Demonstrators pro-aborption attend a silent gathering at Place de la Sorbonne organised by 'Abortion in Europe' movement, within a vote of a bill to enshrine the guaranteed freedom of abortion for women in the constitution, in Paris on February 28, 2024. France's lower-house National Assembly overwhelmingly voted in favour of the measure as a "guaranteed freedom" in late January, with almost all members of Macron's centrist minority coalition as well as left-wing opposition parties approving.
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À l’appel du collectif Avortement en Europe, Les femmes décident, plusieurs dizaines de militants se sont rassemblés place de la Sorbonne ce mercredi 28 février 2024, alors que le Sénat s’apprêtait à voter l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Pendant ce temps, d’autres manifestant du mouvement Marche pour la vie se sont rassemblés à proximité de la station de RER Port Royal pour marque leur opposition à cette modification de la Constitution. Après d’âpres débats, le Sénat a finalement largement voté le texte du gouvernement qui inscrit l’IVG dans la Constitution. Un pas gigantesque étant donné la majorité de LR et centristes qui siègent à la chambre haute. Prochain et dernier rendez-vous législatif: le Congrès du Parlement.
A woman carries a cloth representing a dead child during a demonstration in support to Palestinians, at the entrance to the Forum des Halles in central Paris on October 28, 2023. Paris administrative court validated on October 28, 2023, a prefectoral ban on a demonstation in support to the Palestinians, notably due to the "gravity of the risks of troubling public order".
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Des milliers de personnes participaient ce samedi 28 octobre 2023 après-midi à Paris, dans le calme, à un rassemblement « de soutien au peuple palestinien », interdit par les autorités, aux cris notamment de « Gaza, Gaza, Paris est avec toi ». Place du Châtelet, en plein centre de la capitale, la foule a été empêchée de se mettre en mouvement par un très important dispositif policier. Parmi les manifestants figuraient des élus ceints de leur écharpe tricolore, tels le député écologiste du Val-d’Oise Aurélien Taché et le député LFI de Seine-Saint-Denis Jérôme Legavre. Le tribunal administratif avait validé ce samedi l’interdiction préfectorale de la manifestation en soutien au peuple palestinien, convoquée dès 14 h 30 à Paris, notamment au regard de « la gravité de risques de troubles à l’ordre public ». Dans un communiqué, le tribunal a fait valoir qu’il ne suspendait pas l’arrêté qui l’interdit, « au regard notamment du contexte de tensions exacerbées liées au conflit israélo-palestinien et des conditions de déroulement de cette manifestation ». « La manifestation en litige intervient dans un contexte de tensions exacerbées lié aux événements dans la bande de Gaza avec une montée, en France, des actes antisémites », a-t-il argué. Saisi en urgence, le juge des référés a ainsi rejeté les requêtes de quatorze associations et particuliers qui contestaient cette interdiction au nom de la liberté d’expression et de la liberté de réunion. « Au regard de la réalité et de la gravité de risques de troubles à l’ordre public, et alors qu’une mesure moins restrictive ne pouvait être mise en œuvre, c’est sans porter, en l’espèce, une atteinte manifestement illégale à la liberté de manifester et d’expression que le préfet de police a prononcé l’interdiction de manifester à Paris », conclut le juge dans son ordonnance consultée par l’AFP. « Le rassemblement projeté peut présenter un risque particulier sérieux de violences, à l’encontre d’autres groupes ou des forces de l’ordre et de dégradations de biens », a estimé le juge des référés. Notamment car à la différence des rassemblements des 19, 22 et 24 octobre 2023, celui-ci est « déambulatoire, et non statique », passant par « les quartiers du Marais et du Sentier où est implantée une communauté juive importante et sont installés notamment des lieux cultuels et culturels juifs », a-t-il relevé dans son communiqué. Il considère par ailleurs que la sécurité publique ne pourrait être garantie, les forces de police étant « fortement mobilisées » en marge de la finale de la Coupe de monde de rugby, « drainant des milliers de supporteurs » à Paris et dans sa banlieue, selon l’ordonnance. Organisée par le collectif Urgence Palestine, cette manifestation en soutien au peuple palestinien avait été interdite jeudi par le préfet de police de Paris Laurent Nuñez, pour risque de trouble à l’ordre public. « Il s’agit d’une décision révoltante, qui entérine des risques de troubles à l’ordre public que rien n’étaye au vu du déroulement des précédentes manifestations des 19, 22 et 24 octobre », a réagi Me Vincent Brenghart, l’un des avocats des associations requérantes. Source.
