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Centre Pompidou : j’avais gardé le souvenir d’un endroit convivial où l’on circulait assez librement. Aujourd’hui, inspection du sac et des poches à l’entrée principale et à l’entrée de la bibliothèque, ticket forfaitaire de 10 € pour voir les expositions, sans possibilité de choix, accès aux étages semblant impossible sans ce ticket (comment rejoindre le restaurant du dernier étage ?). Seule œuvre visible sans débourser, au rez-de-chaussée : La ballade de Pinocchio à Beaubourg, 2007, d’Annette Messager. Art ou arnaque ? À la bibliothèque, je découvre deux livres de Claude Bruaire, mon prof de philo à Vincennes. Au retour, arrêt à la FNAC de la rue de Rennes. Je craque pour le Canon G7. Le soir, repas chez Marie et Ettore, avec Julien, Isabelle et Alexandra. Premières photos avec le G7 (pas terribles, à cause d’un mauvais réglage).
Trouvé dans une annexe du BHV Rivoli, rue de la Verrerie, un distributeur de sacs pour déjections canines, d’un chic tout parisien. Fait aussi l’acquisition d’une muselière en nylon. Devant l’incompréhension de Roc’h lors de l’essai, je lui explique qu’elle ne sera utilisée que lorsqu’il sera en liberté et lui rappelle l’épisode du Hollandais mordu (voir le 9 juin 2007).
Le bus 58 m’emmène à la gare Montparnasse, départ d’une longue marche sur les traces de mon passé d’étudiant. Photo du Dôme, mon bistrot, de la statue de Balzac par Rodin, boulevard Raspail, de la fac de droit de la rue d’Assas, fermée pour travaux de réfection (elle était toute neuve quand je la fréquentais), du kiosque à musique du jardin du Luxembourg où se produit un groupe écossais, de la Sorbonne et de mon autre bistrot, de Notre-Dame vue du pont St-Michel. Me revoici à la FNAC du Forum des halles. Ils n’ont plus le Panasonic TZ3.
Ce samedi après-midi, ma sœur Marie, Ettore et moi nous sommes rendus, par le tram, le RER et une navette gratuite au Salon aéronautique du Bourget. Nous avons vu la fin du meeting aérien, puis une mutitude d’avions au sol, dont l’Airbus A380, des drones, l’avion furtif et l’avion à décollage vertical. Nous nous sommes attardés au stand du ministère de la Défense, dont les visuels ont été réalisés par Marie et son équipe. Au stand de l’armée de l’Air, nous avons notamment rencontré Ingrid, Aude, des relations de travail de Marie, qui nous ont accompagné sur une partie du trajet du retour.
Objectif de cette promenade de fin de matinée, avec Marie et Ettore : conduire Roc’h au camping-car, en vue de la visite du Salon aéronautique du Bourget, où sa présence n’est pas souhaitée. Un vide-greniers apporte une belle animation à la rue Didot. Marie confirme son caractère opiniâtre en tenant, pendant la majeure partie du parcours, la laisse de l’épagneul breton, qui tire énormément. Brève halte au « château », où nous rencontrons les « enfants » : Julien, son amie Isabelle et Alexandra (non photographiées ici).
Ma première sortie dans Paris a été pour visiter le musée Rodin. Après avoir vu, dans le bâtiment de l’entrée, l’exposition temporaire sur Rodin et l’art japonais, je me suis promené dans le jardin. Puis, dans le bâtiment principal, j’ai parcouru les salles de l’exposition permanente. Je me suis attardé dans la (trop) petite salle consacrée à Camille Claudel, constatant, une fois de plus, que je préfère l’élève au maître.
Nous voici cap-horniers. Roc’h et moi avons en effet traversé plusieurs fois le camping Le Cap Horn, à Plouézec, depuis l’entrée jusqu’à la plage, pendant notre séjour dans cet établissement du lundi après-midi 4 juin, vers 17 h, au jeudi matin 7 juin, vers 10 h. Le mardi matin, je me suis rendu à vélo à Port Lazo. L’après-midi séance plage. Roc’h a mordu au bras, par inadvertance, un touriste hollandais qui voulait protéger son teckel à poil dur d’une attaque de l’épagneul breton. Le blessé a dû aller à l’hôpital pour un point de suture. Il devra prendre des antibiotiques pendant sept jours et retourner à l’hôpital dans quinze jours pour faire enlever le point de suture. Il n’a pas voulu que je lui rembourse ses frais médicaux, normalement pris en charge par son assurance-maladie, demandant seulement 30 ou 40 euros pour remplacer son veston. Je lui en ai donné 50. Mercredi matin, j’ai pris le vélo (ça grimpe tout le long) pour faire des courses à Plouézec. L’après-midi, toujours à vélo, sous le crachin, je suis allé voir le moulin à vent à mouture de Craca, l’un des deux derniers de Bretagne, victime d’une récente tempête. Par mesure de sécurité, sa dernière aile a été découpée par des employés communaux le lendemain de mon passage (n’y voyez pas un lien de cause à effet). C’est ce que j’ai appris dans un long article publié en dernière page du Télégramme de vendredi. Au bilan météo, signalons un temps gris et un horizon bouché pendant ces trois jours (sauf le temps de quelques photos) avec un peu de fraîcheur, le mardi après-midi (juste le temps de ma séance plage) et de crachin, le mercredi-après-midi (juste le temps de ma balade à vélo). Depuis notre retour à la maison, il fait un temps splendide !
