Benjamin Griveaux, candidat investi par LREM pour les municipales à Paris, invite « tous les Parisiens surtout ceux qui ne sont pas d’accord » à des sessions de « questions-réponses », dont la première édition se tenait mercredi 25 septembre 2019 au soir au café Moncoeur Belleville. Il n’y aura « pas de thème, pas de discours, pas de notes », avait prévenu l’ancien porte-parole du gouvernement, qui souhaite organiser « tous les 8-10 jours, tout au long de la campagne » des rencontres avec les Parisiens, appelées « Quartiers libres ».
Catégorie: "Politique"
Extrait : 88 mots.
Benjamin Griveaux, candidat investi par LREM pour les municipales à Paris, invite « tous les Parisiens surtout ceux qui ne sont pas d’accord » à des sessions de « questions-réponses », dont la première édition se tenait mercredi 25 septembre 2019 au soir au café Moncoeur Belleville. Il n’y aura « pas de thème, pas de discours, pas de notes », avait prévenu l’ancien porte-parole du gouvernement, qui souhaite organiser « tous les 8-10 jours, tout au long de la campagne » des rencontres avec les Parisiens, appelées « Quartiers libres ».
Benjamin Griveaux, candidat investi par LREM pour les municipales à Paris, invite « tous les Parisiens surtout ceux qui ne sont pas d’accord » à des sessions de « questions-réponses », dont la première édition se tenait mercredi 25 septembre 2019 au soir au café Moncoeur Belleville. Il n’y aura « pas de thème, pas de discours, pas de notes », avait prévenu l’ancien porte-parole du gouvernement, qui souhaite organiser « tous les 8-10 jours, tout au long de la campagne » des rencontres avec les Parisiens, appelées « Quartiers libres ».
Résumé : 85 mots. Déjà visible sur le terrain, la campagne de David Belliard, tête de liste Europe Ecologie Les Verts pour les municipales à Paris, a été officiellement lancée ce mardi 24 septembre 2019 au soir, avec l’organisation de son tout premier « meeting de l’écologie » à la Bellevilloise.
David Belliard et les candidats écologistes des différents arrondissements parisiens (Antoinette Guhl, Jacques Boutault…), étaient entourés de Yannick Jadot, tête de liste EELV aux dernières élections européennes désormais euro-député, et des députées Esther Benbassa et Karima Delli.
David Belliard et les candidats écologistes des différents arrondissements parisiens (Antoinette Guhl, Jacques Boutault…), étaient entourés de Yannick Jadot, tête de liste EELV aux dernières élections européennes désormais euro-député, et des députées Esther Benbassa et Karima Delli.
Résumé : 188 mots. Le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin, accompagné du secrétaire d’État au numérique Cédric O, s’est rendu le 23 septembre 2019 sur le site de distribution d’Amazon implanté à Vélizy-Villacoublay. L’entrepôt, d’une surface de 13 000 m2, est dédié à la livraison des clients franciliens, dans un délai espéré de 24 heures après commande. Lors de cette visite, Gérald Darmanin a constaté qu'« il y a aujourd’hui beaucoup de fraude à la TVA de plateformes étrangères ». « La TVA, c’est le premier impôt que touche l’État français, et c’est 80% des dossiers de fraude fiscale que nous constatons », a souligné M. Darmanin.
« Amazon doit payer sa TVA au fisc français comme tous les sites internet, comme tous les sites internet qui ont des plateformes logistiques en France », a rappelé le ministre. Le géant américain de la vente en ligne, qui possède une vingtaine de sites en France où il emploie quelques 9.000 personnes, a conclu l’an dernier un accord à l’amiable avec le fisc français pour régler de lourds arriérés d’impôts.
Source : www.notretemps.com
« Amazon doit payer sa TVA au fisc français comme tous les sites internet, comme tous les sites internet qui ont des plateformes logistiques en France », a rappelé le ministre. Le géant américain de la vente en ligne, qui possède une vingtaine de sites en France où il emploie quelques 9.000 personnes, a conclu l’an dernier un accord à l’amiable avec le fisc français pour régler de lourds arriérés d’impôts.
Source : www.notretemps.com
Résumé : 196 mots. Pour leur 45e samedi de mobilisation, ce 21 septembre 2019, les « gilets jaunes » se sont donné rendez-vous à Paris, où se déroulait également la marche pour le climat. Un exercice de maintien de l’ordre compliqué pour les autorités, déployées au nombre de 7 500 dans la capitale. Un dispositif identique à celui mis en place le 1er mai dernier. À 18 heures, on décomptait 163 interpellations et 395 verbalisations, rapportaient plusieurs médias, dont franceinfo. 90 personnes ont été placées en garde à vue. Quelque 15 200 manifestants ont été décomptés dans la capitale.
