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Catégorie: "Politique"
Résumé : 191 mots. Le parti hausse le ton, lui joue la carte de la bienveillance. Alors que le patron de La République en marche, Stanislas Guerini, a exprimé lundi sa volonté d’exclure le candidat dissident Cédric Villani, Benjamin Griveaux, le candidat officiel à la Mairie de Paris tend la main aux soutiens de son rival. Lundi 27 janvier 2020 au soir, lors d’une réunion publique au Théâtre Bobino, devant plusieurs centaines de sympathisants et une grande partie du gouvernement, Griveaux a rendu hommage de façon appuyée à son concurrent, qui maintient sa candidature contre l’avis du président de la République. L’ex-secrétaire d’État, qui pâtit d’une image de candidat arrogant depuis le début de la campagne, a même fendu l’armure pour afficher un nouveau visage. « Je sais qu’ils ont aimé chez lui, sans doute ce qu’ils ne retrouvaient pas chez moi. Davantage de naturel, une part de fantaisie et peut-être aussi d’émotivité. Alors, je veux leur dire que derrière mon assurance et mes bons mots se cachent aussi mes angoisses et mes échecs », a poursuivi Griveaux, évoquant des « épreuves » et des « drames familiaux ». Source.
Résumé : 244 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté ce vendredi 24 janvier 2020 en France contre le projet de réforme du système des retraites le jour même où ce texte, objet d’une contestation sociale sans précédent depuis près de deux mois, a été adopté en Conseil des ministres.
Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre.
À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT.
« Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ».
Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre.
À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT.
« Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ».
Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
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Résumé : 120 mots. Le Sénat, à majorité de droite, a voté mercredi 22 janvier 2020 en soirée l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, mesure emblématique du projet de loi bioéthique, mais veut limiter son remboursement par la Sécurité sociale aux PMA à caractère « médical ».
Portée par la droite, la limitation du remboursement aux PMA fondées sur « critère médical », après constatation d’une infertilité, modifie toutefois significativement le projet de loi voté à l’Assemblée mi-octobre.
Devant le Sénat, comme la veille au soir, quelques centaines d’opposants à la PMA étaient rassemblés autour d’une puissante sono en début de soirée, avec des drapeaux, quelques fumigènes et en criant « le progrès, c’est le retrait » du texte.
Portée par la droite, la limitation du remboursement aux PMA fondées sur « critère médical », après constatation d’une infertilité, modifie toutefois significativement le projet de loi voté à l’Assemblée mi-octobre.
Devant le Sénat, comme la veille au soir, quelques centaines d’opposants à la PMA étaient rassemblés autour d’une puissante sono en début de soirée, avec des drapeaux, quelques fumigènes et en criant « le progrès, c’est le retrait » du texte.
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Résumé : 251 mots. Plusieurs milliers de personnes ont défilé ce mardi 14 janvier 2020 à Paris à l’appel de la CGT, FO, Solidaires et la FSU, au 41e jour de la mobilisation c par points.
Les manifestants marchaient derrière une banderole de tête : « Retraite par points : tous perdants ! retraite à 60 ans, tous gagnants ! Macron, retire ton plan ». Ils se sont élancés dans une atmosphère bon enfant de la place de l’École militaire peu avant 14 h 30.
« On veut aller au bout, jusqu’au retrait. On est encore fortement en grève. À la SNCF, il y a encore un beau bazar, avec beaucoup de trains supprimés. Les copains de la RATP tiennent bon, et il y a d’autres secteurs qui se mettent en grève, il y a des AG tous les jours », a déclaré Mathieu Bolle-Reddat, conducteur de train de la ligne C du RER, de la CGT-Cheminot. « On attend surtout jeudi où la manifestation sera beaucoup plus puissante et appuiera encore plus les copains qui sont en train de s’engager dans des mouvements de blocage particulièrement dans les raffineries », a expliqué de son côté Gabriel Gaudy, secrétaire régional de FO Ile-de-France.
Le gouvernement a fait un pas ce week-end en direction des syndicats réformistes, CFDT et Unsa, qui réclamaient le retrait de la mise en place d’un âge pivot à court terme. Mais il l’a assorti de l’obligation pour les partenaires sociaux de trouver des solutions alternatives pour équilibrer le régime financièrement. Source.
