Recherche dans l’intérêt (?) des familles
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Ça ne tient qu’à un fil !
« Comme le faisait remarquer Pierre Desproges, le vacancier se distingue par des vêtures dans lesquelles il renonce à craindre le jugement d’autrui et abdique toute espèce de respect humain.
Cela donne lieu, sur les plages à de nombreux débordements.
Des débordements de ventres qui ballotent au-dessus de maillots trop serrés, des débordements de poitrines qui bringuebalent en dehors de leurs logements de tissu, des débordements de fesses qui s’avachissent de part et d’autre d’un string.
Il est d’ailleurs remarquable que le site Wikipédia ne recense pas moins de dix variétés de strings.
Le string ficelle, le Tanguita, dont la ficelle est agrémentée d’un triangle qui ne recouvre pas la fesse ; le Tanga, qui recouvre une partie de la fesse et qu’il ne faut pas confondre, comme c’est souvent le cas, avec le slip brésilien, qui offre quant à lui une symétrie entre les pièces avant et arrière tant et si bien que l’on a du mal à en distinguer le sens d’enfilage. Le slip brésilien recouvre davantage les fesses qu’un Tanga, mais moins qu’un bikini ou qu’une culotte.
Il existe encore le shorty string, le body string, le mini string, le micro string, qui ne doit pas cacher grand-chose) le string voile, le string ouvert (même le dimanche), le string papillon et le C-string, une coque rigide cachant le pubis et passant entre les fesses mais… qui tient sans ficelle !
Messieurs, je ne veux pas savoir comment »…
Philippe Meyer – « La prochaine fois je vous le chanterai »
20 IX 2014
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L’image est assez plaisante !
surtout si Martine donne l’exemple !
C’est aujourd’hui Elèna qui a mouillé la chemise pour nous dégoter le sujet de ce Mot du Jour.
Martine Aubry se dit "extrêmement choquée" REACTION - "On ne peut pas accepter d'écrire ce genre de choses", a déclaré samedi la maire de Lille. "On se grandirait à ne pas se mettre au niveau des caniveaux", a ajouté Martine Aubry, estimant que l'ouvrage, dont elle n'a lu que quelques extraits, était "le livre d'une femme blessée". "Je pense que notre démocratie se grandirait à ne pas parler de ça", a-t-elle encore dit. "À un moment où la France va mal, les Français ont envie qu'on se lève la chemise pour pouvoir lutter contre le chômage, les inégalités, (défendre) le logement, refaire de la France un grand pays", a précisé Martine Aubry, mais "ils n'ont pas besoin de ce genre de choses". |
D’aucuns s’en réfèrent à Jaurès, à Marx, à Jules Ferry… Même cité approximativement, Zebda gagne ici en considération !
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Échappé belle !
S’il en est un qui doit mieux mesurer sa chance aujourd’hui, c’est bien Monsieur Trierweiler !
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Un petit coup de mou…
Trop bête, la vie…
Tu pars te mettre au frais une petite semaine loin des média et un vieux pote en profite pour s’esbigner…>
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30 août – Enfin !
Ça y est ! Il est temps de plier les gaules !
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3 août 2014 – Une pensée pour toi, Tonton Georges…
Cérémonie du centenaire de la Première guerre mondiale, dimanche au Vieil Armand, en Alsace.
► Cette vidéo sur dailymotion (ℹ)Brassens - les deux oncles : cliquez
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Ah ! La chanson française !