CRS riot police stand near a fire during a demonstration after the government pushed a pensions reform through parliament without a vote, using the article 49.3 of the constitution, in Paris on March 28, 2023. France faces another day of strikes and protests nearly two weeks after the president bypassed parliament to pass a pensions overhaul that is sparking turmoil in the country, with unions vowing no let-up in mass protests to get the government to back down. The day of action is the tenth such mobilisation since protests started in mid-January against the law, which includes raising the retirement age from 62 to 64.
La dixième journée nationale de mobilisation contre la réforme des retraites a été marquée par des scènes de violences en marge des défilés ce mardi 28 mars 2023. De premiers heurts entre forces de l’ordre et un groupe de plusieurs centaines de personnes se sont produits vers 17 heures à Paris en tête de la manifestation contre la réforme des retraites. Certains membres de ce groupe ont pillé un commerce Leclerc et allumé un feu de poubelles. Les forces de l’ordre ont chargé pour « disloquer » « le bloc », permettre « l’intervention des pompiers » et « faciliter la progression du cortège », a indiqué la préfecture de police, qui a fait état de 22 interpellations. D’autres incidents se sont produits place de la Nation lors de la dispersion de la manifestation vers 19 heures avec des jets de pavés et bouteilles sur les forces de l’ordre qui ont tiré de nombreuses grenades lacrymogènes en retour. À 20 h 30, le calme était revenu sur la place, où il ne restait plus que quelques dizaines de manifestants. En début de soirée, la préfecture de police a fait état de 55 interpellations. Au moins cinq personnes ont été prises en charge par les secours ou des « street medics » (secouristes volontaires).
Electric scooter are set on fire avenue de l'Opera, facing the Paris Opera during a demonstration as part of a national day of strikes and protests, a week after the French government pushed a pensions reform through parliament without a vote, using the article 49.3 of the constitution, in Paris, on March 23, 2023. French unions on March 23 staged a new day of disruption against the president's pension reform after he defiantly vowed to implement the change, which includes raising the age of retirement from 62 to 64, saying he was prepared to accept unpopularity in the face of sometimes violent protests.
