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General Secretary of the Union Nationale des syndicats autonomes (UNSA) Education Fréderic Marchand (3rd R) and General Secretary of the Federation syndicale unitaire (FSU) Bernadette Groison (C) demonstrate during a nationwide strike to denounce the abolition of posts in the national in the French capital Paris on November 12, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -2/3. Flash: non
Une première depuis 2011. L’annonce de la suppression de 2 650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé et 400 dans l’administration a entraîné un appel à la grève pour ce lundi 12 novembre 2018, lancé par tous les syndicats représentant l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale. Du jamais-vu en sept ans. À Paris une manifestation s’est élancé à 14 h pour rallier le ministère de l’Éducation nationale, pour dénoncer le budget de l’Education nationale qui sera examiné à l’Assemblée nationale mardi. Une unanimité syndicale qui a fait craindre d’importantes perturbations dans les établissements ce lundi. Dans les collèges et les lycées certes, mais aussi dans les écoles primaires et maternelles. D’autant que la première fédération de parents d’élèves, la FCPE, appellait aussi les parents à se mobiliser et à rejoindre les cortèges syndicaux contre ces réductions de postes dans le second degré. « Ce choix est d’autant plus incohérent que dans les réformes du bac et du lycée général et technologique, comme dans la réforme de l’enseignement professionnel, l’accompagnement des élèves est présenté comme central aussi bien pour leur réussite que pour construire leur parcours d’orientation. Or, cela nécessite des adultes formés et en nombre suffisant auprès des jeunes », argumente la FCPE. Source.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 23 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
Si vous passez par le Boulevard Saint-Michel, vous ne pourrez rester insensible devant cette façade criblée d’impacts de balles et d’obus. Le mur de l’Ecole des Mines, célèbre école d’ingénieurs de Paris, au 60 Boulevard Saint-Michel, affiche les stigmates de deux guerres mondiales : le bombardement de Paris du 20 janvier 1918 et la libération de Paris, le 25 août 1944. Une plaque rappelle également qu’un membre des F.F.I (Forces Françaises Intérieures), Jean Montvallier-Boulogne, 24 ans, est mort pour la France lors des combats de la libération de Paris devant cette même façade. 1918 : bombardement de Paris En 1918, l’état major allemand souhaita toucher le moral des populations et décida de procéder au bombardement de Paris, soit par avions, soit par des pièces d’artillerie. Les avions étaient des bombardiers biplans, dénommés « Gotha », pouvant transporter jusqu’à 600 kg de bombes. Les pièces d’artillerie étaient la fameuse « Grosse Bertha ». Les premiers bombardements par les Gotha eurent lieu en janvier 1918, touchant l’’Ecole des Mines le 20 janvier.
1944 : libération de Paris Le 25 août 1944, commandés par Pierre George, alias « colonel Fabien », chef des unités de choc des F.F.I., 200 hommes arrivent par l’Est et le Sud et une centaine par le Nord. Pour les épauler, ils peuvent compter sur les chars et l’infanterie du sous-groupement Putz de la 2e DB et au Sud par les chars du capitaine de Boissieu, de l’escadron de protection du général Leclerc. Les combats vont être rudes autour du palais du Luxembourg et ses rues adjacentes, marquant la facade de l’École des mines, et durer jusqu’à la reddition officielle du Général von Choltitz, en fin d’après-midi.
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The armored limousine known as "The Beast" carrying US president Donald Trump arrives on the Champs Elysées avenue during a ceremony at the Arc de Triomphe in Paris on November 11, 2018 as part of commemorations marking the 100th anniversary of the 11 November 1918 armistice, ending World War I.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1600 sec, f/4, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Très remarquée tout au long de ce week-end de commémorations à Paris, « The Beast », la limousine présidentielle qui accompagne partout Donald Trump possède quelques caractéristiques étonnantes. Les voici.
Quatorze C’est le coût, en millions d’euros, du programme développé par General Motors et initié en 2013, pour pouvoir produire ce véhicule. Chaque modèle coûte 1 million d’euros à produire.