Comme je l’ai raconté hier, j’étais dimanche dernier au milieu des fleurs, tout près de la pointe de la Torche. Entre la visite du champ Kaptein le matin, de Florimer et Kaandorp l’après-midi, j’ai fait une pause déjeuner sur le parking en face de la chapelle de Tronoën et de son calvaire, le plus ancien de Bretagne. Cela valait bien une visite.
La pointe de la Torche est un des meilleurs spots d'Europe pour les véliplanchistes. Ce qui est moins connu, c'est que cet endroit fait du Pays Bigouden la première région française pour la production des bulbes de tulipes. Depuis le début des années 80, fleurissent sur plus de 160 hectares, les champs de tulipes et autres fleurs à bulbes faisant éclater la couleur sur les terres de la Palue auparavant abandonnées. Attirées par les sols sablonneux et le climat maritime, deux familles hollandaises (Ets Kaptein et Ets Kaandorp) et une entreprise d'Anjou (Ets Florimer) ont apporté leur savoir-faire, la garantie de débouchés commerciaux aux Pays-Bas... et aussi la fête des fleurs, organisée depuis 20 ans, de la mi-mars et tout le mois d'avril. Monument sculpté en jacinthes chez Kaandorp, circuit à bord des deux petits trains Florimer, expositions florales et mosaïques attirent chaque année des milliers de visiteurs. Ouvrir le livre.
J'étais ce week-end en mission de reconnaissance à Saint-Guénolé-Penmarch, dans le Sud-Finistère. Il s'agissait de répérer, dans le camping Le Domaine de la Joie, les positions respectives du mobilhome reservé du 28 juillet au 11 août par mon oncle et ma tante de Chazay d'Azergues et de l'emplacement réservé par moi pour la même période. Nous avions demandé à être proches. Il n'est pas possible de l'être davantage. Parti le samedi 14 avril en fin d'après-midi, j'étais de retour à la maison le lundi 16 vers midi. J'en ai profité pour faire la traditionnelle promenade sur la pointe de la Torche.
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La semaine dernière, je me suis rendu à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) pour assister, le jeudi 15 mars en l'église Saint-Sauveur, aux obsèques d'André Bardagie, un ami de mon père qui était devenu le mien. Avec sa femme, Jackie, et leurs filles, Nadine, Sergine et Géraldine, j'ai passé de bons moments, dans les années 60, notamment au bord de la Garonne où j'ai fait un tour en pèlerinage, le samedi 17 mars, avant de me promener vers le bassin, la gare et le cinéma Vox, autres lieux chargés de souvenirs. Parti mardi 13 mars à 21 h 34, j'étais de retour en Bretagne le lundi 19 à 9 h 56. Cela a été l'occasion de revoir tatie (la sœur de mon père), chez qui j'avais garé l'Eurocamp, l'un de ses deux fils, Alain, qui m'a fait connaître, le vendredi 16 mars, l'étonnante pente d'eau de Montech, et les enfants d'Alain, Angélique et Fabien.
Faute d'actualité, continuons notre plongée dans les souvenirs de vacances. Du samedi 5 au samedi 19 août 2006, mon oncle Bernard et ma tante Claude dans un mobilhome et moi dans mon Eurocamp avons séjourné deux semaines au camping Les Saules, à La Forêt-Fouesnant. La première semaine, nous avions la compagnie de ma filleule Audrey, de son mari Nicolas et de leur fils Louis, qui avaient eux aussi loué un mobilhome. Le vendredi 11 aoùt, mon fils Nicolas, Laëtitia et Ewan, nouvellement installés dans le Morbihan, sont venus nous rendre visite. Ils ont couché dans leur tente, installée sur mon emplacement, près de l'Eurocamp et sont repartis le samedi après le déjeuner.
Nous avons fait une belle promenade, le mercredi 16 août, sur le sentier côtier du Cap Coz, à Fouesnant dans le Sud-Finistère. Il y avait tata, tonton, du Rhône, mes amis Michèle et Pierre, du Doubs, et moi-même, du Nord-Finistère. Nous avons vu les rhododendrons géants, la fantaisie, la Roche percée.
Le mardi 8 août 2006, Claude, Bernard, Audrey, Nicolas T., Louis et moi, nous avons fait une belle excursion. Le matin, nous avons déambulé sur la pointe de la Torche. Plus tard, à Penhors, le déjeuner à l’Hôtel Breiz Armor, a été suivi d’une promenade vers la chapelle. L’après-midi a été consacré à la pointe du Raz. Nous voulions faire découvrir à Nicolas, qui ne connaissait pas la Bretagne, un océan agité. Hélas ! Je n’ai jamais vu, à cet endroit, une mer aussi calme : une vraie Méditerranée !
Je me suis promené deux fois à Concarneau en août dernier. Le lundi 7, j’ai revisité la Ville Close, avec Claude, Bernard. Audrey, Nicolas et le petit Louis. Le jeudi 17, Claude, Bernard et moi avons arpenté les quais du port de commerce. Des navires de la Marine nationale étaient ce jour-là en opération « portes ouvertes ».