez, sorte de presqu'île d'opérette, les riverains de la Belle Bleue ont découvert avec étonnement que la Manche pouvait être d'un bleu méditerranée. J'ai été heureux que cette prise de contact se soit produite un jour particulièrement ensoleillé ! Côté plage, des voiliers prenaient la mer. Côté port de plaisance, plus discret, derrière le bâtiment de l'école de voile, en bout de presqu'île (c'est là que nous bronzions et nous baignions, Nicole et moi, à la fin des années 60), nous avons crapahuté dans les rochers et remonté la jetée.
Bref, j'ai passé un très bon moment avec mes amis varois. Comme disait M. Blanc, un ancien sous-préfet de Morlaix, à la fin de la plupart de ses discours : « Ce jour est à marquer d'une pierre blanche ».
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Je le mets sur mon blog, après transformation en vidéo mp4 pour qu'il soit vu du plus grand nombre, car ce qui est donné est donné. Et aussi parce que ces belles images me rappellent mes promenades en famille sur cette île bretonne située à 80 km de Kéradennec.
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Vidéo, 17 secondes. Hyères. La Capte. La plage.
Au revoir Cagnes et mes souvenirs d'adolescence. Cap sur Castelsarrasin par le chemin des écoliers avec un léger détour sur la côte varoise.
Je me suis arrêté à Hyères aujourd'hui (trop facile !), pour retrouver des souvenirs de vacances en culotte courte. C'est ici, plus précisément à La Capte, que la famille lyonnaise plantait la tente dans les années cinquante. Le coin a bien changé. Le vaste camping ombragé avec accès direct à la belle plage de sable a disparu. Des maisons le remplacent. Reste l'odeur de la pinède. Je me sens un peu comme Proust avec sa madeleine. Déjeuner en bord de mer au restaurant Tahiti Plage « Chez Loulou ».
J'ai dans l'idée d'aller dire bonjour à mon ami Guy Blanchard, qui habite à 35 km d'ici. Je m'aperçois que je n'ai ni son adresse, ni son numéro de téléphone… À Six-Fours-les-Plages, une charmante postière me donne ces renseignements, sans qu'il soit nécessaire de recourir à la force. Hélas, quand j'appelle, j'apprends que mon camarade de l'école primaire et du cours complémentaire est hospitalisé pour un problème de hanche. Lecteur assidu de son blog Les mots du jour de Guy, j'aurais été informé si j'avais pu emporter mon internet mobile. Tant pis pour cette fois. Tel le général américain MacArthur aux Philippines, je fais cette promesse solennelle : « Je reviendrai ! »
Jeu 29.09.11
Réveil au camping Domaine de la Bastide, à Nîmes. Pas pu voir la télé hier soir, des arbres me masquant le satellite. Décidé de me repasser le DVD « Des Hommes et des Dieux ». Endormi devant, comme d'hab. Qu'est-ce qu'ils lui trouvent ?
Autre petit détour, arrivé à Montauban, vers la grotte de Bruniquel. Son actuel propriétaire m'avait gentiment proposé de la visiter lors d'un prochain passage (son commentaire). Comme un idiot, je n'ai pas pensé à lui envoyer un mail avant mon départ de Bretagne. Et je rappelle que je n'ai pas internet, cette fois-ci. Il n'y a personne. Je file, mais tel le général américain MacArthur, etc, etc.
Ven 30.09.11
Hier, l'Eurocamp a retrouvé sa place dans le jardin de tati. Aujourd'hui, j'ai installé la parabole dans le carré des tomates. Le ciel est dégagé à 19.2° Est. Dieu soit loué, bien que l'expression soit excessive, j'ai la télé pour la première fois à Castelsarrasin. J'en userai peu, privilégiant les soirées en famille.
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Les incontournables. On a retrouvé les grands classiques de nos séjours au Domaine de la Joie. Le vendredi 5 août fut la journée la plus chargée (humour !) : on a parcouru le marché de Saint-Guénolé le matin et, seul inédit des vacances 2011, on a fait un tour à l'Ile-Tudy l'après-midi. Les retours des pêcheurs au Guilvinec, le mercredi 3 août, et à Saint-Guénolé, le mardi 9 août, ont beaucoup plu à mon camescope (voir la vidéo). En revanche, j'ai échappé à deux autres sorties incontournables : nous n'avons pas fait la sempiternelle promenade pédestre du camping au phare d'Eckmuhl et j'étais absent le jour de la traditionnelle balade à la pointe de la Torche.
