Je te cite (et ne m’en veux pas si je te tutoie…) :
« Quand je parle de guerre, je parle sérieusement : il y a une guerre des intérêts, pour l'argent, pour les ressources de la nature, il y a des guerres pour la domination des peuples.
Jusque là, Papa je te suis. Remets-en une louche sur la surpopulation et je vote pour toi à la prochaine Présidentielle mondiale ! Promis ! Mais pourquoi faut-il que tu en rajoutes ? :
Certains pourraient penser que je suis en train de parler de guerre de religions. Non ! Toutes les religions veulent la paix. C'est ce que nous voulons. La guerre ce sont les autres qui la veulent… Compris ?! »
Journée faste pour les spécialistes de la larme de circonstance : deux trépassés célèbres à faire reluire le même jour !
Ce matin, pendant que ces tombereaux de fleurs dégoulinaient de la radio dans mon bol de café, cette chanson de Jacques Brel s'est installée dans mes oreilles…
This is the funniest thing I've read on Facebook all month. From a friend in Austin who I never would have called a “potty mouth” until reading this…
A bird just pooped IN MY MOUTH. I was riding my scooter on South Congress, with my helmet on but my visor up. And a bird pooped somewhere above me, and it hit me on, around, and in my mouth. MY FREAKING MOUTH. It’s not like I was riding around with my mouth agape. I didn’t even think it was open at all. My lips must’ve been just slightly parted, which honestly, makes the bird’s aim all the more impressive.
As I pulled over, I was quite confused for perhaps 3 or 4 seconds before the terrifying reality of what had just happened set in. Instinctively, I reached up with my hand, thinking maybe some big bug or something hit me in the face ? But the white, warm, slightly chunky goo on my fingers told a different story. “Oh my God,” I thought, “A bird just pooped in my mouth”. I could taste it. I mean, of course I could. That bird pooped right in my mouth. It tasted kind of sweet. Like yogurt. Sweet bird-shit-flavored yogurt. Panicking, with white gooey bird feces covering one hand and my mouth (my freaking MOUTH, y'all), I ran for the nearest restaurant door, desperately seeking a bathroom. It was locked. Locked out with a mouth full of shit. If that’s not Monday morning, I don’t know what is. Across the street, I saw a little café and ran to it. I walked in as calmly as one can walk with bird poop in your mouth, and quickly made my way to the bathroom, where I proceeded to give my mouth a whore’s bath. I swished my mouth out with soapy water, gagging the whole time, and scrubbed my tongue with a paper towel. I felt these measures were sufficient until I was able to get home to properly brush my teeth. And now, sitting here with my mouth once again shit-free, I’m full of questions. If a bird shitting on you is good luck, what does it mean when a bird shits in your mouth ? Should I buy a lotto ticket today ? Was this bird some kind of shit sharp shooter, or just really lucky ? What are the mathematical odds of this happening ? Am I going to have to include this when filling out medical history forms ? Be careful out there, friends. Sometimes life is a scooter ride on a beautiful day. And sometimes, on that beautiful day, a bird poops right in your mouth.
Appel au peuple :
Si, parmi le lectorat, quelque anglophone professionnel(le) pouvait me fournir une traduction qui serait moins littérale que celle que je ferais, je pourrais la publier à l'attention des abonnés au Word-of-the-Day qui, ne parlant pas anglais, pourraient me taxer de cuistrerie. MERCI !
Vidéo du 4 novembre 2013 ajoutée par le webmaster. Une fillette donne une autre version. Il semble que l'histoire de la fiente d'oiseau reçue dans la bouche soit un vieux fantasme des Américains. Au point de devenir une expression synonyme d'avoir de la chance. Peut ainsi se dire de joueurs qui gagnent un match contre toute attente. Un oiseau leur a “chié” dans la bouche. Tout se tient !
J'ai dix ans… Je sais que c'est pas vrai, Mais j'ai dix ans… …et je crois tout ce qu'on me raconte…
Comme quoi le sport c'est formateur. Que le sport collectif inculque l'esprit d'équipe. Que c'est une école pour la vie en société. Que le fair-play est une grande qualité morale. Qu'on y apprend à se plier aux règles communes. Et tout ça, tout ça… Que je sache – ou peut-être ai-je mal compris ? – le football se joue au pied et le tirage de maillot n'est pas inclus dans la règle du jeu. Je pense même – ou bien l'on m'aura mal expliqué ? – que ce genre de geste plutôt agressif est sanctionné par l'arbitre. Aux décisions toujours indiscutables, l'arbitre.
Et pourtant… Que de commentaires ! Tout a été dit sur les incidents vestimentaires qu'ont dû endurer les joueurs suisses au cours du match contre notre équipe nationale… On a montré du doigt la marque Puma. On sait tout sur la composition des fibres du fameux maillot. Sur l'origine du défaut « qui ne se reproduira plus »… Mais pas un traitre mot sur la cause réelle de ces déchirures de maillots. Aucune remise en question de la sportivité de grands champions forcément exemplaires ou d'un arbitrage laxiste ignorant du règlement…
Mais j'ai dix ans, Ça fait plus de soixante ans Que j'ai dix ans… …et je n'ai toujours rien compris au football, à ses règles, à ses valeurs !