Les manifestants marchaient derrière une banderole de tête : « Retraite par points : tous perdants ! retraite à 60 ans, tous gagnants ! Macron, retire ton plan ». Ils se sont élancés dans une atmosphère bon enfant de la place de l’École militaire peu avant 14 h 30.
« On veut aller au bout, jusqu’au retrait. On est encore fortement en grève. À la SNCF, il y a encore un beau bazar, avec beaucoup de trains supprimés. Les copains de la RATP tiennent bon, et il y a d’autres secteurs qui se mettent en grève, il y a des AG tous les jours », a déclaré Mathieu Bolle-Reddat, conducteur de train de la ligne C du RER, de la CGT-Cheminot. « On attend surtout jeudi où la manifestation sera beaucoup plus puissante et appuiera encore plus les copains qui sont en train de s’engager dans des mouvements de blocage particulièrement dans les raffineries », a expliqué de son côté Gabriel Gaudy, secrétaire régional de FO Ile-de-France.
Le gouvernement a fait un pas ce week-end en direction des syndicats réformistes, CFDT et Unsa, qui réclamaient le retrait de la mise en place d’un âge pivot à court terme. Mais il l’a assorti de l’obligation pour les partenaires sociaux de trouver des solutions alternatives pour équilibrer le régime financièrement. Source.
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Résumé : 297 mots. Dès le lendemain du scrutin européen, Marine Le Pen avait comparé la succession d’élections locales qui se profilent ces deux prochaines années comme autant de « mousquetons à accrocher sur la paroi qui mène au sommet : l’Élysée ». À l’heure de lancer officiellement la campagne des municipales, son message n’a pas varié. Aux cadres et futurs candidats du Rassemblement national réunis le 12 janvier 2020 sous les lambris Art déco de la Maison de la chimie, à Paris, la future candidate martèle : « Chaque action faite, chaque tract distribué, chaque poignée de main serrée, chaque visite chez un commerçant contribuera à notre victoire électorale et donc à la victoire de notre cause. À ceux qui pensent que nous sommes venus cueillir du muguet ou des fraises, notre volonté est bien de parvenir au pouvoir ».
Pour ce faire, Marine Le Pen n’a pas caché vouloir ouvrir largement les investitures de son mouvement aux candidats issus d’autres familles politiques. Qu’ils soient issus des Républicains, à l’image de Sébastien Pacull, ancien président du parti de Christian Jacob dans l’Hérault, soutenu par le RN à Sète et présent ce dimanche sur scène. Ou encore Andréa Kotarac, cet ancien conseiller régional France insoumise, qui portera dans quelques semaines les couleurs du parti à la flamme dans la métropole lyonnaise.
Sur l’estrade de la Maison de la chimie se sont succédé une dizaine de jeunes pousses sur lesquelles le parti de Marine Le Pen fonde de grands espoirs.
Parmi les plus jeunes des têtes de listes investies par le Rassemblement national, Coline Houssays, 21 ans, a détaillé son projet de « revitalisation » du centre de Lorgues, ville du Var de près de 9000 habitants.
Ses collègues ont quant à eux joué les gammes plus traditionnelles du parti. Source.
Pour ce faire, Marine Le Pen n’a pas caché vouloir ouvrir largement les investitures de son mouvement aux candidats issus d’autres familles politiques. Qu’ils soient issus des Républicains, à l’image de Sébastien Pacull, ancien président du parti de Christian Jacob dans l’Hérault, soutenu par le RN à Sète et présent ce dimanche sur scène. Ou encore Andréa Kotarac, cet ancien conseiller régional France insoumise, qui portera dans quelques semaines les couleurs du parti à la flamme dans la métropole lyonnaise.
Sur l’estrade de la Maison de la chimie se sont succédé une dizaine de jeunes pousses sur lesquelles le parti de Marine Le Pen fonde de grands espoirs.
Parmi les plus jeunes des têtes de listes investies par le Rassemblement national, Coline Houssays, 21 ans, a détaillé son projet de « revitalisation » du centre de Lorgues, ville du Var de près de 9000 habitants.
