L’édition parisienne 2013 de la marche des zombies ou « zombie walk », s’est tenue le samedi 12 octobre 2013 à partir de la place de la République. Au programme des réjouissances, de la chair fraîche, des cerveaux gluants, et des maquillages à faire pâlir, pour un événement d’outre-tombe qui se voulait avant tout festif. Âmes sensibles s’abstenir.
Nolwenn Leroy et Thomas Dutronc ont pris part, samedi 12 octobre 2013, aux célébrations de la Fête des Vendanges de Montmartre 2013, dont ils étaient respectivement marraine et parrain. Entourés de Daniel Vaillant, maire du 18e arrondissement, les deux chanteurs ont ouvert le ban des vendanges, entourés de membres de confréries et d’une foule venue nombreuse. Ambassadeurs de choc, les deux chanteurs ont ainsi pris relais de Mistinguett et Fernandel, couple mythique qui a animé la Fête pour la première fois en 1933, et ont succédé à Anggun, présente l’année dernière aux fameuses récoltes au côté de son mari Cyril Montana. Situées à 130 mètres d’altitude, la vigne de Montmartre, la seule de Paris, s’étend sur 1 556 m² et compte pas moins de 1 762 pieds. En sortent chaque année deux cépages, le gamay-beaujolais et le pinot noir, qui ravissent les papilles du tout-Paris, depuis 80 ans maintenant.
C'est le week-end des 5 et 6 octobre 2013 que s’est couru à l’hippodrome de Longchamp, à Paris, la 92e édition du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe. Un rendez-vous unique avec les meilleurs jockeys et chevaux de la planète. 60.000 spectateurs à Longchamp, plus d’1 milliard de téléspectateurs dans le monde… Le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe est une course unique, qui rassemble les meilleurs purs-sangs mondiaux âgés de 3 ans et plus et considérée comme l’une des plus prestigieuses courses de chevaux au monde. Treize courses dont huit finales mondiales se déroulaient sur les deux jours, avec comme point d’orgue le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe, couru sur 2 400 mètres et doté cette année de 4,8 millions d’euros. La pouliche française Trêve, montée par Thierry Jarnet, a remporté très facilement ce 92e prix, devant le grandissime favori nippon Orfèvre et privé comme l’an dernier le Japon d’un premier sacre dans l’épreuve reine du galop. Les quelque 6.000 supporteurs japonais, certains vêtus de kimonos traditionnels, ont pourtant affiché beaucoup d’enthousiasme dans les tribunes, agitant drapeaux et bannières en l’honneur des deux chevaux japonais engagés, Orfèvre et Kizuna.
À l'occasion de la 92e édition du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe, les 5 et 6 octobre 2013 sur l’hippodrome de Longchamp, de nombreuses animations en relation avec le Qatar étaient proposées au public. A leur arrivée sur l’hippodrome, un village qatari accueillait les spectateurs et leur permettait de découvrir l’artisanat du pays mais aussi d’apprécier la musique qatarie grâce à un groupe folklorique qui rythmait la journée. Le sponsor actuel du Prix de l’Arc de Triomphe est le Qatar Racing and Equestrian Club (QREC). L’accord de sponsoring entre France Galop et le QREC a été signé à Doha en 2008, et il couvre les six éditions de l’Arc de 2008 à 2013. À la suite de cet accord, le montant des récompenses attribuées lors du Prix de l’Arc de Triomphe a été doublé, passant de deux millions d’euros à quatre puis 4,8 millions d’euros, devenant la troisième course de plat la mieux dotée du monde, derrière la Dubai World Cup et la Japan Cup.
La pouliche française Trêve, montée par Thierry Jarnet, a remporté très facilement dimanche 6 octobre 2013 le 92e prix de l’Arc de Triomphe devant le grandissime favori nippon Orfèvre et privé comme l’an dernier le Japon d’un premier sacre dans l’épreuve reine du galop. Orfèvre, qui avait échoué d’un rien l’an passé, a de nouveau dû se contenter de la deuxième place en dépit du soutien bruyant de milliers de Japonais présents à Longchamp. Les quelque 6.000 supporteurs japonais, certains vêtus de kimonos traditionnels, ont pourtant affiché beaucoup d’enthousiasme dans les tribunes, agitant drapeaux et bannières en l’honneur des deux chevaux japonais engagés, Orfèvre et Kizuna. Pilotée par Thierry Jarnet en remplacement de l’Italo-Américain Lanfranco Dettori, blessé, Trêve s’est détachée à 150 mètres du but pour s’imposer de cinq franches longueurs dans un temps de 2' 32" 4, sans battre le record de la piste détenu par l’Allemande Danedream (2’ 24" 49). La remise des prix était placée sous le parrainage de l’acteur Christophe Lambert.
