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Protesters march near the Opera House during a demonstration called by pensioners' unions on October 18, 2018 in Paris, to demand pensions' increase and protest against the French government policy.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 235 mots. Après la hausse de la CSG, la baisse des pensions. Les retraités sont, à nouveau, appelés à manifester « massivement », ce jeudi 18 octobre 2018, contre les choix budgétaires du gouvernement. Les neuf syndicats et associations de retraités (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et UNRPA), qui ont convoqué cette quatrième journée de «mobilisation générale», espèrent égaler, voire dépasser, la mobilisation du 15 mars, avec « environ 200.000 manifestants dans 162 manifestations », selon Gérard Gourguechon, de l’UNIRS-Solidaires. Leur première revendication reste l’annulation de la hausse de la CSG, entrée en vigueur en janvier et non compensée pour environ 60 % des 16 millions de retraités, qui financent ainsi les baisses de cotisations pour les salariés. En mars dernier, Edouard Philippe avait, en partie, rétropédalé en promettant une « correction » pour « 100.000 couples » aux revenus modestes. La mesure inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019 concernera finalement « 350.000 foyers ». Pour certains députés LREM, cette révision est insuffisante. Ces derniers ont adopté, mardi, un amendement introduisant « plus de progressivité dans les taux de CSG » pour les retraités. La seconde revendication, c’est la sous-revalorisation des retraites de base. Les pensions versées par l’Assurance vieillesse, jusqu’alors indexées sur l’inflation, n’augmenteront que de 0,3 % en 2019 et en 2020, quand la hausse des prix devrait atteindre 1,3 %.
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A picture taken on October 17, 2018 shows wreaths of flowers laid on the Saint-Michel Bridge in Paris, during a rally to commemorate a demonstration by pro-National Liberation Front (FLN) Algerians, on October 17, 1961 in Paris. French President Francois Hollande said on October 17, 2012 that France recognised the "bloody repression" of Algerian protesters in Paris that historians say left dozens, possibly hundreds, dead on October 17, 1961. On that day in 1961, at the call of Algeria's National Liberation Front (FLN), which was fighting for independence from France, between 20,000 and 30,000 men, women and children from Algeria protested in Paris against a police curfew.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: oui
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées le 17 octobre 2018 sur le Pont Saint-Michel, pour commémorer, 57 ans plus tard, l’exécution de manifestants algériens, le 17 octobre 1961. Ce jour-là, en pleine guerre d’Algérie, des Algériens manifestent pacifiquement à Paris contre le couvre-feu décrété par le préfet de police Maurice Papon. Cette mobilisation, organisée à l’appel du FLN, sera très violemment réprimée : entre des dizaines et des centaines de morts selon les sources, des manifestants emprisonnés dans des centres de détention spécialement mis en place (palais des sports, stade Coubertin, parc des expositions, etc.) où ils ont subi des mauvais traitements. Or ce massacre a été longtemps étouffé. Le lendemain, Maurice Papon publie un communiqué de presse où il minimise la répression (officiellement on parle de trois morts) et accuse les manifestants de violence envers les forces de l’ordre. Si quelques journaux tentent de contester cette version, c’est néanmoins ce communiqué qui va incarner la version « officielle ». À partir des années 80 des historiens vont commencer à produire des travaux de recherche sur la manifestation et sa répression. Mais il faut attendre 1997 et le procès de Maurice Papon (sur ses actes pendant l’Occupation) pour que les événements du 17 octobre refassent surface sur la scène publique. Commence alors un long travail de mémoire et d’écriture de l’histoire encore en cours.
