Persons in a wheelchair demonstrate for a greater inclusion of people with disabilies in front of the Departemental Center for Disabled Persons (Maison départementale des personnes handicapées MDPH) in Nanterre, in the inner suburbs of Paris, on February 11, 2020, the day when a National Conference on Disability (CNH) is held at the Élysée Palace,chaired by the French president Emmanuel Macron.
Prise de vue: Mardi 11 février 2020, à 14 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: oui
Résumé : 297 mots. Comme dans plus de 45 villes en France, des parents d’enfants handicapés et des adultes handicapés ont manifesté ce mardi 11 février 2020 devant la Maison départementale des personnes handicapées de Nanterre, « pour la défense des droits des personnes en situation de handicap, tous handicaps et tous âges confondus » expliquaient-ils dans un communiqué. Des rassemblements organisés à l’occasion des quinze ans de la Loi Handicap de 2005 mais aussi de la Conférence nationale du handicap, qui se déroulait au même moment au Palais de l’Elysée, à Paris, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Votée sous Jacques Chirac, la loi « pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées » avait été un des axes majeurs de son second quinquennat, érigée au rang de grande cause nationale. Comme un clin d’œil, sa fille Claude Chirac était d’ailleurs présente et à pris la parole « pour rappeler dans quel contexte cette loi à vu le jour », faisait-on savoir. « Chaque jour des enfants ne peuvent accéder à une école, des travailleurs doivent quitter leur entreprise, car les logiciels utilisés ne sont pas adaptés, des personnes ne peuvent aller où elles veulent en raison de multiples obstacles », a dénoncé un collectif de 47 associations, dans une tribune parue dans le JDD. Dès la prochaine rentrée, un module de formation des enseignants sur la prise en charge des élèves en situation de handicap sera mis en place. « Il (Emmanuel Macron) est toujours contrarié de constater que des parents n’arrivent pas à régler ces problèmes d’inclusion de leurs enfants », explique un collaborateur. En 2017 déjà, le président avait fait de l’inclusion des personnes handicapées « une des priorités du quinquennat », avec l’ambition affichée de simplifier les démarches administratives dénoncées comme étant « trop complexes ». Source.
Students opposed to the implementation of the baccalaureate reform (E3C) organize a blockade at the Lycee Jean Macé in front of their establishment, located in Vitry-sur-Seine, in the southern suburbs of Paris, on 6 February 6, 2020. The demonstration took place in a ninth inter-professional day of strikes and demonstrations since early December 2019 against the French government's pensions overhaul.
Prise de vue: Jeudi 6 février 2020, à 8 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM; focale: 17 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 232 mots. Alors que les députés ont commencé à examiner le texte sur la réforme des retraites en commission à l’Assemblée nationale, quelques centaines de milliers de personnes ont battu le pavé partout en France, jeudi 6 février 2020, pour la neuvième journée interprofessionnelle de manifestations contre la réforme des retraites, à l’appel de la CGT, FO, Solidaires, de la FSU et d’organisation de jeunesse. Pour protester contre la tenue des épreuves continues du baccalauréat, des dizaines de lycéens bloquaient également, dès l’aube, l’entrée de plusieurs lycées de la région parisienne, accompagnés d’enseignants et de parents d’élèves. La suite du mouvement doit être décidée lors d’une réunion au siège de la CGT en fin de journée. « Le 17 février, premier jour de passage du texte dans l’hémicycle, est une bonne date pour un nouvel appel », a suggéré Eric Beynel, porte-parole chez Solidaires. Le syndicat Unsa-RATP, premier syndicat de la régie des transports parisiens, a lui appelé à un « lundi noir » dans les transports ce 17 février. Interrogé jeudi matin sur CNews, le secrétaire général de FO, Yves Veyrier, a de nouveau dénoncé la réforme comme « une erreur historique ». Quant à la poursuite du mouvement, « évidemment c’est compliqué, le mouvement a été très long, le gouvernement est obstiné », mais « nous allons essayer de trouver des moyens » pour maintenir la mobilisation, a-t-il lancé.
