Complètement largué
NON ! PAS AUX PILOTES, LE BANDEAU !
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Résumé de la saison 1 – La Genèse –
Salut à toi, O lecteur fidèle et opiniâtre ! Avant de nous lancer, demain, dans la saison 2 de la Bible, juste un rapide survol des siècles précédents pour te replonger dans le contexte.
Le Livre commençait par un dieu désœuvré qui se bricole une espèce de Play Mobil géant. Il se trouve que ses sujets s’animent et en font un peu à leur tête. Les toutes premières figures, Adam et Ève, chassées du Jardin d’Eden pour insubordination se montrent néanmoins prolifiques. Leur nombreuse descendance ayant de qui tenir, ces nouveaux sujets se révèlent si dissipés que Dieu décide de jeter à l’eau tout le fourbi, n’épargnant que Noé et ses fils, pour recommencer une nouvelle partie.
Noé et ses descendants par Sem installent le jeu au pays de Canaan. Abram, le descendant qui nous intéresse, prend la bougeotte et part en reconnaissance du côté de l’Égypte avec son neveu Lot. L’aventure tourne court. Abram remonte planter son campement du côté de Mamré, à l’ombre des chênes. Son neveu Lot, lui, s’installe du côté de Sodome. Après la vitrification de ce lupanar géant, ce n’est qu’en forniquant avec leur père que les filles de Lot se bidouilleront une descendance par Moab et Ben Ammi. De son côté Abram reste en si bon termes avec Dieu qu’il lui est promis une descendance aussi pléthorique que riche et puissante ! En fait, Sara, sa légitime, lui donne Isaac et une dévouée servante lui fabrique Ismaël.
Nouvelle tentative de déménagement vers l’Égypte. Une étape à Guérar… et Abram (qu’on appellera désormais Abraham) pose ses valises à Beer Sheba. Sara (qu’on appellera désormais Sarah) accouche d’Isaac puis s’endort dans la paix du Seigneur. Abraham, qui veut assurer sa descendance, marie son fils Isaac à Rebecca, une petite nièce. Ils ont des jumeaux : Esaü et Jacob.
Le décès d’Isaac est prétexte à zizanie grave entre les jumeaux. Jacob s’en va trouver refuge chez Laban, un oncle maternel. Il tombe amoureux de sa cousine Rachel. Il finit par l’épouser. Avec sa sœur Léa en prime ! Avec l’aide de leurs dames de compagnie, ces deux drôlesses ne lui prodigueront pas moins de treize gosses !
Mais il a le mal du pays, Jacob. Il négocie à la crapuleuse son départ avec Tonton Laban et taille la route. Quelques péripéties sur le chemin : Rachel donne naissance à Benjamin et meurt en couches et il arrive une sévère embrouille entre Joseph et ses frères Ruben et Siméon. Ils manquent lui faire la peau mais se contentent de le vendre à une caravane de passage en route vers l’Égypte.
Ces rufians le revendent à Putiphar. Une sorte de ministre de l’Intérieur chez Pharaon. Joseph sait se faire apprécier (un peu trop même de Madame Putiphar) et de plus, en usant des confidences du Très-Haut, il se découvre des talents de Madame Soleil. Il bonnit la bath aventure à Pharaon qui le nomme quelque chose comme grand administrateur du royaume… Rien que ça !
Une famine providentielle amène les fils de Jacob à venir crier famine auprès de Pharaon. C’est Joseph qui les reçoit. Il les retapisse d’entrée et la fratrie finit par se recomposer juste à temps pour recevoir les bénédictions prémonitoires du père Jacob alias Israël.
Voilà donc où nous en étions à la fin de la saison 1 « La Genèse ». Nous retrouverons demain Joseph et toutes sa (ses) tribu(s) installés au pays de Gossen.
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Avec des si…
Ainsi donc on pourrait avoir plein de TGV !
Puisque la SNCF chiffre à 300 millions d’euros, soit 10 TGV, le montant de la fraude annuelle dans ses trains. (France Inter – 8 h 00)
Faut-il qu’ils soient experts, les comptables de la Compagnie Nationale pour chiffrer cette « non rentrée » par définition non quantifiable !
