Le choix des mots…
Sacré, Var-Matin ! - 25/04/15
Encore n’ont-ils pas précisé qu’on lui reproche d’être en cheville avec un fabriquant de planches de paddle, mais que ça lui fait une belle jambe !
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Le choix des mots…
Sacré, Var-Matin ! - 25/04/15
Encore n’ont-ils pas précisé qu’on lui reproche d’être en cheville avec un fabriquant de planches de paddle, mais que ça lui fait une belle jambe !
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Les jeux de la ville
Découvert ce matin, grâce aux photos toujours originales de Michel Stoupak,
http://jfsaby.com/blogs/index.php/stoupak/2e-color-run-de-paris
l'existence de la course à pied mondialement connue sous le nom de COLOR RUN.
J'adoooore le con-cept !
Moyennant un modique droit d'inscription de quelques quarante euros, tu as le privilège de pouvoir courir à ton rythme sur une distance de 5 kilomètres dans les rues de Paris. En espérant toutefois que ce jour-là le niveau de particules fines dans l'atmosphère soit compatible avec l'exercice physique.
Toujours pour la même mise de fonds, tu as l'ineffable plaisir de pouvoir te faire jeter à la gueu tête, tout au long du parcours, des poudres colorées largement dispensées par l'organisateur. Et à chaque kilomètre, la couleur change !
A l'arrivée, c'est vraiment grandiose : toutes les couleurs sont déversées ensemble sur les participants… Et en musique non-stop ! DJs en direct-live !
La fête finie, une escouade de bénévoles munis de « souffleuses à feuilles mortes » tâcheront même de te rendre un aspect compatible avec le retour à tes activités.
Si tu acceptes de partir avec la dernière vague de participants, tu peux même venir en fauteuil roulant et/ou avec ton bébé en poussette. Seul ton cabot sera privé de cette réjouissance.
Un petit bémol cependant : Ventoline et collyre restent à ta charge…
Photo Stoupak
Et si vous n'aimez pas ça…
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Les gars de la marine… marseillaise !
Après ça, qui osera encore qualifier la Méditerranée de Mare aux canards ?
Var-Matin – 19 avril 2015 - Rubrique locale Six-Fours
Note pour les irréductibles terriens (dont je suis) : 1 nautique = 1.852 mètres. Le thon aurait donc été pêché à 18.500 km des côtes !
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Pour toi, lecteur(trice)
qui partage aussi ce béguin
François Morel – France Inter – 17 avril 2015
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Pas du tout parano
En prévision de l'adoption de la Loi sur le renseignement, le Mot du Jour se défendra dorénavant contre toute intrusion à vos métadonnées par l'emploi d'un algorithme de codage dont je vous livrerai la clé uniquement par message colombo-porté.
Bernard Blier dans « Les Barbouzes »
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Bousculade à Sanary
Eh ! Oh ! On se calme…
► … Faut pas croire tout ce qu'on vous dit ! Cliquez.
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Le poids des mots, le choc des photos
Un avion s'est écrasé près de Digne-les-Bains
Paris-Match va devoir se mettre à la macro-photographie
Exclusif-frères-Kouachi.- Les-dernières-photos
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La semaine des contorsionnistes
Des sportifs de haut niveau ! Mais comment peuvent-ils donc tenir le coup à nous présenter ces numéros phénoménaux de contorsion intellectuelle jusqu’à des point d’heure dans la nuit sur les chaînes d’info en continu et tout à la fois trouver encore la ressource de venir s’invectiver par-dessus mon bol de café du petit matin ?
Bonus : Insérer dans le cliché de droite
une photo de votre contorsionniste préféré
Exemple d’utilisation
(Photo Google)
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À lire avec lunettes spéciales
Sobre, concis, efficace
Bravo Var-Matin !
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Une pensée pour Wolinski
20 mars 1972
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« Principe de précaution »
C’est très vieux… mais je me souviens qu’à l’école primaire le maître en avait profité pour nous apprendre à faire du verre fumé, pour la plupart avec un bout de vitre cassée récupéré et une bougie dont il faut laisser la mèche trop longue pour un meilleur résultat…Cet enseignant est responsable de la cécité d’au moins 40 personnes… dont je suis peut-être !
(Jeff, n’aurais-tu pas été témoin de cette anecdote ?)
► L'article d'un professeur des écoles (ℹ)Sur L'Instit Humeurs : cliquez
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Demain, on rase gratis
J’ai épluché le matériel électoral. Voici ce qui reste de quatre professions de foi débarrassées de leur emballage idéologique :
Bref, tous les quatre m’ont dit ce que qu’ils croient que je voulais entendre.
Eh ! Messieurs-dames, que vous soyez à la recherche d’un apostolat civique ou tout simplement en mal de reconnaissance ou de sinécure, puisque vous êtes d’accord sur tout, économisez du temps, de l’argent, la forêt !
Unissez-vous et mettez-vous au boulot !