Les appels au rassemblement des « gilets jaunes » sur Paris pour cet acte 45 de la mobilisation se sont multipliés sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Une autre manifestation, contre la réforme des retraites et menée par Force ouvrière, s’est également élancée dans le 7e arrondissement.
La situation s’est quelque peu tendue en début d’après-midi sur les Champs-Élysées, où une centaine de manifestants ont été dispersés par des gaz lacrymogènes.
Comme craint par les forces de l’ordre, des black blocs se sont infiltrés dans les cortèges, notamment en tête de la marche pour le climat.
Source : www.valeursactuelles
Les appels au rassemblement des « gilets jaunes » sur Paris pour cet acte 45 de la mobilisation se sont multipliés sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Une autre manifestation, contre la réforme des retraites et menée par Force ouvrière, s’est également élancée dans le 7e arrondissement.
La situation s’est quelque peu tendue en début d’après-midi sur les Champs-Élysées, où une centaine de manifestants ont été dispersés par des gaz lacrymogènes.
Comme craint par les forces de l’ordre, des black blocs se sont infiltrés dans les cortèges, notamment en tête de la marche pour le climat.
Source : www.valeursactuelles
Résumé : 154 mots.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés le 18 septembre 2019 devant le commissariat de police d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, là où le 12 septembre dans la soirée, plusieurs dizaines de policiers ont manifesté dans la rue pour dénoncer une décision « scandaleuse » et « incompréhensible » après la suspension immédiate d’un policier. Celui-ci avait fait polémique après la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle on le voyait frapper à plusieurs reprises un homme lors d’une interpellation à Sevran, ville voisine. Sur les images, on voit un échange verbal entre un policier et un jeune homme noir, avant que le fonctionnaire ne se jette dans les jambes de l’individu pour le plaquer au sol. Repoussé, le policier revient à la charge à plusieurs reprises en assénant des coups de poing, auxquels l’homme répond également par des coups de poing dans une position de défense.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés le 18 septembre 2019 devant le commissariat de police d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, là où le 12 septembre dans la soirée, plusieurs dizaines de policiers ont manifesté dans la rue pour dénoncer une décision « scandaleuse » et « incompréhensible » après la suspension immédiate d’un policier. Celui-ci avait fait polémique après la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle on le voyait frapper à plusieurs reprises un homme lors d’une interpellation à Sevran, ville voisine. Sur les images, on voit un échange verbal entre un policier et un jeune homme noir, avant que le fonctionnaire ne se jette dans les jambes de l’individu pour le plaquer au sol. Repoussé, le policier revient à la charge à plusieurs reprises en assénant des coups de poing, auxquels l’homme répond également par des coups de poing dans une position de défense.
Résumé : 91 mots. Après les agents RATP vendredi 13 septembre 2019, c’était au tour des médecins, kinés, infirmières, hôtesses, stewards ou encore aux pilotes de ligne de défiler contre le projet de loi de Macron lundi 16 septembre 2019. Pour rappel, l’exécutif souhaite aboutir à un système de retraite « universel », où chaque euro cotisé donne les mêmes droits à tous les Français, quels que soient leurs métiers et statuts. Ce principe est toutefois contesté par de nombreuses organisations professionnelles. À titre indicatif, d’autres manifestations ont eu lieu à Toulouse et Bordeaux.
Résumé : 70 mots.
Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive.
À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive.
À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
Résumé : 112 mots. Cédric O, qui a succédé à Mounir Mahjoudi au poste de Secrétaire d’État au numérique s’est rendu le 9 septembre 2019 à Villejuif pour visiter l’EPITA, l’École pour l’informatique et les techniques avancées. S’ils sont initiés au marketing et au droit, histoire de leur ouvrir l’esprit, les étudiants de l’Epita, – c’est leur particularité –, restent très marqués par une formation technique poussée. Leurs principaux employeurs – Thales, Orange, Capgemini – en ont recruté une centaine chacun, pas plus. Une très bonne carte de visite, pour une école qui cherche à attirer des jeunes geeks, pas forcément premiers de la classe, ni sortis de prestigieuses classes prépas.
