► L'article avec un diaporama de 24 photos |
Catégorie: "Actualité"
Des dizaines de milliers de personnes manifestaient le samedi 23 novembre 2019 à Paris pour dire “stop” aux violences sexistes et sexuelles et aux féminicides. La manifestation à l’appel du collectif féministe #NousToutes s’est élancée de la place de l’Opéra en direction de celle de la Nation. Plusieurs dizaines de milliers de femmes et d’hommes ont battu le pavé à Paris – 49 000 selon le cabinet Occurrence travaillant pour un collectif de médias –, mais aussi dans d’autres villes de France, pour dire “stop” aux violences sexistes et sexuelles. Dans la marée violette du cortège parisien se mêlaient anonymes, organisations et partis politiques, mais aussi de nombreuses personnalités parmi lesquelles Muriel Robin, Alexandra Lamy, Laetitia Casta, Emma De Caunes, Eva Darlan, Julie Gayet, Sandrine Bonnaire, Yaël Naïm, Najat Vallaud-Belkacem, Marilou Berry, Anne Marivin, Nadège Beausson Diagne, Daphné Bürki, Claudia Tagbo, Clémentine Autain, Romane Bohringer, Sabine Paturel…
Résumé : 417 mots. Le ministre de l’Intérieur, photographié le 18 novembre 2019 lors de la 10e convention nationale du CRIF, a annoncé sur Cnews/Europe1/LesEchos qu’il y avait eu samedi 16 novembre 2019, lors des manifestations de « gilets jaunes » 254 interpellations dont 173 à Paris dont « quelques unes symboliques ». Il a notamment annoncé une interpellation dans le cas des policiers qui pourchassés ont dû s’abriter dans une laverie. Un homme, soupçonné d’avoir participé samedi à Paris à l’attaque d’une laverie dans laquelle s’étaient réfugiés deux policiers, a été place en garde à vue, selon Christophe Castaner. « Le mouvement d’origine des gilets jaunes est l’expression d’une colère profonde qu’il nous fallait entendre et à laquelle il fallait répondre. En même temps il y a cette violence qui a rejoint le mouvement », a déploré le ministre de l’Intérieur. « Il y a d’un côté la légitime demande de justice démocratique, de justice sociale, de justice face à une fracture territoriale et en même temps on a vu très vite, dès le 24 novembre de l’année dernière la violence arriver et rythmer de façon systématique l’essentiel de ces rassemblements », a-t-il détaillé.
Pour l’anniversaire des un an du mouvement, samedi à Paris, « ce qu’on a vu c’est peu de manifestants mais des voyous, des brutes qui étaient venus pour se battre, en découdre avec les forces de l’ordre, empêcher les pompiers d’agir et de préserver quelque fois des vies », a-t-il dit. « Ce sont aussi des imbéciles, on peut être à la fois imbécile, brute et voyou », a déclaré Castaner, estimant que « ceux qui restent aujourd’hui, ce sont des gens qui n’ont comme seul moteur que la colère, la haine et la volonté d’en découdre ». Parmi les « 300 casseurs », il y avait samedi « des gens qui viennent de l’ultra gauche dont certains sont connus et aussi ces
ultras-jaunes radicalisés au fil des semaines qui portent le fer ».
« On n’a pas vu des méchants flics agresser de gentils manifestants On a vu des barbares – et je ne me trompe pas de mot et je ne mélange pas les mots quand je dis ça et je pense à Jean-Luc Mélenchon qui considère lui que les barbares sont les policiers – s’en prendre à l’espace public et obliger les policiers à intervenir », a expliqué le ministre de l’Intérieur, citant le patron de la France Insoumise. Source
Pour l’anniversaire des un an du mouvement, samedi à Paris, « ce qu’on a vu c’est peu de manifestants mais des voyous, des brutes qui étaient venus pour se battre, en découdre avec les forces de l’ordre, empêcher les pompiers d’agir et de préserver quelque fois des vies », a-t-il dit. « Ce sont aussi des imbéciles, on peut être à la fois imbécile, brute et voyou », a déclaré Castaner, estimant que « ceux qui restent aujourd’hui, ce sont des gens qui n’ont comme seul moteur que la colère, la haine et la volonté d’en découdre ». Parmi les « 300 casseurs », il y avait samedi « des gens qui viennent de l’ultra gauche dont certains sont connus et aussi ces
ultras-jaunes radicalisés au fil des semaines qui portent le fer ».
