Catégorie: "Actualité"
Le premier ministre Édouard Philippe est passé pour la troisième fois au Salon international de l’Agriculture le 27 février 2019 après midi, accompagné du Ministre de l’agriculture Didier Guillaume. Après la visite marathon d’Emmanuel Macron au Salon le samedi 23 février, c’est en effet au tour d’Édouard Philippe d’arpenter les allées de la plus grande ferme de France. Le Premier ministre a notamment souligné l’importance de la recherche et de la formation dans le secteur agricole, soulignant les besoins importants de recrutement.
Résumé : 178 mots. Laurent Wauquiez consacre deux journées au salon de l’agriculture où la région compte de très nombreux exposants. Il a inauguré lundi 25 février 2019 le village régional, la ferme auberge de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a aussi parcouru le pavillon 1 pour échanger notamment avec les éleveurs auvergnats. Mardi, il a rencontré les acteurs des filières de production et les représentants du monde agricole.
Un monde qu’il estime malmené par le président de la République qui n’a pas, selon lui, défendu assez les agriculteurs à Bruxelles. Selon lui, « le gouvernement n’a pas défendu notre politique agricole et nos agriculteurs » à Bruxelles car ce n’est pas une « priorité » d’Emmanuel Macron.
« Là, ce que fait le président, c’est pas correct. Parce qu’on sait tous qu’en ce moment le budget de la politique agricole risque d’être amputé de 10 à 15%. Donc ensuite, quand il vient sur le salon en disant « je défends la politique agricole », c’est faux. Quand il dit ça, il ment », a lancé M. Wauquiez.
Source : france3-regions.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
Un monde qu’il estime malmené par le président de la République qui n’a pas, selon lui, défendu assez les agriculteurs à Bruxelles. Selon lui, « le gouvernement n’a pas défendu notre politique agricole et nos agriculteurs » à Bruxelles car ce n’est pas une « priorité » d’Emmanuel Macron.
« Là, ce que fait le président, c’est pas correct. Parce qu’on sait tous qu’en ce moment le budget de la politique agricole risque d’être amputé de 10 à 15%. Donc ensuite, quand il vient sur le salon en disant « je défends la politique agricole », c’est faux. Quand il dit ça, il ment », a lancé M. Wauquiez.
Source : france3-regions.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 183 mots. Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, a présenté ce lundi 25 février 2019, lors d’un déplacement au bureau de dédouanement postal de Chilly-Mazarin, les résultats de la douane pour l’année 2018. Le travail des quelque 17000 douaniers a été particulièrement intense en 2018. Intense et de qualité puisque la France conserve la première place du classement Doing Business de la Banque mondiale dans la catégorie « commerce transfrontalier ».
« Il y a un an, je donnais comme priorité à la douane la lutte contre la contrebande de tabac pour accompagner la politique de santé publique voulue par le Président de la République et le Premier ministre. Contrer toutes les formes de trafics est la contrepartie logique de l’augmentation du prix du tabac, pour protéger la santé des Français, les ressources de la sécurité sociale et le monopole de distribution des buralistes. Les douanières et les douaniers ont relevé ce défi », a expliqué Gérald Darmanin, qui s’est félicité des bons résultats enregistrés. Par ailleurs, le ministre a évoqué le Brexit qui va bouleverser les contrôles aux frontières.
Source : ladepeche.fr, lien à la fin de l'article complet.
« Il y a un an, je donnais comme priorité à la douane la lutte contre la contrebande de tabac pour accompagner la politique de santé publique voulue par le Président de la République et le Premier ministre. Contrer toutes les formes de trafics est la contrepartie logique de l’augmentation du prix du tabac, pour protéger la santé des Français, les ressources de la sécurité sociale et le monopole de distribution des buralistes. Les douanières et les douaniers ont relevé ce défi », a expliqué Gérald Darmanin, qui s’est félicité des bons résultats enregistrés. Par ailleurs, le ministre a évoqué le Brexit qui va bouleverser les contrôles aux frontières.
