Ils étaient plusieurs milliers en marche dans Paris « pour la justice et la dignité » ce dimanche 19 mars 2017. Leur objectif : dénoncer les violences policières, à cinq semaines de la présidentielle et un mois et demi après le déclenchement de l’affaire Théo, du nom de ce jeune homme dont l’interpellation brutale a provoqué d’importantes manifestations en février. C’était la deuxième fois, après octobre 2015, que cette marche, à l’initiative de familles de victimes, était organisée dans la capitale. Mais au lendemain de l’agression de militaires à l’aéroport d’Orly,
un important dispositif de sécurité a été mis en place. Parti de la place de la Nation à 14 h, le cortège s’est rendu place de la République, pour assister à un concert de 18 h à minuit. À l’arrière du cortège, plusieurs centaines de personnes portant capuches, cache-nez et lunettes noires ont tiré des fumigènes de façon sporadique. Quelques vitrines d’établissements bancaires ont été cassées, tandis que des projectiles, dont des cocktails molotov, ont été lancés sur des représentants des forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des grenades lacrymogènes.
People take part in a demonstration called by the families of the victims of alleged police brutality, LDH, the Mrap, CGT and FSU against police brutality, discrimination and racism in Paris on March 19, 2017.
Plusieurs milliers de manifestants ont défilé samedi 7 janvier 2017 à Paris afin de réclamer « justice » pour trois militantes kurdes assassinées en 2013 dans la capitale française. « Nous voulons la justice », « Erdogan terroriste », scandaient les manifestants réunis en fin de matinée, malgré un froid glacial, sous une forêt de drapeaux. Fort d’environ 5000 personnes, le cortège parti de la gare du Nord a rejoint la place de la République sous forte protection policière. Sakine Cansiz, 54 ans, une des fondatrices du Parti des travailleurs du Kurdistan, réputée proche de son chef historique Abdullah Öcalan, Fidan Dogan, 28 ans, et Leyla Saylemez, 24 ans, avaient été abattues le 9 janvier 2013 de plusieurs balles à la tête, au siège d’une association kurde en plein coeur de Paris. Accusé du triple assassinat, le Turc Omer Güney, qui devait être jugé fin janvier, est mort à Paris le 17 décembre dernier, victime d’une tumeur cérébrale. Son décès a éteint l’action publique à l’encontre de ce suspect qui avait toujours clamé son innocence. Au terme de l’instruction, les enquêteurs avaient pointé « l’implication » de membres des services secrets turcs, le MIT, dans ce triple assassinat, mais sans pouvoir établir qui étaient les commanditaires de ces crimes, selon une source proche du dossier. Les investigations n’avaient pas permis d’établir si ces agents avaient agi « avec l’aval de leur hiérarchie » ou « à l’insu de leur service afin de le discréditer ou de nuire au processus de paix », entamé à l’époque entre Ankara et le PKK, toujours selon cette source. Les services secrets turcs ont officiellement démenti en janvier 2014 tout rôle dans les assassinats.
Deux ans après sa dernière manifestation d’envergure, le collectif La Manif pour tous avait appelé à défiler dans les rues de Paris, le dimanche 16 octobre 2016. Comme lors des précédents rassemblements, les estimations de la participation ont été très divergentes. Selon la préfecture de police, entre 23 000 et 24 000 personnes ont marché de la porte Dauphine au Trocadéro. Les organisateurs en ont annoncé quant à eux au moins 200 000. En 2012 et 2013, des rassemblements similaires avaient réuni plusieurs centaines de milliers de personnes, suivis d’un net essoufflement après le passage de la loi en mai 2013. En 2014, l’écart d’estimations était encore flagrant, de 70 000 pour la police à 500 000 pour les organisateurs. Le mot d’ordre de la manif ? « Ne plus subir », réclamer l’abrogation de la loi Taubira qui autorisait le mariage pour les homosexuels et crier son hostilité à la procréation médicalement assistée (PMA) et à la gestation pour autrui (GPA), interdite en France. Le mouvement met aussi l’accent sur le thème de la filiation et espère que le contexte politique actuel en France favorisera la mobilisation. Dans le cortège, la foule était largement composée de familles et les couleurs étaient celles du drapeau tricolore et le rose et bleu.
Participants waves flags as they take part in a demonstration organised by the movement ‘La Manif pour tous’ against what are seen as ‘new offensives against the family and education’, in Paris on October 16, 2016.