Résumé : 141 mots. Cédric Villani, le mathématicien et député LREM de l’Essonne, a opté pour le café Gaité dans le XIVe arrondissement de Paris pour officialiser sa candidature dissidente à la mairie de la capitale, en présence de nombreux journalistes et soutiens. En juillet, la Commission nationale d’investiture de La République en marche avait choisi Benjamin Griveaux. Cédric Villani décide donc de ne pas se ranger derrière l’ancien porte-parole du gouvernement, contrairement aux engagements qu’il avait pris. Il y a quelques jours, le mathématicien avait assuré que sa possible candidature dissidente aux municipales à Paris ne serait pas l’expression d’une « défiance » à l’égard du président de la République, du Premier ministre ou de LREM. Dans un communiqué, La République en marche a aussitôt « regretté » la décision de Cédric Villani, sans toutefois l’exclure du parti.
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire.
La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées.
Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social.
Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale.
Source : www.francetvinfo.fr
La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées.
Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social.
Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale.
Source : www.francetvinfo.fr
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron.
Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation.
La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet.
Source : www.lefigaro.fr.
Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation.
La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet.
Source : www.lefigaro.fr.
Les Gilets jaunes se sont rassemblés partout en France ce samedi 13 avril pour leur 22e journée de mobilisation. Les Gilets jaunes craignaient un effet vacances sur la mobilisation. Il n’en a rien été. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils étaient 31 000 partout en France ce samedi dont 5 000 à Paris.
Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière où 22 300 personnes s’étaient rassemblées.
De leurs côtés, les Gilets jaunes, qui contestent les chiffres officiels, estiment le nombre de participants à « 80 504 », selon la page Facebook de comptage, et évoquent « un petit regain de mobilisation » avant la date « exceptionnelle » du 20 avril.
Un chiffre en hausse par rapport à la semaine dernière où 22 300 personnes s’étaient rassemblées.
De leurs côtés, les Gilets jaunes, qui contestent les chiffres officiels, estiment le nombre de participants à « 80 504 », selon la page Facebook de comptage, et évoquent « un petit regain de mobilisation » avant la date « exceptionnelle » du 20 avril.
Résumé : 144 mots. Les retraités battent le pavé. Venus protester contre le « vol » de leur pension ou « par solidarité », ils ne sont pas satisfaits de l’attention affichée du gouvernement pour les « retraités modestes ».
Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ».
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Cette nouvelle journée de mobilisation des seniors, la septième depuis l’élection d’Emmanuel Macron, était organisée par neuf syndicats et associations de retraités remontés contre l’exécutif, « sourdingue », selon eux, à leurs revendications. À Paris, environ 2 700 personnes, selon la police, ont défilé sous le soleil. Les pensions n’ont augmenté que de 0,3 % en janvier, et « c’est honteux », a estimé Juan Velo, 71 ans, un retraité de l’industrie qui touche 2 500 euros par mois après 42 ans de travail. « Non seulement ils nous volent, mais en plus ils se moquent de nous ! » s’est exclamé le septuagénaire, qui se dit « Gilet jaune tous les samedis ».
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 171 mots. Pour leur 21e samedi de mobilisation contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, les « gilets jaunes » ont enregistré le 6 avril 2019 la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement, selon le ministère de l’Intérieur, à deux jours du compte-rendu du grand débat national.
À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune.
En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
À Paris, le principal cortège, parti de la place de la République, a rallié l’esplanade du quartier d’affaires de la Défense, à l’ouest. Les manifestants venus dénoncer « l’art de l’optimisation fiscale » se sont rassemblés sur les marches de la Grande arche avant de se disperser, dans le calme, en fin d’après-midi. « C’est la fin du système capitaliste. Il est mort. Nous le célébrons », a commenté sur place le chanteur Francis Lalanne, vêtu d’un gilet jaune.
En chemin, quelques manifestants avaient brièvement tenté de descendre sur le périphérique, avant d’être rapidement repoussés par les forces de l’ordre à l’aide de tirs de gaz lacrymogène.
Deux ans et demi après la venue de Jean-Marie Le Pen, le Domaine de Malassise, à Mormant, était une nouvelle fois bien gardé, ce dimanche après-midi. En meeting sous un hangar de ce corps de ferme d’un sympathisant local, Marine Le Pen est venue offrir à quelque 500 fans un discours dans la veine du Rassemblement national. Et ce, dans la course aux Européennes. Devant Thierry Mariani dans le public, précédée par les prestations de Jordan Bardella, sa tête de liste, et de Nicolas Bay, elle a terminé son après-midi par un bain de foule, se prêtant avec le sourire au jeu des selfies.
Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article sur newsimage.fr.
Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article sur newsimage.fr.