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World Wide Fund for Nature (WWF) members holding signs and banners take part in a march against climate change, in front of the Paris Opera, on October 13, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/6.3, ISO 100, Compensation: -1. Flash: oui
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi 13 octobre 2018 à Paris, Lyon, Lille, Marseille, Rennes, Bordeaux ou Strasbourg au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, prolongeant la mobilisation de septembre ayant suivi la démission de Nicolas Hulot. Au total, près de 80 mobilisations étaient prévues en France, y compris dans de plus petites villes comme Reims (500 personnes), Auch (une centaine), Tours ou Angers. Ils étaient 14.500 à Paris, selon le comptage du cabinet Occurence, contre 18.500 selon la préfecture le 8 septembre (50.000 selon les organisateurs). Lyon a connu la deuxième plus forte mobilisation avec 10.000 personnes selon la préfecture. Ailleurs, 3.200 personnes ont défilé à Lille, 2.500 à Bordeaux et 1.850 à Strasbourg (selon la police) sous un soleil radieux, alors que Météo-France recense des records de chaleur pour un mois d’octobre en France. Il y a un mois, la démission de Nicolas Hulot du ministère de la Transition écologique avait poussé de simples citoyens à appeler à une manifestation qui s’est avérée d’une ampleur inédite, avec 115.000 manifestants dans toute la France, selon les organisateurs. François de Rugy, qui a pris la succession de Nicolas Hulot au gouvernement, a salué dans un tweet « la mobilisation de chacun » qui « est une force pour agir ! »
The environmentalist, activist, journalist and photographer Yann Artus-Bertrand (C) takes part in march against climate change, in Paris, on October 13, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 170 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Apercu en tête du cortège lors de la marche contre le réchauffement climatique organisée à Paris le 13 octobre 2018, le photographe mondialement connu pour ses photos est aussi un fervent militant de la cause écologique. Il organise ce dimanche 14 octobre une vente aux enchères exceptionnelle qui servira à financer l’action de sa Fondation baptisée GoodPlanet. Des prix inédits sont à gagner comme une immersion dans les coulisses de The Voice avec Nikos Aliagas, une journée de préparation du journal de 20 heures de TF1 avec Gilles Bouleau, un concert de Calogero avec l’artiste, un déjeuner avec le photographe franco-brésilien Sebastião Salgado ou avec l’acteur français Clovis Cornillac, une journée aux côtés de la chanteuse Zazie… Tous les bénéfices de cette vente seront reversés à la Fondation et contribueront notamment au maintien de la gratuité au public du site du Domaine de Longchamp, où est implantée la Fondation. Ils permettront également le développement de nouveaux projets de sensibilisation à l’écologie et à la solidarité tels que la création d’une ruche à taille humaine ou encore l’ouverture d’un espace dédié à l’alimentation et l’agriculture durable.
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Demonstrators meet a French ministry of sports official (C) as they gather in front of the offices of the Ministry in Paris on October 11, 2018 against the plans for downsizing the number of departement officials and changing the statut of Ministry. On September 4, 2018, double Olympic fencing champion Laura Flessel has announced her decision to resign as France's Sports Minister for "personal reasons" and was replaced by Roxana Maracineanu, who won the silver medal in the 200 metres backstroke at the 2000 Sydney Olympics.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/10, ISO 250, Compensation: -4/3. Flash: non
Les agents des directions régionales et départementales du ministère de la Jeunesse et des sports avaient déposé un préavis de grève pour la journée du jeudi 11 octobre 2018 et ils étaient une centaine au pied de l’immeuble du Ministère, à Paris, pour faire entendre leur colère. Cette manifestation faisait écho aux annonces de cet été du gouvernement. Celui-ci, par la voix de son Premier ministre, évoquait alors une possible suppression de 1.600 postes rattachés au ministère de la Jeunesse et des Sports, correspondant à une coupe franche parmi les conseillers techniques sportifs. Avant que la nouvelle ministre, Roxana Maracineanu, ne tente de calmer le jeu. Six jours seulement après sa nomination comme ministre des sports, Roxana Maracineanu tapait en effet déjà du poing sur la table. Face aux journalistes, elle a déploré les coupes budgétaires auxquelles son ministère est contraint. « Je pense que cette annonce est vraiment très brutale, ce ne sont pas les bons mots qui ont été employés, avait-t-elle dénoncé. Effectivement, c’est un objectif qui vient d’en haut, sans forcément connaître les spécificités vraiment précises du sport, et c’est à moi de les expliquer maintenant ». La nouvelle patronne du sport français s’exprimait en marge de La Parisienne, une course féminine dans la capitale. Pour l’ancienne championne de natation, c’était son premier plongeon médiatique, quelques jours à peine après la démission surprise de Laura Flessel.