Huit C’est le poids, en tonnes de « The Beast ». Une masse impressionnante, qui s’explique notamment par l’épais blindage, de 20 cm, qui recouvre la voiture. Les vitres, sont par ailleurs scellées, afin d’éviter toute attaque bactériologique potentielle. Des caractéristiques qui rendent les portes de la voiture extrêmement lourdes : une personne seule ne peut les ouvrir sans aide extérieure.
Des roues à toute épreuve Les pneus renforcés avec du kevlar sont très difficiles à crever. mais même s’ils venaient à rendre l’âme, des jantes spécifiques permettent à la limousine de poursuivre sa route même sans pneus.
Trois cents C’est le nombre de chevaux sous le capot de « The Beast ». Une puissance obtenue grâce à son moteur V8 6.6 « Duramax » conçu par General Motors, mais qui ne permet cependant pas à la voiture de rouler très vite. Sa vitesse maximale n’est en effet que de 96 km/h.
Pourtant, « The Beast » consomme beaucoup : 34 litres pour 100 km. Et le véhicule est très polluant, la cour de l’Élysée en a d’ailleurs fait les frais. Source.
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A balloon depicting the US President Donald Trump wearing a diaper, flies over the heads of people protesting against the US leader at the Place de la Republique in central Paris on November 11, 2018, as leaders from around the world, including Trump, gathered in the French capital to mark the 100th anniversary of the 11 November 1918, World War I, armistice.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
« Trump c’est la guerre » : 1 500 personnes ont manifesté sous la pluie dimanche 11 novembre 2018 après-midi place de la République à Paris pour protester contre la présence du président américain aux commémorations du 11-Novembre, un rassemblement sous haute surveillance. Les autorités craignaient la participation de « 200 à 400 activistes violents » en marge des commémorations. Les manifestants comptaient parmi eux des membres revendiqués de la mouvance « black bloc », dont les forces de l’ordre redoutaient des actes de violence. Aucun incident n’a cependant été signalé, a précisé en fin d’après-midi la préfecture de police de Paris. À l’appel du collectif « Ni guerres ni état de guerre » regroupant une cinquantaine d’associations, les manifestants étaient rassemblés depuis 14 h sur cette place emblématique au-dessus de laquelle flottait un ballon géant représentant Donald Trump comme un bébé grincheux en couche-culotte.
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For the centenary of the Armistice of the First World War, 94,415 flowers colored like the French flag have been set in front of Paris city hall. Visible on Saturday November 10 and Sunday 11, 2018, these pansies and primroses are a tribute to the 94, 415 Parisians who died during the First world War.Their names were displayed on giant screens while the façade of the city hall will be lit in blue, white and red on the occasion.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 11-24 mm f/4L USM; focale: 11 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 3200, Compensation: -4/3. Flash: non
EXTRAIT : 234 mots. Ce samedi 10 novembre 2018, 94.415 fleurs ont été déposées devant le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. Une installation organisée par la maire de Paris Anne Hidalgo et la mairie, pour rendre hommage aux habitants de la capitale morts au combat pendant la Première Guerre mondiale. Au cours de cette cérémonie, pensée à l’occasion du centenaire de l’Armistice, la façade du bâtiment a – comme la couleur des fleurs et du drapeau tricolore – été éclairée en bleu-blanc-rouge. Les noms des Poilus parisiens ont, eux, défilé sur un écran géant. Anne Hidalgo inaugurera le premier monument aux morts de la capitale en présence d’écoliers parisiens, lors du centenaire de l’armistice le dimanche 11 novembre 2018. L’ensemble mesure 280 m de long pour 1,3 m de haut et est disposé tout le long du boulevard Ménilmontant, près du cimetière du Père-Lachaise. Entouré d’une vingtaine d’étudiants, un historien a étudié les livres d’or disponibles dans les mairies parisiennes afin de constituer sa base de données. « Une loi de 1923 impose à toutes les mairies françaises de tenir ces livres qui enregistrent tous les morts pour la France », détaille-t-il. Ces livres d’or ne sont pas accessibles au public et sont parfois difficiles à trouver, leur existence ayant été oubliée par certains employés municipaux. Difficulté supplémentaire, celui du 3e arrondissement a même disparu.
