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Catégorie: "Evénement"
Des collectifs d’associations et de citoyens organisaient des rassemblements dans toute la France le dimanche 27 octobre 2019 afin de dénoncer l’Islamophobie en France et, selon les organisateurs, les dérives politiques et médiatiques observées dans ce domaine ces dernières semaines, notamment après que Julien Odoul, élu Rassemblement National, ait demandé début octobre à une mère de quitter la salle du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, à cause de son voile. Celle-ci accompagnait son fils lors d’une sortie scolaire. L’événement a relancé le débat sur le port du voile. À Paris, le Comité d’organisation du rassemblement Ensemble contre l’islamophobie avait appelé à se rassembler place de la Nation, pour demander au chef de l’Etat et aux membres du gouvernement de condamner fermement les actions islamophobes et de tout mettre en œuvre pour ne plus banaliser ce phénomène.
Résumé: 234 mots. Uber, géant américain des transports, a annoncé ce mercredi 16 octobre 2019 une innovation qui fait de Paris « la capitale mondiale de la mobilité ». Après les VTC, les vélos et trottinettes électriques de Jump, l’application Uber va en effet intégrer, « dans les prochaines semaines, avant 2020 », les 4000 scooters électriques en libre-service de Cityscoot.
Cityscoot, lancé en 2016, est le leader français du secteur des scooters en libre-service, avec 4000 scooters, 150 000 utilisateurs, et 15 000 à 20 000 trajets par jour à Paris et dans une quinzaine de villes de proche banlieue.
L’accord entre les deux entreprises est un « partenariat commercial », dans lequel Cityscoot reversera à Uber une commission, dont le montant n’a pas été dévoilé, pour tous les trajets effectués à scooter via l’appli Uber, a expliqué Bertrand Fleurose, PDG fondateur de Cityscoot.
« On voulait s’associer avec le leader, a expliqué Steve Salom, directeur général d’Uber pour la France. La complémentarité est totale. Nos utilisateurs de VTC le font surtout les soirs et week-ends, et sont en majorité des femmes. Les trajets en Cityscoot se font plus en semaine, par des hommes en majorité ».
En intégrant les scooters, après avoir déjà proposé depuis le printemps les trottinettes et vélos électriques rouges de Jump , Uber ambitionne de devenir une « plateforme de mobilité totale, capable de concurrencer la voiture individuelle », a poursuivi Steve Salom. Source
Cityscoot, lancé en 2016, est le leader français du secteur des scooters en libre-service, avec 4000 scooters, 150 000 utilisateurs, et 15 000 à 20 000 trajets par jour à Paris et dans une quinzaine de villes de proche banlieue.
L’accord entre les deux entreprises est un « partenariat commercial », dans lequel Cityscoot reversera à Uber une commission, dont le montant n’a pas été dévoilé, pour tous les trajets effectués à scooter via l’appli Uber, a expliqué Bertrand Fleurose, PDG fondateur de Cityscoot.
« On voulait s’associer avec le leader, a expliqué Steve Salom, directeur général d’Uber pour la France. La complémentarité est totale. Nos utilisateurs de VTC le font surtout les soirs et week-ends, et sont en majorité des femmes. Les trajets en Cityscoot se font plus en semaine, par des hommes en majorité ».
En intégrant les scooters, après avoir déjà proposé depuis le printemps les trottinettes et vélos électriques rouges de Jump , Uber ambitionne de devenir une « plateforme de mobilité totale, capable de concurrencer la voiture individuelle », a poursuivi Steve Salom. Source
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Résumé : 147 mots. Mariannes coiffées d’un bonnet phrygien, grands-parents, grappes d’étudiants, familles avec enfants en poussette… les opposants à la PMA pour toutes ont battu le pavé dimanche 6 octobre 2019 après-midi à Paris dans une ambiance proche de celle des premiers rassemblements de 2013 contre la loi Taubira.
En fin de défilé, le compteur des organisateurs, sur les écrans géants, s’est arrêté sur le chiffre de 600.000 personnes, sous les acclamations de la foule. Le cabinet indépendant Occurrence, lui, a compté 74.500 personnes. La Préfecture de police a de son côté chiffré à 42.000 le nombre de manifestants. La Manif pour tous a jugé l’estimation donnée par les autorités « en contradiction avec les échanges opérationnels » avec la Préfecture de police. Elle a demandé un accès aux vidéos de la Préfecture sur l’ensemble des itinéraires de la manifestation.