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D’innombrables saccages, violences et incendies ont été constatés dans toute la France ce jeudi 23 mars 2023 en marge des manifestations contre la réforme des retraites, qui ont rassemblé entre 1,08 million et 3,5 millions de contestataires, selon le ministère de l’Intérieur et la CGT. À Paris, les affrontements ont démarré dès le milieu d’après-midi, quelques heures après le début d’un rassemblement d’une centaine de milliers de personnes place de la Bastille à Paris, d’après les autorités. Malgré 2 000 contrôles effectués en amont de la manifestation, près de 1 500 éléments radicaux y étaient présents. Les casseurs ont rapidement fait sécession en tête du cortège pacifique, poussés par les forces de l’ordre qui ont souhaité les isoler. Ils ont ensuite semé dans leur sillage, de la place de la République (est de la capitale) aux Grands Boulevards (centre), saccages et dégradations. Des vitrines ont été brisées, dont notamment celle d’un restaurant McDonald’s et d’un Burger King. Des façades d’agences bancaires ont aussi été prises pour cibles, des tags ont été peints sur des commerces. Les CRS et gendarmes mobiles ont répliqué en usant de gaz lacrymogènes et en effectuant des bonds défensifs et des charges. C’est lors de ces manœuvres qu’un fonctionnaire de police a été vu en train de s’écrouler, puis évacué par ses collègues de terrain, qui l’ont traîné au sol. Les violences ont ensuite franchi un nouveau cap en fin d’après-midi, alors que le «black bloc» atteignait le lieu d’arrivée du cortège, place de l’Opéra. En chantier, l’Opéra Garnier était recouvert d’un immense échafaudage, source d’inquiétude pour les autorités, qui craignaient que les casseurs n’y montent pour le désosser. Il n’en a rien été : les affrontements ont eu lieu en contrebas, avec de nombreux tirs de mortiers d’artifice et des feux de poubelles. Un kiosque a été incendié. « Mort au roi, mort à Darmanin », pouvait-on lire sur des vitrines de magasin. Les violences se sont poursuivies dans la soirée, d’abord dans les petites rues du quartier du 9e arrondissement. Des feux de détritus ont été allumés, et des flammes ont léché des immeubles d’habitation. Les manifestants se sont ensuite déplacés devant la gare Saint-Lazare, où ils ont érigé un barrage auquel ils ont mis le feu, en travers de la route. Source.
A pile of garbage bags have been piling up since waste collectors went on strike against the French government's proposed pensions reform, in front of the Eiffel tower in Paris on March 17, 2023. France faces another day of strikes on march 17, 2023, over highly contested pension reforms which President appears on the verge of pushing through despite months of protests. As the legislation enters the final stretch in parliament, trade unions are set to make another attempt to pressure the government and lawmakers into rejecting the proposed hike in the retirement age to 64.
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C’est un niveau symbolique qui vient d’être franchi ce vendredi 17 mars 2023. La barre des 10 000 tonnes de déchets non ramassés dans les rues de Paris a été atteinte à la mi-journée, selon une estimation de la mairie, au douzième jour de la grève de ses éboueurs contre la réforme des retraites. Un poids équivalent à celui de la tour Eiffel, le plus célèbre monument de la capitale. Dans une note, l’Institut Paris Région rappelle que chaque année, un Francilien produit 476 kg de déchets. Chaque jour, 16 000 tonnes de déchets ménagers sont ainsi générées en Île-de-France, soit 186 kg par seconde. Paris affiche donc actuellement un visage bien loin des clichés véhiculés par Emily in Paris. À la grande surprise des touristes présents dans la capitale. Et la situation se crispe alors que la préfecture de police envisage de réquisitionner des éboueurs pour effectuer des ramassages. Ce jeudi 16 mars, la Ville de Paris a dû transmettre à la Préfecture de Police la liste des 4 000 noms des agents de la propreté alors que jusqu’alors la maire, Anne Hidalgo, n’avait pas donné suite. La grève des éboueurs est reconduite jusqu’au lundi 20 mars. Source.
French Force Ouvriere (FO) union general secretary Frederic Souillot (C) reads a press release renewing the strike movements, during a labour unions meeting (intersyndicale) on the fourth day of nationwide rallies organised since the start of the year, against a deeply unpopular pensions overhaul, in Paris, on February 11, 2023. Frederic Souillot is surrounded by by French CGT trade union General Secretary Philippe Martinez (2L), French union Union syndicale Solidaires (SUD) co-general delegates Murielle Guilbert (1L) and Simon Duteil (4L), French Force Ouvriere (FO) union general secretary Frederic Souillot (4R), French Democratic Confederation of Labour (CFDT) union's general secretary Laurent Berger (5R), Confederal President of the CFE-CGC Francois Hommeril (3R) and French Confederation of Christian Workers (CFTC) union president Cyril Chabanier (2R), France National Union of Autonomous Trade Unions (Union nationale des Syndicats Autonomes - Unsa) Laurent Escure.