« On n’a pas vu des méchants flics agresser de gentils manifestants On a vu des barbares – et je ne me trompe pas de mot et je ne mélange pas les mots quand je dis ça et je pense à Jean-Luc Mélenchon qui considère lui que les barbares sont les policiers – s’en prendre à l’espace public et obliger les policiers à intervenir », a expliqué le ministre de l’Intérieur, citant le patron de la France Insoumise. Source
Résumé : 260 mots. Le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France organisait sa dixième convention nationale au Palais des Congrès, à Paris, le 17 novembre 2019. Son président, Francis Kalifat, est revenu sur les sujets brûlants de l’actualité dans le Talk du Figaro, à commencer par les actes de violence en forte hausse contre la communauté juive. Francis Kalifat a fait part de sa grande inquiétude. « L’antisémitisme continue à progresser dans notre pays. Il y a moins de départs, mais nous assistons à des déplacements de population Il y a une très forte progression d’actes antisémites déclarés ». Il a par ailleurs confirmé que les chiffres des actes antimusulmans et antichrétiens avaient aussi augmenté. Même s’il ne qualifie pas le Rassemblement national d’antisémite, Francis Kalifat avance qu’on peut y retrouver des « nostalgiques de Vichy ». Le président du CRIF a aussi répondu aux questions sur les tensions qui se sont fait jour lors de la Marche contre l’islamophobie. En particulier autour du port, par certains manifestants, d’une étoile jaune, acte dénoncé par de nombreuses personnalités. Francis Kalifat a dénoncé « une infamie » qui s’est déroulée « sous un silence complice » du personnel politique. Il a déploré en outre la « démonstration de la collusion qu’il peut y avoir entre l’extrême gauche et l’islamisme ». Dans son plaidoyer, Francis Kalifat a demandé « une réaction forte » et milite pour freiner ce type de manifestations qu’il juge « communautaristes ».
La convention nationale du CRIF est ouverte à « tous ceux qui veulent participer à un débat citoyen », a-t-il rappelé. Source
La convention nationale du CRIF est ouverte à « tous ceux qui veulent participer à un débat citoyen », a-t-il rappelé. Source
► L'article complet : 446 mots avec un diaporama de 52 photos |
Résumé : 248 mots. Le député de La France insoumise Alexis Corbière assure qu’il a été pris à partie en marge du « parcours déclaré » des Gilets jaunes à Bastille à Paris, samedi 16 novembre 2019, à l’occasion de « l’acte 53 » du mouvement. Dans une vidéo publiée avec son tweet, on peut voir le député très énervé reprocher aux policiers leur comportement.
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
► L'article complet : 324 mots avec un diaporama de 13 photos |
Résumé : 190 mots. Comme l’impressionnant dispositif policier le laissait présager, le premier anniversaire du mouvement des Gilets jaunes, le 16 novembre 2019, a été marqué par des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, notamment à Paris. Selon l’AFP, plusieurs manifestants ont été blessés – dont un journaliste -, et des pompiers empêchés d’intervenir. Le centre commercial d’Italie 2, sur la place d'Italie, avait fermé dès les premiers incidents. Vers 13 h, ses portes d’entrée et les vitrines d’une résidence hôtelière voisine ont été attaquées à coup de pavés par plusieurs dizaines de personnes cagoulées et vêtues de noir. « Au vu des violences et des exactions », la préfecture de police a demandé l’annulation de la manifestation qui devait s’élancer de cette place à partir de 14 h.