En fin de défilé, le compteur des organisateurs, sur les écrans géants, s’est arrêté sur le chiffre de 600.000 personnes, sous les acclamations de la foule. Le cabinet indépendant Occurrence, lui, a compté 74.500 personnes. La Préfecture de police a de son côté chiffré à 42.000 le nombre de manifestants. La Manif pour tous a jugé l’estimation donnée par les autorités « en contradiction avec les échanges opérationnels » avec la Préfecture de police. Elle a demandé un accès aux vidéos de la Préfecture sur l’ensemble des itinéraires de la manifestation.
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► Page 1 : PMA pour toutes : l’ampleur de la manifestation remobilise les opposants
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Sur roulette ou sur plateau, gonflables ou encore tirées par des chevaux, douze œuvres monumentales inédites ont été imaginées par des artistes contemporains et ont défilé dans Paris dans une atmosphère de fête, à l’occasion de l’édition 2019 de la « Nuit Blanche », le 5 octobre 2019 en soirée. Animées par des musiciens, danseurs, performers ou encore DJ, elles ont circulé en musique de la place de la Concorde à la Bastille puis ont rejoint plusieurs points dans la métropole où il était possible d’admirer à l’arrêt leurs décors
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Résumé : 241 mots. Des milliers de policiers ont défilé dans les rues de Paris, mercredi 2 octobre 2019, à l’appel d’une intersyndicale, pour dénoncer un grand malaise dans la profession et demander de meilleures conditions de travail. Le cortège, parti de Bastille aux alentours de 13 h 30, a rejoint la place de la République aux sons des pétards et des sirènes entrecoupés de Marseillaise. La démonstration de force des syndicats a réuni 27 000 personnes, selon les organisateurs, soit près de 18 % des quelque 150 000 fonctionnaires que compte la police nationale. « On attend maintenant des réponses et des actes concrets », a déclaré Fabien Vanhemelryck, secrétaire général d’Alliance, qui marchait en tête du cortège aux côtés de ses homologues des autres organisations – une image d’unité rare dans un univers syndical marqué par les rivalités.
« Il faut redonner du sens au métier de policier. Il y en marre de la stigmatisation des policiers », a dit Philippe Capon, secrétaire général d’UNSA Police. De mémoire de syndicalistes policiers, on n’avait pas vu un tel appel unitaire depuis 2001. À l’époque, la mobilisation avait été provoquée par le meurtre de deux policiers au Plessis-Trévise par un braqueur récidiviste.
Cette fois, pas d’élément déclencheur, mais une usure opérationnelle liée au mouvement social des « gilets jaunes », pour lequel la police a été accusée de violences, et une très forte augmentation du nombre de suicides au sein de la police nationale.
« Il faut redonner du sens au métier de policier. Il y en marre de la stigmatisation des policiers », a dit Philippe Capon, secrétaire général d’UNSA Police. De mémoire de syndicalistes policiers, on n’avait pas vu un tel appel unitaire depuis 2001. À l’époque, la mobilisation avait été provoquée par le meurtre de deux policiers au Plessis-Trévise par un braqueur récidiviste.
Cette fois, pas d’élément déclencheur, mais une usure opérationnelle liée au mouvement social des « gilets jaunes », pour lequel la police a été accusée de violences, et une très forte augmentation du nombre de suicides au sein de la police nationale.
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Résumé : 153 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé samedi 28 septembre 2019 après-midi à Paris derrière les chars de la 21e Techno Parade, dédiée à Steve Maia Caniço, mort à Nantes lors de la dernière Fête de la musique, marquée par une opération policière controversée.
Vitrine annuelle des musiques et cultures électroniques, le défilé avait pris cette année pour mot d’ordre « Dansons pour Steve » en hommage à ce jeune de 24 ans retrouvé noyé dans la Loire. Il s’agissait selon Tommy Vaudecrane, le président de l’association Technopol qui organise la Techno Parade, de rendre « hommage dans la dignité, la paix et la sobriété » à « ce jeune homme passionné de techno ».
Quelques centaines de « gilets jaunes » se sont par ailleurs glissés samedi devant la parade, ralentissant le cortège. « Grève, blocage, Macron démission », scandaient les manifestants refusant de quitter leurs « gilets jaunes » comme leur demandaient les organisateurs de la Techno parade. Source.