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À l’aune d’une nouvelle journée de mobilisation partout en France, l’intersyndicale appelle à « mettre la France à l’arrêt » le 7 mars prochain, à l’occasion d’une conférence de presse organisée avant le départ du cortège parisien ce samedi 11 février 2023. Le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, a de nouveau pointé du doigt une « forme de folie démocratique du gouvernement à ignorer ce qui se passe », tandis que son homologue de la CGT Philippe Martinez a souligné que « la balle (était) dans le camp » de l’exécutif. Dans leur communiqué commun, la CGT, la CFDT, Force Ouvrière, FSU ou encore l’UNEF, évoquent un « mouvement social inédit par son ampleur et donc désormais ancré dans le paysage social ». « Le gouvernement, comme les parlementaires, ne peuvent y rester sourds », poursuivent-ils. « Si malgré tout le gouvernement et les parlementaires restaient sourds à la contestation populaire, l’intersyndicale appellerait les travailleurs et les travailleuses, les jeunes et les retraité.e.s à durcir le mouvement en mettant la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain », écrivent-ils. Des propos relayés par les représentants syndicaux devant la presse, dont Frédéric Souillot, secrétaire général de Force ouvrière, en fin de matinée. Source.
Demonstrators attend a rally organised in front of the Ministry of Health building by the group "Medecins Pour Demain" (Doctors for Tomorrow) and the CSMF (Confederation of French Doctors' Unions) as private practitioners ask for a rise in consultation prices in Paris on December 1, 2022. Thousands of private doctors and biologists across the country close their cabinets on December 1 and 2, 2022, notably to ask for higher prices of consultations.
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Des milliers de médecins et de biologistes libéraux ont fermé leurs cabinets et leurs laboratoires jeudi 1er et vendredi 2 décembre 2022, les uns pour protester contre le manque de reconnaissance et réclamer des hausses de tarifs, les autres pour s’élever contre la ponction portée, par le biais du budget de la « Sécu », à leurs bénéfices. Tous les syndicats de médecins libéraux, en pleine négociation conventionnelle avec l’Assurance-maladie, soutiennent le mouvement, avec des nuances dans leur positionnement ; une première depuis 2015. Avec, pour revendication principale, le doublement du montant de la consultation – de 25 euros à 50 euros –, le jeune collectif Médecins pour demain, fort de 15 000 membres sur Facebook, a donné l’impulsion. Jeudi soir, on évoquait dans ses rangs plus de 10 000 cabinets fermés – pour 110 000 praticiens libéraux. À Paris, ils se sont donné rendez-vous devant le ministère de la Santé.
Protesters march from Nation towards Place de la Bastille during a rally against soaring living costs and climate inaction called by French left-wing coalition NUPES (New People's Ecologic and Social Union) in Paris on October 16, 2022.
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Des milliers de personnes ont défilé le dimanche 16 octobre 2022 après-midi à Paris, pour une « marche contre la vie chère et l’inaction climatique » organisée par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), avec le renfort d’associations et de certaines fédérations syndicales, espérant contribuer à l’ébullition sociale de l’automne. Ils étaient 140 000 manifestants selon les organisateurs, 30 000 selon les forces de l’ordre. Après des semaines de discussions, les principaux syndicats (CGT, FO, FSU…) avaient décidé de ne pas se joindre à la marche politique, par volonté d’indépendance et en raison de liens compliqués avec LFI depuis plusieurs années. Seules certaines fédérations comme la CGT-Commerce et la CGT-Energie Ile-de-France étaient de la partie.
France's former President Nicolas Sarkozy delivers a speech during the "France facing Antisemitism and Islamism" evening organized by the representative council of the Jewish Institutions of France (CRIF) at the Bataclan concert hall in Paris, on March 21, 2022.
