Pour envisager l’après COP 21
L’ile nue
Kaneto Shindō-1960
vues | Partager sur : |
Pour envisager l’après COP 21
L’ile nue
Kaneto Shindō-1960
vues | Partager sur : |
Pour un peu d’apaisement entre deux effervescences électorales
The Alamo
John Wayne – 1960
vues | Partager sur : |
Pour installer une ambiance
« soirée électorale »
Il était une fois dans l'Ouest
Sergio Leone - 1969. Musique : Ennio Morricone
vues | Partager sur : |
Pour la sonorité aigrelette et la poursuite dans les égouts…
troisième homme
Carol Reed – 1949
Scénario Graham Greene
Musique : Anton Karas
Bonus pour les cinéphiles :
vues | Partager sur : |
Pour un dimanche à la campagne (électorale)
Branquignol
Cette vidéo, corrigée ici, n'est pas au bon format sur YouTube (elle est anamorphosée).
Robert Dhéry - 1949. Musique Johnny Sabrou & orchestre Gérard Calvi.
vues | Partager sur : |
Pour accompagner la révolution dominicale (et pour Edith Piaf)
Si Versailles m'était conté
Sacha Guitry - 1954
vues | Partager sur : |
Cuisine bourgeoise
Le film « Cézanne et moi » qui, à mon sens, vaut le double déplacement tant il est chargé de références fait la part belle aux mœurs du XIXe siècle. La scène décrivant un repas chez Émile Zola, devenu très à l'aise, m'a incité à aller rechercher la version originale du menu de ce dîner.
Végans et Weight Watchers s'abstenir !
Pour faire bonne mesure, Danièle Thompson, la réalisatrice rajoute quelques ris de veau…
vues | Partager sur : |
Ne voulant pas être en reste, et pour participer à la vague de Petit Prince qui va déferler sur nos écrans,
Le Mot du jour fait son cinéma
Un film
Avec Jean Rochefort.
Sur un scénario original d’Antoine de Saint-Exupéry
Adaptation par
Les boloss des Belles Lettres
LA LITTERATURE POUR TOUS LES WALOUF
PAR @VALTUDINAIRE ET @MICHEL_PIMPANT
C’est un beau gosse, aviateur. qui se crashe dans le désert torride du Sahara. Il essaie de faire son MacGyver avec trois allumettes et un rouleau de PQ pour réparer sa carlingue mais ça marche pas du tout. Alors il tape la pose comme un bolos et le lendemain un p’tit keum lui dit tout de go “dessine moi un mouton, gros !”
Tagada Jones, il dit OK ! Il tatanne des moutons façon Botticelli ou Picasso, mais le p’tit homme il dit “Ah ! C’est d’la merde ça mon frère ! T’es aussi doué que ma teub”. Alors l’aviateur il est tellement zéèsse (?) qu’il lui photoshope une caisse en bois et il dit “Tu sais quoi, p’tite merde, ton mouton il est là dedans ! Alors viens pas m’faire chier !” Mais le minot, en fait, on découvre que c’est le P’tit Prince des savoureux gâteaux au chocolat qui te donnent la force et l’énergie pour aller à la piscine. Le P’tit Prince, qui se fait chier sur son astéroïde, faut s’mettre à sa place. Il ramone des volcans. C’est une métaphore de la teuch. Et il coupe des baobabs à longueur de journées C’est une métaphore de la teub. Il se fait tellement chier qu’il s’arrache pour tester la sérénité et l’amitié fraternelle avec des inconnus style y en a un il allume les réverbères. C’est un gars de la DDE. Il en branle pas une. Il croise même un renard qui se la joue gros philosoque bouddhique. Bat les couilles la vraisemblance ! Après son biopic, le P’tit Prince et l’aviateur se font un feu de camp en mode de Brokeback moutain. Et le môme y dit “Ah dis, Top Gun, c’est pas que j’m'emmerde, mais j’dois arroser mes bégonias. Garde la pêche ! Kiss !” Et il s’évanouit dans l’hyper-espace.
C’est l’ingénuité des temps modernes.
C’est silos (?), ça pousse dans mon stylo
C’est la faucon millénium qui alunit sur wikipedia
vues | Partager sur : |
La ruminait-il depuis longtemps ?
Déjà aux anges d'avoir enfin pu nous montrer des chasse-neige ouvrant la route à des boulangers ambulants, Jean-Pierre Pernaut ne masquait pas sa joie, hier, en nous annonçant la sortie imminente du film…
« La vache » avec Djamel… Debouzze !
vues | Partager sur : |
Rappel à l'ordre (moral
L'avocat d’extrême droiture (sic), responsable de l'association « Promouvoir » s'est attaqué, cette fois-ci, à « La vie d'Adèle ». Avec succès.
Maître, combien de boîtes de Kleenex ont-elles été nécessaires à l'étude détaillée de ce dossier ?
N'empêche, après Xavier Dor et ses prières de rue, après Christine Boutin, après Frigide Barjot et la Manif pour tous, et avant le résultat des Régionales, notre ciel prend une nuance de gris bien sombre…
« 50 shades of Grey ». Eh, Maître, n'oubliez pas celui-là… avec d'autres boîtes de Kleenex !
vues | Partager sur : |
Trop forts, les communicants du Racing Club Toulonnais
Mademoiselle Deneuve lance la Pilou-Pilou sur la Croisette
Parce que TOULON ROUGE ! Parce que TOULON NOIR ! Parce que TOULON ROUGE ET NOIR !
Cet autre article peut aussi vous intéresser :
► 01.06.2014. Le Mot du Jour (Parce que !) (ℹ)Sur jfsaby.com : cliquez
vues | Partager sur : |
Rubrique cinématographique
J’ai retranscrit cette chronique parce que je me suis dit qu’il y a des actifs qui n’ont pas que ça à faire que d’écouter la radio à 9 h ½ du matin !