Marion Maréchal-Le Pen sur le Mariage pour tous : « Il y a de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre »
Présente le 16 octobre 2016 au défilé parisien de la Manif pour tous, la députée FN s’est fait le relais des craintes des manifestants sur la GPA et la PMA. Pour ce rassemblement, l’organisation pouvait compter sur la présence de plusieurs politiques, parmi lesquels Marion Maréchal-Le Pen (FN), qui a rappelé sa volonté d’abroger la loi Taubira. « Nous rappelons aujourd’hui notre volonté d’abrogation de la loi (…) Ces thématiques n’ont jamais véritablement quitté le débat », juge la députée du Vaucluse, au micro d’Europe 1. « Et même si nous rappelons aujourd’hui notre volonté d’abrogation de la loi sur le mariage homosexuel, il s’agit aussi de traiter le sujet des mères porteuses et de la PMA ‘sans père’ et donc à ce titre, il y a de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre, sans parler de toutes les attaques fiscales à répétition que le gouvernement a menées contre les familles durant ce mandat ». PMA « sans père » et GPA sont ainsi vues comme des avatars de la loi Taubira. Quand bien même le gouvernement s’est opposé à de multiples reprises au recours aux mères porteuses. Et que la gauche n’a pas encore autorisé la PMA pour les couples de lesbiennes.
French far-right Front national MP Marion Maréchal Le Pen gives a speech during a protest organized by La Manif pour tous in Paris on October 16, 2016.
Quelque 300 personnes ont participé dimanche à Villejuif (Val-de-Marne) à une marche silencieuse en hommage à Aurélie Châtelain, professeur de fitness de 32 ans, tuée il y a près d’un an lors d’un attentat avorté contre une église catholique de la commune. Comme lors de la première marche blanche, organisée une semaine après le drame, le cortège est parti de l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, la plus grande de la ville et l’une des cibles potentielles de l’attaque. Avant le départ, une cérémonie de recueillement, présidée par l’évêque de Créteil, Mgr Michel Santier, y a été organisée en présence des représentants des communautés juive, musulmane et copte de la ville. Les participants ont ensuite pris la direction du lieu où la jeune mère de famille a été tuée, près de l’institut de cancérologie Gustave-Roussy, et une stèle a été dévoilée. Parmi eux, les parents d’Aurélie, dont la mère serrait contre elle un portrait, et le maire de Caudry, ville du Nord où habitait la victime, ainsi que plusieurs conseillers municipaux, défilant derrière une banderole: « Hier tu dansais parmi nous… Aujourd’hui tu danses parmi les anges ». Le 19 avril au matin, Aurélie Châtelain avait été retrouvée morte, tuée par balle, sur le siège passager de son véhicule. Peu après, un étudiant franco-algérien connu des services de renseignements comme islamiste radical, Sid Ahmed Ghlam, 24 ans, était arrêté à Paris après avoir lui-même appelé les secours: il venait de se blesser avec une arme à feu. La famille d’Aurélie Châtelain, décorée le 18 mars, à titre posthume, de la Légion d’honneur, a reçu en fin d’après-midi la décoration des mains du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
Interior Minister Bernard Cazeneuve attends a homage to slained dancer Aurelie Chatelain on April 10, 2016 in Villejuif, Paris’ suburb. Aurelie Chatelain, an unemployed dance enthusiast, was found dead on April 19, 2015 in Villejuif near Paris, by passers-by as smoke poured out of her car from an overheating laptop. A 24-year-old Franco-Algerian IT student, known to intelligence services for wanting to fight in Syria alongside jihadists, and for allegedly planning a church attack in France was charged with murder after his DNA was found in her car.
Plusieurs milliers de personnes, kurdes en majorité, ont manifesté dimanche 11 octobre 2015 après-midi à Paris, au lendemain de l’attentat meurtrier d’Ankara, pour dénoncer la « politique de guerre » du régime turc. Dans le cortège entre la place de la République et Châtelet, dans le centre de la capitale, flottaient un drapeau kurde géant, des bannières de différents mouvements politiques kurdes et des pancartes noires proclamant: « Les martyrs de la révolution ne meurent jamais », « Erdogan assassin, Europe complice » et « AKP + Daech = attentat Ankara ». L’attentat le plus meurtrier de l’histoire de la Turquie a fait au moins 95 morts samedi. Une manifestation avait déjà réuni un millier de prokurdes samedi à Paris. Ils étaient plus nombreux dimanche, sous le mot d’ordre « Non à la politique de guerre et de terreur de l’État turc ». « On vient démontrer notre solidarité avec les peuples qui souffrent en Turquie et au Moyen-Orient. C’est un attentat contre les forces progressistes, contre la paix, contre ceux qui veulent faire de la Turquie et du Moyen-Orient une région stable », a déclaré Yekbun Eksen, du Conseil démocratique kurde. « On dénonce aussi la politique d’Erdogan qui se sert de la haine et de la terreur comme bases de son pouvoir ».