French Minister of Public Action and Accounts Gerald Darmanin (C) presents the 2019 results of the National plan to mobilise customs against the trafficking of tobacco and cigarettes at the Paris regional customs service on February 04, 2020, in front of cartons of illegal cigarettes.
Prise de vue: Mardi 4 février 2020, à 9 h 32. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 135mm f/2L USM; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200 sec, f/2, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 207 mots. La douane française a saisi 360,3 tonnes de tabac et de cigarettes de contrebande en 2019, des chiffres record en hausse de 49 % dévoilés ce mardi 4 février 2020 par le ministère de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin. En 2019, 360,3 tonnes de tabac et de cigarettes de contrebande ont été saisies, ce qui représente 162 millions d’euros en valeur et l’équivalent de 18 millions de paquets de cigarettes issus des circuits clandestins. 45 % d’entre elles portent sur les cigarettes, le reste représentant toute autre forme de tabac. Parmi les saisies majeures l’an dernier, figurait notamment celle du 26 février 2019 dans le port de Calais, où 9,6 tonnes de cigarettes avaient été découvertes dans un camion immatriculé en Pologne. Les missions consacrées l’année dernière par les douanes à la lutte contre les trafics de tabac et cigarettes sont également en hausse, de 24 % soit 110.916 au total. « Ces excellents chiffres montrent que la lutte contre la contrebande de tabac est devenue la priorité des douanes », souligne Bercy, un vœu formulé par le gouvernement en 2018. Cette année-là avait déjà été marquée par des chiffres en hausse en termes de saisies et volume. Source.
For several days, the effects of the garbage strike have been visible in the streets of Paris, as can be seen in these pictures taken on February 2, 2020, and in some cities of the suburbs, especially in the east of the île-de-France region. The truck garages of the city of Paris are regularly blocked by support, often outside the cleanliness sector, allowing to prevent the first pickup of the garbage and to slow down the entire circuit for the day. As part of the strike, the waste incinerators are almost all at stop or operate very slowly. A few blocks have taken place. According to the CGT union (General Confederation of Labour), the streets of Paris are covered with more than 1000 tons of waste and the numbers are likely to increase very quickly.
Prise de vue: Dimanche 2 février 2020, à 16 h 01. Appareil: Leica Camera AG M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ASPH; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -0.332. Flash: non
Résumé : 270 mots. Le ramassage des poubelles est perturbé dans « quelques arrondissements parisiens et quelques villes du Grand Paris », après l’arrêt depuis huit jours des trois incinérateurs d’Ile-de-France à l’appel de la CGT Energie, opposée au projet de réforme des retraites, a indiqué vendredi 31 février 2020 le Syctom, qui gère les déchets de 6 millions de Franciliens. La CGT Energie a voté jeudi dernier l’arrêt des 3 unités d’incinérations de Saint-Ouen, Isséane-Issy-Les-Moulineaux et Ivry-sur-Seine, qui traitent 6.000 tonnes par jour. Six des sept fours sont éteints et seul un des fours de Saint-Ouen fonctionne au ralenti. Le syndicat a aussi mis en place un filtrage des bennes entrantes à Saint-Ouen et un arrêt de la gestion des fosses à Isséane et Ivry-sur-Seine. La réquisition devrait permettre de gérer les contenus des bennes et de les rediriger vers des centres d’enfouissement. Les fours restent à l’arrêt au moins jusqu’à ce lundi. Même si la grève n’était pas reconduite, il faut environ deux jours pour redémarrer les fours. La CGT Energie ne compte pas s’opposer à la réquisition « pour ne pas mettre en difficulté les salariés réquisitionnés », selon Julien Lambert, membre du bureau de la Fédération Mines et Energie de la CGT. Le Syctom estime à 700.000 euros par jour, soit « déjà 5 millions d’euros » le coût de la grève depuis une semaine et souligne l’impact environnemental, puisque les déchets ne sont plus brûlés et valorisés et doivent être enfouis, soit « la pire solution en terme d’environnement ». Source.
