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Catégorie: "Moi"
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La valise de magie a semblé plaire à Ewan, mais je crains que la plupart des tours proposés soient un peu trop complexes pour un enfant de 7 ans, âge pourtant préconisé sur la boîte. Quant à l'établi d'Arno, bien qu'estampillé Black & Decker, il constitue une belle arnaque : les accessoires sont en nombre limité et l'écartement des trous dans les pièces en bois à visser ne correspond pas à l'écartement des trous du support ! Le bambin a été suffisamment inventif pour ne pas se laisser démonter par ces difficultés. Le marteau a eu du succès. On oublie parfois qu'il n'y a pas que les tambours qui sont bruyants. Mon Père Noël avait jusqu'ici une bonne réputation au sein de la famille. J'ai peur qu'il la perde.
Aujourd'hui dimanche, nous avons fait une belle balade. Nicolas a voulu me montrer Saint-Cado, dans la ria d'Etel, où il a passé naguère un excellent séjour et j'ai souhaité connaître le très joli port de Saint-Goustan, dont j'avais souvent publié des photos quand je tenais l'édition d'Auray du Télégramme.
À Saint-Cado 🛈Sur mairie-belz.fr
L'île de Saint Cado est un lieu incontournable de la Ria d'Etel. La maison de Nichtarguer, avec ses volets bleus est la carte postale de Belz., la « petite maison sur l'eau » est très connue depuis qu'elle a été photographiée par Philip Plisson. Je la photographie aussi. Sa présence sur ce blog va, c'est certain, faire passer sa réputation de mondiale à planétaire.
Saint-Goustan 🛈Sur Wikipédia
Saint-Goustan est un ancien port de pêche et de commerce, situé en bordure de la rivière d'Auray (ou rivière du Loc'h), devenu l'un des quartiers d'Auray dans le département du Morbihan. Aujourd'hui port de plaisance, il tire son nom de saint Goustan, le patron des marins et des pêcheurs. est le port d'Auray sur le Loc'h. C'est là qu'a débarqué en décembre 1776 Benjamin Franklin, venu négocier la première alliance entre la France et les États-Unis d'Amérique. Ma présence ici, en janvier 2011, ne peut que renforcer la notoriété de l'endroit.
Une fois rentrés à Pluvigner, Roc'h et moi avons dit « au-revoir », chacun dans sa langue natale. Partis vers 16 h 30, nous sommes arrivés deux heures plus tard à Kéradennec.
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La classe de philo du lycée Hector-Berlioz (Vincennes), année scolaire 1963-64. À partir de la gauche.
Dernier rang : 1. Gérard Robert. Avant-dernier rang : 1. Jeanne-Rose ; 2. Pierre Bournat ; 3. François Parnet ; 4. Michel Desbrière ; 5. Robert Bonnal ; 7. Teboul. Deuxième rang : 5. Jean-François Saby ; 8. Michel Galland. Au premier rang : 2. Schwartz ; 7. Brunet.
Claude BruaireClaude Bruaire 🛈Sur wikipedia
Claude Bruaire (15 mai 1932 - 14 octobre 1986) est un philosophe catholique français. Cofondateur de la revue Communio, il est, avec Xavier Tilliette, Michel Henry et Jean-Luc Marion, l'un des représentants du renouveau de la philosophie chrétienne et de la christologie apparu dans les années 1970. est le professeur qui m'a le plus marqué. J'ai appris plus tard qu'après le lycée de Vincennes il a enseigné à l'université de Tours (1967‑1979) puis à l'université Paris IV-Sorbonne (1979‑1986), où il a tenu une chaire de philosophie morale (il n'y en avait plus depuis trente ans) et qu'il est décédé d'un cancer en 1986, à l'âge de 54 ans. D'après Robert Bonnal, l'enseignante sur la photo nous aurait dispensé l'histoire et la géographie. Je ne me souviens pas davantage de son nom que de celui des autres lycéens. Si vous vous reconnaissez ou si vous reconnaissez quelqu'un, n'hésitez pas à laisser un commentaire.