Ses collègues ont quant à eux joué les gammes plus traditionnelles du parti. Source.
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De nouvelles manifestations ont eu lieu en France ce samedi 11 janvier 2020. Selon le ministère de l’Intérieur, elles ont rassemblé 149 000 personnes alors qu’Edouard Philippe a annoncé le retrait provisoire de l’âge pivot dans la réforme.
À Paris, le cortège s’est élancé peu après 14 heures de la place de la Nation en direction de celle de la République, cortège syndical en tête. Il avait été rejoint par plusieurs centaines de Gilets jaunes, partis en fin de matinée du pont François-Mitterrand, banderoles et couronnes de fleurs, en hommage au livreur, mort après avoir été interpellé par les forces de l’ordre, Cédric Chouviat.
Peu après le lancement du cortège, dans lequel un black bloc avait pris place, de premiers incidents ont éclaté. Les manifestants, dont certains masqués ou cagoulés, ont brisé des vitrines sur le trajet et jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène. Plusieurs magasins ont été saccagés sur le parcours. La situation était tendue sur la place où se terminait le cortège. Des heurts ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants, dans le brouillard des gaz lacrymogènes. De petits incendies étaient visibles par-ci par là. Le nombre de blessés n’a pas été communiqué. Source.
À Paris, le cortège s’est élancé peu après 14 heures de la place de la Nation en direction de celle de la République, cortège syndical en tête. Il avait été rejoint par plusieurs centaines de Gilets jaunes, partis en fin de matinée du pont François-Mitterrand, banderoles et couronnes de fleurs, en hommage au livreur, mort après avoir été interpellé par les forces de l’ordre, Cédric Chouviat.
Peu après le lancement du cortège, dans lequel un black bloc avait pris place, de premiers incidents ont éclaté. Les manifestants, dont certains masqués ou cagoulés, ont brisé des vitrines sur le trajet et jeté des projectiles en direction des forces de l’ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène. Plusieurs magasins ont été saccagés sur le parcours. La situation était tendue sur la place où se terminait le cortège. Des heurts ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants, dans le brouillard des gaz lacrymogènes. De petits incendies étaient visibles par-ci par là. Le nombre de blessés n’a pas été communiqué. Source.
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Des centaines de milliers de personnes ont battu le pavé partout en France le jeudi 9 janvier 2020 pour la quatrième journée de manifestations contre la réforme des retraites, après plus d’un mois de conflit entre syndicats et exécutif. Au 36e jour de grève, 370.000 personnes selon la CGT ont ainsi défilé jeudi après-midi à Paris entre République et Saint-Augustin. Lors de la précédente mobilisation, le 17 décembre, la CGT avait comptabilisé 350.000 manifestants dans la capitale et le ministère de l’Intérieur 76.000. Le 5 décembre, ils étaient 250.000 selon la CGT, 65.000 pour le ministère de l’Intérieur.
Derrière la banderole de tête de l’intersyndicale (“Retraite par points : tous perdants ! Retraite à 60 ans : tous gagnants ! Macron retire ton plan “), Philippe Martinez (CGT) a dénoncé “l’attitude provocatrice” du gouvernement et émis “des doutes” sur la volonté de ce dernier de “discuter”. À ses côtés, Yves Veyrier (FO) ou encore François Hommeril (CFE-CGC).
Ailleurs en France, près de 280.000 personnes ont manifesté dans plus de 80 villes, selon un calcul de l’AFP à partir des chiffres donnés par la police ou les préfectures, un nombre qui atteignait 800.000 selon les chiffres syndicaux.
Derrière la banderole de tête de l’intersyndicale (“Retraite par points : tous perdants ! Retraite à 60 ans : tous gagnants ! Macron retire ton plan “), Philippe Martinez (CGT) a dénoncé “l’attitude provocatrice” du gouvernement et émis “des doutes” sur la volonté de ce dernier de “discuter”. À ses côtés, Yves Veyrier (FO) ou encore François Hommeril (CFE-CGC).