Source : ladepeche.fr, lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 238 mots. Le passage obligé a été pris très au sérieux. Emmanuel Macron a passé près de quatorze heures trente au salon de l’Agriculture ce samedi 23 février 2019, soit près de deux heures de plus que l’an dernier, au milieu d’une foule de visiteurs et d’agriculteurs largement bienveillants.
Arrivé à 8 h 47 à la porte de Versailles à Paris, le chef de l’État s’est employé à rassurer un monde agricole toujours inquiet en promettant une politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Il en est reparti à 23 h 27.
L’an dernier, le président était resté 12 h 30 au salon. Il avait alors battu le précédent record détenu par François Hollande, qui y était resté douze heures lors de la campagne présidentielle de 2012. L’année suivante, en 2013, François Hollande avait encore passé dix heures dans les allées du salon de l’agriculture.
Le président socialiste avait explosé les records de ses prédécesseurs. En 2012, en campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy y avait par exemple passé quatre heures. Jacques Chirac, qui ne manquait pas une édition du salon, pouvait y passer huit heures.
À trois mois des élections européennes et en pleine renégociation de la PAC, c’était l’occasion pour Emmanuel Macron de faire partager sa vision d’une politique qui protège les agriculteurs comme les consommateurs des grandes puissances agricoles mondiales, Chine, Russie et États-Unis.
Source : huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
Arrivé à 8 h 47 à la porte de Versailles à Paris, le chef de l’État s’est employé à rassurer un monde agricole toujours inquiet en promettant une politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Il en est reparti à 23 h 27.
L’an dernier, le président était resté 12 h 30 au salon. Il avait alors battu le précédent record détenu par François Hollande, qui y était resté douze heures lors de la campagne présidentielle de 2012. L’année suivante, en 2013, François Hollande avait encore passé dix heures dans les allées du salon de l’agriculture.
Le président socialiste avait explosé les records de ses prédécesseurs. En 2012, en campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy y avait par exemple passé quatre heures. Jacques Chirac, qui ne manquait pas une édition du salon, pouvait y passer huit heures.
À trois mois des élections européennes et en pleine renégociation de la PAC, c’était l’occasion pour Emmanuel Macron de faire partager sa vision d’une politique qui protège les agriculteurs comme les consommateurs des grandes puissances agricoles mondiales, Chine, Russie et États-Unis.
Source : huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide.
Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ».
Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ».
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Résumé : 323 mots. Des milliers de personnes ont commencé à affluer mardi 19 février 2019 au soir place de la République à Paris pour dire non à l’antisémitisme, à l’appel d’une cinquantaine de partis, associations, mouvements. Un périmètre de sécurité a été délimité par des barrières au centre de la place noire de monde, où les responsables politiques ont commencé à se presser vers 19 heures.
Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus.
L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez.
Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien.
Source ; https://www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus.
L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez.
Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien.
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Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, a inauguré le 8e datacenter d’Equinix, le lundi 18 février à Pantin.
Déjà quasiment prévendu, ce datacenter représentant un investissement de 73 millions de dollars et d’une capacité de 850 baies, dans sa première phase, accueille déjà plus de 200 fournisseurs de services cloud. Disposant d’une puissance de consommation de 16 mégawatts, ce sera le datacenter parisien d’Equinix offrant la plus forte densité au mètre carré.
Déjà quasiment prévendu, ce datacenter représentant un investissement de 73 millions de dollars et d’une capacité de 850 baies, dans sa première phase, accueille déjà plus de 200 fournisseurs de services cloud. Disposant d’une puissance de consommation de 16 mégawatts, ce sera le datacenter parisien d’Equinix offrant la plus forte densité au mètre carré.
Résumé : 234 mots. Pour les trois mois du mouvement « gilets jaunes », 41.500 personnes ont défilé ce samedi 16 février 2019 dans les rues de Paris et de plusieurs autres villes de France. Dès la fin de matinée, sous un beau ciel bleu et un soleil resplendissant, on a vu de nombreux manifestants à Paris descendre l’avenue des Champs-Élysées depuis le rond-point de l’Étoile, en direction de l’Assemblée nationale. Ils ont déambulé ensuite boulevard Saint-Michel avant de rejoindre le secteur des Invalides. Le rassemblement, placé sous haute surveillance des forces de l’ordre, se déroulait dans une ambiance bon enfant, malgré des sifflets, des fumigènes et des chants hostiles.