À tous ceux qui seraient partis sur la planète Mars depuis le week-end dernier… À tous ceux qui en sont restés au Minitel et au téléphone à cadran… À tous ceux qui snobent le « 13 h » de J.-P P. et le « C à vous » de la 5,
Le Mot du Jour est heureux d’offrir cette séance de rattrapage pour les familiariser avec l’hymne officiel de l’Euro de football.
Footophiles, que cette vidéo vous serve de tutoriel pour savoir préserver votre indispensable sphère de tranquillité ! Footophobes, profitez de quelques conseils avisés qui transformeront en un mois de délices cette période difficile !
Que la fête commence et qu’elle soit belle à tous et à toutes !
Le Mot du Jour vous souhaite de bien beaux moments de chaude convivialité, avec de ces tirs au but d’anthologie qui déclenchent des hurlements et font battre le cœur !
Une bien réaliste évocation du photographe de l’AFP qui a su remettre en conditions les représentants des états belligérants en les immergeant jusqu’aux genoux dans un fleuve de sang.
Qu'est-il donc arrivé à la star de la funky-soul-discosphère ? Au JT de 20 h, on ignorait tout des causes de la mort de Prince. On savait seulement que c'est la police qui avait annoncé la mauvaise nouvelle… Ce matin, aux infos de 7 h, on parlait de mauvaise grippe. Vers 8 h, on parlait du bout des lèvres d'un possible abus de produits opiacés.
Il suffit d'un peu de bon sens pour déduire de ces trois informations que S.M. Prince est décédée d'un rhume des foins. Une trop forte concentration de pollen de pavot aura déclenché un phénomène allergique à l'origine d'un rhume qui aura tourné en grippe fatale.
Inquiets de ne pas le voir prendre son Vichy-fraise au bistrot du coin comme il en avait l'habitude, des voisins auront alerté la police. Une bien triste et bien banale histoire…
Mais vous allez voir que, dans les heures qui viennent, des pisse-copies mal intentionnés vont venir répandre d'ignobles rumeurs sur la mémoire de la star…
Les incrédules peuvent aller vérifier sur le site ► lesquen2017.com
Heureuse France, où l'on peut impunément épandre de telles idées… mais où on peut aussi en rigoler publiquement sur les ondes nationales. Pourvu que ça dure !
Il faut le croire : la belle saison va arriver. Et avec elle les « selfies » de pieds lascifs se prélassant sur la plage. Avec effets de vagues ou de coucher de soleil en arrière-plan. C'est devenu la carte postale de vacances.2 qu'on envoie d'un coup de pouce. J'ai reçu aussi, cet hiver, des pieds chaussés de chaussures de ski sur de très poétiques fonds de cimes enneigées. Mais c'est la première fois que je reçois un foot-selfie qui célèbre avec lyrisme le printemps au jardin. Ce bel oignon (de tulipe) et ces arpions sensuels délicatement fleuris méritent bien un hommage en chanson… avec une petite leçon d'anglais en prime !
C'était hier la Journée de la francophonie. À cette occasion l'immémorial « Jeu des 1000 euros » de France Inter avait choisi d'aller faire rutiler la culture françouaise au-delà de nos frontières. C'est au Portugal que Nicolas Stoufflet est allé chercher ses deux candidats. Et pas des moindres : un étudiant franco-portugais en langues et relations internationales et un étudiant franco-français bénéficiant du régime Erasmus pour préparer un double diplôme en Architecture et Ingénierie de l'Urbanisme à la Faculté de l'Université de Porto.
Pour apprécier le sel de ce Mot du Jour, il est utile de préciser que nos deux intellectuels ont eu la franchise d'expliquer qu'ils avaient choisi Porto pour l'attrait de la ville, l'Université et la vie à Porto. « Une vie notamment de rêve tant sur les sorties que aussi la culture. Vraiment une ville très complète » (sic).
Venons-en aux fameuses questions du Jeu.
– Qui a composé ce recueil de 21 courtes pièces pour piano de 1827 à 1846 intitulé « Les Nocturnes » ? Et les secondes de s'égrener… Ding, ding, ding… – Un compositeur pour piano… romantique, disons… du 19e… Ding, ding, ding…. – Il se prénomme Frédéric… Ding, ding, ding…. – Beethoven !
Raté ! Fallait pas abuser de la chopine !
– Quel peintre a souvent représenté la chaîne de la Sainte-Victoire, une barre rocheuse à l'est d'Aix-en-Provence ? Près de 80 œuvres représentent ce paysage. Ding, ding, ding…. – Ce peintre a été chanté par France Gall… Ding, ding, ding…. – Prénommé Paul… Ding, ding, ding…
À cette question, Paul Cézanne est vainqueur par KO.
– Quel navigateur florentin a-t-il donné son nom (ou plutôt son prénom) au continent américain ? Ding, ding, ding…. – Christophe Colomb ?… Non ? – Magellan !
On voit par là que la renommée d'Etats-Uno Vespucci n'a pas atteint les universités lusitaniennes !
Quant aux sélectionneurs de France-Inter, ils pourraient, à l'avenir, favoriser le rayonnement de la culture francophone en s'abstenant de choisir des questions aussi élitistes !
On traduit : lors de l'inhumation, on s'est rendu compte que le fossoyeur avait eu le coup de pelle (ℹ)De Tracto-pelle ! un peu vigoureux et détérioré le cercueil de Madame…
Levons nos verres (de bière) à la gloire de Var-matin !