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The face of a demonstrator is injured during a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 210 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/5.6, ISO 800. Flash: non
Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
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French union Force Ouvriere (FO) Confederal Secretary Pascal Pavageau (C) takes part in a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -4/3. Flash: non
Lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, pour la première fois depuis la rentrée, afin de protester contre la « destruction du modèle social » du gouvernement et avec l’espoir d’organiser d’autres mobilisations par la suite. Pascal Pavageau, le secrétaire général de Force ouvrière, qui manifestait à Paris, a expliqué qu’il serait dans la rue « pas contre Emmanuel Macron » mais contre « la vision d’individualisation, de casse de notre modèle social, portée par le chef de l’Etat et son gouvernement ». « Il ne faut jamais se réjouir du fait qu’une manifestation soit un pseudo-échec quantitatif », a ajouté M. Pavageau, comme s’il anticipait une faible mobilisation.
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An art installation is seen in front of the Hôtel des Invalides in Paris on october 6, 2018 during the ’Nuit Blanche’. Each first Saturday in October, this event invites to see the city in a different way, at night, lit by neons and other lights. In all parts of the city, artists propose installations, exhibitions, concerts performances, trails, staged scene sets and creations that explore all facets of contemporary art and offer a new view of the city. The Nuit Blanche was first organized in 2002, and, like the Fête de la Musique, it has spread around the world to other cities in France and other European capitals.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/30 sec, f/2.8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Partenaire de la 17ème Nuit Blanche à Paris, Facebook a créé le premier Planétarium des Stories, un espace éphémère situé sur l’Esplanade des Invalides, et où chacun pouvait participer à une œuvre collective en créant des Stories Facebook, diffusées en temps réel dans le Planétarium. Tous les jours, plus de 150 millions de personnes utilisent Facebook Stories pour raconter une histoire, partager un moment inspirant ou drôle.
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Demonstrators carrying yellow signs to demand better housing conditions in Paris geather behind the Mayor of Paris, Anne Hidalgo (C) as she speaks with press during the launch of the ‘Nuit Blanche’ 2018 with sculptor Ugo Schiavi (2nd L) in front of City Hall on october 6, 2018.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 1600, Compensation: -5/3. Flash: non
Samedi 6 octobre 2018, Anne Hidalgo, maire de Paris, et Christophe Girard, adjoint à la maire pour la culture, ont lancé officiellement l’édition 2018 de la Nuit Blanche, aux côtés de Gaël Charbau, directeur artistique de l’évènement et en présence du sculpteur Ugo Schiavi, créateur de l’oeuvre exposée pour la circonstance sur le parvis de l’Hôtel de Ville. L’occasion pour certains habitants, rassemblés en arrière plan, de rappeler à la maire leur difficulté à trouver un logement décent dans la capitale. Depuis 2002, la Ville de Paris organise une Nuit Blanche chaque premier samedi d’octobre. Ce grand événement culturel, à la fois populaire et festif, est centré sur l’installation d’œuvres d’art dans l’espace public ou dans des bâtiments parisiens emblématiques. Cette manifestation gratuite réunit chaque année plus de deux millions de personnes. Elle se décline également dans de nombreuses villes de France et du monde.