Dix ans après les attentats de Mohamed Merah qui ont fait sept morts, dont des enfants juifs, à Toulouse et Montauban, le le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (Crif) organisait une soirée au Bataclan le 21 mars 2022 en présence des deux anciens présidents de la République, Nicolas Sarkozy et François Hollande, pour débattre de « La France face à l’antisémitisme et à l’islamisme ».
La mythique salle parisienne de concerts et spectacles du Bataclan a été la cible de l’attaque la plus sanglante lors des attentats du 13 novembre à Paris: 90 personnes sont mortes lors de l’assaut de trois kamikazes djihadistes de l’État islamique, sur un bilan total de 130 tués lors de ces attentats.
This picture taken on January 19, 2021 shows the production and Research & Development, platform in the biotechnology facility of the French pharmaceutical industry company Sanofi in Vitry-sur-Seine, a Paris suburb. Sanofi, France’s biggest pharmaceutical company and a world leader in vaccine development, announced it plans 1,000 job cuts across France over three years.Sanofi has come under criticism for its slow COVID-19 vaccine rollout. Sanofi and British partner GlaxoSmithKline said last month that their potential vaccine won’t be ready until late 2021 because they need to improve the shot’s effectiveness in older people.
Prise de vue: Mardi 19 janvier 2021, à 11 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 0-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 145 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Extrait : 117 mots. Sanofi a annoncé aux syndicats que 400 postes dévolus à la recherche pharmaceutique allaient bientôt disparaître. Ce chiffre choque les syndicats par son ampleur tandis que les équipes étaient appelées à débrayer sur la question des salaires le mardi 19 janvier 2021, toutes branches confondues. Arrivé aux commandes en septembre 2019, Paul Hudson, le nouveau patron avait prévenu qu’il allait falloir recentrer le portefeuille, autrement dit revoir les priorités chez Sanofi. L’été dernier, Sanofi a lancé des investissements à hauteur de 610 millions d’euros dans la région lyonnaise « pour faire de la France son pôle d’excellence mondial dans la recherche et la production de vaccins », répond effectivement une cadre proche de la direction. Source
A protester wears a hat reading the slogan “I’m sick” on December 14, 2020 in Paris during a demonstration of hotel and restaurant owners as well as tourism professionals to demand their businesses to reopen amidst the Covid-19 pandemic, caused by the novel coronavirus.
Prise de vue: Lundi 14 décembre 2020, à 12 h 52. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 281 mots. Ce lundi 14 décembre 2020, les gérants de restaurants, cafés, brasseries, traiteurs, hôtels, discothèques mais aussi établissements de nuit, bowlings et thalassos, venus de toute la France, ont manifesté à Paris pour réclamer la réouverture « le plus rapidement possible » de leurs établissements. Ce rassemblement, initié par l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie ainsi que le Groupement national des indépendants , a débuté vers 13 heures, sur l’esplanade des Invalides. L’Organisation du personnel de la restauration en événementiel a également décidé de se joindre à l’appel de l’Umih et du GNI. Un peu plus loin sur l’esplanade des Invalides, les représentants des syndicats se sont exprimés tour à tour devant une foule de manifestants. « Aujourd’hui nous sommes réunis et nous parlons au nom de 300.000 entreprises et de 2 millions d’emplois », a déclaré Roland Heguy, président confédéral de l’Umih. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, conditionne la réouverture de ces établissements, le 20 janvier prochain, à l’amélioration de la situation épidémique. C’est justement cette incertitude qui alimente la colère de l’Umih et du GNI. « Nous serons les derniers commerces à pouvoir rouvrir alors que la date de réouverture le 20 janvier 2021 n’est même pas acquise ». L’Umih a tenté de contester devant le Conseil d’État le décret du 29 octobre imposant la fermeture des bars et restaurants dans le cadre du reconfinement. « Il est absolument essentiel que le gouvernement s’engage à des modalités de réouverture en concertation avec nos organisations. Nous incarnons l’Art de vivre à la française et nous refusons de disparaître ! », s’alarment l’Umih et le GNI. Source (ℹ)Sur lefigaro.fr Venus de toute la France, les professionnels du tourisme, qui comprennent aussi gérants de bowlings et de thalassos, réclament la réouverture « le plus rapidement possible » de leurs établissements.
