Je suis aussi venu à Montauban à deux ou trois reprises quand la famille Bardagie, amie de mon père puis de moi, habitait cette ville avant de venir habiter à Castelsarrasin.
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Montalivet. À quoi ai-je occupé la matinée ? Je l’ignore. Après avoir fait quelques photos de la propriété de Jean-Michel et Laurence, je suis sans doute allé me promener à nouveau dans Monta. Pendant le repas de midi, sur la terrasse, j’ai ressenti un peu de tristesse en pensant que c’était le dernier. N’exagérons rien : il n’y avait pas de quoi en faire une Cène. On se reverra. Merci de votre accueil et, j’espère, à l’année prochaine !
À Hourtin, je ne crois pas avoir pu accéder à l’océan. Encore un problème de stationnement.
À Carcans-Plage, j’ai tourné un moment avant de trouver une place. L’accès à la plage, autrefois brut de décoffrage, s’est bétonné. On y trouve maintenant bars et commerces.
Je me suis perdu autour du lac de Lacanau, étant incapable de mettre la main sur la plage où je me suis baigné plusieurs fois dans un lointain passé. Je suis tombé par hasard sur une autre plage, pas indiquée sur les panneaux, plus sauvage, sans maisons autour, bref charmante, qui m’a donné l’impression d’être un repaire d’initiés.
Arcachon, je n’en parle même pas. Pas pu m’arrêter, sauf pour un plein de gazole au Carrefour Market de Gujan-Mestras (ça touche).
Finalement trouvé, rue Georges-Méran, un parking pas spécialement réservé aux camping-cars, mais qui ne leur est pas hostile. Il est d’ailleurs occupé par quelques « confrères ».
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Visite de Montalivet 🛈Sur fr.wikipedia.org
Montalivet-les-Bains est une station balnéaire du Médoc mondialement connue pour avoir accueilli le premier centre naturiste en 1950, le CHM-Montalivet (Centre hélio-marin) et pour son marché unique de plus de 200 stands ouvert tous les jours en saison et d'octobre à mi-juin, à plus petite échelle.. Passage obligé par le marché quotidien, véritable institution locale. Il déborde maintenant de sa place d'origine sur l'avenue de l'Océan. Parmi les nombreux établissements de ladite avenue, je ne reconnais pas le Bijou-Bar, seul lieu de drague de la station dans ma jeunesse. Mon frère se rappelle que j'y passais mes soirées. En revanche, je retrouve l'ancien cinéma, devenu maison ordinaire. Je le fréquentais quand j'étais plus petit (avant le Bijou-Bar), de sorte que dans mon souvenir il me semblait plus grand.
Le soir, après un bon repas au Globe-Trotter, Laurence, Louise, Jean-Michel et moi allons à vélo chez Patrice et Colette, des amis de mes hôtes, qui nous ont conviés à une soirée jeux de société.
Il y a là Justine, leur fille, Lionel, Janine et leurs deux filles, Rachel et Lou, ainsi qu'un couple de voisins de la puissance invitante.
Le Time's Up 🛈Sur fr.wikipedia.org
Time's Up! est un jeu de société créé par Peter Sarrett en 1999. Le but du jeu est simple : en trois manches (quatre avec les règles ajoutées à la version purple) et en un minimum de temps, vous devez faire découvrir à vos partenaires le plus de personnages. nous donne l'occasion d'une franche rigolade. Il guérit pour longtemps de la peur du ridicule !
Le jeu du post-it 🛈Sur crazy-stuff.net
Chacun des participants doit marquer sur un post-it le nom d'un personnage (réel ou imaginaire) que toutes les personnes participant au jeu doivent connaître. Ensuite, il faut le poser sur le front du joueur qui est à droite sans lui montrer ce qui est inscrit dessus. Le but du jeu est de découvrir en premier le personnage qui vous a été attribué et qui est marqué sur le post-it que vous portez. n'est pas moins réjouissant. Je l'avais découvert sur la chaîne 22 h/24 de la Star Academy. Aujourd'hui, il fallait que je trouve que j'étais Jean-Michel, mon frère ici présent. Comment voulez-vous…
Lionel Fourneaux 🛈Sur photorama-marseille.com
Lionel Fourneaux est né à Suresnes le 1er mars 1954. C’est avec un Instamatic Kodak offert par son père qu’il fait tout jeune ses débuts en photographie en assumant la mémoire visuelle de la vie de sa famille., photographe reconnu, n'a pas hésité à galvauder son talent pour immortaliser ce grand moment de convivialité. Je l'en remercie et livre pour la postérité quelques-unes de ses images.
