8 mars – Évolution
Note de l'administrateur. Pour ceux qui ne saisiraient pas l’opportunité de ce dessin, rappelons qu'aujourd'hui, c'est la Journée internationale des droits des femmes.
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8 mars – Évolution
Note de l'administrateur. Pour ceux qui ne saisiraient pas l’opportunité de ce dessin, rappelons qu'aujourd'hui, c'est la Journée internationale des droits des femmes.
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Les garnements
– M’sieur, M’sieur ! Jean-François y fait plein de trafic de Bons Points avec ses copains qui sont même pas de la classe !
– C’est même pas vrai M’sieur. Vous avez qu’à regarder dans ma boîte à Bons Points quand vous voulez !
Mais j’lai bien planquée dans une cachette secrète et je la rendrai que si vous confisquez toutes les autres ! Na !
– M’sieur, M’sieur !
– Quoi encore Saturnin ?
– Y’a Patrick, et ben il enregistre en douce tout ce que vous dites.
– Même pas vrai, M’sieur. Saturnin il arrête pas de dire des choses sur tout le monde et c’est rien que des mensonges !
– Et ces cassettes, Patrick, elles sont bien à toi, non ?
– …Ben… tout le monde le fait, M’sieur …
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23 février : la St-Lazare
Fête des cheminots et des banlieusards
Des passagers sur les quais de la gare Saint-Lazare à Paris, le 10 juin 2008 / Martin Bureau AFP Archives
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Une page de publicité
Exceptionnellement, le Mot du Jour offre une page de publicité gratuite à
pour la diffusion ce soir à 20 h 50 de TOMBOY
L’œuvre de Céline Sciamma n’est qu’une cible parmi d’autres. Toutes les productions destinées à la jeunesse prônant des valeurs de tolérance et de respect de la différence sur les questions de genre, qu’il s’agisse de films, livres ou autres, sont désormais potentiellement dans le collimateur de Civitas, du Printemps français, des mouvances autour de Farida Belghoul qui appellent les parents à des jours de retrait de l’école ou encore de Jean-François Copé.
Pour le moment, le film passera bien sûr sur Arte et il n’est pas prévu qu’il soit retiré du programme « École et Cinéma ».
Quentin GIRARD - Libération
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Trompe-la-mort
Quand hier soir, au Journal de 20 heures, ils ont annoncé qu’il était entré à l’Hôpital Américain de Neuilly, compte tenu de l’âge du paroissien et du ton du présentateur, j’ai tout de suite imaginé l’effervescence dans les rédactions pour peaufiner sa « nécro » !
Au Journal de 23 heures, il est apparu bien debout, son sourire électoral aux lèvres, à la sortie de l’hôpital où avait été diagnostiqué un (premier ?) accès de goutte !
Vieille canaille !
Ah, comme je le vois bien guetter le départ du Train des Pièces jaunes pour organiser une soirée « Tête de veau ravigote » avec quelques viveurs de son acabit pendant que Maman bat la campagne !
Tête de veau sauce ravigote
Ingrédients : 500 g de tête de veau prête à cuire, 1 carotte, 1 oignon, farine. Pour la sauce : 1 oignon haché, 1 càccuillère à café de persil émincé, 1 càc de cerfeuil émincé, 1 càc d'estragon haché, 1 càc de câpres, sel, poivre au moulin, 1 dldécilitre de vinaigre, 3 dl d'huile, 1 œuf dur.
Coupez la tête de veau en tranches ou en morceaux et mettez-les dans une casserole d'eau froide dans laquelle vous aurez mélangé 2 cuillères à soupe de farine, sel, poivre au moulin, l'oignon, la carotte coupée en rondelle et laissez mijoter 1h30.
Préparez une sauce ravigote : mélangez dans un saladier tous les ingrédients sauf l'œuf et ajoutez ensuite l'œuf dur haché. Autrefois on ajoutait une partie de la cervelle broyée à la fourchette.
Sortez les tranches de tête de veau du bouillon de cuisson au fur et à mesure du besoin (en restant dans le bouillon elle restera parfaitement blanche).
Servez très chaud accompagné de la sauce ravigote froide ou légèrement tiédie. En plat de résistance ajoutez quelques pommes de terre cuites à l'eau ou à la vapeur.
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15 février – Avec des fleurs
Jean-Pierre Pernaut, toujours à l’aise à l’ombre des marronniers, nous a fait hier un « 13 h » très St Valentin.
Était-ce un reproche destiné à son correspondant local, mais il a déploré que, dans l’inévitable sujet chez un fleuriste, aucun des clients n’ait accepté d’être filmé.
– Eh ! Jean-Pierre, il ne te vient pas à l’idée que d’aucuns n’aimeraient pas être reconnus par leurs légitimes ?
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Fleur de pare-brise
Un peu de réconfort pour nos amis de Rhône-Alpes, Bretagne, Centre… Manière de leur prouver qu’ils n’ont plus le monopole de saisons humides…
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Rubrique cinématographique
J’ai retranscrit cette chronique parce que je me suis dit qu’il y a des actifs qui n’ont pas que ça à faire que d’écouter la radio à 9 h ½ du matin !
Christophe Conte.