Ailleurs en France, près de 280.000 personnes ont manifesté dans plus de 80 villes, selon un calcul de l’AFP à partir des chiffres donnés par la police ou les préfectures, un nombre qui atteignait 800.000 selon les chiffres syndicaux.
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Résumé : 218 mots. Après un mois de grève contre la réforme des retraites, et à la veille d’une semaine décisive, de nouvelles manifestations ont eu lieu samedi 4 janvier 2020 à Paris et dans plusieurs villes de France. Dans la capitale, plusieurs milliers de personnes ont manifesté, certaines arborant un gilet jaune, pour demander le retrait de la réforme, à l’appel des unions départementales CGT, FO, Solidaires et FSU. Derrière une banderole réclamant « Macron, retire ton projet, sauvegardons et améliorons nos retraites », le cortège est parti peu après 13 heures de la gare de Lyon et a atteint sa destination, la gare de l’Est, vers 16 heures. Place de la Bastille, les manifestants, parmi lesquels aussi quelques blouses blanches et des enseignants, ont salué l’Opéra en scandant « la clause du grand-père, on n’en veut pas ! », en référence à la proposition qui a été faite aux danseurs de l’Opéra que seuls les nouveaux entrants ne bénéficient plus d’un départ à la retraite à 42 ans, proposition qu’ils ont rejetée.
Beaucoup d’opposants portaient pancartes et boîtes en carton tentant de collecter de l’argent pour aider les grévistes. La grève dans les transports est entrée samedi dans son deuxième mois, une durée inégalée qui a dépassé le précédent record établi en 1986-1987. Source.
Beaucoup d’opposants portaient pancartes et boîtes en carton tentant de collecter de l’argent pour aider les grévistes. La grève dans les transports est entrée samedi dans son deuxième mois, une durée inégalée qui a dépassé le précédent record établi en 1986-1987. Source.
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Résumé : 165 mots. Les syndicats à l’origine de la mobilisation contre la réforme des retraites ont décidé ce mardi 17 décembre 2019 la poursuite du mouvement par des « actions locales le 19 et jusque fin décembre » et l’absence de trêve « jusqu’au retrait » du projet du gouvernement, selon leur communiqué commun lu à l’issue d’une intersyndicale.
« C’est un ultimatum », a commenté à l’issue de plus de trois heures de réunion Benoît Teste (FSU), pour qui « ce n’était pas complètement mûr pour fixer une nouvelle date de mobilisation nationale dès ce soir ».
La journée d’action de mardi, la troisième depuis le 5 décembre contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, marquée dans toute la France par grèves et manifestations, a jeté dans la rue 1,8 million de personnes selon la CGT, 615.000 selon le ministère de l’Intérieur.
Pour la première fois depuis le début du mouvement, l’ensemble des syndicats, dont la CFDT, avait appelé à manifester. Source.
« C’est un ultimatum », a commenté à l’issue de plus de trois heures de réunion Benoît Teste (FSU), pour qui « ce n’était pas complètement mûr pour fixer une nouvelle date de mobilisation nationale dès ce soir ».
La journée d’action de mardi, la troisième depuis le 5 décembre contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, marquée dans toute la France par grèves et manifestations, a jeté dans la rue 1,8 million de personnes selon la CGT, 615.000 selon le ministère de l’Intérieur.
Pour la première fois depuis le début du mouvement, l’ensemble des syndicats, dont la CFDT, avait appelé à manifester. Source.
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Résumé : 138 mots. Il y a au moins un point sur lequel tout le monde est d’accord. Les manifestants étaient moins nombreux, ce mardi 10 décembre 2019, dans les rues du pays, pour dire leur opposition à la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. La CGT a compté 885 000 manifestants en France, contre 1,5 million le jeudi 5 décembre, date du coup d’envoi de la mobilisation contre le projet gouvernemental. La baisse du nombre de manifestants a été observée dans toute la France, à Lyon, Marseille, Toulouse, ou Bordeaux, et dans l’Ouest.
Le Premier ministre doit s’exprimer, ce mercredi, à midi, au Conseil économique, social et environnemental, pour détailler les contours d’une réforme jugée floue de gauche à droite et présenter une feuille de route qu’il commentera au 20 h de TF1. Source.
