Pour sortir de dessous la couette en fanfare…
Un taxi pour Tobrouk
… un air bien cadencé chargé de la chaleur du désert libyen pour balancer la froidure de ce dimanche.
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Pour sortir de dessous la couette en fanfare…
Un taxi pour Tobrouk
… un air bien cadencé chargé de la chaleur du désert libyen pour balancer la froidure de ce dimanche.
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Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire…*
Bla bla bla, bla bla bla… Primaires, re-primaires à droite, primaires, re-primaires à gauche… Projets fabuleux, professions de foi véhémentes, ce n'est plus qu'un fond sonore ronronnant et vaguement soporifique. À ce point que les prêcheurs eux-mêmes en arrivent à se bercer de leurs propres imprécations pour alimenter le Mot du Jour. Ainsi, ce matin, à l'heure du café :
« Le seul problème des PME, c'est qu'elles sont trop peu nombreuses… Il faut les aider à grandir ! »
Et donc, petite entreprise deviendra grande… et ne comptera plus au rang des petites entreprises… déjà trop peu nombreuses nous dit-on…
Au moins nous font-ils sourire de temps en temps !
* Merci pour le titre, Zazie !
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Une bonne résolution
Un soleil rieur dès le matin, depuis qu'il commence à remonter la pente… Vent nul malgré le Mistral prévu par des météorologues de mauvais augure… On frôle les 10 degrés dès 10 heures du matin…
Et pendant ce temps le reste de la France se console de la froidure en profitant de la féérie des petits matins givrés et en grattant son pare-brise.
Ce serait faire insulte à Dame Nature de ne pas lui vouer un pique-nique dans la colline.
Un petit sac à dos, un bout de pain frais, deux tranches de jambons et l'on rafle les derniers restes du nouvel an.
Et là, mon Jiminy Cricket personnel, travaillé au corps depuis le début de l'année par les adeptes de bonnes résolutions en tous genres, vient mettre son grain de sel et retient ma main au moment où je me vais me saisir d'une bien inoffensive bouteille de « Vieux Papes ».
Je mentirais si je prétendais ne pas ressentir une bouffée de fierté devant le courageux acte de sagesse que j'accomplis sans frémir en remplissant ma gourde au robinet de la cuisine !
Une poignée de kilomètres plus tard, adossé à un « cagnard » en ligne de crête avec vue sur mer, c'est le moment de savourer un bout de cette « heureuse année » débutante. Et de découvrir le contenu du sac à ripaille.
Sans craindre de vous mettre l'eau à la bouche (justement !) le banquet inclut un demi-camembert au lait cru qui a patienté juste assez pour être tartiné, des chocolats de fêtes accompagnés de cerneaux de noix et deux mandarines rescapées des agapes…
Pour peu qu'on y ajoute les odeurs de la garrigue, j'ai énuméré là tous les ingrédients nécessaires à la transmutation magique d'un « Vieux Papes » ordinaire en sosie de romanée-conti.
En biberonnant à ma gourde, je me suis copieusement traité de tous les noms d'oiseaux pour m'être à ce point laissé manœuvrer par l'endoctrinement subliminal des médias moralisateurs.
J'ai mentalement fait griller Jiminy façon criquet du désert…
Et j'ai pieusement ramené un quart de camembert pour déguster le soir, avec le verre de vin rouge tant fantasmé…
Ah, les bonnes résolutions…
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En croquant les dernières…
La légende veut que les papillotes soient nées à Lyon, rue du Bât-d'Argent, dans le quartier des Terreaux vers 1790, quand le jeune commis d'un confiseur eut l'idée, pour charmer sa belle qui travaillait à l'étage au-dessus, de lui envoyer des petits mots d'amour tortillés autour d'une confiserie.
La légende propose deux fins, l'une malheureuse et l'autre heureuse.