Persons in a wheelchair demonstrate for a greater inclusion of people with disabilies in front of the Departemental Center for Disabled Persons (Maison départementale des personnes handicapées MDPH) in Nanterre, in the inner suburbs of Paris, on February 11, 2020, the day when a National Conference on Disability (CNH) is held at the Élysée Palace,chaired by the French president Emmanuel Macron.
Prise de vue: Mardi 11 février 2020, à 14 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: oui
Résumé : 297 mots. Comme dans plus de 45 villes en France, des parents d’enfants handicapés et des adultes handicapés ont manifesté ce mardi 11 février 2020 devant la Maison départementale des personnes handicapées de Nanterre, « pour la défense des droits des personnes en situation de handicap, tous handicaps et tous âges confondus » expliquaient-ils dans un communiqué. Des rassemblements organisés à l’occasion des quinze ans de la Loi Handicap de 2005 mais aussi de la Conférence nationale du handicap, qui se déroulait au même moment au Palais de l’Elysée, à Paris, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Votée sous Jacques Chirac, la loi « pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées » avait été un des axes majeurs de son second quinquennat, érigée au rang de grande cause nationale. Comme un clin d’œil, sa fille Claude Chirac était d’ailleurs présente et à pris la parole « pour rappeler dans quel contexte cette loi à vu le jour », faisait-on savoir. « Chaque jour des enfants ne peuvent accéder à une école, des travailleurs doivent quitter leur entreprise, car les logiciels utilisés ne sont pas adaptés, des personnes ne peuvent aller où elles veulent en raison de multiples obstacles », a dénoncé un collectif de 47 associations, dans une tribune parue dans le JDD. Dès la prochaine rentrée, un module de formation des enseignants sur la prise en charge des élèves en situation de handicap sera mis en place. « Il (Emmanuel Macron) est toujours contrarié de constater que des parents n’arrivent pas à régler ces problèmes d’inclusion de leurs enfants », explique un collaborateur. En 2017 déjà, le président avait fait de l’inclusion des personnes handicapées « une des priorités du quinquennat », avec l’ambition affichée de simplifier les démarches administratives dénoncées comme étant « trop complexes ». Source.
French Minister of Public Action and Accounts Gerald Darmanin (C) presents the 2019 results of the National plan to mobilise customs against the trafficking of tobacco and cigarettes at the Paris regional customs service on February 04, 2020, in front of cartons of illegal cigarettes.
Prise de vue: Mardi 4 février 2020, à 9 h 32. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 135mm f/2L USM; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200 sec, f/2, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 207 mots. La douane française a saisi 360,3 tonnes de tabac et de cigarettes de contrebande en 2019, des chiffres record en hausse de 49 % dévoilés ce mardi 4 février 2020 par le ministère de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin. En 2019, 360,3 tonnes de tabac et de cigarettes de contrebande ont été saisies, ce qui représente 162 millions d’euros en valeur et l’équivalent de 18 millions de paquets de cigarettes issus des circuits clandestins. 45 % d’entre elles portent sur les cigarettes, le reste représentant toute autre forme de tabac. Parmi les saisies majeures l’an dernier, figurait notamment celle du 26 février 2019 dans le port de Calais, où 9,6 tonnes de cigarettes avaient été découvertes dans un camion immatriculé en Pologne. Les missions consacrées l’année dernière par les douanes à la lutte contre les trafics de tabac et cigarettes sont également en hausse, de 24 % soit 110.916 au total. « Ces excellents chiffres montrent que la lutte contre la contrebande de tabac est devenue la priorité des douanes », souligne Bercy, un vœu formulé par le gouvernement en 2018. Cette année-là avait déjà été marquée par des chiffres en hausse en termes de saisies et volume. Source.