Plusieurs dizaines de personnes ont également brièvement bloqué la circulation sur le périphérique parisien au niveau de la Porte de Champerret. Épicentre de plusieurs samedis violents, les Champs-Élysées, cadenassés et interdits à toute manifestation, ont été épargnés. Au total, 28.000 personnes ont manifesté ce samedi dont 4.700 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur. Source
Plusieurs dizaines de personnes ont également brièvement bloqué la circulation sur le périphérique parisien au niveau de la Porte de Champerret. Épicentre de plusieurs samedis violents, les Champs-Élysées, cadenassés et interdits à toute manifestation, ont été épargnés. Au total, 28.000 personnes ont manifesté ce samedi dont 4.700 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur. Source
► L'article complet : 268 mots avec un diaporama de 19 photos |
Résumé : 244 mots. La République en marche a lancé jeudi 14 novembre 2019 une « mission laïcité », destinée à « définir la ligne politique du parti » sur la question, ont expliqué ses promoteurs, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes, Marlène Schiappa, et le député Laurent Saint-Martin.
« On est un jeune mouvement qui doit encore constituer sa doctrine », a justifié Marlène Schiappa lors d’une conférence de presse au siège de LREM. Il y a un mois, la question du port du voile chez les accompagnatrices lors de sorties scolaires a provoqué de profondes dissensions chez les marcheurs, entre tenants d’une laïcité dite « stricte », à l’image du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, et ceux d’une conception davantage « ouverte », notamment défendue par le député Aurélien Taché. « Ça n’est pas une mission sur l’islam, la radicalisation ou le communautarisme, mais bien sur la laïcité », a par ailleurs rappelé la secrétaire d’État, qui entend aborder la question « de manière philosophique, politique et juridique ». La mission, voulue par le patron du parti, Stanislas Guerini, doit rencontrer de nombreux experts et personnalités qualifiées dans les prochains mois pour une restitution de ses travaux d’ici mars, avant les élections municipales.
Dès lors, « les candidats LREM aux municipales porteront une ligne claire » sur la question, a affirmé Marlène Schiappa alors que, selon elle « il y a énormément de partis politiques qui font l’autruche et qui n’ont pas de ligne claire ». Source.
« On est un jeune mouvement qui doit encore constituer sa doctrine », a justifié Marlène Schiappa lors d’une conférence de presse au siège de LREM. Il y a un mois, la question du port du voile chez les accompagnatrices lors de sorties scolaires a provoqué de profondes dissensions chez les marcheurs, entre tenants d’une laïcité dite « stricte », à l’image du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, et ceux d’une conception davantage « ouverte », notamment défendue par le député Aurélien Taché. « Ça n’est pas une mission sur l’islam, la radicalisation ou le communautarisme, mais bien sur la laïcité », a par ailleurs rappelé la secrétaire d’État, qui entend aborder la question « de manière philosophique, politique et juridique ». La mission, voulue par le patron du parti, Stanislas Guerini, doit rencontrer de nombreux experts et personnalités qualifiées dans les prochains mois pour une restitution de ses travaux d’ici mars, avant les élections municipales.
Dès lors, « les candidats LREM aux municipales porteront une ligne claire » sur la question, a affirmé Marlène Schiappa alors que, selon elle « il y a énormément de partis politiques qui font l’autruche et qui n’ont pas de ligne claire ». Source.
► L'article complet : 313 mots avec un diaporama de 7 photos |
Résumé : 156 mots. « Soignants épuisés, patients en danger » : des milliers de médecins, d’aides-soignants, mais aussi d’infirmiers, de doyens et d’étudiants ont manifesté jeudi 14 novembre 2019 un peu partout en France, pour réclamer davantage de moyens et d’effectifs.