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Mon frère Jean-Michel et Laurence m'ont invité à une soirée beaujolais nouveau qui s'est tenue à leur domicile parisien le samedi 20 novembre 2010. J'en ai profité pour passer quelques jours dans la capitale.
Nous avons quitté Kéradennec, Roc'h et moi, le mercredi 17 novembre à 12 h 02 et nous avons posé notre Eurocamp au camping du Bois de Boulogne vers 19 h.
Jeu 18.11.2010. De La-Tour-Maubourg à la Porte-Maillot
Voir son site : cliquez., le chef de bureau, accessibles sur internet, sont aussi de haut niveau. Je pars à 16 h 45. Je descends à pied le boulevard de La Tour-Maubourg, traverse le pont des Invalides, fais le tour complet du Grand-Palais, aperçois la file d’attente devant l’entrée de l’exposition Monnet. Je découvre que pour visiter cette expo, il faut chercher et imprimer un billet (payant) sur un site internet ou acheter un billet dans quelques points de vente, que ça m’étonnerait que je tombe pile poil dessus. Une heure de visite est précisée sur le billet. Si vous faîtes partie de la fournée de 17 h 30, pas question d’entrer à 18 h. Je passe mon chemin. Je n’aime pas voir l’art en prison et soumis à des horaires de parloir. Ensuite, je remonte les Champs-Elysées jusqu’à George V. Au passage, je visite le Virgin Mégastore et la FNAC. Arrivé à la Porte Maillot, comme d’hab je manque la bonne sortie du métro, proche du départ du bus 244 et me retrouve dans le square du terre-plein central, assez sinistre la nuit. J’y croise quelques lapins. Arrivée à l’Eurocamp vers 19 h 25.
Ven 19.11.2010. Longue marche et courses avec Marie
Au magasin Vinalliance, rue Didot, nous achetons quelques boissons à consommer avec modération. Nous rentrons, après une balade pédestre de 8 km. Je retrouve Ettore et Alexandra. Nous dînons et Marie me ramène au camping. Je suis dans l'Eurocamp à 23 h 05.
Sam 20.11.2010. Résidence pieds dans l'eau et magasin pour toutous
Lever vers 10 h 30. Promenade du chien. Photos de ma résidence pieds dans l’eau (quand je pense au prix d’une maison en bord de Seine !). Achat de trois croissants et une baguette au Super Market du camping (4x1,20=4,80 €). Petit-déjeuner.
Après, je ne sais plus. Je retrouve trace d’une activité à 18 h 16, quand j’entre dans La Niche, une annexe du BHV, seul endroit où je trouve des recharges pour mon Bon Ton (distributeur de sacs à déjections canines), bien connu de mes fidèles lecteurs (voir le Mer 27.06.07). Il y a foule dans le magasin. Des humains certes, mais aussi des toutous fort urbains. Bichonnés, enrubannés, portant parfois manteau, ils sont manifestement des habitués du shopping. Pas comme mon rustique Roc’h, épagneul breton de son état. Je m’amuse de les voir attirer l’attention de leur maître ou maîtresse, de la patte ou du regard, comme pour dire : « Je veux ça. S’te plaît ! ».
Ensuite je fais ma visite habituelle du BHV (le grand). Cette fois, je me contente du seul étage multimédia. Ils ont du beau matériel photo, mais leur rayon informatique laisse à désirer. Pensez-donc, ils n’ont même pas d’iPad !
Il est temps de prendre le métro. Le bistrot Saby ouvre à 20 h 30 et je ne voudrais pas rater mon entrée.