Paris' city councillor, French left-wing Parti de Gauche (PG) Secretary General and La France Insoumise (LFI) leftist party's speaker and candidate for the upcoming municipal elections in Paris Danielle Simonnet (2L), French mathematician and Paris city hall candidate Cedric Villani (3L) and Mayor of Paris Anne Hidlago (4L) and candidate for re-election take part in a debate following a report of the Abbe Pierre Foundation on poor quality housing conditions, on January 31, 2020 in La Defense, near Paris.
Prise de vue: Vendredi 31 janvier 2020, à 14 h 42. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/2.8, ISO 320, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 669 mots. À six semaines du premier tour des élections municipales, la fondation Abbé Pierre interpelle les candidats à la mairie de Paris sur la question cruciale du mal logement. Anne Hidalgo, la maire sortante, Benjamin Griveaux, Cédric Villani, Danielle Simonnet et David Belliard ont présenté leurs propositions devant près de 2000 personnes – selon les organisateurs – rassemblées ce vendredi 31 janvier 2020 dans la Grande Arche de La Défense. Rachida Dati, la maire du VIIe, et prétendante LR à l’hôtel de Ville, a annulé sa venue. Anne Hidalgo, la maire PS de Paris, s’est engagée à atteindre « 25% de logements sociaux en 2025 », un objectif atteignable puisque le taux est de 23,6 aujourd’hui contre 13% en 2001. « Pour casser la spéculation immobilière », la maire de Paris a également promis de maintenir l’encadrement des loyers et de mettre en place un service public d’accompagnement des locataires « pour qu’ils puissent faire valoir leurs droits ». Cet objectif passe aussi par une régulation du marché des plate-formes de location saisonnière avec un abaissement du seuil autorisé à 30 jours au lieu de 120 jours. « 60 000 logements échappent ainsi aux Parisiens et je veux leur proposer un référendum sur les règles du jeu », a-t-elle indiqué. « Il ne faut pas figer la ville et il faut accepter qu’elle se transforme », a-t-elle lancé. Danielle Simonnet , pour faire baisser les loyers, souhaite que la mairie de Paris puisse récupérer la compétence permettant de fixer le loyer de référence. La candidate Insoumise promet de créer 60 000 logements sociaux pour atteindre le seuil de 30% d’ici à la fin de la mandature. Pour lutter contre Airbnb, elle veut doubler le nombre d’agents de la ville chargés de contrôler la légalité des meublés touristiques. Cédric Villani veut s’attaquer à « l’immense réservoir » des 240 000 logements vides ou occupés épisodiquement. Il propose de créer pour les logements vacants « une fiscalité renforcée » en faisant passer le coefficient de 1,6% à 2%. Il promet d’atteindre 25% de logements sociaux en 2025, en créant notamment plus 25 000 logements sociaux dans les Xe, XIe, XIIe et XVe, essentiellement par le biais de la préemption et 5000 logements en accession grâce à un office foncier solidaire créé à l’échelle métropolitaine. Le député de l’Essonne propose aussi de réserver 20% des nouveaux logements sociaux aux SDF pour leur offrir durablement un toit. Hostile à la densification de la ville, il propose de créer ces nouveaux logements par le biais de la préemption et de la régulation des plateformes saisonnières, grâce à l’abaissement du nombre légal de nuitées. Benjamin Griveaux, le candidat de la République en Marche, a fait une proposition en faveur des SDF. « Aujourd’hui, les hôtels sociaux sont une honte et il est indécent d’héberger les gens dans ces conditions », a critiqué l’ancien porte-parole du gouvernement. S’il promet de respecter l’objectif des 25% de logements sociaux, il refuse d’aller au-delà comme la plupart de ses adversaires