En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées.
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées.
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 156 mots.
Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni.
À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation.
La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni.
À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation.
La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
Résumé : 189 mots.
Des patrons d’auto-écoles se sont mobilisés, lundi 11 février 2019, dans plusieurs villes de France à l’appel de leurs trois principaux syndicats, contre l’« ubérisation » en marche de leur profession, alors qu’un rapport parlementaire pourrait menacer, selon eux, leur réseau au profit des plates-formes en ligne.
Il n’a, pour l’instant, pas été rendu public, mais les trois organisations de la profession – le Conseil national des professions de l’automobile, l’Union nationale intersyndicale des enseignants de la conduite, et l’Union nationale des indépendants de la conduite –, qui s’étaient déjà alarmées en novembre des déclarations d’Emmanuel Macron annonçant une « baisse drastique » du coût du permis, font front uni.
Les syndicats redoutent une « ubérisation » de leur métier avec la fin de l’agrément départemental, au profit d’un agrément national qui abandonnerait l’obligation d’avoir un local.
De quoi favoriser les plateformes en ligne, qui emploient des moniteurs auto-entrepreneurs. Les auto-écoles sont depuis de longues années soumises au contrôle du préfet, qui encadre les activités, le niveau de compétences des auto-écoles et leur implantation sur le territoire.
Source : www.lemonde.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Des patrons d’auto-écoles se sont mobilisés, lundi 11 février 2019, dans plusieurs villes de France à l’appel de leurs trois principaux syndicats, contre l’« ubérisation » en marche de leur profession, alors qu’un rapport parlementaire pourrait menacer, selon eux, leur réseau au profit des plates-formes en ligne.
Il n’a, pour l’instant, pas été rendu public, mais les trois organisations de la profession – le Conseil national des professions de l’automobile, l’Union nationale intersyndicale des enseignants de la conduite, et l’Union nationale des indépendants de la conduite –, qui s’étaient déjà alarmées en novembre des déclarations d’Emmanuel Macron annonçant une « baisse drastique » du coût du permis, font front uni.
Les syndicats redoutent une « ubérisation » de leur métier avec la fin de l’agrément départemental, au profit d’un agrément national qui abandonnerait l’obligation d’avoir un local.
De quoi favoriser les plateformes en ligne, qui emploient des moniteurs auto-entrepreneurs. Les auto-écoles sont depuis de longues années soumises au contrôle du préfet, qui encadre les activités, le niveau de compétences des auto-écoles et leur implantation sur le territoire.
Source : www.lemonde.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Résumé : 195 mots. Toute la communauté chinoise à Paris, son ambassadeur Zhai Jun en tête, s’est donné rendez-vous place de la République, le 10 février 2019, pour fêter l’arrivée du nouvel an selon le calendrier chinois, ainsi que l’entrée dans l’année du Porc.
Depuis une quinzaine d’années on entend à Paris de plus en plus le mandarin, la langue officielle de la République populaire de Chine, ouverte au monde depuis les années 1980. Entre 600 000 et 700 000 personnes, vivant en majorité en Île-de-France. Il y aurait également près de 50 000 personnes d’origine chinoise continentale sans papiers.
La première vague d’immigration chinoise Dim 10.02.2019 du début du 20e siècle, durant la 1re guerre mondiale, la majorité retournera en Chine.
La seconde vague s’est produite entre 1975 et 1985. Près de 150 000 réfugiés d’origine chinoise arrivent du Cambodge et du Vietnam. Des Wenzhou, de la province chinoise du Zhejiang arrivent également et renouent avec le groupe resté après 1914-1918.
Entre 1990 et 2010, la Chine s’est ouverte et des continentaux, en majorité venus de provinces du Nord-Est arrivent de nouveau en France.