Sam 20.11 2010 (suite). Soirée beaujolais chez Laurence et Jean-Michel
A part cela, je ne pense pas avoir perturbé la fête. Une fête organisée par Laurence qui a lancé près de soixante invitations, mon frère se déclarant simple employé dans l’affaire. Des groupes se forment selon affinités ou vécu commun. Ne connaissant personne, je me tiens à l’écart. Je me contente de déguster les mets et boissons généreusement distribués. C’est alors que je découvre un couple venu de ma bonne ville de Lyon. Nous sympathisons autour de ce thème. Ils ont vécu à Paris autrefois – d’où leur présence ici aujourd’hui – avant d’émigrer dans la capitale des Gaules, qu’ils aiment beaucoup et qu’ils paraissent bien connaître, traboules comprises. Peu à l’aise, tout comme moi, dans les mondanités, le monsieur me propose un tour de pâté de maisons. Nous voilà tous les deux, cheminant et bavardant fort agréablement devant la belle mairie du XVe. Dans les interminables repas de Bresse, on désigne cette balade digestive par l’expression « faire le coup du milieu ». Au retour, nous fondons sur les desserts. Après le départ des couche-tôt, il devient possible de prendre des photos. Pour ce qui est de la vidéo, la lumière ambiante est un peu faible, et je n’ai pas ma mini-torche. D’où une qualité médiocre, due aussi au fait que je n’ai toujours pas trouvé les bons paramétrages dans le logiciel de montage pour la sortie en vidéo flash (flv 🛈Format osolète qui n'est plus lisible par les navigateurs, d'où la necessité de convertir les vidéos., format osolète).
Au final, j’ai passé un excellent moment. La réouverture du bistrot Saby fait partie du top-ten des bonnes idées de l’année.
J’ai l’impression que le chauffeur de taxi qui me ramène au camping ne prend pas le chemin le plus court. Mais je peux me tromper ! Quand je monte dans l’Eurocamp, il est presque 1 h 30. Roc’h m’interroge d’un regard réprobateur : « T’étais où ? ».
Dim 21.11.2010. Retour vers les années théâtre et anniversaire de Giulia
Arrivée chez Marie et Ettore vers 19 h 30. Je retrouve Tony et Laura, respectivement frère et belle-sœur d’Ettore et je fais la connaissance de leurs deux filles, Giulia et Syria. Ils habitent à Rome et sont de passage à Paris pour quelques jours. Dîner convivial clos par le gâteau d’anniversaire de Giulia, 10 ans aujourd’hui. Ensuite, Marie me ramène en voiture au camping. Laura et Tony sont du voyage.
Lun 22.11.2010. Les tribulations d'un provincial à Paris
Il m’a fallu près de trois heures pour faire le trajet depuis le Camping du Bois de Boulogne, soit une heure de plus qu’un Paris‑Lyon en TGV. Départ de l’Eurocamp à 11 h 34. Bus 244, comme d’habitude, jusqu’à la Porte-Maillot. Je prends la ligne 1 du métro, avec le projet d’attraper la correspondance avec le RER A2 à Charles-de-Gaulle-Étoile. Dans la rame, un haut-parleur diffuse l’information suivante : « En raison d’un colis suspect, les RER ne s’arrêtent plus à Charles-de-Gaulle-Étoile ». Pas grave, je prendrai la correspondance à la station Gare‑de‑Lyon. Entre Hôtel-de-Ville et Saint-Paul, la rame s’immobilise. Nouveau message : « En raison d’un incident technique à Château-de-Vincennes, la circulation est perturbée sur la ligne 1 ». Après un redémarrage, nous nous arrêtons à Saint‑Paul, les portes s’ouvrent et le précédent message est répété. Puis, plus rien ! Au bout de dix minutes, je décide de rejoindre la Gare de Lyon à pied (1,8 km). Dans la station de métro, je me perds un peu avant de trouver les quais du RER, mal signalés. C’est alors que je commets une erreur de provincial à Paris. J’utilise mon ticket de métro en cours, persuadé qu’il y a correspondance entre métro et RER. Et ça marche ! Arrivé à Nogent-sur-Marne, aux tourniquets de sortie, mon ticket est refusé. Personne aux guichets alentour pour me renseigner. J’observe, amusé, les nombreux usagers qui passent à quatre pattes sous les tourniquets pour entrer, sans s’embêter avec les contraintes des titres de transport. Au bout d’un moment, je sors en suivant leur exemple.