Le Premier ministre doit s’exprimer, ce mercredi, à midi, au Conseil économique, social et environnemental, pour détailler les contours d’une réforme jugée floue de gauche à droite et présenter une feuille de route qu’il commentera au 20 h de TF1. Source.
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En raison de la grève des transports en commun, les usagers ont souffert dans toute la France ce lundi 9 décembre 2019, mais c’est dans la capitale, à Gare du Nord, que les images de foule sont sans doute les plus marquantes.
La station est la plus grande gare d’Europe, avec 700.000 voyageurs quotidiens, et réalise l’interconnexion entre métro, RER, trains de banlieue et grandes lignes. Un véritable “hub” qui pour les Franciliens s’est transformé en piège, alors qu’en ce cinquième jour de grève, le mouvement dans les transports en commun a été de nouveau très suivi.
Les RER, notamment, qui connectent Paris et sa banlieue, ont sur certains tracés été particulièrement touchés: on comptait notamment dans la matinée entre un et deux RER D par heure. Une déficience qui, d’après la SNCF, ne devrait pas s’arranger dans l’avenir proche: le nombre de trains roulants mardi 10 décembre devrait être analogue à ce lundi. Source.
La station est la plus grande gare d’Europe, avec 700.000 voyageurs quotidiens, et réalise l’interconnexion entre métro, RER, trains de banlieue et grandes lignes. Un véritable “hub” qui pour les Franciliens s’est transformé en piège, alors qu’en ce cinquième jour de grève, le mouvement dans les transports en commun a été de nouveau très suivi.
Les RER, notamment, qui connectent Paris et sa banlieue, ont sur certains tracés été particulièrement touchés: on comptait notamment dans la matinée entre un et deux RER D par heure. Une déficience qui, d’après la SNCF, ne devrait pas s’arranger dans l’avenir proche: le nombre de trains roulants mardi 10 décembre devrait être analogue à ce lundi. Source.
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Résumé : 186 mots. La grève du jeudi 5 décembre 2019 contre la réforme des retraites a été particulièrement suivie, avec 806.000 manifestants à travers toute la France, selon les chiffres officiels. L’appel à la mobilisation, initialement lancé dans les transports, à la SNCF et à la RATP, a été relayé ces dernières semaines par de nombreuses catégories professionnelles, du public et du privé. Parmi les mobilisations massives, les autorités ont compté au moins 33.000 personnes à Toulouse, 25.000 à Marseille, 20.000 à Lyon, Montpellier et Bordeaux. Le départ de la manifestation parisienne, prévu à 14 heures de la gare du Nord pour rallier la place de la Nation, a été retardé en raison du grand nombre de personnes rassemblées en tête de cortège. Malgré tout, des incidents ont éclaté peu avant 16 heures. Une remorque de chantier a été retournée et incendiée, et plusieurs vitrines brisées non loin de la place de la République, où des manifestants sont restés bloqués environ trois heures. Les forces de l’ordre y ont essuyé des jets de projectile auxquels elles ont répliqué par des tirs de lacrymogène. Source
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Résumé : 245 mots C’est avec leurs tracteurs que des centaines d’agriculteurs ont convergé vers Paris le mercredi 27 novembre 2019, pour faire entendre leur colère. Ils ont demandé à être reçus par le président de la République.
« Aujourd’hui, selon le comptage du ministère de l’intérieur, 1 086 tracteurs sont sur Paris. C’est un très haut chiffre, une très grosse mobilisation », a déclaré M. Guillaume devant le Sénat dans l’après-midi. Selon les estimations des syndicats FNSEA et Jeunes Agriculteurs, entre 800 et 900 tracteurs sont venus de six régions entourant la capitale. L’arrivée du millier de tracteurs par les axes autour de la capitale n’a finalement pas provoqué plus de bouchons que d’habitude, selon le site d’information du trafic autoroutier francilien Sytadin. Parallèlement, environ 200 agriculteurs, venus à pied ou en voiture, ont temporairement bloqué les Champs-Elysées en fin de matinée, déversant du foin devant le restaurant Fouquet’s, avant d’être repoussés avenue George-V. « Notre détresse est réelle. Nous demandons à rencontrer le président. Nous sommes prêts à rester aussi longtemps qu’il le faudra », a clamé le président de la FDSEA de Seine-et-Marne, Cyrille Milard, au mégaphone. « Je soutiens leur colère et leur manifestation, je comprends leur ras-le-bol, a déclaré le ministre de l’agriculture, Didier Guillaume, au micro d’Europe 1 mercredi matin. On les aide dans toute la transition agroécologique. Il y en a assez de ce dénigrement ». Source.