Christophe Conte.
Billet doux à Nicole Garcia. 4 février 2014
Nicole Garcia, j’ai regardé votre film, dimanche. Et on ne peut pas dire que c’était un beau dimanche. Pas à cause du film, je vous rassure, mais la raison était ailleurs. Elle était dans la rue, la raison qui me fait détester de plus en plus les dimanches, depuis que le jour de repos républicain est cornaqué par les adeptes illuminés du Jour du Seigneur qu’ils transforment de plus en plus en jour de procession et de prosélytisme, hors des églises prévues à cet effet.
J’ai entendu notamment ces gens qui désormais battent le pavé comme de vulgaires soixante-huitards nous dire avec le plus grand sérieux que le gouvernement socialo-satanique avait pour projet d’enseigner la pornographie à l’école. Je me disais d’ailleurs, qu’à l’instar de la pornographie, il y avait dans ces déambulations dominicales des versions « soft », comme dimanche dernier, et des versions plus « hard », comme l’autre jour, avec les colériques de tout poil qui n’hésitaient plus à mêler bénitier, croix celtiques, quenelles et battes de base-ball.
Dans tous les cas, un seul mot d’ordre : il faut protéger la famille, nous dit-on. La sacro-sainte famille avec un papa, une maman, des enfants, un labrador et un crucifix. Un modèle ancestral qui, à les entendre, ne connaîtrait aucune faille, nulle perversion et qu’il conviendrait donc d’exhiber comme étalon unique face aux déviances forcément contre-nature des lobbies sodomites et des féministes pro-IVG.
J’en reviens à vous, chère Nicole Garcia car, en regardant d’un peu plus près votre filmographie, comme actrice et comme réalisatrice, j’ai remarqué que ce modèle de famille idéale y prenait un sacré coup dans l’aile de la monospace.
Si on démarre par la fin, avec « Un beau dimanche », on voit quoi ? Un petit garçon, né d’un papa et d’une maman qui est ballotté de l’un à l’autre, souvent mal aimé, et puis un garçon plus grand qui a fui, quant à lui, par nécessité sanitaire, le modèle de la grande famille bourgeoise qui est un prototype de celles qui défilaient dimanche dernier.
Dans presque tous les films que vous avez réalisés, on peut dire que ce n’est pas vraiment la fête chez la famille Ricorée ! Le plus parlant étant votre adaptation de « L’adversaire », le roman d’Emmanuel Carrère, lui-même inspiré de l’affaire Roman, un autre bel exemple de folie destructrice dissimulée derrière la façade d’une famille modèle.
En tant qu’actrice, c’est pas mieux car, même si vous avez tourné dans « Le Gendarme se marie », vous avez aussi beaucoup donné dans les femmes trompées et les femmes trompeuses, du « Cavaleur » à « Péril en la demeure ». Vous étiez également dans cette fabuleuse expérience qu’est « Mon oncle d’Amérique » d’Alain Resnais où les travaux autour des différentes formes de cerveaux montraient combien l’être humain échappe à ces stéréotypes que certains cherchent, aujourd’hui, à ériger en matrice pour tous.
Ne voulant pas croiser ces gens qui prétendent nous imposer leurs idéaux moyenâgeux, j’ai donc préféré rester chez moi et j’en ai profité pour lire l’interview de Louise Bourgoin dans Version Fémina. La belle Louise qui vous considère comme un modèle. Elle dit qu’elle voudrait grandir comme vous et, d’une certaine manière, qu’elle voudrait être vous quand elle sera grande.
Et bien je vais vous faire un aveu, Nicole Garcia : moi aussi. Oui, c’est un peu tard, mais j’aurais bien aimé être vous, Nicole Garcia, ne serait-ce que pour avoir un enfant avec Jean Rochefort. Mais ça, ça plairait pas beaucoup aux manifestants qui rendent nos dimanches beaucoup moins beaux qu’autrefois.
vues | Partager sur : |
« No parking, no business ! »
Proverbe américain
On construit un cinéma à Six-Fours !
« C’est un complexe de 2700 m²… Trois salles d’une contenance totale de 400 places… Billetterie, boutique, brasserie, bureaux, locaux techniques, vestiaire… Côté aire de stationnement, quarante places sont prévues… ».
Extrait de la presse locale
vues | Partager sur : |
Pas d’ « Oscar », pas même de « César »
Ce film n’a pas été tourné en Nord-Pas de Calais. Pas même dans un camping. Il n’est pas en Noir & Blanc, ni muet. Il n’y a pas de course-poursuite en taxi. Pas même un coup de feu. Aucun commerçant juif, menteur ou pas. Aucune scène de cul érotique, pas même un strip-tease de boîte de nuit. On n’a pas vu le metteur en scène matraqué dans les media. Il ne passe à la télé qu’en seconde partie de soirée.
C’est sur la 2 et c’est demain à 22 h 50. Vous aurez été prévenus !
► La Vie moderne, de Raymond Depardon. À voir mardi 20 mars 2012 à 22 h 50 sur France 2
vues | Partager sur : |
Ordre moral ?
D’un côté, une affiche de cinéma qui, si elle ne donne pas dans la délicatesse, ne peut cependant pas être taxée de pornographique, expose deux adultes apparemment consentants dont on peut penser qu’ils se livrent à des ébats d’un érotisme débridé.
D’autre part, une annonce publicitaire radiophonique commanditée par EDF/GDF pour le service Dolce Vita qui met en scène un couple dont l’homme présente obséquieusement son épouse à… sa chaudière murale !
Je me demande laquelle de ces publicité est la plus « avilissante pour l’image de la femme », comme ils disent ?
vues | Partager sur : |