L’appel à une « grande manifestation », lancé il y a un mois par le groupement Inter-Hôpitaux, a fait le plein de soutiens. À commencer par le collectif Inter-Urgences, à l’origine d’un mouvement social inédit, débuté en mars à Paris et qui s’est étendu à tout le pays, avec encore 268 établissements touchés en début de semaine.
« J’ai entendu la colère et l’indignation » du personnel soignant « face à des conditions de travail parfois impossibles », a souligné M. Macron.
« Cette situation est le résultat d’années et d’années de mise sous tension qui ont fait peser sur l’hôpital l’essentiel de l’effort de maîtrise de dépenses de santé ». Source.
L’appel à une « grande manifestation », lancé il y a un mois par le groupement Inter-Hôpitaux, a fait le plein de soutiens. À commencer par le collectif Inter-Urgences, à l’origine d’un mouvement social inédit, débuté en mars à Paris et qui s’est étendu à tout le pays, avec encore 268 établissements touchés en début de semaine.
« J’ai entendu la colère et l’indignation » du personnel soignant « face à des conditions de travail parfois impossibles », a souligné M. Macron.
« Cette situation est le résultat d’années et d’années de mise sous tension qui ont fait peser sur l’hôpital l’essentiel de l’effort de maîtrise de dépenses de santé ». Source.
► L'article complet : 177 mots avec un diaporama de 41 photos |
Résumé : 159 mots Après une semaine de polémique, la marche contre l’islamophobie a rassemblé 13 500 manifestants ce dimanche 10 novembre 2019 à Paris, selon le comptage du cabinet indépendant Occurrence pour un ensemble de médias et 10 500 selon la préfecture de police de Paris. Dès 13 h, près de 2 000 personnes s’étaient rassemblées sur le parvis de la gare du Nord. Parmi elles, Olivier Besancenot, la figure du NPA, et Madjid Messaoudene, élu de gauche de Saint-Denis, l’un des initiateurs du rassemblement. Selon plusieurs journalistes présents sur les lieux, Jean-Luc Mélenchon est arrivé dans le cortège peu après 13 h 30.
Juste avant, le chef de file de La France insoumise avait appelé à ne pas « confondre quelques personnes avec la valeur de la cause qui est servie » et à ne pas « oublier l’événement fondateur » de cette manifestation, à savoir « la tentative de meurtres devant la mosquée de Bayonne » qui a fait deux blessés par balle fin octobre. Source.
Juste avant, le chef de file de La France insoumise avait appelé à ne pas « confondre quelques personnes avec la valeur de la cause qui est servie » et à ne pas « oublier l’événement fondateur » de cette manifestation, à savoir « la tentative de meurtres devant la mosquée de Bayonne » qui a fait deux blessés par balle fin octobre. Source.
► L'article complet : 222 mots avec un diaporama de 25 photos |
Résumé : 185 mots À peine partie de la Gare du Nord à Paris, la marche contre l’islamophobie a connu un accroc ce dimanche 10 novembre 2019. Une femme seins nus a fait irruption dans le cortège. « Ne bradons pas la laïcité », avait-elle écrit sur son corps.
La scène a été capturée par plusieurs caméras de téléphone. On y voit la jeune fille ôter sa chemise bleue pour révéler sa poitrine et le message qu’elle y a inscrit, levant les deux poings en l’air et déclenchant des cris autour d’elle. Un cercle s’est rapidement formé autour d’elle, certains manifestants empêchant les autres s’approcher. Sur des images partagées par un journaliste de la RTS, on peut apercevoir le service d’ordre de la marche tentant de l’exfiltrer et créant une barrière entre la militante et les manifestants.
« La tension est retombée, pas d’agressivité », écrit le journaliste Alexandre Habay, qui rapporte que selon certains, la police était attendue.
Contrairement aux apparences et à ce qui a été initialement relayé sur les réseaux sociaux, la militante n’appartient cependant pas aux Femen.
