Striking students hang a banner reading « Students, let us to derail the government with the railworkers » at the gate of Tolbiac campus in Paris on April 13, 2018 during a joint demonstration of students, railworkersl, post office workers and health workers to protest against planned reforms of the French government on April 13, 2018 in Paris.
Plusieurs centaines de cheminots, étudiants, personnels de santé et postiers ont manifesté vendredi 13 avril 2018 après-midi dans le 13e arrondissement de Paris pour protester notamment contre la réforme ferroviaire, Parcoursup et les suppressions d’emploi dans les hôpitaux publics parisiens. Sous le soleil, les manifestants ont défilé sans incident du métro Tolbiac à la gare d’Austerlitz. Cheminots, étudiants et postiers ont reçu le renfort de manifestants de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) devant la Pitié-Salpêtrière, les cheminots en tête du défilé brandissant des drapeaux de SUD-Rail et de la CGT-Cheminots. Les postiers protestaient contre le licenciement, validé par la ministre du Travail Muriel Pénicaud, d’un militant SUD-PTT, Gaël Quirante.
Cette manifestation intervient au troisième épisode d’une grève qui perturbait encore fortement le trafic ferroviaire vendredi, et au lendemain des déclarations d’Emmanuel Macron exprimant sa volonté d’ « aller au bout » d’une réforme « indispensable ».
La gare parisienne a fermé ses portes samedi 18 et dimanche 19 mars 2017 pour mettre en fonctionnement sa tour de contrôle ferroviaire. Un événement inédit qui a demandé des années de préparation. Ce week-end, aucun train de grandes lignes n’arrivait ni ne repartait de la gare de Lyon. Un défi d’organisation : d’ordinaire 980 trains y passent chaque jour. Le RER A et les lignes de métro 1, 6 et 14 ont cependant continué à circuler. Côté transilien, les lignes D et R étaient en partie fermés. Mais la gare est restée ouverte au public : « Quelques commerces seront ouverts, et les guichets pourront accueillir les clients », expliquait la SNCF. De plus, « 700 agents seront mobilisés dans les gares, des agents d’escale mais aussi 200 “gilets rouges” pour informer la clientèle ».Pour les voyageurs en tout cas, des parcours alternatifs étaient mis en place pour assurer le service. Pour aller à Lyon, il fallait, par exemple, prendre son train à Marne-la-Vallée. Pour aller dans le Sud-Est (Valence, Nîmes, Montpellier, Perpignan), il était nécessaire de se rendre à Paris-Montparnasse et à Massy TGV.
Cette fermeture exceptionnelle devait permettre de remplacer deux postes d’aiguillage datant des années 1930, afin de les intégrer à un réseau totalement informatisé. Il s’agissait également de mettre en fonctionnement une nouvelle tour de contrôle à Savigny-sur-Seine, en banlieue parisienne, pour contrôler la commande de ces postes d’aiguillage. Un chantier pour lequel la SNCF a investi 200 millions d’euros. Ces travaux s’inscrivent dans un vaste plan d’informatisation de la gestion de la circulation ferroviaire sur tout le territoire par la SNCF. En automatisant ces opérations, l’idée est de centrer la mission des aiguilleurs sur la gestion des imprévus, mais aussi de disposer « d’une information plus précise sur la localisation des trains », selon l’entreprise publique. Dans toute la France, la gestion de 1 500 postes d’aiguillage devrait, à terme, être centralisée et automatisée dans des tours de contrôle ferroviaire comme celle-ci. Deux nouvelles tours de contrôle seront installées en Ile-de-France dans les prochaines années, à Nanterre et à Pantin, à l’horizon 2020. Une tour a également été mise en fonctionnement à Saint-Denis, le week-end dernier.
Gare de Lyon train station closes on March 18, 2017 in Paris as a switch-over takes place from the signal box at the station to a new signalling centre at Vigneux-sur-Seine, 10 miles south of the terminus. All SNCF main-line trains have been diverted to other stations, or cancelled over the weekend.