politiques. Quant à Airbnb, il ne souhaite pas abaisser le seuil de nuitées autorisées pour les propriétaires qui louent leur résidence principale, mais promet de faire la guerre à ceux qui font de la location touristique un commerce. David Belliard, le candidat écologiste, promet d’atteindre 25% de logements sociaux en 2025 et vise 30% en 2030. Plutôt que de construire, il propose de préempter en ciblant en priorité les passoires thermiques et les immeubles occupés par des habitants modestes et en transformant les bureaux vides ou obsolètes en logements. Critique sur « la politique de densification menée par la majorité municipale » dont il fait partie, il a promis d’«accroître les espaces de nature en ville pour lutter contre les pics de pollution que connaît la capitale». Pour renforcer la lutte contre les meublés touristiques illégaux, il propose de porter les effectifs de la brigade chargée des contrôles à une centaine d’agents et de baisser le seuil légal à 30 jours. Source
A Citroën 19 concept-car is displayed during the press day of the 2020 concept-cars exhibition and automobile design in Paris on January 20, 2020. The latest concept-cars and supercars are displayed during this exhibition where the greatest designers of the world show, in the tradition of Haute Couture, their most beautiful models, true works and sources of inspiration for the automobile of tomorrow.
Prise de vue: Mercredi 29 janvier 2020, à XX h XX. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 102 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 425 mots. Amoureux de design automobile ou passionnés de belles carrosseries se sont donné rendez-vous pour la traditionnelle exposition de concept-cars du Festival Automobile International organisé à Paris du 29 janvier au 2 février 2020.
CITROËN 19_19 CONCEPT En 2019, Citroën aussi a fêté son centenaire. Pour que le ramage se rapporte au plumage, le constructeur aux chevrons a installé deux moteurs électriques pour une puissance totale de 462 ch. L’autonomie revendiquée est de 800 km grâce à une surpuissante batterie de 100 kWh. À bord, les occupants profitent d’un véritable salon avec méridienne à l’avant et sofa à l’arrière.
BENTLEY EXP 100 GT Ce modèle, réalisé pour les 100 ans du constructeur britannique, présente l’avenir de Bentley à échéance 2035. Cette grande berline de 5,80 m de long embarque 4 moteurs indépendants, tous électriques. Avec un tel engin, passer de 0 à 100 km/h réclame moins de 2,5 sec et la vitesse maxi des 300 km/h n’est qu’une formalité.
BUGATTI LA VOITURE NOIRE La firme de Molsheim est passée maître dans la réalisation d’exemplaires uniques. En mars 2019, elle présente “La Voiture Noire”. Il s’agit d’un modèle inspiré de la Type 57 SC Atlantic de Jean Bugatti. Le châssis de la nouvelle venue a gagné quelques centimètres d’empattement. En revanche, mécaniquement, c’est bien le mythique W16 8L quadriturbo de 1.500 ch et 1.600 Nm de couple que l’on retrouve. Un modèle dont le prix est estimé à plus de 11 millions d’euros… HT !
CITROËN AMI ONE Citroën débarque en force à l’exposition "Concept-cars et Design Automobile". L’Ami One, révélée au Salon de Genève 2019, est également du voyage. Ce concept de seulement 2,50m de long est étonnant par son look mais aussi et surtout dans sa conception. L’autonomie est limitée à 100 km pour un usage purement urbain.
GFG STYLE KANGAROO CONCEPT Il a été présenté en mars, au Salon de Genève 2019. Lui, c’est le Kangaroo Concept. Il a été imaginé par le célèbre bureau de design italien Guigiaro. Le Kangaroo est 100% électrique. Ses deux moteurs affichent une puissance de 245 ch chacun. La voiture est équipée de quatre roues motrices, et directrices.