Vous verrez reculer l’abstention !
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Les ides de mars – Nous y sommes…
Le 15 mars, les Ides sont souvent prétexte à une fête, le plus souvent païenne. Chez les Romains, les Ides de février, les Lupercales, sont devenues notre Saint-Valentin moderne. Les Ides de Mars sont dédiées pour certain au dieu Mars, le féroce dieu guerrier. Laissons là ces belliqueux. Mais pour d’autres, qui me sont plus sympathiques, c’est l’occasion d’une fête qui annonce celles du printemps : le festin d’Anna Perenna.
La légende veut qu’Anna (assimilée à la Lune ou à une nymphe) vint en aide à la plèbe rassemblée sur le Mont Sacré. Les gens commençaient à mourir de faim. Anna, une vieille femme de Bovillae, dans les faubourgs de Rome, leur distribuait tous les matins des galettes. Elle les sauva, et ils érigèrent une statue en son honneur.
De là venait sans doute la coutume de boire énormément, car
chaque verre bu ce jour là était un jour de faste dans l’année à venir.
À bon entendeur !
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14 mars – C’est l’ouverture !
Un délassement bucolique
Transpercer longitudinalement un ver jusqu'à la moitié de sa longueur, puis faire une boucle en piquant dans deux endroits du corps, en ménageant une extrémité assez longue dont le rôle sera d'attirer le poisson par ses contorsions, tout en dissimulant la pointe du crochet, cela s'appelle appâter.
Lorsqu'une touche se produit, imprimer par un mouvement sec du poignet une traction à la ligne de manière à faire pénétrer l'hameçon dans la bouche du poisson appâté, puis tirer ce dernier hors de l'eau, lui extraire de la chair l'acier bleui ou bronzé, semi lancéolé, et le laisser mourir d'asphyxie, cela s'appelle « taquiner le goujon ».
Marcher une ligne à la main dans le brouillard de l'aube, le long de la rivière en s'emplissant les poumons de la fraîcheur vivifiante de l'air, ce qui est bon pour la circulation, les articulations, les bronches, l'acuité de l'œil, la vivacité des ressorts de synapses, de même que le calme de l'action et du lieu contribue à l'apaisement des ulcères et des méninges, cela s'appelle se maintenir en forme, le but étant d'être pêché et de crever asphyxié le plus tard possible.
GEBE
In « Charlie Hebdo » 2010
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La parole est à la défense
Ne jetons pas l’anathème sur l’aéronef à voilure tournante !
Les thuriféraires de la vive et légère libellule trouveront ci-dessous une version généraliste encore plus riche en métaphores de cette plaidoirie enflammée. Les paroles, en partie différentes de celles de la vidéo, sont celles de la version avalisée par Ph. Meyer. (Non trouvée sur YouTube)
Bon vol !
Il était une fois l'hélicoptère / Des soldats de la loi, des volontaires / des pionniers, des gendarmes courageux /ont évité des drames, parfois de peu / L'hélicoptère, une fragile bulle / vive et légère comme une libellule / piloté par des hommes d'expérience / et prêts à sacrifier leur existence / Ces drôles de libellules, ces beaux oiseaux tout bleu / de l'aube au crépuscule / affrontent tous les feux / Passant de l'Indochine à l'Algérie, / l'armée de terre d'abord ils ont servi / pour enfin devenir les précurseurs / de la Gendarmerie, ils font l'honneur / Combien d'entre eux, lors d'une intervention / se sont abîmés, tombés en mission ! / Ils ont défié même le toit du monde / en se risquant dans les gorges profondes./ Ces drôles de libellules, ces beaux oiseaux tout bleu / dans les airs, ils circulent pour nous, pour vous, pour eux. / Un merveilleux outil les pales au vent / qui sauve tant de vies dans l'air du temps,/ un monstre de technique de précision / malléabilité et discrétion ./ L'aéronef à voilure tournante : / une belle énergie presque vivante /maitrisée par une force tranquille / un cœur sous l'écorce et l'arbre fragile / Ces drôles de libellules, ces beaux oiseaux tout bleu / de l'aube au crépuscule / affrontent tous les feux / L'envol d'une formation d'hélicoptères, / impressionnant sur un fond de ciel clair / des bulles chargées de vie, du bleu, du blanc : / un bouquet de patrie très émouvant / C'est la Gendarmerie, bleuet du ciel, / un grand champ d'hélicos en arc-en-ciel / Au prix de leur vie ils sauvent des âmes / de tous les dangers, de toutes les flammes / Ces drôles de libellules, ces beaux oiseaux tout bleu / de l'aube au crépuscule / affrontent tous les feux / Ces drôles de libellules, ces beaux oiseaux tout bleu / dans les airs ils circulent pour nous pour vous, pour eux. /
► « La prochaine fois je vous le chanterai » L'émission complète du 10 janvier 2015, 54 minutes « Hommage à Charlie-Hebdo »
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