Les Parisiens étaient nombreux dans la nuit du 5 au 6 octobre 2013 à arpenter les rues de Paris pour aller à la découverte des nombreuses œuvres proposées dans le cadre de la Nuit Blanche 2013. Parmi celles-ci, la fosse d’orchestre de Rosa Barba était un dispositif sonore placé sous l’eau qui diffusait une composition de musique électronique faisant vibrer la surface des eaux du canal Saint-Martin. L’eau semblait avoir les propriétés d’une plaque sensible, le son s’y imprimant et étant révélé par le mouvement des jets d’eau.
Les Parisiens étaient nombreux dans la nuit du 5 au 6 octobre 2013 à arpenter les rues de Paris pour aller à la découverte des nombreuses œuvres proposées dans le cadre de la Nuit Blanche 2013. Parmi celles-ci, l’œuvre des artistes Ji-Yun Lim et Igor Galabovski, une gigantesque méduse faite d’un subtil écheveau de rubans noirs était suspendue au-dessus du grand bassin de la piscine Château Landon, et prenait vie grâce aux lumières qui l’éclairaient et créaient des jeux d’ombres mouvantes sur fond de performance live de six musiciens.
Plusieurs centaines de manifestants, essentiellement des jeunes femmes, ont participé dans plusieurs villes de France, le samedi 28 septembre 2013, à la « Marche des salopes » (« SlutWalk ») pour protester contre « la culpabilisation des victimes d’agressions sexuelles » et « le sexisme ». À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ». Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.
Paris accueillait, les 21 et 22 septembre 2013 la finale de la coupe du monde de tir à l’arc, organisée au Trocadéro, devant la Tour Eiffel. Le 21 septembre, journée dédiée à l’arc à poulies, la vice-championne du monde en titre en arc à poulies, Pascale Lebecque s’est inclinée dès le premier tour des finales face à la Russe Loginova. Sophie Dodemont n’a pas fait mieux contre l’Américaine Jones. Le titre a été remporté par la Colombienne Alejandra Usquiano.
Paris accueillait, les 21 et 22 septembre 2013 la finale de la coupe du monde de tir à l’arc, organisée au Trocadéro, devant la Tour Eiffel. Le 21 septembre, journée dédiée à l’arc à poulie, le Danois Martin Damsbo a remporté l’épreuve devant l’Américain Braden Gellenthien, victorieux l’an dernier à Tokyo. Deux Français étaient présents pour cette finale : Pierre-Julien Deloche, battu en quarts, et Dominique Genet, éliminé en demi-finales, par Damsbo.
Paris accueillait, les 21 et 22 septembre 2013 la finale de la coupe du monde de tir à l’arc. Le 21 septembre, journée dédiée à l’arc à poulies, la paire Française composée de Pascale Lebecque et Pierre-Julien Deloche s’est imposée dans la finale du double mixte aux dépens du double italien, n°1 mondial, Sergio Pagni et Marcella Tonioli, 157 à 155, sur 160 points possibles. Un exploit qui a permis au public de savourer une Marseillaise à la saveur toute particulière, au pied du monument hautement symbolique qu’est la Tour Eiffel.
L’Américaine Erika Jones participait à sa troisième Finale et est certainement l’athlète de l’année dans sa catégorie. Médaillée de bronze lors de la Finale d’Edimbourg en 2010, elle tentait d’égaler sa victoire d’Istanbul en 2011. Cette saison, elle a obtenu trois médailles d’argent individuelles et est grimpée sur la plus haute marche du podium en double mixte à deux reprises et une fois par équipe. C’est cependant la Colombienne Usquiano qui s’est imposée 143 à 142 contre l’américaine. Née à Oklahoma, aux États-Unis, Erika Jones est diplômée de l’Université de Nebraska-Lincoln.