De mauvais augures nous prédisent périodiquement la disparition de ce particularisme culturel qu’est la chanson française. Elle aurait été successivement : tuée par les Yé-yés, balayée par la langue anglaise, déstructurée par les rappeurs… Ainsi seraient donc perdus à tout jamais les chansons réalistes du siècle de Berthe Sylva, les refrains engagés d’un Béranger ou d’un Ferrat défendant le prolo, les rimes riches si chères à Brassens ou les truculentes loufoqueries langagières d’un Bobby Lapointe…
Et bien non, Messieurs les fossoyeurs, la chanson française n’est pas morte. Tout cela est toujours bien vivace et les talents d’aujourd’hui nous composent des bijoux qui sont autant d’hommages à leurs grands prédécesseurs. Mieux ! Enrichi d’un si prestigieux patrimoine, l’un d’eux parvient à synthétiser toutes les valeurs de ses maîtres en un seul texte. Je vous en livre la teneur :
Elle est vraiment super
La caissière du Super
Elle bosse pour le Boss,
Pour les beaux yeux du Boss
Elle bosse…
Elle bosse pour son gosse
Pour les beaux yeux du gosse
Elle bosse…
Les caméras ne se lassent pas
d’enregistrer les petits travers
de la caissière du super…
Elle bosse pour la banque
Pour les beaux yeux de la banque…
Elle bosse pour la bouffe,
Pour la bouffe de son gosse,
Elle bosse…
Elle est vraiment super
La caissière du Super !
C’est signé Arthur H. et ce n’est pas encore dans les bacs que déjà ça mérite haut-la-main l’inscription au palmarès de la Chanson Hon chez Philippe Meyer !
► Cette vidéo sur YouTube (ℹ)Arthur H – “La caissière du super” : cliquez
Live @ Le pont des artistes
Le Mot du Jour (Post scriptum)
Arthur ! Change de crèmerie !
ou « La guerre des enseignes »
J’étais loin de me douter que la caissière de grande surface suscitait autant de fantasmes… Hélène me le fait remarquer en me signalant que l’hôtesse de caisse de chez Leclerc aurait d’autres talents que la pleurnicheuse du supermarché d’Arthur !
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9 juillet – La magie n’a pas opéré…
« … Si j’étais Dieu, en les voyant prier jouer, je crois que j’en perdrais la foi » !
► Cette vidéo sur YouTube (ℹ)Les Bigotes : cliquez
Jacques Brel en public à Knokke-le-Zoute, en 1963.
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La magie des chiffres !
– Savez-vous que, pour faire passer 1 000 000 (1 million !) de permis de conduire, il n’y a que 1 000 examinateurs ! Et que chaque candidat requiert environ une demi-heure ?
« C’est un scan-dale ! » aurait dit Georges Marchais
« Mais que fait le gouvernement ? » dirait Philippe Bouvard…
Il est vrai que ces chiffres balancés en une fraction de seconde au milieu du journal télévisé ont de quoi impressionner le populo. Pas vrai Ma’me Michu ?
Voyons voir…
1 000 000 de permis pour 1 000 examinateurs, ça fait bien 1 000 examens par inspecteur. Par an. Soit, grosso modo 100 examens par mois (j’enlève les vacances et autres jours fériés). Soit environ 100:4=25 examens par semaine et donc 5 examens par jour.
À 30 minutes l’examen ça va faire des journées de bien 2 heures-et-demi.
Impressionnant ! Pas vrai, M’sieur Pujadas ?
En bonus
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Le Pilou-Pilou Ah ! Nous les terribles guerriers du Pilou-Pilou |
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20 mai – De bonne humeur
Il est des jours, même pluvieux, même rhumatismants, où le simple fait de découvrir le Saint du Jour me rajeunit et me met en joie, avec en prime une chanson dans la tête pour la journée ! J’espère que cela est contagieux !
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1er mai – Le chant de mai
Source : marieandree.centerblog.net sur centerblog.
Voici donc revenus, puisque c’est la saison,
Concerts de bétonnières et tondeuses à gazon
Mais cette symphonie paraîtrait bien austère
Sans la polyphonie des groupes de Kärcher !
Allez, vous avez bien 10 petites minutes :
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Une mécanique de précision horlogère
Ceci n’est pas un Mot du Jour mais le mécanicien de génie qui arrive à ridiculiser à ce point notre Designer Fou à toute sa place dans notre chronique !