KRUGGER FD CONCEPT Quand le champion du monde de custom, Frédéric Bertrand alias Fred Krugger, se lance dans la réalisation d’une voiture, ça donne un drôle d’engin ! L’idée était de ré-interpréter les premières voitures de courses des années 30. Source.
French police clash with firefighters protesting against French government's plan to overhaul the country's retirement system in Paris, on January 28, 2020.
Prise de vue: Mardi 28 janvier 2020, à 14 h 38. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 193 mots. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déploré ce mercredi 29 janvier 2020 l’attitude « très agressive » de certains pompiers lors de leur manifestation de la veille à Paris. Le haut fonctionnaire a salué dans un communiqué le « professionnalisme » des policiers et gendarmes mobilisés mardi 28 janvier « malgré les violences dont ils ont fait l’objet ». La manifestation a rassemblé 3.900 soldats du feu, selon la préfecture. Elle a été émaillée de heurts, notamment après l’arrivée du cortège place de la Nation. La Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, qui chapeaute la profession, a également condamné l’attitude de ces manifestants. « Utiliser la violence pour se faire entendre est totalement contraire aux valeurs qui unissent les sapeurs-pompiers de France », a-t-elle fait savoir dans un communiqué. Ces heurts étaient, selon elle, « d’autant plus injustifiés » qu’une rencontre avait lieu au même moment entre l’intersyndicale de la profession et le ministère de l’Intérieur. Ce dernier y a annoncé des mesures, en matière de salaires et retraites notamment, qui ont conduit les syndicats à mettre fin à leur mouvement de protestation entamé l’été dernier. Source.
La Republique en Marche (LREM) candidate for the Paris 2020 mayoral election Benjamin Griveaux addresses at the Bobino theater, in Paris, on January 27, 2020. Benjamin Griveaux is the official LREM candidate for the Paris 2020 mayoral election but the mathematician Cédric Villani, who is an LREM MP, is running an independent rival campaign. With the first round of the local and regional elections due in March, the French President Emmanuel Macron summoned Villani on Sunday to try to persuade him to team up with Griveaux but the maverick Villani refused.
Prise de vue: Lundi 27 janvier 2020, à 21 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 320, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 191 mots. Le parti hausse le ton, lui joue la carte de la bienveillance. Alors que le patron de La République en marche, Stanislas Guerini, a exprimé lundi sa volonté d’exclure le candidat dissident Cédric Villani, Benjamin Griveaux, le candidat officiel à la Mairie de Paris tend la main aux soutiens de son rival. Lundi 27 janvier 2020 au soir, lors d’une réunion publique au Théâtre Bobino, devant plusieurs centaines de sympathisants et une grande partie du gouvernement, Griveaux a rendu hommage de façon appuyée à son concurrent, qui maintient sa candidature contre l’avis du président de la République. L’ex-secrétaire d’État, qui pâtit d’une image de candidat arrogant depuis le début de la campagne, a même fendu l’armure pour afficher un nouveau visage. « Je sais qu’ils ont aimé chez lui, sans doute ce qu’ils ne retrouvaient pas chez moi. Davantage de naturel, une part de fantaisie et peut-être aussi d’émotivité. Alors, je veux leur dire que derrière mon assurance et mes bons mots se cachent aussi mes angoisses et mes échecs », a poursuivi Griveaux, évoquant des « épreuves » et des « drames familiaux ». Source.
CGT union leader Philippe Martinez (C) takes part in a demonstration in Paris on January 24, 2020 against the government pensions reform, which will be officially unveiled after weeks of strikes by unions warning that millions of people will have to work longer. It will be the seventh day of mass rallies since a crippling transport strike was launched on December 5 by unions hoping to force French President to back down on his push for a "universal" pension system. The reform would sweep away 42 separate regimes, some dating back hundreds of years, that offer early retirement and other benefits to public-sector workers as well as lawyers, physiotherapists and even Paris Opera employees.