A Kurdish woman holds pictures of the suicide bomb attack’s site in Ankara which occurred on October 10, 2015, during a rally organised by the Kurdish Democratic Council of France in support of the victims, in Paris, on October 11, 2015. Turkey woke in mourning after at least 95 people were killed by suspected suicide bombers at a peace rally of leftist and pro-Kurdish activists in Ankara.
Le Parti démocratique des peuples turc en France (Halkların Demokratik Partisi ou HDP) s’est rassemblé le 10 octobre 2015 place de la République, à Paris, pour rendre hommage aux 86 victimes tuées le matin même à Ankara, en Turquie, dans le plus grave attentat jamais commis sur le sol de la Turquie. Les manifestants ont défilé jusqu’à la Porte Saint Martin, avec en tête du cortège Osman Baydemir, homme politique turc membre du Peace and Democracy Party (BDP), rejoint quelques instants par Jean-Luc Mélenchon, du Front de Gauche.
Protesters during a demonstration in Paris, on October 10, 2015, in tribute to the victims of the two explosions that occured in Ankara. In fact, on October 10, 2015, 86 people died in the Turkish capital.
Une marche des différents collectifs d’expulsés, de réfugiés et de sans-logis a été organisée par l’association Droit au logement (DAL) le dimanche 20 septembre 2015 depuis le métro La Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Avant de rejoindre la place de la République, le cortège est passé devant l’église Saint-Bernard, dont l’accès était barré par les forces de l’ordre.
Paris: Protestors march to denunciate the situation of the refugees, of people who are expelled in France and of the homeless, on September 20, 2015 in Paris. The march was organized by the Right to Housing (DAL).
Entre 2000 et 3000 personnes se sont mobilisées à Paris samedi 23 mai 2015 après-midi contre le géant de la biotechnologie agricole Monsanto, et contre les OGM, dans le cadre d’une mobilisation mondiale. À l’appel de collectifs citoyens et de nombreuses associations comme Greenpeace, le collectif « Alternatiba » ou « stop Tafta », le cortège est parti vers 16 heures de la place Denfert-Rochereau. Batukada, musique avec des percussions traditionnelles du Brésil, et fanfare ont accueilli les nombreux manifestants dont l’arrivée était prévue, place Joffre, devant le Monument pour la Paix. Les manifestants ont défilé derrière la banderole « Paris marche contre Monsanto », scandant notamment « Vade retro Monsanto », « Monsanto non, ma santé oui » ou encore « Des OGM ? on n’en veut pas ! ».
Protestors convened to Denfert-Rochereau square in Paris on May 23, 2015 to join in international protests against the prevalence of genetically-modified foods; and in particular, against Monsanto, an American multinational agrochemical business.
La maire de Paris Anne Hidalgo a rendu hommage à Brahim Bouarram vendredi matin 1er mai 2015, 20 ans après le meurtre de ce jeune Marocain jeté dans la Seine le 1er mai 1995 par des manifestants issus d’un cortège du Front national. Accompagné de Anne Hidalgo, l’un des deux fils du Marocain assassiné est venu déposer une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative installée, à la demande de Bertrand Delanoë, sur le pont où son père a été assassiné.
Paris mayor, Anne Hidalgo, layer a wreath on May Day near the Carrousel bridge in Paris, in memory of young Moroccan Brahim Bouarram who was thrown into the Seine river, and drowned, by demonstrators from a far-right National front parade in 1995.
Près d’un millier de personnes ont participé samedi 25 avril 2015 à Villejuif (Val-de-Marne) à une marche silencieuse en hommage à Aurélie Châtelain, tuée le dimanche précédent dans cette cité par Sid Ahmed Ghlam, soupçonné d’être un djihadiste qui projetait aussi un attentat contre au moins une église locale. Le cortège est parti de l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, l’une des cibles potentielles de l’attentat, en fin d’après-midi, juste après une cérémonie d’hommage à la jeune femme, en présence du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
People take part in a silent march on April 23, 2015, in Villejuif, near Paris, in honor of Aurélie Châtelain. The girl was killed by Sid Ahmed Ghlam, suspected of being a jihadist who also planned an attack against at least a local church.
La France, voire « le monde », selon les mots de François Hollande, s’est donné rendez-vous ce dimanche 11 janvier 2015 pour défiler en faveur de la liberté d’expression, contre le terrorisme et en hommage aux victimes des attentats survenus dans la semaine. Alors que le départ de la manifestation était prévu officiellement à 15 heures, la place de la République à Paris était noire de monde dès avant 13 heures. Certains politiques ont vite affiché leur mobilisation. En tête du cortège, juste après les chefs d’État invités par François Hollande, on pouvait apercevoir entre autre : le président de région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, le président de l’Association des maires de France, François Baroin, Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du Parti socialiste, le maire PS de Paris, Anne Hidalgo, les patrons des députés PS Bruno Le Roux et des sénateurs PS Didier Guillaume, le sénateur Jean-Vincent Placé, l’ancien président du Parti communiste français, Robert Hue, Laurence Parisot, l’ancienne patronne du Medef.