Après un nouveau refus de ticket de métro au départ du voyage de retour, une employée me fait découvrir le pot-aux-roses. Tant qu’on reste dans les limites de Paris, le ticket ordinaire (1,20 € en carnet de dix) suffit. Mais à Nogent-sur-Marne on est en zone 3. Il faut prendre un ticket à 2,35 €.
J’ai oublié l’existence des zones de transport d’Ile-de-France. Les zones qu’il y a chez nous, en Bretagne, ce sont les zones maritimes, littorales, agricoles, montagneuses (384 m au Roc’h Trevezel) ou boisées !
Lun 22.11.2010 (suite). Soirée italienne chez Marie et Ettore
Je retrouve les invités romains d’hier plus mon neveu Julien, sa copine Isabelle et ma nièce Alexandra. Avec mes hôtes, cela fait neuf personnes sur dix qui parlent et comprennent l’italien. La dixième, c’est moi. Mais j’aime tellement la musicalité de cette langue, la bonne humeur qu’elle véhicule (peut-on sérieusement s’engueuler en italien ?) que je ne résiste pas au plaisir de faire une vidéo. En me la repassant en boucle, je finis par comprendre de quoi il est question. Mieux que la méthode Assimil !
En fin de soirée, Marie, ma petite sœur, me ramène à mon campement.
Comme hier, Laura et Tony ont pris place dans la voiture. Ils n’ont plus la motivation de la découverte et ils ont sans doute eu une journée fatigante. C’est pourquoi je tiens leur volonté de nous accompagner pour une marque de sympathie à mon égard.
Il est vrai que mon séjour parisien prend fin. Demain matin, cap sur la Bretagne !
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Je rentre de mon voyage annuel à Castelsarrasin. Ce fut une semaine paisible et agréable. Les lecteurs assidus de mon blog savent combien j'aime cette ville, ses habitants en général et les gens de ma famille en particulier. Ma plus grande sortie a été pour Moissac, à 7 km ! J'ai revu son célèbre cloître et je me suis attardé dans son abbatiale.
À Castel, je n'ai pas manqué le marché du jeudi et la visite du port de plaisance.
Lun 11.10.2010. Kéradennec-Castelsarrasin d'une traite
Voyage sans encombre. À la sortie du péage de Castelsarrasin, une patrouille des douanes arrête tout le monde. « D’où venez-vous et où allez-vous », me demande une accorte (mais indiscrète) douanière. Je suis tenté de répondre : « de Colombie ». Mais je pense qu’elle pourrait mal le prendre. « Je viens de Bretagne et je vais ici, où j’ai de la famille ». « Allez-y » me dit-elle. Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de chouchen.
Mar 12.10.2010. Sous les platanes (restants) de la Promenade
Mer 13.10.2010. Panne de gaz et incursion dans le moyen-âge
À Moissac, j'ai visité l'abbatiale Saint-Pierre, que je ne connaissais pas et le cloître, que j'avais vu il y a une petite cinquantaine d'années. Et puis j'ai promené Roc'h le long du Tarn.
► Abbaye Saint-Pierre de Moissac 🛈Sur wikipédia
L'abbaye Saint-Pierre de Moissac est une ancienne abbaye des VIIe – XVe siècles. Depuis 1998 elle est inscrite par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.
Jeu 14.10.2010. L'incontournable marché de Castel
De novembre à avril, un marché au gras réputé dans la région Midi-Pyrénées se tient aussi le jeudi sous la halle occitane. En cette mi-octobre, volaillers et clients étaient encore rares.