Prise de vue: Vendredi 24 janvier 2020, à 13 h 07. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 244 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté ce vendredi 24 janvier 2020 en France contre le projet de réforme du système des retraites le jour même où ce texte, objet d’une contestation sociale sans précédent depuis près de deux mois, a été adopté en Conseil des ministres. Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre. À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT. « Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ». Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
People wave flags during a demonstration against "medically-assisted procreation without a father" (PMA - Procreation Medicalement Assistee) in front of the Senat in Paris on January 22, 2020, as the debate on the Bioethics Bill began. The Senate began on January 21 the first reading of the bioethics bill, defended as a text of "progress" by the government, but which emblematic measure, the opening of the medically-assisted procreation to all women, divides the right-wing Senate majority.
Prise de vue: Mercredi 22 janvier 2020, à 19 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/60 sec, f/4, ISO 5000. Flash: non
Résumé : 120 mots. Le Sénat, à majorité de droite, a voté mercredi 22 janvier 2020 en soirée l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, mesure emblématique du projet de loi bioéthique, mais veut limiter son remboursement par la Sécurité sociale aux PMA à caractère « médical ». Portée par la droite, la limitation du remboursement aux PMA fondées sur « critère médical », après constatation d’une infertilité, modifie toutefois significativement le projet de loi voté à l’Assemblée mi-octobre. Devant le Sénat, comme la veille au soir, quelques centaines d’opposants à la PMA étaient rassemblés autour d’une puissante sono en début de soirée, avec des drapeaux, quelques fumigènes et en criant « le progrès, c’est le retrait » du texte.
A dozen of lawyers and from the avocature, made an action on the square of the high court of Bobigny, France, the tGI, on 22 January 2020, to protest against the pension reform of the governement. They sang some song, made a rugby Aka, to show their anger.
Prise de vue: Mercredi 22 janvier 2020, à 17 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 21 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 261 mots. « Belloubet, ta réforme, non, non ! Avocats au combat aaaah ah ! » : avec la même rage que les All Blacks, une cinquantaine d’avocats ont fait un haka mercredi 22 janvier 2020 sur le parvis du tribunal de Bobigny pour dire leur colère face à la réforme des retraites. En appui sur leurs genoux, chauffés à blanc par un homme au mégaphone, ces avocats de Seine-Saint-Denis – deux traits tracés au noir sur leurs joues, écharpe rouge sur leur robe – ont repris la célèbre danse rituelle des guerriers maoris pratiquée par l’équipe de rugby de Nouvelle-Zélande, frappant leurs genoux, leur torse, leurs coudes. « Les avocats sont toujours mobilisés, le haka c’est une danse de guerrier, c’est symbolique, c’est pour montrer qu’on va combattre jusqu’au retrait du projet », a déclaré à l’AFP Meriem Ghenim, avocate affiliée au SAF, le syndicats des avocats de France. « En Seine-Saint-Denis, 70 % de la population est éligible à l’aide juridictionnelle. Or l’Etat ne va jamais augmenter le montant de l’aide juridictionnelle, comme il le fait avec les enseignants en augmentant leurs salaires. Il n’y aura pas pour les avocats de mesure compensatoire», a expliqué Me Yves Tamet, ancien bâtonnier de Seine-Saint-Denis. « Les avocats de Seine-Saint-Denis sont aux premières loges des catégories sociales les plus pauvres et les plus populaires. Tous ces avocats vont devoir fermer leurs cabinets si la réforme des retraites passe », a surenchéri Raquel Garrido, avocate et cheffe de file de La France insoumise aux municipales de Bagnolet. Source.
Protesters hold flags not far from the Tour Eiffel during a demonstration called by the movement 'La Manif pour tous' against the "Medically-assisted procreation (MAP) without a father" in Paris on January 19, 2020, two days before the debate on the Bioethics Bill at the French Senate.