A moins que chaque fraudeur qui grille le dur ne remplisse bien consciencieusement un formulaire indiquant son parcours, sa fréquence, les jours de la semaine, et surtout le tarif applicable dans ce train, ce jour, à cette heure et son âge, sa catégorie socioprofessionnelle,… enfin tout ce qu’il faut pour calculer le prix du billet qu’il n’a pas acheté ! Sur ce modèle, serais-je en droit d’affirmer que j’ai perdu 10 millions pour n’avoir pas acheté de billet de Loto ?
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Toujours plus haut !
Elle nous est apparue un matin, inopinément, telle une dame blanche dans une grotte du Béarn. Une belle grue, altière par-dessus les toits, faisait depuis peu partie de notre paysage ; ses fanions nous renseignaient sur les secteurs du vent, son crochet au repos et sa cabine vide nous annonçaient la tempête… Et puis ce matin elle a perdu de sa superbe. Une de ses congénère, plus grande, s’affaire à lui grignoter le lest, à boulotter sa flèche, tronçon par tronçon… Bref, à la mettre à bas. Mais s’il faut une grue cannibale pour démonter une grue, faudra-t-il une grue encore plus haute pour démonter la grue cannibale ?
Ça risque de mal se terminer, cette histoire !
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Pour faire un Pot-au-feu de montagne
Montez par le téléphérique à plus de 2000 mètres suffisamment de bois pour maintenir une barrique d’eau livrée par hélicoptère à bonne température. Disposez dans votre cuviau quelques morceaux de viande riche que vous aurez au préalable imbibée d’alcool (Un bon champagne fera l’affaire).
Laissez mijoter en jetant de temps en temps dans le bouillon quelques toasts à la viande des Grisons. À ramollissement optimum, essorez bien vos plus beaux morceaux à l’aide de votre terminal à cartes bancaires. Dégustez !
Ci-dessous, cette recette en images.
Pendant que vous y êtes, jetez également on coup d’œil sur cet autre extrait.
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Un vrai gentleman
Le Mot du Jour l’avait déjà distingué pour avoir élégamment demandé à Adriana Karembeu si elle n’avait pas honte de peser 64 kilos pour 1,26 de jambes…
Voilà que Nagui récidive avec ce passage d’antenne plein de tact et de poésie, sur France Inter hier à 11 h :
« Et nous passons directement de la Foire au boudin à Hélène Darrose » !
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Le pauvre homme !
Un « capitaine d’industrie » (ℹ)Olivier Brandicourt. Sur Wikipedia : cliquez
Olivier Brandicourt, né le 13 février 1956 à Casablanca, est un médecin et un dirigeant d'entreprises français. Il fut DG de Sanofi du 2 avril 2015 au 31 août 2019. vient de se voir attribuer un cadeau de bienvenue (en français « golden hello ») de QUATRE MILLIONS d’euros.
– Le pauvre homme !
Je laisse à d’autres économistes distingués le soin de déterminer la provenance de cette manne.
Mais 4 000 000 d’euros, c’est quoi ? Souhaitons à ce génie du management de vivre encore 100 ans à dater de ce jour. Car je ne doute pas que les recherches conduites sous son extraordinaire compétence permettront d’étonnants progrès de la science pharmaceutique.
Cent ans disais-je. Admettons que ce grand humaniste abandonne dorénavant son salaire à des œuvres de charité et qu’il ne vive que sur sa prime (dont, pour la commodité du calcul, nous négligerons la rente). Son revenu annuel, ridicule par rapport à celui de ses pairs, ne se monterait qu’à 40 000 euros.
Dans les 4 000 euros par mois, finalement, on n’est pas si loin du salaire médian en France…
– Le pauvre homme !
Avec la complicité de Geluck et de Molière
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Mieux vaut tard que jamais
J’entends en ce moment même un très distingué ancien Premier ministre de la France de 2005 et 2012, annoncer qu’il est en train de travailler à un Programme de redressement national.
Il serait temps de s’y mettre, François !