Billet doux à Nicole Garcia. 4 février 2014
Nicole Garcia, j’ai regardé votre film, dimanche. Et on ne peut pas dire que c’était un beau dimanche. Pas à cause du film, je vous rassure, mais la raison était ailleurs. Elle était dans la rue, la raison qui me fait détester de plus en plus les dimanches, depuis que le jour de repos républicain est cornaqué par les adeptes illuminés du Jour du Seigneur qu’ils transforment de plus en plus en jour de procession et de prosélytisme, hors des églises prévues à cet effet.
J’ai entendu notamment ces gens qui désormais battent le pavé comme de vulgaires soixante-huitards nous dire avec le plus grand sérieux que le gouvernement socialo-satanique avait pour projet d’enseigner la pornographie à l’école. Je me disais d’ailleurs, qu’à l’instar de la pornographie, il y avait dans ces déambulations dominicales des versions « soft », comme dimanche dernier, et des versions plus « hard », comme l’autre jour, avec les colériques de tout poil qui n’hésitaient plus à mêler bénitier, croix celtiques, quenelles et battes de base-ball.
Dans tous les cas, un seul mot d’ordre : il faut protéger la famille, nous dit-on. La sacro-sainte famille avec un papa, une maman, des enfants, un labrador et un crucifix. Un modèle ancestral qui, à les entendre, ne connaîtrait aucune faille, nulle perversion et qu’il conviendrait donc d’exhiber comme étalon unique face aux déviances forcément contre-nature des lobbies sodomites et des féministes pro-IVG.
J’en reviens à vous, chère Nicole Garcia car, en regardant d’un peu plus près votre filmographie, comme actrice et comme réalisatrice, j’ai remarqué que ce modèle de famille idéale y prenait un sacré coup dans l’aile de la monospace.
Si on démarre par la fin, avec « Un beau dimanche », on voit quoi ? Un petit garçon, né d’un papa et d’une maman qui est ballotté de l’un à l’autre, souvent mal aimé, et puis un garçon plus grand qui a fui, quant à lui, par nécessité sanitaire, le modèle de la grande famille bourgeoise qui est un prototype de celles qui défilaient dimanche dernier.
Dans presque tous les films que vous avez réalisés, on peut dire que ce n’est pas vraiment la fête chez la famille Ricorée ! Le plus parlant étant votre adaptation de « L’adversaire », le roman d’Emmanuel Carrère, lui-même inspiré de l’affaire Roman, un autre bel exemple de folie destructrice dissimulée derrière la façade d’une famille modèle.
En tant qu’actrice, c’est pas mieux car, même si vous avez tourné dans « Le Gendarme se marie », vous avez aussi beaucoup donné dans les femmes trompées et les femmes trompeuses, du « Cavaleur » à « Péril en la demeure ». Vous étiez également dans cette fabuleuse expérience qu’est « Mon oncle d’Amérique » d’Alain Resnais où les travaux autour des différentes formes de cerveaux montraient combien l’être humain échappe à ces stéréotypes que certains cherchent, aujourd’hui, à ériger en matrice pour tous.
Ne voulant pas croiser ces gens qui prétendent nous imposer leurs idéaux moyenâgeux, j’ai donc préféré rester chez moi et j’en ai profité pour lire l’interview de Louise Bourgoin dans Version Fémina. La belle Louise qui vous considère comme un modèle. Elle dit qu’elle voudrait grandir comme vous et, d’une certaine manière, qu’elle voudrait être vous quand elle sera grande.
Et bien je vais vous faire un aveu, Nicole Garcia : moi aussi. Oui, c’est un peu tard, mais j’aurais bien aimé être vous, Nicole Garcia, ne serait-ce que pour avoir un enfant avec Jean Rochefort. Mais ça, ça plairait pas beaucoup aux manifestants qui rendent nos dimanches beaucoup moins beaux qu’autrefois.
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Le Mot du Jour a toujours mauvais genre
Merci Rachel !
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Le Mot du Jour a mauvais genre
Traduit par Le Mot du Jour
Thank you Marie !
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30 janvier – Triste
Il n’y aura pas de deuxième épisode
Charlie Hebdo – 27/01/14
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Expéditif
J’entends, je lis, de-ci delà, à gauche, à droite refleurir le mot Répudiation.
Ces moralistes ne font pas grand cas d’un exemple biblique tout aussi expéditif que l’évènement qu’ils vilipendent.
« Abraham se leva de bon matin ; il prit du pain et une outre d’eau qu’il donna à Agar et plaça sur son épaule ; il lui remit aussi l’enfant, et la renvoya ».
Et Agar, avec son enfant adultérin, n’eut même pas droit à La Lanterne ! « Elle s’en alla et s’égara dans le désert… ».
Gen. 21.14
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Royal
Dix-huit mots, pas un de plus, dans le communiqué du Président
pour couper court aux supputations :
C’est le Sire « Concision »
« Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler »
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Un boulanger qui sait glisser la fève !
De la même manière que l’on dit « À consommer avec modération » Baptiste précise : « Pour quatre personnes, en couple ou entre amis proches ».
Ouest-France 18/19 janvier 2014
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Ne vois-tu rien venir ?
Sans être devenu habituel, le phénomène n’est plus rarissime…
Var-Matin – 19 janvier 2014
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