Prise de vue: Dimanche 19 janvier 2020, à 13 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 247 mots. À l’avant-veille de l’examen au Sénat du projet de loi bioéthique, dont l’ouverture de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et femmes célibataires est la mesure phare, les opposants au texte ont à nouveau battu le pavé ce dimanche 19 janvier 2020 à Paris. Selon le cabinet Occurrence, 26 000 personnes ont défilé, c’est presque trois fois moins que lors de la précédente mobilisation du 6 octobre, qui avait réuni 74 500 personnes dans les rues de la capitale. Avec un peu de retard, la tête du cortège s’est élancée de la place de la Résistance après plusieurs appels lancés par haut-parleur à « mobiliser les amis, les collègues qui hésitent encore » en « inondant les réseaux sociaux, en envoyant des textos, des WhatsApp ». Cette foule rouge et verte a commencé à défiler vers 13 h 45 depuis le pont de l’Alma, à l’appel du collectif « Marchons, enfants ! », qui réunit 22 associations, dont La Manif pour tous. Les sénateurs, réunis en commission spéciale, ont déjà adopté le 8 janvier le texte, dont l’article 1 sur la PMA, malgré l’hostilité d’une partie de la droite, majoritaire au palais du Luxembourg. Malgré un processus législatif bien engagé, les associations gardent espoir. « Au lendemain de la manifestation du 2 février 2014, avait été retiré le projet de loi famille de la ministre Dominique Bertinotti », qui avait renoncé à y inclure la PMA pour toutes, a rappelé Ludovine de la Rochère. Source.
Members of the "CIH - Collectif Inter Hopitaux" (Inter-hospitals collective) give a press conference after the publication of a collective resignation letter to protest against the emergency plan proposed by the government, at the Pitie-Salpetriere hospital in Paris on January 14, 2020. More than 1,000 hospital doctors, including some 600 heads of medical departments, published on January 14 a letter to "collectively resign" from their administrative duties if French Health and Solidarity Minister does not start "negotiations" on the hospital's budget and salaries.
Prise de vue: Mardi 14 janvier 2020, à 10 h 58. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 242 mots. Depuis des mois, un conflit d’ampleur oppose les médecins hospitaliers et le ministère de la Santé. Une nouvelle étape a été franchie par le personnel hospitalier. 1 200 praticiens, dont 600 chefs de service et 470 responsables d’unités ont présenté « leur démission de leurs fonctions d’administration, de gestion et de représentation ». Ce geste, témoin d’une crise sans précédent, s’est concrétisé lors d’une conférence de presse mardi matin 14 janvier 2020 à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, à Paris, en l’absence de négociations avec le gouvernement sur les moyens de l’hôpital public. Cette décision collective et particulièrement symbolique intervient après une longue bataille du personnel hospitalier. Le 15 décembre 2019, une tribune est publiée dans Le Journal du Dimanche. Ici, quelque 660 médecins menacent de démissionner. Fin, décembre, leur nombre dépasse le millier. Concrètement, selon les calculs du collectif Inter-Hôpitaux, « il manque 600 millions d’euros, en plus des 200 millions annoncés par le gouvernement pour l’Hôpital public il y a quelques semaines ». Comme l’indique Agnès Hartemann, chef de service de diabétologie à La Pitié-Salpêtrière, membre du CIH, sur France Culture, cette démission ne signifie pas l’arrêt total des praticiens. « On continuera à soigner les gens, bien sûr, et ça, on le fera toujours de manière collective, en équipe », souligne-t-elle. Réunis à l’initiative du collectif interhôpitaux, ces médecins hospitaliers sont issus de toute la France. Source.
Protesters take part in a demonstration in front the Tour Eiffel in Paris on January 14, 2020, as part of a nationwide multi-sector strike against the French government's pensions overhaul. A transport strike dragged on into its 41st day on January 14, with both the French government and hardline unions digging in on the pension reforms that sparked the standoff.