Depuis une quinzaine d’années on entend à Paris de plus en plus le mandarin, la langue officielle de la République populaire de Chine, ouverte au monde depuis les années 1980. Entre 600 000 et 700 000 personnes, vivant en majorité en Île-de-France. Il y aurait également près de 50 000 personnes d’origine chinoise continentale sans papiers.
La première vague d’immigration chinoise Dim 10.02.2019 du début du 20e siècle, durant la 1re guerre mondiale, la majorité retournera en Chine.
La seconde vague s’est produite entre 1975 et 1985. Près de 150 000 réfugiés d’origine chinoise arrivent du Cambodge et du Vietnam. Des Wenzhou, de la province chinoise du Zhejiang arrivent également et renouent avec le groupe resté après 1914-1918.
Entre 1990 et 2010, la Chine s’est ouverte et des continentaux, en majorité venus de provinces du Nord-Est arrivent de nouveau en France.
Quand des « gilets jaunes » offrent une rose à la police
Entre les « gilets jaunes » et les policiers, l’ambiance n’est pas toujours tendue. En témoigne cette photo prise le 9 février 2019 sur les Champs-Élysées, à Paris, lors de la 13e séquence de manifestations des gilets jaunes.
Une femme offre une rose rouge à un policier qui lui barre le chemin, et qui conserve la fleur.
Une ambiance bon enfant qui tranche avec les scènes de tension vues ou racontées ces derniers jours.
Une femme offre une rose rouge à un policier qui lui barre le chemin, et qui conserve la fleur.
Une ambiance bon enfant qui tranche avec les scènes de tension vues ou racontées ces derniers jours.
Une voiture Vigipirate incendiée devant la tour Eiffel
Résumé : 168 mots. Chaque samedi depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, des voitures sont régulièrement incendiées un peu partout en France, et plus particulièrement à Paris. Mais cette fois-ci, c’est un véhicule de l’opération Sentinelle qui a été attaqué. L’opération sentinelle est une opération de l’armée française qui a été déclenchée après les attentats de janvier 2015 sur le territoire français. Elle a notamment pour mission de protéger des monuments ou des lieux sensibles. Les vitres de protection installées autour de la tour Eiffel pour prévenir des risques d’attentats ont également été fortement endommagées par les manifestants. Des projectiles ont été jetés sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes. Plus tôt dans la journée, les Gilets jaunes s’étaient rassemblés devant l’Assemblée nationale. Des incidents ont éclaté avec les CRS à l’arrivée du cortège devant le bâtiment, où un manifestant, âgé d’une trentaine d’années selon les pompiers, a eu une main arrachée.
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
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Mariage de Ghosn : Bruno Le Maire veut « la transparence totale »
Résumé : 108 mots. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a déclaré jeudi 7 février 2019 vouloir la « transparence totale » après des révélations sur la convention de mécénat de Renault avec le château de Versailles, qui aurait pu bénéficier personnellement à son ex-PDG Carlos Ghosn pour l’organisation de son mariage.
« L’audit sur Renault a commencé, il commence à donner des résultats, je l’ai commandé personnellement », a-t-il dit. Le constructeur français a annoncé jeudi avoir découvert qu’une contrepartie de 50.000 euros, dans le cadre de sa convention de mécénat avec le château de Versailles, avait été affectée au bénéfice personnel de Carlos Ghosn.
« L’audit sur Renault a commencé, il commence à donner des résultats, je l’ai commandé personnellement », a-t-il dit. Le constructeur français a annoncé jeudi avoir découvert qu’une contrepartie de 50.000 euros, dans le cadre de sa convention de mécénat avec le château de Versailles, avait été affectée au bénéfice personnel de Carlos Ghosn.
Macron « insulteur N°1 » de l’Italie, selon Bardella (RN)
Résumé : 107 mots.
Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes, s'est exprimé, en marge d’une visite au Salon des entrepreneurs, après le rappel par la France de son ambassadeur en Italie.
« Depuis l’élection de Matteo Salvini et de la Ligue, Emmanuel Macron s’est comporté en insulteur public numéro un, lorsqu’il a parlé de lèpre nationaliste et qu’il a pris à partie régulièrement nos amis du gouvernement italien qui ont été élus de manière démocratique », a affirmé le jeune candidat, âgé de 23 ans, dont c’était la première sortie publique de campagne sans la présidente du RN, Marine Le Pen.
Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes, s'est exprimé, en marge d’une visite au Salon des entrepreneurs, après le rappel par la France de son ambassadeur en Italie.
« Depuis l’élection de Matteo Salvini et de la Ligue, Emmanuel Macron s’est comporté en insulteur public numéro un, lorsqu’il a parlé de lèpre nationaliste et qu’il a pris à partie régulièrement nos amis du gouvernement italien qui ont été élus de manière démocratique », a affirmé le jeune candidat, âgé de 23 ans, dont c’était la première sortie publique de campagne sans la présidente du RN, Marine Le Pen.
Ligne SNCF Roissy-Paris. Valérie Pécresse émet des réserves
Résumé : 182 mots. La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse était présente à l’ouverture de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019. Elle vient d’exprimer quelques réserves après l’annonce par la ministre des Transports que le Charles de Gaulle Express, le projet de nouvelle ligne ferrée reliant l’aéroport Charles de Gaulle à la capitale, verrait bien le jour.
Élisabeth Borne, la ministre des Transports, a assuré mercredi matin sur France Bleu Paris, que les travaux du CDG Express ne perturberaient pas le RER B.
Des propos qui ne suffisent pas à rassurer totalement Valérie Pécresse, qui n’est pas convaincue de la capacité de SNCF Réseau de réaliser le projet CDG Express d’ici à 2024 sans dégrader les conditions de circulation des 1,6 millions de voyageurs de l’axe nord ».
Le préfet de région, Michel Cadot, doit rendre un rapport fin mars ou début avril sur le planning des chantiers et des interruptions de trafic durant la période 2020-2023.
Élisabeth Borne, la ministre des Transports, a assuré mercredi matin sur France Bleu Paris, que les travaux du CDG Express ne perturberaient pas le RER B.
Des propos qui ne suffisent pas à rassurer totalement Valérie Pécresse, qui n’est pas convaincue de la capacité de SNCF Réseau de réaliser le projet CDG Express d’ici à 2024 sans dégrader les conditions de circulation des 1,6 millions de voyageurs de l’axe nord ».
Le préfet de région, Michel Cadot, doit rendre un rapport fin mars ou début avril sur le planning des chantiers et des interruptions de trafic durant la période 2020-2023.
Insultes contre Bilal Hassani. Mounir Mahjoubi pour une loi contre les propos haineux
Résumé : 144 mots. Le secrétaire d’Etat chargé du numérique Mounir Mahjoubi a arpenté les stands de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019.
Alors que la désignation de Bilal Hassani pour représenter la France à l’Eurovision faisait le buzz, Mounir Mahjoubi, s’est indigné du « torrent d’insultes sur les réseaux sociaux » à l’égard du jeune chanteur androgyne. Le secrétaire d’État a donc décidé de réagir et a annoncé qu’il allait proposer une loi contre les contenus haineux en 2019.
« Déjà plus de 1 500 tweets insultants, discriminants ou menaçants en raison de son orientation et/ou de son apparence », avait annoncé le collectif Urgence Homophobie, qui s’est associé à Stop Homophobie pour attaquer en justice « chaque personne qui a insulté, discriminé ou menacé » en ligne le jeune chanteur.
Alors que la désignation de Bilal Hassani pour représenter la France à l’Eurovision faisait le buzz, Mounir Mahjoubi, s’est indigné du « torrent d’insultes sur les réseaux sociaux » à l’égard du jeune chanteur androgyne. Le secrétaire d’État a donc décidé de réagir et a annoncé qu’il allait proposer une loi contre les contenus haineux en 2019.
« Déjà plus de 1 500 tweets insultants, discriminants ou menaçants en raison de son orientation et/ou de son apparence », avait annoncé le collectif Urgence Homophobie, qui s’est associé à Stop Homophobie pour attaquer en justice « chaque personne qui a insulté, discriminé ou menacé » en ligne le jeune chanteur.
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ».
« À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical.
En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics.
À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
« À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical.
En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics.
À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.