Vitrine annuelle des musiques et cultures électroniques, le défilé avait pris cette année pour mot d’ordre « Dansons pour Steve » en hommage à ce jeune de 24 ans retrouvé noyé dans la Loire. Il s’agissait selon Tommy Vaudecrane, le président de l’association Technopol qui organise la Techno Parade, de rendre « hommage dans la dignité, la paix et la sobriété » à « ce jeune homme passionné de techno ».
Quelques centaines de « gilets jaunes » se sont par ailleurs glissés samedi devant la parade, ralentissant le cortège. « Grève, blocage, Macron démission », scandaient les manifestants refusant de quitter leurs « gilets jaunes » comme leur demandaient les organisateurs de la Techno parade. Source.
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Résumé : 79 mots. Le collectif Inter-Urgences et des organisation syndicales médicales et paramédicales appelaient à manifester devant l’Hôtel de Ville de Paris, près du siège de l’AP-HP, en soutien au mouvement de grève du personnel des urgences, démarré il y a six mois.
Les récentes annonces de la ministre de la Santé Agnès Buzyn — notamment un plan de 750 millions d’euros pour mettre fin à la crise — n’ont pas suffi à calmer la colère des soignants.
Les récentes annonces de la ministre de la Santé Agnès Buzyn — notamment un plan de 750 millions d’euros pour mettre fin à la crise — n’ont pas suffi à calmer la colère des soignants.
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Résumé : 235 mots. Une centaine de policiers se sont rassemblés à l’appel du syndicat Alliance, le jeudi 26 septembre 2019 en fin de matinée, devant le siège de la France Insoumise pour dénoncer les propos de son chef de file, Jean-Luc Mélenchon, qui a qualifié de « barbares » les forces de l’ordre. « C’est la première fois que nous manifestons devant le siège d’un parti politique. Maintenant ça suffit, il faut que les provocations de M. Mélenchon cessent », a déclaré Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat de gardiens de la paix et gradés.
« C’est maintenant à la justice d’apprécier l’infraction mais nous nous porterons partie civile », a annoncé le syndicaliste après l’annonce par Christophe Castaner du prochain signalement à la justice des propos incriminés.
« Je ferai ce que l’on appelle un article 40 et je demanderai au procureur de la République, comme je le fais chaque fois que les policiers sont mis en cause, d’étudier et de voir la faisabilité d’une poursuite », a déclaré le ministre jeudi. Ces propos ont immédiatement fait réagir des syndicats de policiers, le ministre de l’Intérieur, son secrétaire d’État et le préfet de police de Paris.
« J’assiste tous les samedis , je ne suis pas black bloc et je vois des gens se prendre des coups, être trainés par terre », a fait valoir Corinne qui se présentait comme une Gilet jaune. Source
« C’est maintenant à la justice d’apprécier l’infraction mais nous nous porterons partie civile », a annoncé le syndicaliste après l’annonce par Christophe Castaner du prochain signalement à la justice des propos incriminés.
« Je ferai ce que l’on appelle un article 40 et je demanderai au procureur de la République, comme je le fais chaque fois que les policiers sont mis en cause, d’étudier et de voir la faisabilité d’une poursuite », a déclaré le ministre jeudi. Ces propos ont immédiatement fait réagir des syndicats de policiers, le ministre de l’Intérieur, son secrétaire d’État et le préfet de police de Paris.
« J’assiste tous les samedis , je ne suis pas black bloc et je vois des gens se prendre des coups, être trainés par terre », a fait valoir Corinne qui se présentait comme une Gilet jaune. Source
Résumé : 196 mots. Pour leur 45e samedi de mobilisation, ce 21 septembre 2019, les « gilets jaunes » se sont donné rendez-vous à Paris, où se déroulait également la marche pour le climat. Un exercice de maintien de l’ordre compliqué pour les autorités, déployées au nombre de 7 500 dans la capitale. Un dispositif identique à celui mis en place le 1er mai dernier. À 18 heures, on décomptait 163 interpellations et 395 verbalisations, rapportaient plusieurs médias, dont franceinfo. 90 personnes ont été placées en garde à vue. Quelque 15 200 manifestants ont été décomptés dans la capitale.
Les appels au rassemblement des « gilets jaunes » sur Paris pour cet acte 45 de la mobilisation se sont multipliés sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Une autre manifestation, contre la réforme des retraites et menée par Force ouvrière, s’est également élancée dans le 7e arrondissement.