Source.
La scène a été capturée par plusieurs caméras de téléphone. On y voit la jeune fille ôter sa chemise bleue pour révéler sa poitrine et le message qu’elle y a inscrit, levant les deux poings en l’air et déclenchant des cris autour d’elle. Un cercle s’est rapidement formé autour d’elle, certains manifestants empêchant les autres s’approcher. Sur des images partagées par un journaliste de la RTS, on peut apercevoir le service d’ordre de la marche tentant de l’exfiltrer et créant une barrière entre la militante et les manifestants.
« La tension est retombée, pas d’agressivité », écrit le journaliste Alexandre Habay, qui rapporte que selon certains, la police était attendue.
Contrairement aux apparences et à ce qui a été initialement relayé sur les réseaux sociaux, la militante n’appartient cependant pas aux Femen.
Source.
► L'article complet : 256 mots avec un diaporama de 7 photos |
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national et députée RN du Pas-de-Calais, était ce samedi 9 novembre 2019 présente au salon Made in France, porte de Versailles, à Paris.
Visitant le salon, elle a notamment exprimé son avis sur la marche contre l’islamophobie organisée à Paris le 10 novembre. « Je pense que c’est une manifestation organisée par les islamistes et que tous ceux qui vont se rendre à cette manifestation seront main dans la main avec les islamistes ».
Elle a également critiqué le comportement de Jean-Luc Mélenchon qui selon elle aurait trahi ses sympathisants en ne luttant plus contre le terme d’islamophobie.
Visitant le salon, elle a notamment exprimé son avis sur la marche contre l’islamophobie organisée à Paris le 10 novembre. « Je pense que c’est une manifestation organisée par les islamistes et que tous ceux qui vont se rendre à cette manifestation seront main dans la main avec les islamistes ».
Elle a également critiqué le comportement de Jean-Luc Mélenchon qui selon elle aurait trahi ses sympathisants en ne luttant plus contre le terme d’islamophobie.
► L'article avec un diaporama de 23 photos |
Résumé : 179 mots. Vendredi 8 Novembre 2019 s’ouvrait à Paris le salon du "Made in France”, une vitrine du savoir-faire Français. “On devrait être beaucoup plus fier de notre industrie, elle est puissante et compétitive”, à soutenu à cette occasion Agnès Pannier-Runachet, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Économie et des Finances, au micro d’Europe 1, partenaire de ce salon. Interviewée, la minitre a affirmé que l’industrie française "reprend du poil de la bête”. "Depuis trois ans on recrée de l’emploi industriel et on se paye le luxe de relocaliser des productions étrangères en France.” La secrétaire d’État a évoqué l’exemple récent de la relocalisation de l’usine de moteur de camion Iveco à Bourbon-Lancy, jusqu’à présent produit en Chine.
"Nous devons aider cette industrie à se développer grâce la transformation numérique”, a-t-elle expliqué. "Nous devons mettre dans les usines des machines à fabrication additives, comme des robots, qui vont donner beaucoup plus de compétitivité à nos industries et leur permettre de gagner des parts de marché”. Source.
"Nous devons aider cette industrie à se développer grâce la transformation numérique”, a-t-elle expliqué. "Nous devons mettre dans les usines des machines à fabrication additives, comme des robots, qui vont donner beaucoup plus de compétitivité à nos industries et leur permettre de gagner des parts de marché”. Source.
► L'article complet : 315 mots avec un diaporama de 23 photos |
Résumé : 202 mots. À l’appel de la CGT, des cheminots se sont donné rendez-vous le 5 novembre 2019 après midi devant la Gare du Nord, à Paris, pour dénoncer d’incessantes réorganisations au sein de la SNCF, les suppressions d’emplois, les mobilités contraintes, l’ultra polyvalence et la précarisation.