France Inter – 08:45
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L’occasion était trop belle !
Le choix d’une police de caractère moins tentatrice aurait épargné cette mauvaise blague à la mémoire de
Célestin Forno
ancien édile toulonnais.
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N’oubliez pas les fleurs !
Ça risque hélas de ne pas être si simple…
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Ils n’oseront pas !
Les Jeux Olympiques à Paris ? Bof, pourquoi pas, parait qu’au final ça rapporte (je n’aurai pas l’outrecuidance de demander à qui). Mais pour avoir les Jeux, il faut d’abord poser sa candidature (candidater) puis séduire les membres du Comité de sélection. Et ce n’est pas la partie la plus facile : voyages, invitations, dîners fins au Carlton (de Lille ou d’ailleurs), cadeaux… Le grand jeu, quoi !
Tout ça, ça doit coûter bonbon ! En ces temps où nos politiques de tout bord font assaut de transparence, je suggère que, pour informer le populo on publie le montant de ces dépenses incontournables en les chiffrant non pas en millions d’euros (qui nous restent bien virtuels), mais en très tangible nombre de repas aux Restaurants du Cœur ?
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Des nouvelles de l’autre planète
Mais quel peut donc bien être, non pas l’utilité, mais l’argument de vente de cette montre à la cinématique élaborée ?
On pourra sans doute me renseigner si je passe par un point de vente à Abu Dhabi, Courchevel, Dubaï, Gstaad, St Barthélémy, St Moritz… ou même rue St Honoré…
Source : Paris-Match
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Nouvelles du monde
Un mercredi 11 qui nous mène inéluctablement à un vendredi 13. Un 13 février qui débouche immanquablement sur un 14 février (ℹ)C'est la Saint-Valentin..
C’est la surchauffe à la rédaction du « 13H » de TF1 !
Va falloir interviouver les patrons des bureaux de tabac à leur comptoir « Française des Jeux ». (Ça vous est déjà arrivé de vendre des billets gagnants ?). Et faire le trottoir avec son micro pour recueillir l’expression des rêves les plus fous. (– Vous feriez quoi si vous gagniez les mille millions ? – Ah… heu… ben… je changerais de bagnole et puis… je partirais en croisière !)
Et va falloir remettre ça le lendemain ! La tournée des fleuristes (et la fleur que vous vendez le plus, c’est quoi ?). [le chrysanthème, eh, banane !]. Va falloir arpenter les marchés. On commencera par le marché aux fleurs de Paris avant de s’égailler dans la campagne. (C’est indiscret de vous demander à qui vous destinez ce bouquet ?) [Ben non : à mon percepteur !]
Et c’est pas tout ! Vous avez vu les prévisions de la météo du ouiquende ? Pluie et neige à tous les étages. Un samedi de tous les dangers avec le chassé croisé des vacanciers.
Va falloir être en place dans tous les gymnases de bord d’autoroute pour filmer les rescapés de l’enfer blanc et se geler sans bonnet sous la neige pour un direct avec les naufragés de la route.
Eh, Jean-Pierre, tu crois qu’ils vont s’en sortir ?
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Les chaises indiscrètes
comme les bijoux !
Si les murs ont des oreilles, c’est peut-être pour écouter les chaises…
Elles racontent plein d’histoires… de cul forcément.
Pensionnaires de nos terrasses, elles subissent plus que nous, la pluie battante qui les étrille, le vent « qui au mieux nous fait valser » nous raconte la chaise musicale ; au pire, les souffle comme les deux premières maisons des trois petits cochons, et subissent parfois d’autres vents bien pire encore…
Mais aussi le soleil qui vaut de l’or.
On leur fait confiance, aux chaises ! On leur tourne le dos, on leur donne notre cul. Faudrait pas trop qu’elles se mettent à table non plus, que, la déontologie, elles s’assoient dessus.
Emprunté au site Masala Zone (ℹ)Sur facebook : cliquez
Masala Zone, l'un des principaux restaurants indiens de Londres, sert une délicieuse cuisine indienne authentique dans un cadre élégant.
Avec l’aimable autorisation de Marcel
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