Ouverture: ƒ/8, Canon EOS-1D X, 8 novembre 2014, correction: +1/3EV, flash: non, focale: 33 mm, ISO: 4000, localisation: 48° 51.8912′ 0″ N 2° 22.6539′ 0″ E, 1/160 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Plus d’un millier de personnes ont commencé à défiler le samedi 8 novembre 2014 à Paris, dénonçant les « violences policières » après la mort de Rémi Fraisse sur le site du projet de barrage contesté de Sivens dans le Tarn. Une manifestation parisienne autorisée par la préfecture, à l’appel de plusieurs partis et organisations, dont le Front de Gauche, les Amis de la terre, Ensemble, Europe Écologie Les verts Île De France, Europe Écologie Les Verts (EELV), l’Unef, l’UNL et la Fédération anarchiste. Le cortège, dans lequel se trouvaient de nombreux jeunes, lycéens et étudiants brandissant la photo de Rémi Fraisse, a quitté la place de la Bastille vers 14 h, scandant des slogans très virulents contre les forces de l’ordre présentes en nombre sur les lieux.
Données techniques de cette photo : Ouverture: ƒ/8 Appareil photo: Canon EOS-1D Mark III Prise de vue: 5 octobre 2014 Focale: 155 mm ISO: 400 Vitesse d’obturation: 1/400 s
Après le vote de la loi Taubira sur le mariage gay, la Manif pour tous organisée dimanche 5 octobre 2014 s’est trouvé de nouveaux arguments (GPA, PMA…). Mais si le discours a évolué, une polémique reste identique : le décompte du nombre de manifestants. Si la manifestation de dimanche n’est pas celle qui a mobilisé le plus depuis le début du mouvement, elle remporte la palme du plus grand écart entre les estimations des organisateurs et de la police. Selon les premiers, le cortège a rassemblé 500 000 personnes à Paris, et 30 000 à Bordeaux. Pour la préfecture, en revanche, les manifestants n’étaient que 70 000 dans la capitale et 7 500 en Aquitaine. A Paris, le différentiel d’estimation est de 1 à plus de 7 (7,14 précisément), ce qui dépasse le précédent record établi le 26 mai 2013.
nes de personnes ont manifesté le samedi 9 août 2014 à Paris à l’appel d’associations kurdes pour dénoncer les massacres commis par l’Etat islamique au Kurdistan irakien et appeler la communauté internationale à réagir. Les manifestants, un millier selon la police, s’étaient regroupés vers 18 h devant la gare de l’Est et ont ensuite défilé en direction de la place de Stalingrad, dans le nord de Paris, derrière une banderole dénonçant un « génocide » préparé par l’EI contre les Kurdes et la minorité Yazidi. Le cortège était composé pour une grande partie de sympathisants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, rebelles kurdes de Turquie) venus avec leurs drapeaux et des portraits de leur dirigeant Abdullah Öcalan emprisonné en Turquie.
Données techniques de cette photo : Ouverture: ƒ/8 Appareil photo: Canon EOS-1D Mark III Prise de vue: 7 juin 2014 Focale: 200 mm ISO: 640 Vitesse d’obturation: 1/1000 s
36 photos sur 70 : cliquez sur la première vignette
Plusieurs milliers de personnes, 3.500 selon la police, se sont rassemblées samedi 7 juin 2014 à Paris en mémoire de Clément Méric, militant d’extrême gauche mort il y a un an à l’issue d’une bagarre avec des skinheads. Le cortège, mené par des «militants antifascistes», a quitté la place de la Bastille peu avant 15 heures, en direction de Gambetta dans l’est de la capitale. Parmi des détonations de pétards et les lumières rosées de fumigènes, la tête du cortège, composée de militants « antifa »(scistes) aux visages souvent dissimulés par des foulards, cagoules ou lunettes noires, s’était placée derrière une banderole « Plus que jamais combattons l’extrême droite ». A l’arrivée du cortège, une partie des manifestants se sont assis par terre, pour écouter quelques prises de parole. Clément Méric est mort le 5 juin 2013 au lendemain d’une rixe entre un groupe de skinheads et des militants d’extrême gauche, dont Clément Méric, près de la gare Saint-Lazare. Quatre personnes sont mises en examen dans cette affaire, dont deux sont en détention provisoire, poursuivies pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
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