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French actress and comedian Muriel Robin (C) talked to the press as she takes part in a demonstration against violence against women on october 6, 2018, in front the Former Paris Law Courts. The actress, who played Jacqueline Sauvage in a TV movie TF1, launched a petition to challenge the authorities.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -1. Flash: non
Plusieurs centaines de personnes se sont mobilisées contre les violences faites aux femmes, samedi 6 octobre 2018 à Paris. L’appel à ce rassemblement avait notamment été lancé par l’humoriste et comédienne Muriel Robin, qui a interprété le rôle de Jacqueline Sauvage dans un téléfilm diffusé cette semaine. « Justice pour les femmes » : tel était le slogan scandé par les centaines de personnes réunies devant l’ancien palais de justice de Paris et ayant répondu à l’appel de plusieurs personnalités, notamment Muriel Robin. Parmi les participants, on pouvait voir la députée de La France insoumise Clémentine Autain, la maire de Paris Anne Hidalgo ou la sénatrice socialiste Laurence Rossignol.
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Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/9, ISO 12800, Compensation: -1/3. Flash: non
Comme pour mieux balayer toute idée de crise politique, le président de la République, Emmanuel Macron, a visité ce mercredi 3 octobre 2018 le Mondial de l’Automobile à Paris. Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…). Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures. Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto. « En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
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Former French interior Minister Claude Gueant (1st L), French author and human rights activist Marek Halter (6th R) and Hassen Chalghoumi 5th (R), Imam of the municipal Drancy mosque, take part in a religious service in Armenian cathedral of Paris, Saint John the Baptist, on October 2, 2018, in honour of the French-Armenian singer Charles Aznavour. The legendary French singer Charles Aznavour has died aged 94, on October 1, 2018. The songwriter, who had just returned from a concert tour of Japan last month, died in his home in Alpilles in southeastern France.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 75 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/3.2, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Un office religieux a été célébré le 2 octobre 2018 en soirée à la cathédrale Arménienne Saint-Jean Baptiste, dans le 8e arrondissement de Paris, en l’honneur du chanteur Franco-Arménien Charles Aznavour, décédé la veille à l’âge de 94 ans. Une célébration en présence de l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant, de l’écrivain Marek Halter et de l’imam de la mosquée municipale de Drancy Hassen Chalghoumi. Si la famille de Charles Aznavour est opposée à des funérailles nationales, un grand événement sera malgré tout organisé en Arménie, le 11 ou 12 octobre prochain, en présence d’Emmanuel Macron. De même, mardi soir, l’Élysée a indiqué dans un communiqué qu’un hommage national sera organisé le vendredi 5 octobre matin aux Invalides, à Paris.
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Renault EZ-ULTIMO Concept car is seen during the first press day of the Paris Motor Show at Paris Expo Porte de Versailles on October 02, 2018 in Paris, France. From 4 to 14 October 2018, the 'Mondial de l'automobile' presents to the public the new cars of the largest automobile brands in the world.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 115 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/7.1, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 367 mots. Le Mondial de l’Auto de Paris est l’un des rendez-vous majeurs parmi les grands salons automobiles du monde. Il se déroule tous les deux ans, les années paires, en octobre, à Paris. Plus d’un million de visiteurs découvrent chaque année les avant-premières dévoilées à cette occasion. Le salon de Paris est depuis 120 ans, la référence des salons automobiles. Le rendez-vous de la Porte de Versailles était, jadis, l’occasion de présenter des stands exubérants, des concepts incroyables, et des modèles majeurs. Citons pêle-mêle la BX, en 1982, la Twingo, en 1992, la Citroën C5, en 2000 ou encore la Renault Mégane III en 2008, sans oublier les concepts comme la 907 en 2004, ou la Citroën Gran Turismo en 2008. Ces dernières années cependant, le Salon de Paris a été moins incontournable que par le passé. Et, suivant un mouvement initié depuis quelques années, de nombreux constructeurs déclinent l’offre. Et pas des moindres, comme l’ensemble du groupe Fiat Chrysler, ou Ford. Ainsi, à Paris, il faudra se passer d’Abarth, Alfa Romeo, Ford, Fiat, Jeep, Mazda, Mitsubishi, Nissan, Opel, Subaru, Volkswagen ou Volvo. Beaucoup de constructeurs étrangers, qui peuvent souffrir de la place que prennent les constructeurs français, ici, à Paris. De tradition, ces derniers sont souvent très actifs à Paris. Mais ce n’est pas la seule raison. Un reproche est en effet fait aux salons. Leur coût. Pour un constructeur, un événement comme celui-ci coute plusieurs centaines de milliers d’euros. Alors les organisateurs s’adaptent : Jean-Claude Girot, commissaire général du Salon détaille « Déjà, nous avons baissé le prix des stands et beaucoup de constructeurs ont réduit leur surface d’exposition. Mais les stands doivent évoluer : il ne faut plus considérer le Mondial comme une simple exposition de voitures avec des décors « cathédrale » très chers. Il faut davantage raconter quelque chose au visiteur, jouer sur l’interactivité. » (…) Une nouveauté. On retrouvera un centre d’essais nouvelles mobilités (hydrogène, électrique…) place de la Concorde, à Paris, sans oublier la parade, ce dimanche, en préambule du Salon, des 120 voitures marquantes de l’événement. Tout en réduisant la durée totale du Salon de cinq jours.