Télécommande oubliée. En effet, le lundi 1er août, j'ai fait un saut à Kéradennec (256 km l'aller-retour), parce que j'avais oublié la télécommande de mon récepteur satellite (oubli annoncé dans l'article précédent). Moyennant quoi nous n'avons manqué qu'un épisode de « Plus belle la vie » (non je n'ai pas honte !), ma toute nouvelle parabole sur trépied n'ayant pas résisté aux bourrasques, un après-midi très venteux.
Soirées DVD. En soirée, nous avons préféré voir des DVD. Excepté le samedi 6 août, première journée du championnat de ligue 1. Nous avons regardé, sur Foot +, Lyon l'emporter à Nice par 3 à 1. Originalité du millésime 2011 : un temps maussade en deuxième semaine. Ciel souvent gris, pluie et vent en alternance et même quelquefois concomitants. Un ciel breton qui ne s'était pas manifesté les vacances précédentes.
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Quand Roger Donnadieu (un ancien, comme moi, de l'école de la rue Tissot et du cours complémentaire de Serin à Lyon) m'annonce qu'il vient à Guidel-Plages pour le congrès de la Fédération Nationale des aphasiques, je me prépare aussitôt à descendre dans le Morbihan : des retrouvailles après plus d'un demi-siècle, cela ne se refuse pas. Lundi donc, vers 18 h 30, je pose l'Eurocamp, le chien et moi-même dans le camping Pen er Malo, où j'ai mes habitudes pour y avoir séjourné deux fois. Et hier mardi, vers 11 h 30, Roger et Rose, son épouse, m'accueillent dans la maison qu'ils louent au club de vacances Belambra, où doit se tenir le congrès, du 12 au 15 mai.
Polar et orchestre
Sans entrer dans les détails, faute de temps, on se raconte nos vies personnelles et professionnelles. Un drame d'entreprise dont Roger a été témoin lui a inspiré un roman policier, Le Cloporte, édité par le site thebookedition.com. On évoque l'orchestre amateur Les Muzikos. J'en ai déjà parlé dans le compte rendu de ma visite à Noël Larmaraud. Roger avait succédé à ce dernier au piano de la mythique formation locale dont je suivais assidument les répétitions dans la salle de la fanfare, au-dessus de l'école maternelle de la rue Tissot.
Bruits de couloir
Au chapitre des potins, Rose, qui a fréquenté l'école primaire de filles installée dans le même bâtiment que le cours complémentaire de garçons, à Serin, m'apprend que sa directrice avait une liaison avec le directeur dudit cours. Je n'en avais rien su ! En revanche, mon professeur de français ne cachait pas son idylle adultérine avec une de ses collègues. Il demandait même aux élèves rêveurs, ceux qui s'installent près des fenêtres, de l'avertir quand elle sortait !
L'aphasie
En plus d'être agréables, les retrouvailles sont souvent instructives. Je le constate une fois encore en découvrant l'aphasie, dont j'ignorais tout, sauf le nom. Rose Donnadieu préside l'association d'aide aux aphasiques de la région lyonnaise, le bien nommé RELAIS (Rencontre, Expression, Langage, Activités, Information, Soutien).
Devant le Fort-Bloqué
Après un excellent repas au Vallon du Bas Pouldu, à Guidel-Plages, nous allons faire un tour devant le Fort-Bloqué, à Ploemeur, le temps de quelques photos. Et puis, parce qu'une si bonne compagnie ne se quitte pas aisément, nous retournons bavarder devant un café chez Roger et Rose, en attendant l'apéritif au bar et le dîner au restaurant du Belambra. On se sépare peu avant 22 h en se promettant de se revoir bientôt à Lyon.
Aujourd'hui, dans les Monts d'Arrée, sur le chemin du retour à Kéradennec, je me remémore cette belle rencontre d'hier ainsi que celles avec Jean-François Prieur et Chantal, Noël et Monique Larmaraud en août 2009. Grâce à la hauteur de vue que permet le franchissement des sommets (383 m au Roc'h Tredudon !), j'arrive à la conclusion que mes copains d'avant et leurs compagnes valent assurément le détour.
► La page d'accueil de Roger sur copainsdavant
► La page de son roman policier sur thebookedition.com
► Le site des aphasiques de la région lyonnaise (en dérangement ou supprimé)
► Les vœux de Rose dans leur revue
► L'article de wikipedia sur l'aphasie
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La classe de philo du lycée Hector-Berlioz (Vincennes), année scolaire 1963-64. À partir de la gauche.