Les syndicats CGT-cheminots, l’Unsa-ferrovière et SUD-Rail ont annoncé un mouvement de grève le 5 décembre prochain contre la réforme des retraites, qui prévoit l’instauration d’un système "universel" par points et menace le régime spécial de la SNCF. La CGT attend que la direction de la SNCF et le gouvernement "fasse des concessions importantes". Comme le report de "la suppression du statut", un "geste fort", selon Laurent Brun. "On va attendre que nos instances se réunissent les 7 et 8 novembre et décident.
Le vendredi 1er novembre, Jean-Pierre Farandou a succédé à Guillaume Pepy, en devenant le 17e président de la SNCF. "Il faut qu’il gèle les restructurations en cours, par exemple la suppression des personnels dans les gares et dans les trains, ou encore la réorganisation des établissements par activité", a déclaré Laurent Brun.
La CGT n’a pas rencontré le nouveau président de la SNCF. Source.
Les syndicats CGT-cheminots, l’Unsa-ferrovière et SUD-Rail ont annoncé un mouvement de grève le 5 décembre prochain contre la réforme des retraites, qui prévoit l’instauration d’un système "universel" par points et menace le régime spécial de la SNCF. La CGT attend que la direction de la SNCF et le gouvernement "fasse des concessions importantes". Comme le report de "la suppression du statut", un "geste fort", selon Laurent Brun. "On va attendre que nos instances se réunissent les 7 et 8 novembre et décident.
Le vendredi 1er novembre, Jean-Pierre Farandou a succédé à Guillaume Pepy, en devenant le 17e président de la SNCF. "Il faut qu’il gèle les restructurations en cours, par exemple la suppression des personnels dans les gares et dans les trains, ou encore la réorganisation des établissements par activité", a déclaré Laurent Brun.
La CGT n’a pas rencontré le nouveau président de la SNCF. Source.
► L'article complet : 286 mots avec un diaporama de 8 photos |
Résumé : 251 mots. Bernard Pivot aurait sans doute mieux fait de tourner plusieurs fois son index avant de tweeter sur Greta Thunberg, 16 ans, la fameuse militante suédoise qui mène une croisade très médiatique contre le réchauffement climatique.
Inspiré par son récent discours à l’ONU, où l’adolescente a fait la leçon aux nations qui continuent de polluer la planète, Bernard Pivot a ironisé sur le caractère bien tranché de la passionaria du climat en se rappelant avec nostalgie la réputation sympathique et avenante des jeunes Suédoises de son enfance.
« Dans ma génération, les garçons recherchaient les petites Suédoises, qui avaient la réputation d’être moins coincées que les petites Françaises. J’imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions approché une Greta Thunberg… »
Qu’a-t-il dit là ! Il n’en fallait pas plus pour réveiller les militants de tout poil, qui ont trouvé la remarque plus que déplacée vis-à-vis d’une jeune fille, autiste de surcroît. De vives réactions ont fusé de toutes parts à la fois pour dénoncer le caractère sexiste de la remarque et pour défendre bec et ongles le combat de la jeune Suédoise. « Vous parlez d’une mineure », souligne ainsi Julien Bayou, le porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. « Supprime », lui intime la militante féministe Caroline de Haas.
Et, plus rarement, dans le lot, des followers qui viennent à la rescousse du journaliste : « Soutien total à Bernard contre les parangons de la bien-pensance dictatoriale à l’égard de cette gamine tristement manipulée… ». Source.
Inspiré par son récent discours à l’ONU, où l’adolescente a fait la leçon aux nations qui continuent de polluer la planète, Bernard Pivot a ironisé sur le caractère bien tranché de la passionaria du climat en se rappelant avec nostalgie la réputation sympathique et avenante des jeunes Suédoises de son enfance.
