Avant de croquer la pomme…
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Avant de croquer la pomme…
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Ils m’insupportent ! (4)
– Quand ils s’escriment à insérer une ultime liasse de prospectus dans la fente d’une boîte aux lettres déjà archi bourrée
et qu’ils ne sont pas assesseurs à un Bureau de vote de Primaires !
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Ils m’insupportent ! (3)
Pire, j’ai honte pour eux, quand ils perdent tout savoir-vivre à obstruer le passage, à imposer leurs caméras tout contre les visages, à interpeller grossièrement pour une photo et que cette indécence n’est pas réservée à des starlettes en mal de notoriété, à des sportifs en manque de reconnaissance ou à des politiques en racolage électoral.
Et ces comportements dégradants pour poser LA question qui fera leur réputation :
– On vous a retenue sept ans prisonnière. Êtes-vous contente d’être libérée ?
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…mais pas au Karcher…
Un peu de changement ! Allons ce matin écouter RTL.
Une interview de la passionaria de banlieue qui a interpellé le Président dans les rues d’Echirolles :
RTL : – D’après vous, l’éducation doit-elle se donner à l’école ou à la maison ?
– Entre les deux !
Et oui ! La grande école de la rue… Mais il parait qu’elle aussi manque d’éducateurs…
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Chronique culturelle
Je voudrais vous faire profiter de ma découverte d’une émission instructive et délassante qui participe à rehausser le niveau de notre télévision. Elle nous offre trois quarts d’heure de détente au milieu d’une journée pas toujours rose. Aujourd’hui (21 janvier), son sujet principal qui, à lui seul, occupait près de la moitié de sa durée nous a emmenés visiter des villes et des campagnes transfigurées par la neige. Des images originales d’automobilistes « en perdition », de saleuses bientôt en « rupture de stock », de boulangers-Saint-bernard et de l’inévitable facteur Samaritain à bicyclette.
Puis, par une habile transition, nous nous sommes trouvés transportés aux sports d’hiver avec, en prime, l’interview d’un Papy surfeur ! Suivait la séquence coquine, avec un reportage sur un défilé de lingerie ou une caméra lascive s’efforçait de tourner sous les meilleurs angles.
Puis, pour joindre l’utile à l’agréable, nous avons eu en images la description détaillée de la recette du pot-au-feu. Attention ! Pas de pommes de terre dans le « vrai » pot-au-feu !
Je ne me souviens plus par quel sortilège ce pot-au-feu nous a conduit sur le bateau de l’île de Groix pour une visite instructive de son bistrot et de sa pisciculture d’ormeaux.
Et c’est peut-être pour ne pas mettre les régions en compétition de notoriété que le reportage suivant était consacré à l’art de l’originale poterie de Vallauris.
Autant de sujets aussi éclectiques que passionnants tournés avec un visible souci d’esthétique, tant dans l’image que dans le commentaire. Je n’apporterais qu’un minime bémol à mon dithyrambe en signalant une bien choquante séquence de violence en Algérie, heureusement limitée à deux petites minutes. De la même manière les scènes guerrières, « incontournables » de nos jours, ont été délicatement expédiées en cinq minutes d’images tournées au Mali.
Ça se passe sur TF1, c’est à treize heures, et ça commence par la météo.
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Les Quotidiennes de Var-Matin
Décès d’un sans logis :
« Il vivait dans la rue depuis au moins plusieurs années »
(Tout au plus ?)
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Au bout de l’infini
Une journée qui commence par un moment de pure émotion poétique prodigué par France Inter à l’heure où je beurre mes biscottes. Je vous livre les paroles du refrain de ce bouleversant moment de la chanson française :
« L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel jusqu’à ce qu’il s’arrête. »
On trouve là toutes les subtilités de la versification classique dans la lancinante répétition du premier vers, puis, en point d’orgue, la puissance de l’inattendu oxymore final !
Un joyau !
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sans (plus de) paroles
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Ils m’insupportent ! (2)
– Quand ils ne sont ni soudeurs, ni skippers, ni guides de haute montagne et qu’ils me parlent en conservant leurs lunettes noires sur le nez.
Le port de l’uniforme étant une circonstance aggravante.
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Japonisant
On a chanté le sommet du Fouji-Yama. On a changé notre sandwich jambon-beurre pour des soushis. On a tremblé pour Foukoushima. Et on remplit des grilles de Soudokou. Mais alors ? Pourquoi inscrit-on nos petits écoliers au judo ?
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La manifestation
Ils sont opposés au mariage entre homosexuels et, pour un symbole fort, ils ont organisé une manif qui con-verge !
Désolé, aujourd’hui pas d’illustration…
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Les uns et les autres
« Des ouvriers du secteur privé allument un feu d’allégresse à l’annonce du redéploiement vers Pôle Emploi de plusieurs centaines de leurs postes ».
► À Florange, les salariés d'ArcelorMittal… (RFI)
Troisième journée consécutive…
« En raison d’un appel à la grève lancé par plusieurs organisations syndicales portant sur des modifications du tableau de service entrainant le redéploiement en interne de quatre techniciens, France Inter n’est pas en mesure de diffuser l’intégralité de ses programmes… ».
Je trouve bien disproportionné que des agents que je présume bénéficier d’un statut plutôt privilégié dans le monde du travail interrompent complètement et si longuement un service public pour un motif qui me parait bien futile. Leur « lutte », face au drame que vivent ceux dont on boucle les usines s’apparente a un caprice d’enfant gâté.
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Une série « à suivre »
« Ils m’insupportent ! »
– Quand ils s’aspergent copieusement de Champagne comme des garnements feraient une bataille au tuyau d’arrosage, sans aucun respect pour la mémoire de Dom Pérignon non plus que du patient labeur des cavistes. Ce n’est pas que du gaspillage : c’est un sacrilège.
L'usage « hors boisson » du champagne, entendu par là du champagne non consommé, utilisé par aspersion s'accompagne d'une connotation pas très raffinée, voire choquante. N'a-t-on pas exagéré pour tomber dans un piège contradictoire avec les innombrables soins pris pour élaborer un produit de luxe, de prestige.
Encyclopédie Vinissime
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Inondations-éclair
Et si l’on s’attaquait aux véritables sources du problème ? À une époque, on a incriminé le remembrement, et la disparition des haies et des fossés… Puis on s’est questionné sur les effets du goudronnage des moindres chemins vicinaux… Il a été aussi question de l’effet sur le ruissellement des hectares de parking des zones commerciales. Il est même arrivé qu’on mette en doute la pertinence du tracé des zones inondables. Pire ! On a poussé le mauvais esprit jusqu’à parler de permis de construire de complaisance !
Foin de ces prétextes fallacieux ! Le véritable coupable est enfin découvert !
(Var-Matin - 5 janvier 2013)
Il est plus que temps de mobiliser toutes les sociétés de chasse et de mettre en œuvre une politique volontariste d’éradication du castor !
Sales bêtes !
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C’était au XXe siècle
San-Antonio anticipait-il les turpitudes de Koh-Lanta ?
Les hommes :
« Reprenez-les, mon Dieu, reprenez-les tous, y sont défectueux. Ne correspondent pas à votre maquette. On vous a empaillé sur la marchandise, Seigneur ! (…) C’est des vomissures, mon Dieu chéri, des cancrelats, blattes horrifiantes, endémiques. Ils ont l’abjection chevillée à l’âme. Et pas d’âme, le plus drôle.
Mais qu’est-ce qui vous a pris, Seigneur ? Quand on a le pot d’être Dieu, on n’invente pas les hommes ! »
San-Antonio in « Mon culte sur la commode » – 1979
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