Selon la première, M. Papillot, le patron du commis, l'aurait surpris puis renvoyé, mais ayant trouvé l'idée des plus intéressantes, aurait décidé de la mettre à profit : la papillote était née. Selon la seconde, le commis épousa sa belle, qui n’était autre que la nièce de Sieur Papillot.
Il faut toutefois attendre l'année 1898 et la création de l'entreprise Révillon pour que le chocolat enrubanné prenne la route du succès qu'on lui connait.
Une légende de ma jeunesse précisée par Google
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Les vaches savantes
Du temps que j’allais à la queue des vaches, le père Sorlin aurait dit :
« Ah ben ouiche ! Avec le printemps pourri qu’on a eu, le foin vaut rien et les vaches donnent rien de lait… »
Ce matin, au micro de France Inter, l’éleveur-exploitant agricole nous explique :
« Avec les conditions météorologique du printemps dernier, le fourrage n’a pas les mêmes qualités nutritionnelles et les vaches n’expriment pas leur potentiel ».
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1er janvier au citrate de bétaïne
Vous noterez que j’ai attendu une heure raisonnable.
En savoir plus Un produit, mis sur le marché dans les années 50, rend bien des services. Il s’agit du Citrate de Bétaïne… Il est indiqué contre les lourdeurs et les pesanteurs après les repas. |
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Puisqu’il faudra bien se la fabriquer soi-même…
Bonne année !
Cathy & Guy
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Lendemain de fête…
Après les plantureuses agapes autour des spécialités familiales on calme le jeu et l'on en revient aux plats de l'ordinaire… Du très ordinaire même puisqu'on cède au plaisir basique de déguster à même la boîte de petites sardines discrètement relevées d'un filet de vinaigre…
Une boîte de sardines soigneusement choisie parmi les marques traditionnelles qui font la réputation de nos pêcheries de Douarnenez. De la sardine fine et fondante, conservée dans une huile d'olive vierge extra. Bref, de la sardine CSP+ (ℹ)CSP+ est un sigle qui désigne les catégories socio-professionnelles favorisées, dans le monde occidental des années 2000. C'est un terme employé essentiellement dans une optique de marketing. !
Et puis il est satisfaisant de penser que notre gourmandise contribue au soutien de nos patrons-pêcheurs, au maintien de l'emploi dans nos ports bretons et aussi que l'on répond bien civiquement à la consigne du « consommer français ».
Ah ben ouiche !
Il faut avoir de bons yeux et tomber par hasard sur cette ligne imprimée au dos de la boîte pour apprendre que nos petites sardines « riches en Oméga 3 » sont en fait « préparées en Pologne pour Connétable ».
Elle en a fait des voyages notre Sprattus sprattus de l'Atlantique Nord-Est !
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À chacun son (Père) Noël
Celui de Pascal Mary commençait pourtant sur de bien belles musiques…
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À chacun son (Père) Noël
Pierrot, pour croire en l'avenir de l'Homme, se fabrique un Noël féministe…
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À chacun son (Père) Noël
Celui d’Allain Leprest quand même pourrait faire un effort…
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À chacun son (Père) Noël
Celui de Barbara a un statut… compliqué
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À chacun son (Père) Noël
Celui de GiedRé… plutôt minimaliste
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À chacun son (Père) Noël
Celui de Pierre Perret a une liste bien chargée…
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Mélomane… et acrobatique
Retrouvé par hasard, en purgeant mes publications Face Book
Bon dimanche !
“Salut Salon” est un quatuor féminin créé à Hambourg (Allemagne) en 2000 par deux amies d'enfance, Angelika Bachmann et Iris Siegfried (violonistes), associées à Sonja Lena Schmid (violoncelle) et à Anne-Monika von Twardowski (piano). Les quatre jeunes musiciennes impressionnent par leur féminité éclatante, leur sensibilité, leur virtuosité et la diversité de leur répertoire : classique, airs populaires, airs de chansons, jazz, pop, bruitages, emploi d'une marionnette… |
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