« Dans ma génération, les garçons recherchaient les petites Suédoises, qui avaient la réputation d’être moins coincées que les petites Françaises. J’imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions approché une Greta Thunberg… »
Qu’a-t-il dit là ! Il n’en fallait pas plus pour réveiller les militants de tout poil, qui ont trouvé la remarque plus que déplacée vis-à-vis d’une jeune fille, autiste de surcroît. De vives réactions ont fusé de toutes parts à la fois pour dénoncer le caractère sexiste de la remarque et pour défendre bec et ongles le combat de la jeune Suédoise. « Vous parlez d’une mineure », souligne ainsi Julien Bayou, le porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. « Supprime », lui intime la militante féministe Caroline de Haas.
Et, plus rarement, dans le lot, des followers qui viennent à la rescousse du journaliste : « Soutien total à Bernard contre les parangons de la bien-pensance dictatoriale à l’égard de cette gamine tristement manipulée… ». Source.
Résumé : 188 mots. C’est, comme chaque année, depuis le restaurant parisien Drouant, où se réunissent les jurés, que le prix Goncourt 2019 a été attribué le 4 novembre 2019 à Jean-Paul Dubois pour Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon.
Jean-Paul Dubois vit à Toulouse. Ancien journaliste, pour Sud-Ouest et le Nouvel Observateur, il est l’auteur d’une quinzaine de romans, dont bon nombre se situent aux États-Unis. Il a publié notamment, aux Éditions de l’Olivier, L’Amérique m’inquiète et Jusque-là tout allait bien en Amérique. Il avait reçu le prix Femina et le prix du roman FNAC en 2004 pour Une vie française, le prix Vialatte en 2012 pour Le Cas Sneijder. En 2017, il était en lice pour le prix du Livre Inter, avec La Succession. Il préfère de loin écrire des livres plutôt que d’être dans la lumière du landernau littéraire.
Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma : Kennedy et moi, Vous plaisantez monsieur Tanner, Le Cas Sneijder, et Si ce livre pouvait me rapprocher de toi. Source.
Jean-Paul Dubois vit à Toulouse. Ancien journaliste, pour Sud-Ouest et le Nouvel Observateur, il est l’auteur d’une quinzaine de romans, dont bon nombre se situent aux États-Unis. Il a publié notamment, aux Éditions de l’Olivier, L’Amérique m’inquiète et Jusque-là tout allait bien en Amérique. Il avait reçu le prix Femina et le prix du roman FNAC en 2004 pour Une vie française, le prix Vialatte en 2012 pour Le Cas Sneijder. En 2017, il était en lice pour le prix du Livre Inter, avec La Succession. Il préfère de loin écrire des livres plutôt que d’être dans la lumière du landernau littéraire.
Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma : Kennedy et moi, Vous plaisantez monsieur Tanner, Le Cas Sneijder, et Si ce livre pouvait me rapprocher de toi. Source.
► L'article complet : 303 mots avec un diaporama de 27 photos |
Résumé : 184 mots. Un rassemblement s’est tenu le 2 novembre 2019 devant les bureaux de la chaîne d’information CNews, à Boulogne-Billancourt, pour manifester contre Éric Zemmour, qui anime depuis le 14 octobre l’émission « Face à l’info », diffusée quotidiennement par la chaîne. L'émission marquée par de nombreux dérapages et provocations du polémiste sera désormais préenregistrée entre 20 et 30 minutes plus tôt pour être diffusée à 19 h, son horaire habituel. Cela afin que la chaîne garde la maîtrise éditoriale des propos diffusés dans le cadre de l’émission, dans laquelle Éric Zemmour avait affirmé qu’en Syrie, « Bachar Al-Assad n’a pas gazé son peuple »; les homosexuels n’ont qu’à « coucher avec l’autre sexe » pour « faire des enfants » ; « la politique de Vichy n’avait pas comme conséquence l’extermination et les camps nazis » et être français reviendrait à être « du côté du général Bugeaud », qui massacrait, lors de la conquête de l’Algérie, « les musulmans et même certains juifs ». Source.
► L'article complet : 283 mots avec un diaporama de 13 photos |