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Models presents creations for L'Oreal during the Spring-Summer 2019 Ready-to-Wear collection fashion show in Paris, on September 30, 2018. The presentation ‘Le Défilé L'Oréal Paris,'took place on a 60-meter long floating catwalk on the river Seine, in the heart of the French capital. The move comes one year after the brand stopped traffic in Paris with its 2017 debut catwalk show, which took place on the iconic Champs-Élysées. Doutzen Kroes, Eva Longoria, Andie MacDowell and Elle Fanning took part to the runway as part of their roles as ambassadors for the brand, accompanied by Thylane Blondeau, Maria Borges, Aja Naomi King, Soo Joo Park, and many other famous faces. The show featured a total of 70 different hair and makeup looks created by Val Garland and Stéphane Lancien, the brand's Global Makeup Artist and Global Hair Artist respectively.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 600mm f/4L IS USM +1.4x III; focale: 840 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/1000 sec, f/9, ISO 1000, Compensation: -1/3. Flash: non
EXTRAIT : 160 mots. Après s’être emparé des Champs-Elysées, avec un tout premier défilé happening l’an passé, L’Oréal Paris a frappé encore plus fort cette saison. À l’occasion de la Fashion Week de Paris printemps-été 2019, la marque, partenaire officiel de l’événement, a implanté un podium de 60 mètres de long amarré aux quais de Seine, flottant littéralement sur l’eau. En s’offrant même le luxe de stopper, le temps d’un instant, le va-et-vient des bateaux parisiens. Le show, ode à la mode et à la beauté, donnait à voir les créations exclusives de 12 créateurs invités, mises en lumière par les célébrissimes égéries de la marque telles qu’Eva Longoria, ou Doutzen Kroes. (…) Cerise sur le gâteau : le défilé n’était pas réservé à une poignée d’happy few comme le sont généralement les rendez-vous de la Fashion Week, ici 200 000 places accueillaient les Parisiens, à côté de 450 VIP.
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Demonstrators take part in a « die-in » protest on the Place de la Republique square in Paris on September 29, 2018 during a gathering against gender-based and sexual violence called by the #NousToutes Collective, one year after the beginning of the #MeToo hashtag campaign, encouraging women to denounce experiences of sexual abuse that has swept across social media in the wake of the wave of allegations targeting Hollywood producer Harvey Weinstein.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 160, Compensation: -1/3. Flash: non
À l’appel du collectif #NousToutes , un Die-In a été organisé le 29 septembre 2018 place de la République, à Paris, pour fêter le premier anniversaire de la vague #MeToo. En octobre 2017, après la publication des enquêtes accusant le producteur américain Harvey Weinstein d’agressions sexuelles, l’actrice américaine Alyssa Milano propose de la reprendre sous forme de hashtag pour partager des témoignages de violences sexuelles et sexistes dans différents milieux.