Dernier rang : 1. Gérard Robert. Avant-dernier rang : 1. Jeanne-Rose ; 2. Pierre Bournat ; 3. François Parnet ; 4. Michel Desbrière ; 5. Robert Bonnal ; 7. Teboul. Deuxième rang : 5. Jean-François Saby ; 8. Michel Galland. Au premier rang : 2. Schwartz ; 7. Brunet.
Claude BruaireClaude Bruaire 🛈Sur wikipedia
Claude Bruaire (15 mai 1932 - 14 octobre 1986) est un philosophe catholique français. Cofondateur de la revue Communio, il est, avec Xavier Tilliette, Michel Henry et Jean-Luc Marion, l'un des représentants du renouveau de la philosophie chrétienne et de la christologie apparu dans les années 1970. est le professeur qui m'a le plus marqué. J'ai appris plus tard qu'après le lycée de Vincennes il a enseigné à l'université de Tours (1967‑1979) puis à l'université Paris IV-Sorbonne (1979‑1986), où il a tenu une chaire de philosophie morale (il n'y en avait plus depuis trente ans) et qu'il est décédé d'un cancer en 1986, à l'âge de 54 ans. D'après Robert Bonnal, l'enseignante sur la photo nous aurait dispensé l'histoire et la géographie. Je ne me souviens pas davantage de son nom que de celui des autres lycéens. Si vous vous reconnaissez ou si vous reconnaissez quelqu'un, n'hésitez pas à laisser un commentaire.
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Pendant que certains tondent sous un soleil de plomb, d'autres regardent l'herbe pousser sous une pluie battante.
Jeu 27.08.09. Les retrouvailles
Je ne divulguerai pas le nom du lieudit où se dresse la belle demeure de Noël et Monique. J'ai trop peur que vous vous y précipitiez tous, tant l'endroit est plaisant. C'est, sur une hauteur, un micro-hameau autour d'une petite place 100 % naturelle, équipée d'un banc pour la palabre. Cela semble en dehors du temps, au-dessus de l'agitation du monde. La vue est superbe, de tous les points de la maison, de la vaste terrasse, bien sûr, mais aussi de la véranda. C'est dans cette dernière que se prennent les repas autour de la longue table familiale. Je sais maintenant ce que ressent l'aigle quand il casse la croûte au-dessus de la plaine.
Ven 28.08.09. Balade en Méhari, fête de nuit à Albi
L'article de Wikipedia : cliquez. circulait autour du petit port du Dourduff-en-mer, où nous habitions dans les années 70. Elle appartenait à un ostréiculteur de l'endroit et me faisait rêver. Vous savez quoi ? Il y en a une dans le parc automobile de Noël Larmaraud. Sur les coups de 11 h, son propriétaire la sort du garage histoire de lui dégourdir les roues avant le passage au contrôle bisannuel, prévu cet après-midi. Il m'invite à la balade. Nous voilà partis, nez au vent dans la campagne. La sensation que procure ce véhicule ! Comment dire ? Sur son cheval, le cowboy des westerns de mon enfance ne devait pas se sentir plus libre.
À ► MonestiésEntre Albi et Cordes-sur-Ciel, Monestiés est lové dans une boucle du Cérou. Son patrimoine culturel s’intègre dans un environnement naturel bucolique. Vieilles pierres, demeures anciennes s’harmonisent avec le paysage vert et vallonné.
En savoir plus : cliquez., classé parmi les plus beaux villages de France, notre vaillante monture mécanique nous conduit dans le dédale de rues médiévales pittoresques. On s'arrête à la chapelle Saint-Jacques qui abrite le joyau de la commune, une exceptionnelle mise au tombeau du XVe siècle.
On rentre pour mettre les pieds sous la table, comme des hommes (au sens Michel Audiard du terme). Après le repas, Noël se penche sur le cas de mon GPS TomTom. Il examine la bête, qui a perdu le nord depuis quelques jours. Plus de son, plus d'image ! Le verdict tombe : foutu !
Après le dîner, nous nous promenons dans la belle Albi, Monique et moi, pendant que Noël assiste, en qualité de garde-chasse, à une assemblée de nemrods.