► Jeu 09.10.2008. Du marché de Castel à l'ex-ferme de Montauban 🛈Sur jfsaby.com/blogs/
Le marché du jeudi est une institution à Castel. Dans ma jeunesse, il continuait l’après-midi. Mémé (Germaine, seconde épouse de mon grand-père) y tenait un stand de fruits et légumes et Serge…
Sam 16.10.2010. Castelsarrasin. Flânerie au port de plaisance
Le Marius de Marcel Pagnol, devant le Vieux port de Marseille, rêvait des îles Sous-le-Vent.
Et moi, je rêve de voyages lointains sur le Canal du Midi à bord de ces merveilleuses résidences flottantes.
► Castelsarrasin. Le port canal à guichet fermé 🛈Sur ladepeche.fr
Publié le 09/02/2010 à 15:36. Les places sont rares sur le port-canal de Castelsarrasin. 52 bateaux y sont en ce moment installés, le port-canal affiche donc complet. Depuis sa création en 1998, il suscite toujours un engouement de la part des plaisanciers qui y accostent…
Dim 17.10.2010. Castel 2010 : dernière journée
Angélique a rejoint Toulouse aussitôt après. Fabien gagnera Valence d’Agen demain matin. Nous passerons, Roc’h et moi, la journée sur le chemin du retour. 810 km à avaler.
Au revoir tati et merci pour ton accueil.
Lun 18.10.2010. Castel 2010 : le retour
« D'où venez-vous ? Où allez-vous ? », auxquelles je réponds du mieux que je peux : « Je viens de Castelsarrasin, dans le Tarn-et-Garonne et je rentre chez moi ».
Air soupçonneux : « Vous n'êtes pas allé en Espagne ? Vous ne ramenez pas de tabac et d'alcool ? »
Air surpris de la question : « Non, non ».
Air bon enfant : « Allez-y ! ».
Ils ne sont donc pas à la recherche de trafiquants de cassoulet.
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Au moment de repartir, le RAV4 m’a fait un refus de démarrer. Problème de batterie (elle a pourtant été changée en juillet) ou de démarreur ? J’ai bien ouvert le capot, mais bon, vous me connaissez ! Alors j’ai demandé à mes pieds de me conduire au garage Toyota, distant de trois bons kilomètres. Là, on ne pouvait rien faire pour moi (nous étions samedi) mais on m’a demandé si j’avais pensé à appeler l’assistance de mon assurance. Je n’y avais pas pensé ! Finalement j’ai décidé de retourner vers la voiture pour faire ce qui venait de m’être suggéré.
J’étais arrivé à environ 800 mètres de l’objectif, lorsqu’un camping-cariste s’est arrêté pour me demander s’il y avait un camping dans le secteur. J’ai d’abord pensé à celui de Primel-Trégastel, en Plougasnou. Mais c’est loin et il n’est pas certain qu’il soit encore ouvert fin septembre. C’est alors que m’est venue une idée lumineuse : vous m’aidez en m’emmenant jusqu’à la clinique et je vous aide en vous hébergeant sur mon terrain pour la nuit. Du donnant donnant, en quelque sorte. C’est ce qui fut fait. Pour l’anecdote, je précise que le monsieur du camping-car (un retraité qui avait travaillé dans la mécanique, m’a dit son épouse) a vite décelé le problème : un écrou de la cosse de batterie desserré. J’ai donc pu repartir et le beau camping-car Fleurette m’a suivi jusqu’à Kéradennec.
Mes invités, immatriculés dans la Manche, ont quitté le Kéradennec-Camping ce matin à 9 h 50, pour continuer leur tour de Bretagne.
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Cette manifestation attire chaque année un public plus nombreux. Nous étions 13.000 aujourd'hui. Je crois que l'on peut attribuer une large part de son succès à la diversité des animations qu'elle propose. Il y a de quoi s'occuper toute la journée, à condition tout de même d'aimer les bruits de moteur.