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Two Parisian students lay flowers at the grave of French poet Guillaume Apollinaire in Père Lachaise Cemetery in Paris on Novembre 8, 2018, during the commemorative events of the 100th anniversary of the end of World War I. Naturalized as a French citizen in 1916, the poet fought at the front in Champagne as lieutenant of the 96th Infantry Regiment. Weakened from shrapnel injuries, he died just two days before the Armistice on November 9th from the Spanish flu.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Dans le cadre du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale, une cérémonie en hommage au poète Guillaume Apollinaire a eu lieu le 8 novembre 2018 devant sa tombe, au cimetière du Père Lachaise, à Paris. Lorsqu’il naît à Rome en 1880, le poète ne s’appelle pas encore Apollinaire mais Kostrowitzky. De nationalité polonaise, il débarque à Paris à 18 ans, se consacre vite à sa grande passion, la poésie, et s’impose comme une figure incontournable de la vie littéraire parisienne. Lorsque la guerre éclate en 1914, Apollinaire veut s’engager, mais il doit s’y prendre à deux fois pour rejoindre l’armée française. En 1915, sous lieutenant au 96e régiment d’infanterie, il combat en Champagne pendant près de 6 mois. Malgré l’horreur de la guerre, il continue d’écrire et entretient une abondante correspondance (plus de 200 lettres) avec sa maîtresse de l’époque, Lou. Il y décrit dans le détail la vie des tranchées, un quotidien, au milieu de la boue et des bombardements. En 1916, enfin naturalisé, Guillaume Apollinaire poursuit la guerre dans l’Aisne où il est blessé à la tempe par un éclat d’obus. Après une longue convalescence, très affaibli par sa blessure. Il finira par contracter la grippe espagnole et mourra le 9 novembre 1918, jour même de l’abdication d’un autre Guillaume, l’empereur allemand Guillaume II.
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French writer Nicolas Mathieu (C) arrives at Drouant restaurant in Paris after winning the Prix Goncourt, France's top literary prize, on November 7, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 23 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -2/3. Flash: non
Le prix Goncourt a été attribué à Nicolas Mathieu pour Leurs enfants après eux (Actes Sud, 432 p., 21,80 euros) Étaient également en lice : Frère d’âme, de David Diop (Seuil), Maîtres et esclaves, de Paul Greveillac (Gallimard), et L’Hiver du mécontentement, de Thomas B. Reverdy (Flammarion). C’est, comme chaque année, depuis le restaurant parisien Drouant, où se réunissent les jurés, que la nouvelle a été proclamée, mercredi 7 novembre 2018. Leurs enfants après eux est le deuxième livre de Nicolas Mathieu, après le roman noir Aux animaux la guerre (Actes Sud, 2014, adapté en série pour France 3). L’écrivain ne faisait guère figure de favori pour le Goncourt, non en raison des qualités de son livre (frappantes), mais parce que sa maison d’édition avait publié le précédent livre récompensé par le prix, L’Ordre du jour, d’Eric Vuillard. Source. Né à Epinal, dans les Vosges, en 1978, Nicolas Mathieu décrit ici le monde de son adolescence dans les années 1990. Entre 1992 et 1998, on suit des personnages qui poussent dans une vallée perdue de Lorraine. Les hauts-fourneaux se sont tus. Les jeunes tuent l’ennui en éclusant des bières et en matant les filles. Ils écoutent Nirvana. Ils boudent et se bagarrent. Ils s’habituent à la fumette. Ils rêvent de « foutre le camp »… La splendide chronique de Leurs enfants après eux se décompose en quatre étés. Soit des variations autour de l’impossibilité à prendre son envol, qui a fourni tant de trames aux romans noirs. Cependant, le récit de formation proposé par Nicolas Mathieu n’exsude ni misérabilisme ni nostalgie. C’est un écrivain qui excelle à décrire les peaux qui se rapprochent et les ambitions qui s’éloignent qu’ont récompensé les jurés Goncourt. Source.