La cité est en fête. Sur une place, des garçons sautent sur des bosses avec leurs BMX. Sur une autre place, des jeunes filles « exécutent » consciencieusement une chorégraphie peu inspirée. Chacun sait que la marche donne soif. Nous nous arrêtons donc au Brussel's café… en attendant Noël.
De retour dans l'Eurocamp, j'explique à mon épagneul breton que j'ai passé une bonne soirée.
J'allais oublier : la Méhari a réussi son examen.
Alliat : grotte de la Vache
À la Vache, on n'est pas… à cheval sur les horaires. La première visite est à 10 h. Vite, vite, je suis en retard. Au pire, je prendrai la suivante. Vers 10 h 45, j'arrive essoufflé au bout du chemin grimpant. Personne. Dans un élan de rébellion, j'enjambe la barrière pour accéder au terre-plein devant la grotte et je commence à tourner en rond. Arrive un couple et son enfant. Ils sont timides. Je les engage à franchir la barrière. Ils tournent en rond avec moi. Peu à peu des gens nous rejoignent, franchissent la barrière et tournent en rond.
Vers 11 h 35, nous voyons arriver sur le chemin, d'un pas tranquille, la patronne (j'appelle ainsi la personne qui tient la caisse) et le guide.
J'imagine que les habitants du lieu, il y a 13.000 ans, n'avaient pas non plus l'œil fixé sur la montre !
La grotte de la Vache 🛈Sur fr.wikipedia.org
Sur l'un des plus riches gisements fouillés dans les Pyrénées, découvrez l'environnement des premiers montagnards à la fin de l'ère glaciaire (12 000 à 15 000 ans), leur gibier, leurs outils, leurs armes, leur art de la décoration. La visite permet d'accéder à la célèbre Salle Monique, où, grâce à plus de vingt ans de fouilles minutieuses, le campement des chasseurs préhistoriques est resté intact. a livré plus d'un million de vestiges archéologiques d'une qualité inégalée : ossements, dents d'animaux, outils, armes en os de bois de renne, dessins, gravures… Le clou de la visite est la célèbre Salle Monique qui fut un lieu de vie. Sur le sol, on voit les traces des foyers. A Niaux, on était dans la galerie de peinture, ici on est dans la cuisine-salle à manger.
Caudiès-de-Fenouillèdes : retrouvailles des Jeff
Après m'avoir montré le chemin du camping Castel Fizel, où je pose l'Eurocamp et le chien, mon copain me ramène en ville et nous nous dirigeons tous les trois, à pied, vers un restaurant où nous passons une agréable soirée. Avec Jean-François et Chantal, la conversation devient très vite passionnante. Reconduit dans mon camping, je m'endors en ayant le sentiment d'avoir rencontré deux personnes attachantes.
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René Pichavant nous a quittés le 1er février, le lendemain de son 80e anniversaire. J'ai assuré un certain temps, au début des années 70, la mise en page de la rubrique de Douarnenez, où il dirigeait la rédaction locale du Télégramme, qu'il avait ouverte en 1952. À ce titre, j'avais un contact quotidien avec lui et avec sa prose, que j'adorais.
Michel Le Bars est décédé dans la nuit du 4 au 5 février, à 82 ans. En 1971, lorsque j'étais « sur la route », il était le chef de la rédaction morlaisienne du concurrent, Ouest-France. Je l'ai beaucoup croisé sur les lieux d'événements de la vie locale et aussi « hors-boulot ». J'en garde le souvenir d'un homme droit et très attentif aux autres.
Louis Priser est décédé lundi matin, 9 février, à l'âge de 95 ans. Il a été correspondant du Télégramme, à Huelgoat et à l'île de Batz (où il avait une résidence secondaire). J'ai donc relu et mis en page sa copie, à quelques années d'intervalle, quand j'ai tenu les éditions de Châteaulin, puis de Morlaix. Nous avions vite sympathisé. Avec lui, le contraire était impossible.
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Après Noël Larmaraud et Guy Blanchard (école primaire et cours complémentaire à Lyon), Jean-François Prieur et Eric Douet (lycée de Vincennes), un cinquième copain se signale à moi par l'intermédiaire de l'excellent copainsdavant.com. Mieux, cet autre copain de très longue date, Daniel Moulin, m'envoie une photo de la classe de 1re du lycée de Vincennes, année scolaire 1961-1962 où je figure et il me donne les noms de tous ceux (sauf un) qui posent sur ce document historique. Un grand merci !
Sur Copains d'avant