Données techniques de cette photo :: Ouverture: ƒ/8 Appareil photo: Canon EOS-1D X Prise de vue: 15 juin 2014 Flash actif: non Focale: 70 mm ISO: 2000 Localisation: 48° 50.6815′ 0″ N 2° 22.4311′ 0″ E Vitesse d’obturation: 1/320 s
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Pour la 5e journée de grève consécutive des cheminots, le trafic ferroviaire restait très perturbé le dimanche 15 juin 2014 dans les gares parisiennes de Saint-Lazare, Austerlitz et gare de Lyon, avec un train sur deux en moyenne sur les grandes lignes. Malgré l’appel du Premier ministre, Manuel Valls, à dialoguer et à « arrêter » le mouvement à la veille des premières épreuves du bac, les cheminots ont décidé, lors de leurs assemblées générales, de reconduire la grève pour le lundi 16 juin, selon la CGT. La fédération SUD-Rail avait déjà reconduit la grève « dans la plupart des cas jusqu’à lundi ». Le conflit porte sur la réforme ferroviaire qui sera examinée à partir de mardi par les députés.
Grève et manifestation à France Télévisions Jeu 07.11.2013. L’appel à la grève à France Télévisions, lancé par les syndicats (CGT, CFDT, FO et SNJ) pour 24 heures à partir de mercredi 6 novembre 2013 minuit, a...
L’école nationale supérieure d’architecture Paris-Val de Seine s’est installée le 23 avril 2007 dans ses nouveaux bâtiments, quai Panhard-et-Levassor, dans le 13e arrondissement de Paris. L’école se déploie le long de la Seine dans les nouveaux quartiers Paris Rive Gauche, construits à partir de terrains industriels et ferroviaires. Des édifices industriels restructurés cohabitent avec une architecture très contemporaine. L’école occupe un nouveau bâtiment de sept étages qui dresse sa silhouette à côté de la SUDAC, ancienne usine d’air comprimé du XIXe siècle, dont subsistent la halle et la cheminée monumentale en brique rouge de 46 mètres, frappée à mi-hauteur d’une date : 1890. Sur ce nouveau site de 15.000 m2, l’école accueille plus de 1.800 étudiants, 230 enseignants et 70 personnels administratifs qui bénéficient de services, de ressources et d’équipements de premier plan.
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La neige et le verglas qui ont assailli mardi 12 février 2013 le tiers nord de la France ont fortement perturbé les transports, fait deux morts, 2.200 naufragés de la route depuis la veille au soir, et privé d’électricité 80.000 foyers. Les intempéries, pourtant prévues par Météo France, ont surpris par leur intensité, poussant le gouvernement à activer une cellule interministérielle de crise. Des moyens militaires ont été mobilisés dans plusieurs départements, en appui des 12.400 pompiers, gendarmes et policiers engagés dans les zones concernées, a indiqué le ministère de l’Intérieur. En dépit de l’activation par la SNCF du dispositif grand froid, le trafic ferroviaire a été très perturbé dans les régions concernées, en particulier en région parisienne. La circulation des Thalys, qui relient Paris, Amsterdam, Cologne et Bruxelles, et des Eurostar, entre Paris, Londres et Bruxelles a été suspendue jusqu’à mercredi. Le trafic a été totalement interrompu sur la ligne à grande vitesse Nord et pour tous les TGV province-province passant par Paris, a indiqué la SNCF dans un communiqué. Les lignes Caen-Cherbourg et Rouen-Le Havre ont été également coupées et les lignes Paris-Amiens-Boulogne, Paris-Maubeuge-Cambrai et Paris-Nevers très perturbées. Dans la capitale, le trafic était interrompu sur plusieurs lignes de tramway, sur des tronçons des RER A et B, et ralenti sur l’ensemble des lignes de métro parisiennes, en raison du givre, qui entraîne des problèmes d’alimentation électrique.