Onéreux !
Tu sais que t’es plus dans le coût quand…
— Tu ne remarques pas que les prix sont en Euros…
— Et que tu te dis : « même en Francs, c’est pas donné… »
Réclame dans « Fémina »
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Onéreux !
Tu sais que t’es plus dans le coût quand…
— Tu ne remarques pas que les prix sont en Euros…
— Et que tu te dis : « même en Francs, c’est pas donné… »
Réclame dans « Fémina »
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Le Designer fou gagne en notoriété
On cause de lui dans le poste et il se pare maintenant du titre de « Néotechnologue ».
Que vous soyez fan inconditionnel ou victime perpétuelle du Designer Fou, écoutez au moins les 13 premières minutes de cette émission, Vous vous sentirez moins seuls !
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1re épreuve : Philosophie
Entraîné par l’actualité, Le Mot du Jour vous propose lui aussi matière à réflexion.
« Je ne résiste pas au plaisir de lire la note dont Rousseau accompagne ses observations sur l’influence du climat sur le comportement. Il est inconcevable, écrit-il, à quel point l’homme est naturellement paresseux. On dirait qu’il ne vit que pour dormir, végéter, rester immobile. À peine peut-il se résoudre à se donner les mouvements nécessaires pour s’empêcher de mourir de faim. Rien ne maintient tant les sauvages dans l’amour de leur état que cette délicieuse indolence. Les passions qui rendent l’homme inquiet, prévoyant, actif ne naissent que dans la société. Ne rien faire est la première et plus forte passion de l’homme, après celle de se conserver. Si l’on se regardait bien, l’on verrait que même parmi nous c’est pour parvenir au repos que chacun travaille. C’est encore la paresse qui nous rend laborieux… »
Ce sujet a été emprunté à Philippe Meyer
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Fête des Pères
Une souris pour cadeau, pour la fête des pères !
L’idée n’est pas banale, voire un peu cavalière…
On me suppose encore le reflexe exercé
Pour dompter les ardeurs d’une jeune énervée !
Elle glisse sur le tapis, et sitôt qu’on la frôle
Saute d’un coin à l’autre, et je perds tout contrôle !
Pour la calmer il faut avoir la main experte,
D’un index soyeux titiller sa molette,
Si l’on sait, du majeur montrer la fermeté
Elle dévoile sans pudeur mille propriétés :
Choisir l’accès rapide, insérer plein de choses.
À ce jeu mon grand doigt va risquer l’ankylose !
Le soir, quand je la quitte et la laisse en repos
Il faut encore une fois la mettre sur le dos
Et la gratifier d’une caresse habile
Pour la passer sur off et préserver sa pile.
Mais déjà ça va mieux. Elle ne m’échappe plus.
Elle et moi, bons amis, libres de toute attache
On va faire plein de trucs connus et inconnus…
…Sans que j’aille toutefois me tuer à la tâche !
Merci !
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À la manière de la « Messe au Pendu » de Brassens
À première lecture j’ai cru à un inespéré recul de l’obscurantisme… Et puis… Ils bénissent bien les armes, les bateaux, les motos, les animaux… Pourquoi pas les zomos ?
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Vu à la télé
(pas à « 30 millions d’amis », hier à « C à vous »)
Une femme-de-garenne venant exposer ses « grandes joies et petits tracas » à avoir fait 12 petits… et déclarant n’avoir peut-être pas dit son dernier mot…
Eh ! Les Amis de la Nature !
Va falloir élargir votre banderole !
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Une pépite
Un éclat fugitif capté sur une radio ce matin. Un titre sur les imbroglios de l’arbitrage Crédit Lyonnais / Bernard Tapie :
« Qui a truqué le match ? »
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À la rame
Sans doute un effet de mon incorrigible mauvais esprit mais à chaque flash d’info radiophonique d’aujourd’hui je crois entendre friser l’œil des journalistes quand ils nous annoncent complaisamment que le Ministre de l’Intérieur s’est rendu sur les lieux des inondations de l’Aube accompagné de la Ministre de l’environnement Delphine… Batho…
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Prière de rue
— Aucun commentaire n’est nécessaire à un dessin de Cabu —
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Carambolage
Une radio mal réglée, deux stations se chevauchent et c’est ainsi que ce matin j’apprends que « …enquête… on a trouvé des traces de cheval… dans le gel de silicone… procès géant… »
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Assurance chômage
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Nostalgie
Un rideau rouge a réveillé de bien lointains souvenirs…
Souvenez-vous, les gones, de nos impatiences d’enfants ! Notre émotion à voir s’agiter des ombres derrière ce mystérieux rideau… Nos espoirs quand la mise en place des acteurs le faisait trembloter.
Ces « ah ! » qui soulevaient la salle lorsque la rampe s’allumait. Quelle attente délicieuse ! Et puis, en apothéose, l’ovation qui accueillait enfin nos idoles !
Ah, comme ils savaient jouer de notre puérile crédulité !
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C’était hier
Il neige… Un épais manteau blanc recouvre la France. On compte des centaines de naufragés de la route, rescapés de l’enfer blanc. Les avions sont cloués au sol. Les trottoirs de nos villes se transforment en véritables patinoires. Les passants chutent lourdement sur le sol.
Et pourtant Philippe Bouvard n’attribue pas cette calamité au gouvernement. Pas étonnant qu’il neige ! Puisqu’aujourd’hui il vient exercer sa verve sur un de mes territoires de chasse favoris, à savoir la traque aux clichés journalistiques et autres cuistreries, c’est avec grand plaisir que je lui fais les honneurs du Mot du Jour.
Tout en lui signalant une probable coquille au niveau du « flocon qui importe peu pourvu qu’on ait les chaînes… »
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« Mâtin, quel journal !* »
Hier 13 h 15 – Élection papale oblige, un sujet sur la vie au Vatican.
Alors que le Père Grégoire s’essouffle a tirer sur sa corde, une incrustation dans l’image :
« Comme tous les jours à l’aube, on sonne les mâtines »
Quel sulfureux péché vaut-il pareil châtiment à ces délurées ?
* un clin d’œil aux fidèles de Pilote
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On a (presque) gagné !
J’avais les deux mains prises : je beurrais mes biscottes. J’ai pas pu changer de radio et j’ai donc subi ce matin le « Journal du Sport » en intégral… Instructif… Je sais maintenant qu’un Olympico est une rencontre de football OL/OM. Que ça se passera ce soir à Gerland.
Je sais même que le souvenir du dernier match contre le PSG pourrait troubler les Marseillais… On m’a parlé d’un Zlatan.
Je connais les états d’âme d’un Chavanel juste avant l’arrivée du Paris-Nice à bicyclette…
Mais…
Pas un mot, on ne m’a rien dit de ce match de foot France/Brésil (rien que ça !) où l’Équipe de France a obtenu hier soir le nul, 1 partout à l’arrachée, malgré un but contre son camp…
Eh, oh ! naïf du Mot du Jour !
On n’est plus le 8 mars !
Ce n’était que l’Équipe de France féminine !
Instructif, je vous dis…
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