Photographier le départ d’un flèche (photo 1/9) est particulièrement difficile, les projectiles atteignant en compétition des vitesses comprises entre 280 et 300 km/h. A ces vitesses, la flèche parcourt 8 mètres en 1/10 de seconde, temps séparant deux déclenchements en rafale à 10 images par seconde. Réaliser ce type d’image relève donc essentiellement de la chance.
Espace, voilà le nom du dernier spectacle qui était proposé, pour la troisième année consécutive, sur le parvis de la Défense, dans les Hauts-de-Seine, le vendredi 20 septembre 2013 en soirée par la société Defacto. Un spectacle pyrotechnique et en 3D, qui faisait partir à la découverte de l’espace et de ses mystères. La société Defacto, l’Etablissement public de gestion, d’animation et de promotion de La Défense, avait réalisé un appel à projet pour cette 3e, et c’est Espace, conçu par l’agence Les Petits Français, qui a été retenu. Pour ce thème, l’équipe s’est attaché les compétences de Christophe Galfard, docteur en physique théorique, reconnu pour sa capacité à transmettre son savoir scientifique et à le vulgariser. Le spectacle Espace, c’était plus de 40 minutes d’exploration inédite, allant des origines de notre univers à la conquête du ciel, en passant par l’apparition de la vie ou encore les mystérieux extraterrestres. Avec ses 11 tableaux, ses 32 vidéoprojecteurs, son écran d’eau de 18 mètres par 50 et son équipe technique et artistique de 60 personnes, ce spectacle en a mis plein la vue au public venu nombreux.
Le 15 septembre 2013 après-midi, l’humoriste Jamel Debbouze a créé l’événement en se produisant pour la première fois sur la grande scène de la Fête de l’Humanité, à la Courneuve, devant plus de 80.000 personnes. Pour l’artiste originaire de Trappes, passer à la Fête de l’Huma était une vraie « consécration ». Dans l’entretien qu’il a accordé au journal l’Humanité, il déclarait juste avant son show : « Vous me faites un beau cadeau. C’est exceptionnel de se retrouver dans une telle configuration. Jouer devant autant de monde, et surtout dans cette ambiance. La Fête de l’Huma, c’est particulier.(…) J’y ai joué à différentes reprises. Il faut que vous sachiez un truc. Quand on était à Trappes, les seuls Français qui nous parlaient, c’était les communistes. C’est les seuls qui n’avaient pas peur de nous, eux et les Gitans ! Donc, on se retrouvait à la Fête avec des gens qui nous prenaient en considération et qui nous proposaient de faire toutes sortes de choses, et essentiellement boire du vin chaud à la canette ! C’était dégueulasse, mais on le faisait parce que les mecs étaient supersympas. Je me rappelle des cocos de Trappes qui nous emmenaient dans leurs bus. Après, j’ai joué dans des petits stands, devant des gens qui avaient de la boue jusqu’aux genoux, dans un vacarme monstre, entre des discours de Robert Hue et des gens qui lançaient des fers à cheval dans des stands d’animation. Je me souviens de ma propre expérience de la Fête de l’Huma comme artiste débutant, comme spectateur et comme buveur de vin chaud ! »
Le groupe Zebda et ses invités ont rendu, le samedi 14 septembre 2013 sur la Grande Scène de la Fête de l’Humanité, un hommage à Victor Jara, poète chilien assassiné par les militaires pustchistes en 1973. Les membres du groupe Zebda, originaire de Toulouse, revendiquent un héritage communiste et le sens du travail collectif. Leurs créations sont largement marquées d’un engagement politique et social, allant jusqu’à reprendre dans la chanson « Le Bruit et l’Odeur » un discours de 1991 de Jacques Chirac sur le bruit et l’odeur provoqués par les immigrés dans les HLM, et en utilisant le terme de « lutte de classe » dans « Le Chant des partisans ». Le résultat de cet engagement politique a mené à la création et à la participation d’un mouvement citoyen qui a abouti à des listes électorales dans différentes villes de France, lors des élections municipales de mars 2001, sous le nom de « Motivé-e-s ». Ce mouvement a rassemblé bon nombre de notables toulousains, tous secteurs confondus et, avec 12,38 % des voix, il a obtenu quatre sièges au conseil municipal.