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French writer Olivia de Lamberterie poses after she won the Prix Renaudot "Essay" French literary award on November 7, 2018 in Drouant restaurant in Paris.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 53 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 6400, Compensation: -2/3. Flash: non
Olivia de Lamberterie s’est vu décerner le Prix Renaudot de l’Essai le 7 novembre 2018 au restaurant Drouan, à Paris. Olivia de Lamberterie est journaliste à Elle, chroniqueuse au « Masque et la plume » sur France Inter et correspondante pour Radio Canada. Elle publie son premier récit chez Stock, qui raconte le suicide de son frère en 2015 à Montréal. Une disparition violente qu’elle refuse de reléguer dans le passé. Au contraire elle va réinventer une manière d’être douloureusement heureuse…
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Paris Mayor Anne Hidalgo (C, red scarf)) meets Tokyo Governor Yuriko Koike (C, white and blue scarf) in Paris on November 2, 2018, ) in the framework of the Tandem Paris-Tokyo 2018, a cultural exchange collaboration arranged by the City of Paris, the Tokyo Metropolitan Government and Institut Français. Governor Yuriko Koike shows to Anne Hidalgo how to make a Furoshiki, traditional Japanese wrapping cloth, at a special pavilion during an event Furoshiki Paris in front of Hôtel de Ville de Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 3200, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 221 mots. Moins de deux ans après le déplacement de la Maire de Paris au Japon, Yuriko Koike, la Gouverneure de Tokyo a effectué une visite dans la capitale française. Yuriko Koike était en effet présente à Paris, dans le cadre d’une visite diplomatique plus large en Europe, visite qui s’échelonnait du 30 octobre au 3 novembre 2018. À cette occasion, la Gouverneure de Tokyo a rencontré Anne Hidalgo, la Maire de Paris, pour échanger sur diverses thématiques et renforcer ainsi les liens de partenariat autour de la culture, de l’environnement, mais aussi du tourisme. Yuriko Koike et Anne Hidalgo, qui ont inauguré le vendredi 2 novembre 2018 le Furoshiki géant installé sur la Place de l’Hôtel de Ville, ont également abordé la question des préparatifs d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024. En février 2017, lors de la visite de la Maire de Paris dans la capitale nippone, les deux leaders avaient déjà eu l’opportunité d’échanger sur les deux projets et ce, alors que Paris était encore candidate à l’accueil de l’événement planétaire. Entourée pour l’occasion par Étienne Thobois, Directeur Général de Paris 2024, Anne Hidalgo avait profité de sa venue à Tokyo pour visiter deux sites des JO 2020, parmi lesquels, le futur Centre Aquatique.
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Wigs for disguise are seen in October 26, 2018, during the 2018 Paris Games Week (PGW) exhibition at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris. The PGW is the largest French video game show and a attracts more than 250 000 visitors every year and 300 gamers join the eSports World Convention (ESWC) finals. During ths show, video game developers and publishers introduce their latest games and brands promote their latest and most famous products.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 250, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 192 mots. Se promener dans les allées des « conventions », ces salons dédiés à la « pop culture » qui se multiplient dans l’Hexagone, peut donner à certains parents le sentiment de débarquer sur une planète étrange. Impossible de faire un pas sans croiser des adolescents, ou jeunes adultes, le visage grimé, arborant des perruques orange ou d’impressionnantes cuirasses. Leur but : ressembler le plus possible à un héros imaginaire, issu d’un film, d’une bande dessinée, d’un jeu vidéo ou d’une série TV. Cette pratique, appelée cosplay (contraction de costume et de play, en anglais), est née aux États-Unis dans les années 1950 et s’est développée chez les fans de science-fiction avec le succès des sagas Star Wars et Star Trek. Mais c’est au Japon qu’elle a connu par la suite un essor sans précédent. (…) Si les cosplayers les plus célèbres sont recrutés par les éditeurs de bandes dessinées et de jeux vidéo pour animer des événements, si certains lancent même des lignes de tissus et d’accessoires, la plupart des jeunes adeptes se contentent de se déguiser pour le plaisir ou participer à des concours. (…). Source : Cécile Jaurès. La Croix.