Ce matin, j'ai assisté au défilé des 350 véhicules anciens et tracteurs dans les rues du bourg. Cet après-midi, dans l'enceinte de la fête, j'ai vu le ballet des ensileuses qui ont ratiboisé un vaste champ de maïs en deux temps trois mouvements. L'énorme Jaguar 960, vu pour la première fois dans la région, s'est taillé la part du lion : il traite dix rangs à la fois ! C'est impressionnant. On pouvait assister en direct live à un battage à l'ancienne avec une batteuse animée par une splendide locomobile à vapeur, toute de cuivre vêtue. Des cercles se formaient autour de moteurs en fonctionnement, parfois très anciens, parfois très rouillés, dont on aurait aimé savoir quelles machines ils entraînaient. Leurs propriétaires les choyaient, ajoutant une goutte d'huile par ci, réglant une mollette par là. C'était attendrissant. Les véhicules anciens du défilé du matin s'offraient à la curiosité des visiteurs. Et puis il y avait le coin des danseurs, des animaux, de la fête foraine, le tout parsemé de buvettes et de points de restauration.
C'était varié, vous dis-je.
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Ma famille chazéenne, mon chien et moi avons séjourné au camping de La Grée-Penvins, dans la presqu’île de Rhuys (Morbihan) du 31 juillet au 14 août.
Sam 31.07.10. Cap sur la presqu’île de Rhuys
Top départ des vacances dans la presqu’île de Rhuys. L’Eurocamp et la C4 quittent Kéradennec à 10 h 30 pour le camping de La Grée-Penvins. Arrivée à Penvins vers 13 h. Nous déjeunons à La Pergola. Cuisine sophistiquée, aux mélanges un peu déroutants. Sortie de table à 15 h 35. Le mobilhome est disponible à partir de 15 h 30. On est dans les temps.
PLEIN ÉCRAN : touche F11 pour l'activer et le désactiver. PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. |
Le Goëlo est un ancien pays de Bretagne, qui comprenait le nord-ouest de l'ancien évêché de Saint-Brieuc, sur la côte ouest de la baie de Saint-Brieuc. Il comprend aujourd’hui, les cantons de Paimpol, Lanvollon, Plouha, Pontrieux, Plouagat, Châtelaudren, Étables-sur-Mer et les communes de Pordic, Plérin et Trémuson..
À Paimpol 🛈Sur guingamp-paimpol.com
Paimpol est célèbre pour avoir été au début du XXe siècle un des ports de la grande pêche, au large de l'Islande. Pierre Loti en fera un roman en 1886, Pêcheur d'Islande., après le repas au Restaurant du Port, nous déambulons dans la vieille ville, puis sur les quais du port de plaisance.
Retour dans la Citroën. On passe à Plouézec et devant le camping Le Cap Horn, où j'avais vécu un début de semaine plutôt calamiteux en juin 2007 (Sam 09/06/2007).
Nous voici à Port-Lazo 🛈Sur patrimoine.bzh
Port Lazo : Porz Lac'ho en Breton. C'est à dire le "port de la tuerie ou du massacre". Cette appellation serait la résultante selon la tradition orale, du massacre des troupes anglaises, attribuée aux femmes de Plouézec, qui auraient brûlé les embarcations ennemies, échouées sur la grève de Port-Lazo, au cours du 9e siècle., tout proche. J'étais loin d'imaginer m'y arrêter de nouveau, trois ans après, avec les Chazéens et leurs amis bourguignons.