La situation s’est quelque peu tendue en début d’après-midi sur les Champs-Élysées, où une centaine de manifestants ont été dispersés par des gaz lacrymogènes.
Comme craint par les forces de l’ordre, des black blocs se sont infiltrés dans les cortèges, notamment en tête de la marche pour le climat.
Source : www.valeursactuelles
Les appels au rassemblement des « gilets jaunes » sur Paris pour cet acte 45 de la mobilisation se sont multipliés sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Une autre manifestation, contre la réforme des retraites et menée par Force ouvrière, s’est également élancée dans le 7e arrondissement.
La situation s’est quelque peu tendue en début d’après-midi sur les Champs-Élysées, où une centaine de manifestants ont été dispersés par des gaz lacrymogènes.
Comme craint par les forces de l’ordre, des black blocs se sont infiltrés dans les cortèges, notamment en tête de la marche pour le climat.
Source : www.valeursactuelles
Résumé : 154 mots.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés le 18 septembre 2019 devant le commissariat de police d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, là où le 12 septembre dans la soirée, plusieurs dizaines de policiers ont manifesté dans la rue pour dénoncer une décision « scandaleuse » et « incompréhensible » après la suspension immédiate d’un policier. Celui-ci avait fait polémique après la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle on le voyait frapper à plusieurs reprises un homme lors d’une interpellation à Sevran, ville voisine. Sur les images, on voit un échange verbal entre un policier et un jeune homme noir, avant que le fonctionnaire ne se jette dans les jambes de l’individu pour le plaquer au sol. Repoussé, le policier revient à la charge à plusieurs reprises en assénant des coups de poing, auxquels l’homme répond également par des coups de poing dans une position de défense.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés le 18 septembre 2019 devant le commissariat de police d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, là où le 12 septembre dans la soirée, plusieurs dizaines de policiers ont manifesté dans la rue pour dénoncer une décision « scandaleuse » et « incompréhensible » après la suspension immédiate d’un policier. Celui-ci avait fait polémique après la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle on le voyait frapper à plusieurs reprises un homme lors d’une interpellation à Sevran, ville voisine. Sur les images, on voit un échange verbal entre un policier et un jeune homme noir, avant que le fonctionnaire ne se jette dans les jambes de l’individu pour le plaquer au sol. Repoussé, le policier revient à la charge à plusieurs reprises en assénant des coups de poing, auxquels l’homme répond également par des coups de poing dans une position de défense.
Résumé : 91 mots. Après les agents RATP vendredi 13 septembre 2019, c’était au tour des médecins, kinés, infirmières, hôtesses, stewards ou encore aux pilotes de ligne de défiler contre le projet de loi de Macron lundi 16 septembre 2019. Pour rappel, l’exécutif souhaite aboutir à un système de retraite « universel », où chaque euro cotisé donne les mêmes droits à tous les Français, quels que soient leurs métiers et statuts. Ce principe est toutefois contesté par de nombreuses organisations professionnelles. À titre indicatif, d’autres manifestations ont eu lieu à Toulouse et Bordeaux.
Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des finances, s’est rendue le 15 septembre 2019 au salon mondial de la coiffure et de la beauté 2019, organisé au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris.
Mondial Coiffure Beauté, MCB, est le salon annuel des professionnels de la beauté et de la coiffure, qui regroupait cette année près de 300 exposants et où 51 000 visiteurs étaient attendus.
L’édition 2019 proposait également, pour la seconde fois, la Coupe du monde de la coiffure organisée par l’OMC, l’Organisation mondiale de la coiffure.
Mondial Coiffure Beauté, MCB, est le salon annuel des professionnels de la beauté et de la coiffure, qui regroupait cette année près de 300 exposants et où 51 000 visiteurs étaient attendus.
L’édition 2019 proposait également, pour la seconde fois, la Coupe du monde de la coiffure organisée par l’OMC, l’Organisation mondiale de la coiffure.
Résumé : 70 mots.
Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive.
À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive.
À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire.
La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées.
Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social.
Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale.
Source : www.francetvinfo.fr
La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées.
Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social.
Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale.
Source : www.francetvinfo.fr
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron.
Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation.
La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet.
Source : www.lefigaro.fr.
Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation.
La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet.
Source : www.lefigaro.fr.