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People visit the stand of Tom Clancy's " The Division 2 " in October 26, 2018, during the 2018 Paris Games Week (PGW) exhibition at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris. The PGW is the largest French video game show and a attracts more than 250 000 visitors every year and 300 gamers join the eSports World Convention (ESWC) finals. During ths show, video game developers and publishers introduce their latest games and brands promote their latest and most famous products.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/5, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
EXTRAIT : 152 mots. La Paris Games Week (PGW), le plus grand salon français du jeu vidéo ayant attiré plus de 300.000 visiteurs en 2017, ouvre ses portes ce vendredi 26 octobre 2018 au parc des Expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Le secteur français du jeu vidéo a montré une santé insolente en 2017 surfant sur le succès des consoles, avec une croissance record de 18% de ses ventes selon le bilan annuel du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell). Les ventes totales de matériel, PC et consoles, de jeux – y compris sur le mobile – et d’accessoires ont atteint un chiffre d’affaires historique de 4,3 milliards d’euros, indique le Sell dans son étude « l’Essentiel du jeu vidéo ». Les seules ventes de consoles ont bondi de 31% l’an dernier, à 784 millions d’euros, un niveau qui n’avait plus été enregistré depuis 10 ans…
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French Junior Minister for Disability Issues Sophie Cluzel (C) visits the 2018 Paris Games Week (PGW) exhibition at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris in October 26, 2018. The PGW is the largest French video game show and a attracts more than 250 000 visitors every year and 300 gamers join the eSports World Convention (ESWC) finals. During this show, video game developers and publishers introduce their latest games and brands promote their latest and most famous products.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/5, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
La secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées,Sophie Cluzel, était présente dans les allées du salon Paris Games Week 2018, lors de son ouverture le 26 octobre 2018 porte de Versailles, à Paris. 300 000 personnes handicapées sont actuellement privées du droit de vote par la décision d’un juge. Face à ce constat, Sophie Cluzel, a décidé d’agir en donnant le droit de vote à tous les handicapés d’ici 2020. La décision d’un juge de priver certaines personnes de vote concerne « principalement des personnes qui ont un handicap mental et psychique », explique le ministre, une mesure « prise sous prétexte de les protéger ». Dénonçant une forme de discrimination, elle rappelle que le droit de vote pour les personnes en situation de handicap est « une des grandes revendications de l’ensemble des associations depuis plus de trente ans ».
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McDonald's employees and union members hold placards reading « We want equal rights for all » and « popular districts in revolt" as they protest against the tax evasion and the low salary outside the headquarters of the compagny in France, on October 23, 2018, in Guyancourt, in the south of Paris. France has the second-highest number of McDonald’s restaurants in Europe. In 2018 a rash of protests broke out against the company, with current and former employees lobbying for pay increases.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Pour « l’augmentation des salaires » et le « respect des libertés syndicales », une centaine de personnes – 80 selon une source policière, plus de 150 selon les organisateurs – dont des salariés venus de Marseille, ont manifesté mardi 23 octobre 2018 devant le siège de McDonald’s France à Guyancourt (Yvelines), demandant « l’égalité des droits pour tous partout ». Cette manifestation à l’appel des syndicats CFDT, CGT et SUD de l’entreprise de restauration rapide, avec le soutien d’associations comme Attac, intervient alors qu’à Marseille des salariés sont en lutte depuis ce printemps contre le projet de cession de six restaurants. Avec cette « McManif », le personnel de l’enseigne entendait revendiquer « la fin du temps partiel imposé et l’augmentation des salaires », « le respect des libertés syndicales » et « l’arrêt de l’évasion fiscale par laquelle la compagnie spolie les salariés et la collectivité », selon ses organisateurs. « McDonald’s ne peut traiter plus longtemps par le mépris ces revendications », ont-ils annoncé dans un communiqué.
