Moralisation de la vie politique
Et s'il suffisait de supprimer la confiture ?
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Moralisation de la vie politique
Et s'il suffisait de supprimer la confiture ?
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Le coup de torchon
Encore un Mot du Jour intégralement copié/collé. Mais il vient tellement à propos compléter celui d'hier…
Je suis ce matin en direct d'un champ de ruines. Celui laissé après le passage de l'ouragan Macron.
Entendez-vous, entendez-vous, le vent mauvais qui souffle sur la morne plaine des Républicains ?
Distinguez-vous, distinguez-vous, le blizzard glaçant qui traverse les paysages désertiques du Parti socialiste ?
C'est une vision de fin du monde qui apparait sous nos yeux consternés. Dévastation, saccage, razzia… On assiste à des scènes de pillage. On voit des scènes d'une violence inouïe. Des combats d'une rare brutalité entre Wauquiézistes et Soleristes, entre Ciottistes et Estrosistes, entre Barroinistes et Koscucio-Morizetistes.
Les socialistes sont laminés, détruits, à terre. Ils mangent la poussière. Ils ne savent plus s'ils sont dans la majorité ou dans l'opposition. Ils s'interrogent : « Qui sommes-nous, nous qui hier défendions la loi El Khomri pour nous opposer demain à des lois qui relèveront de la même doctrine ? ». La perplexité est à son comble, le flottement à son paroxysme.
De vieux chevaux de retour, excités par les lumières de l'insolite, tentent de participer à la parade, mais les pauvres rosses, dépassées, s'en vont mourir à l'écurie avant de pouvoir accomplir un dernier tour de piste.
Les Socialistes et les Républicains tentent de rivaliser d'esprit :
« Ce gouvernement n'est ni de gauche, ni de gauche », rigolent les uns.
« Ce gouvernement n'est ni de droite, ni de droite», gloussent les autres.
Mais personne n'a envie de rire. C'est la consternation, c'est la peur, c'est l'abattement.
La droite est en charpie. La gauche est en miettes. On ne peut pas tout décrire tant ce qu'on voit est insoutenable. Des scènes d'horreur comme il en existe après les typhons, les tremblements de terre. Les hommes sont devenus des bêtes. Certains se vautrent au pied du nouveau pouvoir pour réclamer de la soupe. Ils ont faim. Ils vont mourir s'ils ne sont pas nourris.
D'autres sont prêts à arracher les membres, à crever les yeux afin d'empêcher quelques malheureux d'accéder à la pitance. (…)
Une vision d'horreur surgit sous nos yeux inquiets.
Ce n'est pas la fin du monde. Peut-être la fin d'un monde…
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La phrase qui tue…
… Qui tue le soupçon de naïveté béate qui subsistait en moi. Qui réduit à néant toutes les leçons de « Morale et Instruction civique » dispensées quotidiennement par mes maîtres d'école depuis le Cours élémentaire…
C'est une voix « off » qui l'a prononcée au JT de 20 heures de France 2.
« Ils le suivent depuis longtemps,
ces fidèles en sont aujourd'hui récompensés ».
Ainsi, c'est une voix studieuse et appliquée qui a réduit la fonction ministérielle à une belle image que l'on finit par obtenir avec dix bons points, ou à la queue du singe qu'à force de contorsions on attrape au manège…
Une belle allégorie des mœurs politiques.
Jadis, les Grognards de la Garde se contentaient, dit-on, pour toute récompense, d'un pincement du lobe de l'oreille.
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Une belle çonnerie !
Le Mot du Jour participe aujourd’hui à l'édification des jeunes classes qui, depuis 1997, ne se frottent plus à la chose militaire.
Alors, jeune pékin, sache que lorsque le journaliste te dit que le nouveau président de la République traverse la cour de l'Élysée sur l'air (sic) de Auchan, ce n'est pas qu'il soit sponsorisé par ton Centre commercial préféré, mais écoute plutôt :
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Aujourd'hui, c'est « Arts plastiques »
L'excellent Kiro, dans le Canard de cette semaine, nous offre cette caricature tenant plus de la minutieuse eau-forte que du dessin de presse. Elle me rappelle les grandes fresques dont le grand Moisan nous gratifiait du temps de « La Cour » du grand Charles.
Mais je vous parle d'un temps que les moins de… Vains dieux, comme ça passe !
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Papy, raconte-moi 68…
Salut et fraternité à tous les soixante-huitards qui ont entendu ce matin Dany-le-rouge chanter les louanges de la loi « Macron »…
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Immunité présidentielle
Il risque d'y avoir affluence au Formule 1 de Varennes
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Pour installer une ambiance
« soirée électorale »
Il était une fois dans l'Ouest
Sergio Leone - 1969. Musique : Ennio Morricone
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Avant d'aller voter (ou pas)…
« Un parti, quel qu’il soit, n’a jamais raison en tout. Les notions philosophiques émises par Marx, Jésus-Christ, Gandhi ou le général de Gaulle, une fois appliquées par un comité directeur, se retrouvent confrontées aux lois éternelles de la société : celles où le faux-cul évince l’homme compétent, celles où le jaloux supplante l’homme intègre, celles où la bêtise, l’appât du gain ou la mesquinerie bousculent les meilleures volontés ».
Merci de nous le rappeler, Jean Yanne !
« On n’arrête pas la connerie ! » – 2010
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Le lendemain qui se chante
Après le débat télévisé entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Décidément Charles Lecocq, auteur de “La Fille de Madame Angot”, occupe une grande place dans cette campagne électorale !
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1er mai – Calembredaines
Les minuscules plaisirs d'une audition déclinante (2)
Hier matin, c'est en ne faisant pas la liaison entre les deux termes du patronyme du président de « Debout la France » que Frédéric Pommier, dans sa revue de presse m'a gratifié d'un succulent : « Dupont-et-néant ».
Ce matin, en revanche, j'ai bien entendu un autre chroniqueur nous dire que le candidat d'« En Marche » était au pied du mur. Car bien sûr « c'est au pied du mur qu'on voit… ».
Et c'est sans l'aide de personne, si ce n'est de l'actualité, que je me suis pris à évoquer tous ces candidats de la société si vile…
Tout ça vaut bien un brin de muguet…
Chanson composée en 1953 par Pierre Destailles (paroles) et Claude Rolland (musique)
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Le Mot du Jour compte aujourd'hui un contributeur de renom en la personne de Patrick Cohen alias “l'homme le plus écouté de France” pour sa présentation d'une séquence relatant les tribulations de la campagne électorale :
« Les candidats sont “dans l'essoreuse” ».
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Rien à rajouter
L'image du Jour m'est livrée clé en main par Juin, à la une de Charlie Hebdo.
Chapeau l'artiste !
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Le podium !
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L'Étape du Jour
À la veille de l'arrivée les quatre champions de tête sont toujours regroupés dans 6 secondes, ce qui ne laisse place à aucun pronostic. Ça va flinguer coudes en dehors dans le sprint ! Caliméro Hamon qui pointe à 3 secondes du groupe ne peut plus compter que sur une chute collective pour atteindre le podium.
Nous ne serons pas en mesure de faire paraître un résumé d'étape demain, le seul chronométrage autorisé revenant désormais au Ministère de l'Intérieur.
Que le moins mauvais gagne !
(Le chronométrage nous est fourni par Paris-Match)
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