La pointe de Minard 🛈Sur docarmor.free.fr
La Pointe de Minard s'ouvre au nord et à ses côtes sauvages. Sous l'Empire, elle fut une défense contre les attaques anglaises, dotée d'une batterie de canons dont il ne reste que quelques ruines. mérite un nouvel arrêt. Elle offre une superbe vue des falaises de Plouha et de la baie de Saint-Brieuc, jusqu'au cap d'Erquy. On devine également les rochers de la charmante et familiale station balnéaire de Saint-Quay-Portrieux 🛈Sur saintquayportrieux.com
La plage du Casino est la grande plage de Saint-Quay autour de laquelle s'est développée la station balnéaire. Orientée à l'est, son sable fin attire de nombreux amateurs., dont la terrasse du Casino nous accueille un peu plus tard pour un verre bien mérité.
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Les 650 engins motorisés du circuit nord sont arrivés pendant plus de deux heures, en un défilé ininterrompu. Les voitures, motos, camions d'exception se garaient quelques minutes pour se faire admirer, puis laissaient la place aux nouveaux venus en mettant le cap sur Lannion, le terminus de l'étape du jour. Le tout dans une ambiance festive au milieu d'un public conquis. Un régal pour les yeux et les oreilles.
J'ai rencontré Alain Quesseveur, un ancien collègue du Télégramme. Je le savais connaisseur en voitures de collection, mais il m'a épaté, lorsque je lui ai dit que j'étais toujours à la recherche de la voiture Berliet de mon grand-père, jamais revue nulle part (même pas au musée Schlumpf, à Mulhouse). J'imagine que peu de gens savent, par ici, que l'entreprise de la région lyonnaise a fabriqué des voitures de luxe, avant de se faire connaître pour ses camions. Il a cru en voir une. Je la cherche et ne la trouve pas. Elle a dû repartir.
La voiture suivante de mon grand-père était une traction Citroën, 11 légère, un modèle plus rare que la 15. Là, j'ai davantage de chance. Il y en a une.
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Vu « Camping 2 », au Rialto à Morlaix, en avant-première (et oui, même la veille au soir de la sortie nationale, c'est une avant-première). Bravo au projectionniste qui a réussi à nous servir une image un peu floue ! A mon grand étonnement, il n'y a pas eu de protestation. Les gens s'habituent...
Quant au film, je l'ai trouvé moins abouti que le premier, même s'il m'a fait passer un bon moment. Il n'y a pas d'effet de surprise parce que la recette est rigoureusement la même, aussi parce que toutes les scènes drôles sont dans les bandes-annonces et dans les pubs diffusées à satiété à la télé et à la radio. Voilà ce qui arrive quand on s'attache moins à faire du bon qu'à faire du fric.
C'est d'ailleurs un travers de l'époque actuelle qui m'irrite beaucoup : la promotion prend le pas sur la création. Moins soucieux d'atteindre notre cœur que de remplir leur portefeuille, les artistes et écrivains ne viennent plus dans la petite lucarne ou dans le transistor que pour vendre des places de cinéma, de théâtre ou de concert, des DVD, des CD ou des livres.
Au temps du « gagner plus en travaillant moins », ils se sont faits boutiquiers.
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Remarqué au rayon des camping-cars, qui présente aussi du matériel neuf, le nouvel Eriba compact, avec son toit relevable, et un fourgon de chez Font-Vendôme. Rêvé dans le hall des automobiles, devant de belles BMW, des Mini-Cooper craquantes et quelques cabriolets de marques diverses pas piqués des hannetons. Râlé comme d’hab dans le hall des véhicules de collection, moins fourni que l’an dernier, contre les propriétaires qui n’indiquent pas la marque, le modèle et l’année des bêtes présentées.
Aperçu enfin sur le parking des exposants un Volkswagen T5 California, quatre couchages, cuisine, réfrigérateur… dont les dimensions sont intéressantes (accès à la plupart des parkings) mais dont le confort me paraît un peu rustique et le prix (constaté chez le concessionnaire morlaisien qui en expose un) exorbitant. Pour conclure, les occasions ne m’ont pas semblé faire beaucoup de larrons. La faute à la crise ?
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