Demonstrators wearing a yellow vest walk by a burning trash container during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement for the eighth week in a row of nationwide protest against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice" on January 5, 2019 in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 135 mots. L’acte 8 des gilets jaunes marque une hausse de la mobilisation. 50 000 manifestants ont été recensés à travers le pays, contre 32 000 la semaine dernière au pic de la mobilisation. Après une matinée plutôt pacifiste, des heurts ont éclaté un peu partout en France et notamment à Paris, où la préfecture de police a recensé 3 500 gilets jaunes. Des incidents ont ensuite éclaté sur une passerelle reliant les deux rives de la Seine au niveau du Jardin des Tuileries. Des scooters et une voiture ont aussi été incendiés sur le boulevard Saint-Germain où des barricades de fortune ont été érigées. Autre évènement marquant du jour : Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement a dû être évacué de son bureau après l’intrusion de plusieurs individus au sein de ses locaux. (Source : linternaute.com, lien dans l'article complet)
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French Minister for the Ecological and Inclusive Transition Francois de Rugy (1L) and French Junior Minister attached to the Minister of Ecological and Inclusive Transition Brune Poirson (4L) welcome Eric Douet (2L) and Priscillia Ludosky (3L), two representatives of the yellow vest (Gilet jaune) protestor movement, for a meeting, at the French ministry of Ecology, on November 27, 2018, in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70 mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 6400, Compensation: +2/3. Flash: non
Deux porte-parole des « gilets jaunes », Eric Douet et Priscillia Ludosky, ont été reçus mardi 27 novembre 2018 soir par le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy, comme l’avait annoncé Emmanuel Macron quelques heures plus tôt durant son discours sur la transition énergétique. Eric Drouet et Priscillia Ludosky, tous deux à l’origine de ce mouvement de contestation, font partie d’une délégation de huit « porte-parole » créée lundi pour engager une « prise de contact sérieuse et nécessaire » avec les autorités et porter une série de revendications. Mais leur représentativité fait débat au sein même de ce mouvement hétéroclite, né sur les réseaux sociaux hors de tout cadre politique ou syndical, certains affirmant qu’ils se sont « auto-proclamés ». Ils ne se revendiquent pas comme « représentants » du mouvement, mais comme « communicants officiels » et « porte-parole » de revendications issues d’une consultation sur Facebook auprès de plus de 35.000 « gilets jaunes ». À l’issue de son entretien avec le ministre, Eric Drouet a appelé a une nouvelle manifestation samedi prochain à Paris, sur les Champs-Élysées. « Les Français n’ont pas du tout été convaincus » par les annonces de président Emmanuel Macron, a-t-il déclaré à l’issue de la réunion, réclamant en outre une nouvelle rencontre avec « le porte-parole du gouvernement ou le Premier ministre ».
Demonstrators protest , on January 1st, 2018 in Paris, in front of the former Val de Grace hospital, closed by the French Defence ministry, to ask that these buildings serve as shelter for the homeless. French President Emmanuel Macron said in July, 2017, he wanted ‘emergency shelters everywhere for homeless migrants by the year’ but while failing that target, with thousands continuing to sleep rough in cities and woodlands, the government is now focussing on tougher measures to expel migrants. Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 1er janvier 2018, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 132 mots. Une centaine de personnes se sont rassemblées à l’appel de l’association Droit au logement (DAL) le lundi 1er janvier 2018 devant l’entrée de l’ancien hôpital militaire du Val de Grâce à Paris pour demander à Emmanuel Macron d’y accueillir des familles mal-logées. « Emmanuel Macron doit, en tant que chef des armées, demander à l’armée de mettre cet hôpital militaire à la disposition des sans-abris », a déclaré sur place; à des journalistes le porte-parole du DAL Jean-Baptiste Eyraud. « Ce serait une bonne nouvelle pour les Français que le président de la République dise : j’ouvre le Val de Grâce pour les sans-abris et commence à tenir sa parole, qu’il n’y ait plus personne à la rue », a dit M. Eyraud…
C’est le seul dans la garde rapprochée à avoir eu un mandat électif. Porte-parole, chargé de la riposte, il a rejoint Emmanuel Macron fin 2015. Il participait alors aux premières réunions préparatoires. Diplômé de Sciences Po et d’HEC, ancien strauss-kahnien passé par le cabinet de Marisol Touraine, il a été vice-président du
Conseil général de Saône-et-Loire et vice-président de l’agglomération de Châlons-sur-Saône. Il a aussi fait un passage dans le privé à Unibail. Par son biais, on apprend qu’Emmanuel Macron est un grand lecteur de la presse régionale, à laquelle il accorde un entretien à chaque déplacement.
Gérée par la gauche depuis 17 ans, la première région de France est finalement tombée cinq ans plus tard dans l’escarcelle de la droite et de Valérie Pécresse. Qui devient à cette occasion la première femme à la tête de la région Ile-de-France. Valérie Pécresse, 48 ans, est une ancienne ministre, ex-maître de requête au Conseil d’Etat, chef de l’opposition en Ile-de-France et députée des Yvelines. Conseillère à l’Elysée en 1997, elle devient ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche en 2007. A ce titre, elle mène l’une des réformes phares du quinquennat de Nicolas Sarkozy, celle de l’autonomie des universités. Elle reste quatre ans dans cette fonction, puis est nommée, en 2011, ministre du Budget et de la réforme de l’Etat et devient porte-parole du gouvernement. Née le 14 juillet 1967 à Neuilly-sur-Seine, Valérie Pécresse a obtenu son baccalauréat à 16 ans, a fait HEC puis l’ENA. Elle a récemment démissionné de la fonction publique pour se consacrer à une campagne électorale lancée très tôt.
Alors que les violences s’accentuent à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, une mobilisation de soutien à la cause palestinienne était organisée le 10 octobre 2015 place du Châtelet, à Paris. Des heurts se multiplient à la frontière israélienne avec la bande de Gaza depuis une attaque le 1er octobre 2015 qui a coûté la vie à deux colons israéliens en Cisjordanie occupée. Depuis cette date, vingt et un Palestiniens ont été tués, dont sept auteurs présumés d’attaque à l’arme blanche ainsi que quatre Israéliens. Le 11 octobre 2015, la tension n’était toujours pas retombée entre les deux parties. Selon une porte-parole de la police israélienne, un attentat suicide a été mis en échec en Cisjordanie occupée. De son côté, Israël a mené des frappes aériennes en représailles au tir de deux roquettes sur la ville israélienne d’Ashkelon.
A woman holds a banner saying No to occupation, no to apartheid boycott Israel while dozens gather in support to Palestinian people in Paris on October 10, 2015. Since October 1st, 2015, tensions in border between Israel and the Gaza strip get higher : 21 Palestinians were killed and 4 Israelis. A spokesman of Israeli police told that a suicide-attack was foiled in Cisjordania occupied territory.