Merci René pour cette contribution originale
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Ma bible au premier degré – Saison 1 – La Genèse
Résumé de l’épisode précédent :
Dieu parachève l’endoctrinement d’Abraham. Il le soumet à une épreuve initiatique si cruelle que seul un esprit ayant perdu tout libre arbitre peut accepter de se soumettre : il lui faut égorger et immoler son fils préféré. Dieu fait arrêter cet horrible bizutage à la toute dernière seconde. En récompense pour son allégeance, Abraham reçoit la promesse de destins fabuleux pour toute son innombrable descendance.
21 – Affut à la gazelle
Sara défuncte à l’âge de cent vingt-six ans à Hébron. Pas très loin de Mamré et ses chênes. On sait qu’Abraham aime bien le pays mais il n’est que résident étranger (pour le moment) et il n’a pas de concession au cimetière local. Des voisins sympas lui proposent une petite place dans leur caveau, mais Abraham a le sens de la propriété plutôt développé. Et aussi le sens de la négociation, on l’a déjà vu. Si bien qu’il parvient à acquérir du sieur Heth, en son nom propre et pour pas très cher, un beau bout de terrain arboré avec une caverne propice à la sépulture de Sara.
C’était la Genèse – 23
Abraham se dit que lui non plus n’est pas éternel. Et qu’il serait temps de penser à prendre ses dispositions pour l’avenir de la descendance. Il convoque l’intendant du domaine et en fait son exécuteur testamentaire chargé d’arranger le mariage de son fils.
Son tout premier souci est qu’Isaac n’épouse surtout pas une fille de ce pays de Canaan. Beau geste d’intégration pour un routard qui a été accueilli à bras ouverts ! Isaac – le fils –, devra épouser une fille du pays d’Abraham, – le père – !
Ah, Tonton Georges, ils ne datent pas d’hier « les imbéciles heureux qui sont nés quelque part ! ».
Et qui plus est, pas question qu’Isaac retourne s’installer au pays des ancêtres ; c’est la femme qui devra s’expatrier. Dieu le veut !
« Approche, esclave ! Mets ta main sous ma cuisse (à chaque peuple ses coutumes…) et jure de faire comme ça ! »
L’esclave s’équipe donc de tout ce qu’il faut pour faire la cour à une vraie jeune fille : dix chameaux, une panoplie de chez Cartier et la Carte Gold de son seigneur (avec le code) puis il prend la route vers Nachor, en Mésopotamie.
Ils ont un truc infaillible pour pécho à cette époque. Suffit de te poster près d’un point d’eau, tout comme un lion prédateur, et de sagement attendre la gazelle. Pour tromper l’attente, le lion, il se fait des paris : « La première qui passe et qui accepte de me faire boire et, tant qu’à faire, qui tire l’eau pour mes chameaux, celle-là, ça sera la bonne ! »
Pari gagné ! La première cruche qui passe remplit tous les critères (et les chameaux). Mission accomplie qu’il pense, l’émissaire. Et, pour assurer le coup, il fait briller anneau et lourds bracelets en jonc véritable. Ce premier contact réussi sans râteau, l’esclave pousse ses pions :
« Dis-moi, ma fille, qui c’est, ton père ? Tu crois qu’il nous laisserait passer la noye chez vous, mes chameaux et moi ? »
Et Rebecca (C’est bien d’elle qu’il s’agit. J’ai la bonté de te le dire, puisque l’autre mufle ne s’est ni présenté, ni ne lui a demandé son prénom) et Rebecca, donc, de déballer son arbre généalogique. Là encore, bonne surprise pour le chamelier : il s’agit en fait d’une petite cousine du promis. Va être content le patron qui aime bien que ça ne sorte pas de la famille ! Et de plus, il y a de la place à la ferme-auberge ! Merci mon Dieu, ça se goupille pas trop mal !
C’était la Genèse – 24 à 24.27
À défaut de Colette Renard, c’est Georges Brassens qui vient aujourd’hui illustrer le Chapitre du Jour…
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Ma Bible au premier degré
dans ► 1 La Génèse – 1.21 Affut à la gazelle.
Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page.
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