Prise de vue: Mardi 14 janvier 2020, à 14 h 08. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 251 mots. Plusieurs milliers de personnes ont défilé ce mardi 14 janvier 2020 à Paris à l’appel de la CGT, FO, Solidaires et la FSU, au 41e jour de la mobilisation c par points. Les manifestants marchaient derrière une banderole de tête : « Retraite par points : tous perdants ! retraite à 60 ans, tous gagnants ! Macron, retire ton plan ». Ils se sont élancés dans une atmosphère bon enfant de la place de l’École militaire peu avant 14 h 30. « On veut aller au bout, jusqu’au retrait. On est encore fortement en grève. À la SNCF, il y a encore un beau bazar, avec beaucoup de trains supprimés. Les copains de la RATP tiennent bon, et il y a d’autres secteurs qui se mettent en grève, il y a des AG tous les jours », a déclaré Mathieu Bolle-Reddat, conducteur de train de la ligne C du RER, de la CGT-Cheminot. « On attend surtout jeudi où la manifestation sera beaucoup plus puissante et appuiera encore plus les copains qui sont en train de s’engager dans des mouvements de blocage particulièrement dans les raffineries », a expliqué de son côté Gabriel Gaudy, secrétaire régional de FO Ile-de-France. Le gouvernement a fait un pas ce week-end en direction des syndicats réformistes, CFDT et Unsa, qui réclamaient le retrait de la mise en place d’un âge pivot à court terme. Mais il l’a assorti de l’obligation pour les partenaires sociaux de trouver des solutions alternatives pour équilibrer le régime financièrement. Source.
French far-right party Rassemblement National (RN) president and MP Marine Le Pen speaks in Paris, on January 12, 2020, during a meeting to launch the RN campaign candidates for the next municipal elections. The 2020 French municipal elections will be held on 15 and 22 March 2020 to renew the municipal councils of the approximately 35,000 French communes.
Prise de vue: Dimanche 12 janvier 2020, à 16 h 28. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/400 sec, f/4, ISO 1600, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 297 mots. Dès le lendemain du scrutin européen, Marine Le Pen avait comparé la succession d’élections locales qui se profilent ces deux prochaines années comme autant de « mousquetons à accrocher sur la paroi qui mène au sommet : l’Élysée ». À l’heure de lancer officiellement la campagne des municipales, son message n’a pas varié. Aux cadres et futurs candidats du Rassemblement national réunis le 12 janvier 2020 sous les lambris Art déco de la Maison de la chimie, à Paris, la future candidate martèle : « Chaque action faite, chaque tract distribué, chaque poignée de main serrée, chaque visite chez un commerçant contribuera à notre victoire électorale et donc à la victoire de notre cause. À ceux qui pensent que nous sommes venus cueillir du muguet ou des fraises, notre volonté est bien de parvenir au pouvoir ». Pour ce faire, Marine Le Pen n’a pas caché vouloir ouvrir largement les investitures de son mouvement aux candidats issus d’autres familles politiques. Qu’ils soient issus des Républicains, à l’image de Sébastien Pacull, ancien président du parti de Christian Jacob dans l’Hérault, soutenu par le RN à Sète et présent ce dimanche sur scène. Ou encore Andréa Kotarac, cet ancien conseiller régional France insoumise, qui portera dans quelques semaines les couleurs du parti à la flamme dans la métropole lyonnaise. Sur l’estrade de la Maison de la chimie se sont succédé une dizaine de jeunes pousses sur lesquelles le parti de Marine Le Pen fonde de grands espoirs. Parmi les plus jeunes des têtes de listes investies par le Rassemblement national, Coline Houssays, 21 ans, a détaillé son projet de « revitalisation » du centre de Lorgues, ville du Var de près de 9000 habitants. Ses collègues ont quant à eux joué les gammes plus traditionnelles du parti. Source.