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Activists of the Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender (LGBT) gather against homophobia place de la République on October 21, 2018 in Paris . Guillaume Mélanie, President of Urgence Homophobie, a charity that helps members of the LGBT+ community who are in danger in France, was the victim of an homophobic attack coming out of a restaurant in central Paris on October 16, 2018. On October 6th, an homophobic assault took place in the capital's 19th arrondissement when two men were violently attacked by two people over the fact that that they were kissing, with each suffering injuries in the ribs and face. Then on October 8th, two young women were beaten up in public for the same reason and on October 13th a man was attacked in the 15th arrondissement for wearing make-up.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
EXTRAIT : 239 mots. Dire un non massif à l’homophobie et « mettre la pression » aux pouvoirs publics pour des mesures concrètes de soutien aux victimes. Voilà le double objectif du rassemblement qui a eu lieu ce dimanche 21 octobre 2018 sur la place de la République à Paris et qui a réuni plusieurs milliers de participants. La manifestation, statique, a en effet été organisée dans l’urgence par SOS Homophobie et l’Inter-LGBT, soutenus par une trentaine d’autres associations, en réaction à la récente multiplication des violences homophobes, lesbophobes ou transphobes dans les rues de la capitale. Les associations organisatrices en ont recensé une demi-douzaine en moins d’un mois. L’inquiétante série noire a commencé le 18 septembre dernier devant le Petit Théâtre. Un établissement de Belleville à la sortie duquel deux jeunes hommes avaient eu le « tort » de s’enlacer. Ils avaient été roués de coups par des témoins (interpellés depuis) de ce très banal geste d’affection. (…) Plus récemment, en début de semaine dernière, c’est Guillaume Mélanie, le président de l’association Urgence homophobie, qui a subi le même type d’attaque dans une rue du IIe arrondissement, où il a été insulté puis frappé en plein visage par un passant. (…) Selon les chiffres communiqués par la Préfecture de police, le nombre d’actes à caractère homophobe commis entre janvier et septembre a pourtant baissé de 37 % par rapport à la même période en 2017. (…). Source : Le Parisien.
French mathematician and La Republique En Marche (LREM) member of the parliament Cedric Villani (C) takes part in a gathering against homophobia place de la République on October 21, 2018 in Paris . Guillaume Mélanie, President of Urgence Homophobie, a charity that helps members of the LGBT+ community who are in danger in France, was the victim of an homophobic attack coming out of a restaurant in central Paris on October 16, 2018. On October 6th, an homophobic assault took place in the capital's 19th arrondissement when two men were violently attacked by two people over the fact that that they were kissing, with each suffering injuries in the ribs and face. Then on October 8th, two young women were beaten up in public for the same reason and on October 13th a man was attacked in the 15th arrondissement for wearing make-up.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 250, Compensation: -1. Flash: oui
EXTRAIT : 129 mots. Le mathématicien et député de La République en Marche (LREM) Cédric Villani était présent au rassemblement organisé le dimanche 21 octobre 2018 place la République, à Paris, après plusieurs agressions homophobes commises les jours précédents dans la capitale. Dans un entretien au Journal du dimanche, Cédric Villani viens d’annoncer officiellement sa candidature à la Mairie de Paris : « Je suis candidat à la candidature » à Paris a-t-il déclaré. Cédric Villani rejoint ainsi plusieurs figures du parti d’Emmanuel Macron ayant déjà marqué leur intérêt pour l’Hôtel de Ville, dont le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux ou le secrétaire d’État au numérique Mounir Mahjoubi. « Je m’inscrirai dans le processus de désignation. Quel que soit le candidat retenu, je me rangerai derrière », assure le mathématicien.