« Aujourd’hui, selon le comptage du ministère de l’intérieur, 1 086 tracteurs sont sur Paris. C’est un très haut chiffre, une très grosse mobilisation », a déclaré M. Guillaume devant le Sénat dans l’après-midi. Selon les estimations des syndicats FNSEA et Jeunes Agriculteurs, entre 800 et 900 tracteurs sont venus de six régions entourant la capitale. L’arrivée du millier de tracteurs par les axes autour de la capitale n’a finalement pas provoqué plus de bouchons que d’habitude, selon le site d’information du trafic autoroutier francilien Sytadin. Parallèlement, environ 200 agriculteurs, venus à pied ou en voiture, ont temporairement bloqué les Champs-Elysées en fin de matinée, déversant du foin devant le restaurant Fouquet’s, avant d’être repoussés avenue George-V. « Notre détresse est réelle. Nous demandons à rencontrer le président. Nous sommes prêts à rester aussi longtemps qu’il le faudra », a clamé le président de la FDSEA de Seine-et-Marne, Cyrille Milard, au mégaphone. « Je soutiens leur colère et leur manifestation, je comprends leur ras-le-bol, a déclaré le ministre de l’agriculture, Didier Guillaume, au micro d’Europe 1 mercredi matin. On les aide dans toute la transition agroécologique. Il y en a assez de ce dénigrement ». Source.
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Résumé : 260 mots. Le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France organisait sa dixième convention nationale au Palais des Congrès, à Paris, le 17 novembre 2019. Son président, Francis Kalifat, est revenu sur les sujets brûlants de l’actualité dans le Talk du Figaro, à commencer par les actes de violence en forte hausse contre la communauté juive. Francis Kalifat a fait part de sa grande inquiétude. « L’antisémitisme continue à progresser dans notre pays. Il y a moins de départs, mais nous assistons à des déplacements de population Il y a une très forte progression d’actes antisémites déclarés ». Il a par ailleurs confirmé que les chiffres des actes antimusulmans et antichrétiens avaient aussi augmenté. Même s’il ne qualifie pas le Rassemblement national d’antisémite, Francis Kalifat avance qu’on peut y retrouver des « nostalgiques de Vichy ». Le président du CRIF a aussi répondu aux questions sur les tensions qui se sont fait jour lors de la Marche contre l’islamophobie. En particulier autour du port, par certains manifestants, d’une étoile jaune, acte dénoncé par de nombreuses personnalités. Francis Kalifat a dénoncé « une infamie » qui s’est déroulée « sous un silence complice » du personnel politique. Il a déploré en outre la « démonstration de la collusion qu’il peut y avoir entre l’extrême gauche et l’islamisme ». Dans son plaidoyer, Francis Kalifat a demandé « une réaction forte » et milite pour freiner ce type de manifestations qu’il juge « communautaristes ».
La convention nationale du CRIF est ouverte à « tous ceux qui veulent participer à un débat citoyen », a-t-il rappelé. Source
La convention nationale du CRIF est ouverte à « tous ceux qui veulent participer à un débat citoyen », a-t-il rappelé. Source
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Résumé : 248 mots. Le député de La France insoumise Alexis Corbière assure qu’il a été pris à partie en marge du « parcours déclaré » des Gilets jaunes à Bastille à Paris, samedi 16 novembre 2019, à l’occasion de « l’acte 53 » du mouvement. Dans une vidéo publiée avec son tweet, on peut voir le député très énervé reprocher aux policiers leur comportement.
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
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