For several days, the effects of the garbage strike have been visible in the streets of Paris, as can be seen in these pictures taken on February 2, 2020, and in some cities of the suburbs, especially in the east of the île-de-France region. The truck garages of the city of Paris are regularly blocked by support, often outside the cleanliness sector, allowing to prevent the first pickup of the garbage and to slow down the entire circuit for the day. As part of the strike, the waste incinerators are almost all at stop or operate very slowly. A few blocks have taken place. According to the CGT union (General Confederation of Labour), the streets of Paris are covered with more than 1000 tons of waste and the numbers are likely to increase very quickly.
Prise de vue: Dimanche 2 février 2020, à 16 h 01. Appareil: Leica Camera AG M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ASPH; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -0.332. Flash: non
Résumé : 270 mots. Le ramassage des poubelles est perturbé dans « quelques arrondissements parisiens et quelques villes du Grand Paris », après l’arrêt depuis huit jours des trois incinérateurs d’Ile-de-France à l’appel de la CGT Energie, opposée au projet de réforme des retraites, a indiqué vendredi 31 février 2020 le Syctom, qui gère les déchets de 6 millions de Franciliens. La CGT Energie a voté jeudi dernier l’arrêt des 3 unités d’incinérations de Saint-Ouen, Isséane-Issy-Les-Moulineaux et Ivry-sur-Seine, qui traitent 6.000 tonnes par jour. Six des sept fours sont éteints et seul un des fours de Saint-Ouen fonctionne au ralenti. Le syndicat a aussi mis en place un filtrage des bennes entrantes à Saint-Ouen et un arrêt de la gestion des fosses à Isséane et Ivry-sur-Seine. La réquisition devrait permettre de gérer les contenus des bennes et de les rediriger vers des centres d’enfouissement. Les fours restent à l’arrêt au moins jusqu’à ce lundi. Même si la grève n’était pas reconduite, il faut environ deux jours pour redémarrer les fours. La CGT Energie ne compte pas s’opposer à la réquisition « pour ne pas mettre en difficulté les salariés réquisitionnés », selon Julien Lambert, membre du bureau de la Fédération Mines et Energie de la CGT. Le Syctom estime à 700.000 euros par jour, soit « déjà 5 millions d’euros » le coût de la grève depuis une semaine et souligne l’impact environnemental, puisque les déchets ne sont plus brûlés et valorisés et doivent être enfouis, soit « la pire solution en terme d’environnement ». Source.
French police clash with firefighters protesting against French government's plan to overhaul the country's retirement system in Paris, on January 28, 2020.
Prise de vue: Mardi 28 janvier 2020, à 14 h 38. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 193 mots. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déploré ce mercredi 29 janvier 2020 l’attitude « très agressive » de certains pompiers lors de leur manifestation de la veille à Paris. Le haut fonctionnaire a salué dans un communiqué le « professionnalisme » des policiers et gendarmes mobilisés mardi 28 janvier « malgré les violences dont ils ont fait l’objet ». La manifestation a rassemblé 3.900 soldats du feu, selon la préfecture. Elle a été émaillée de heurts, notamment après l’arrivée du cortège place de la Nation. La Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, qui chapeaute la profession, a également condamné l’attitude de ces manifestants. « Utiliser la violence pour se faire entendre est totalement contraire aux valeurs qui unissent les sapeurs-pompiers de France », a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Ces heurts étaient, selon elle, « d’autant plus injustifiés » qu’une rencontre avait lieu au même moment entre l’intersyndicale de la profession et le ministère de l’Intérieur. Ce dernier y a annoncé des mesures, en matière de salaires et retraites notamment, qui ont conduit les syndicats à mettre fin à leur mouvement de protestation entamé l’été dernier. Source.