Excellente soirée ! Indiscutablement, la bande de Montabeach sait s'amuser.
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C’est parti pour le voyage sud, avec le même plan de charge que pour le voyage nord du printemps dernier, à savoir longer plus ou moins les limites de l’Hexagone.
Cette fois pourtant, ce sera bien différent. Je n’ai rien programmé : pas de visite forcenée de musées, églises et autres monuments, pas de date impérative d’arrivée dans la famille. La liberté totale, quoi ! L’autre différence sera sans doute dans le compte-rendu que je rédige sans notes plus d’un an après les faits. Il y aura des oublis et peut-être même des confusions.
Samedi 15 août. Saint-Jean-de-Monts, Les Sables d'Olonne, Blaye
Je crois toutefois assez bien me souvenir de cette première journée. J’ai quitté le camping de Port-Meleu, en Préfailles (Loire-Atlantique), peu après 8 h 30. Mon oncle et ma tante avaient déjà pris la route pour rejoindre Chazay-d’Azergues (Rhône). À Saint-Jean-de-Monts, dont les édiles avaient reçu, en 1971 je crois, un congrès du SNJ (Syndicat National des Journalistes) auquel je participais, je n’ai rien reconnu.
Aux Sables d’Olonne, j’ai fait une visite impromptue à Jacqueline, une amie de lycée de Nicole, que je n’avais jamais rencontrée. Effet de surprise garanti !
Je n’ai pas réussi à faire le siège de La Rochelle. Problème de stationnement !
J’ambitionnais de passer la nuit à Saint-Palais, près de Royan, au camping Le Puits de l’Auture. Nous y avions été délogés par une tempête, ma famille lyonnaise et moi, lors d’une nuit mémorable dans les années cinquante. Plus d’un demi-siècle plus tard, la fréquentation n’est pas la même : circulation ininterrompue sur un front de mer où sont apparus des commerces en alignement serré, Puits de l’Auture fermé pour travaux de rénovation, pas la moindre place dans les nombreux autres campings, y compris ceux de l’intérieur des terres. Je fuis.
Il me semble qu’il y avait un peu de « campagne » entre Saint-Palais et Royan. Exit la campagne ! Les deux communes ne forment plus qu’une seule agglomération. Pas question non plus de s’arrêter à Royan. Il est plus de 19 h quand je traverse la ville et pourtant cela bouchonne : des hordes de piétons défilent à chaque passage protégé, les plages sont noires de monde. Que se passe-t-il ? Damned, nous sommes le 15 août ! « Ils » vont sûrement tirer un feu d’artifice. Devant l’embarcadère du bac pour la traversée de la Gironde, la file de voitures est impressionnante. Je fuis.
À Blaye, je respire. L’Eurocamp stationne sur un immense parking presque vide, au pied des remparts de la citadelle. Citadelle presque déserte où je me promène un moment. De nuit, c’est assez sinistre. Seul un bar avec terrasse, perdu dans une rue étroite, met un peu d’animation. Sorti de la citadelle, je découvre que le restaurant où nous déjeunions, Nicole, les enfants et moi, avant de prendre le bac qui nous rapprochait de Montalivet, a disparu. Sur le panneau d’information dudit bac, il est précisé que les chiens ne doivent pas rester dans les véhicules pendant la traversée. Par peur que Roc’h soit responsable d’un naufrage, je décide de passer demain par Bordeaux. En attendant, dodo ! Je m’endors au son d’un concert organisé dans un autre bar, en face du parking.
Dimanche 16 août. De Blaye à Montalivet
Après la prise de quelques photos de la grande place de Blaye où nous avons passé la nuit, nous faisons un voyage sans histoire au milieu des vignes, puis des pins, jusqu'à Montalivet. Bref arrêt-promenade canine devant l’aire pour camping-cars (bien située en bord de plage, mais archi-bondée), puis nous nous installons dans le jardin de Jean-Michel et Laurence qui nous font un accueil fraternel, digne d’un frère et de son épouse. J’ai la joie de retrouver aussi ma nièce Louise et le regret d’apprendre que sa sœur aînée Joséphine arrivera après mon départ.
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