Le gisement de Mots du Jour ayant été pillé sans vergogne tout au long de la campagne électorale et des parlottes subséquentes, me voilà contraint d'avoir recours à quelques gags visuels pour pallier cette pénurie conjoncturelle…
Voilà deux semaines que Roselyne se fait tirer l'oreille pour apporter sa contribution hebdomadaire au « Dico du dimanche »…
Avant-hier encore, elle ne m'a gratifié que d'une midinette à l'étymologie incertaine et d'un bien mystique hiérarque…
Je crains un peu pour l'avenir de notre lexique, d'autant plus que ce dimanche, en fin de rubrique, notre auteure nous donne des nouvelles quelque peu alarmantes : « Le Parti communiste est mort, le P.S est à l'agonie, le Front national est au fond du trou, Les Républicains tout au bord, et moi-même je ne me sens pas très bien ! »
Le Mot du Jour participe aujourd’hui à l'édification des jeunes classes qui, depuis 1997, ne se frottent plus à la chose militaire.
Alors, jeune pékin, sache que lorsque le journaliste te dit que le nouveau président de la République traverse la cour de l'Élysée sur l'air(sic)de Auchan, ce n'est pas qu'il soit sponsorisé par ton Centre commercial préféré, mais écoute plutôt :
Après le débat télévisé entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Décidément Charles Lecocq, auteur de “La Fille de Madame Angot”, occupe une grande place dans cette campagne électorale !
1er mai – Calembredaines Les minuscules plaisirs d'une audition déclinante (2)
Hier matin, c'est en ne faisant pas la liaison entre les deux termes du patronyme du président de « Debout la France » que Frédéric Pommier, dans sa revue de presse m'a gratifié d'un succulent : « Dupont-et-néant ». Ce matin, en revanche, j'ai bien entendu un autre chroniqueur nous dire que le candidat d'« En Marche » était au pied du mur. Car bien sûr « c'est au pied du mur qu'on voit… ». Et c'est sans l'aide de personne, si ce n'est de l'actualité, que je me suis pris à évoquer tous ces candidats de la société si vile…
Tout ça vaut bien un brin de muguet…
Chanson composée en 1953 par Pierre Destailles (paroles) et Claude Rolland (musique)
À la relecture du mot d'hier, qui faisait référence au “Tatoué” qui se vante d'avoir digéré des balles et bouffé du cannibale, il m'a semblé qu'une précision s'imposait, particulièrement pour toi lecteur et toi aussi, trice, de moins de 60 ans…
Sorti un peu sonné d'une altercation musclée avec mon Chirurgien-dentiste, je me contenterai aujourd'hui d'un « Mot du Jour » copié/collé depuis Face Book…