Un petit dessin…
…ne vaut-il pas mieux qu’un long débat ?
(pompée sans vergogne sur FaceBook…)
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Un petit dessin…
…ne vaut-il pas mieux qu’un long débat ?
(pompée sans vergogne sur FaceBook…)
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♥ 14 février ♥
Demain, il sera trop tard… quoique…
Les Feux de l'Amour (The Young and the Restless)
William Joseph Bell – 1973. Musique : Barry DeVorzon et Perry Botkin.
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En cuisine !
Y aurait-il des haricots fourragers particulièrement adaptés au nourrissage des ovins. Des « haricots de mouton » en quelque sorte ?
Y aurait-il une race spéciale de moutons dont la toison abriterait de surprenantes pousses de haricots. Des « haricots de mouton » en quelque sorte ?
Ces graves questions me turlupinaient depuis qu’un jour, en transit à Paris entre une gare et un aéroport, un bistrot parisien m'avait proposé en plat du Jour son fameux « Haricot de mouton »… Au reste délicieux puisque cette préparation s'accommode fort bien des cuissons par grosses galetouses !
Mais revenons-en à notre mouton et ses fameux haricots. Il a fallu attendre quelques décennies que Google apparaisse pour mettre fin à mon angoisse existentielle. Il serait bien égoïste de ne pas vous en faire profiter… Alors voilà :
Guillaume Tirel, dit Taillevent, (1310-1395) queux du roi Philippe de Valois dévoile dans son livre « Le cuisinier françois » sa recette du
« Hericoc de mouton boully lardé »
Le terme hericoc émanant de l'ancien verbe harigoter « couper en menus morceaux ». Ce n'est qu'à partir de 1642 qu’on ajoute à la préparation une fève importée d'Amérique. Elle deviendra « la fèbve de haricot », puis simplement « haricot ». Notre Haricot de Mouton n'est donc que le nom de la fève accompagnant notre succulent ragout de viande de mouton coupée en menus morceaux !
Faut que je vous quitte, mes fèbves trempent depuis hier soir et j'ai 1 h 1/2 de cuisson !
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Dédicace spéciale à M. Fabius,
Président de la si tant bien réussie COP 21…
C'était samedi soir à la télévision. « Echappées belles » (France 5) promenait une caméra au regard impartial sur Dubaï.
Je connaissais la gigantesque île artificielle en forme de palmier, créée par pompage des sables. Elle est devenue une réserve à ultra-riches. Un hôtel de luxe (forcément) y abrite un aquarium géant, habitat de dizaines de requins, raies… produits d'une pisciculture intégrée. La baie vitrée de certaines suites donne sur ces fonds artificiels.
En centre de cette ville bâtie en plein désert, au pied de vaniteuses tours de verre et d'acier, un green de golf. Un gazon moelleux y est entretenu grâce à une eau de mer dessalée à grand frais par une filiale de Véolia. Des jeux d'orgues aquatiques dignes du grand bassin de Versailles égaient treize fois par jour l'agora d'un grand hôtel.
Des restaurants aux chefs étoilés comme des généraux proposent des mets raffinés à base de produits frais arrivés quotidiennement des cinq continents.
Comme la mode là-bas est aux fleurs fraîches, elles aussi arrivent par avion et sont conservées dans des caves réfrigérées.
Juste un petit bémol à cette symphonie du bonheur : si l'on offre aux femmes des fleurs hors de prix, des taxis rose, conduits par des femmes voilées de rose leur sont réservés… pour leur tranquillité…
Comme la température extérieure avoisine les 50°C, quoi de plus rafraîchissant que de s'offrir la descente d'une piste de ski de neige véritable sous un dôme maintenu à -2°C ? Ou alors faire un peu de rafting au centre aquatique où de puissantes pompes génèrent de sauvages vagues d'eau dessalée ?
J'ai découvert aussi le plus grand magasin de bonbons du monde, abrité dans le plus grand centre commercial du monde (en cours d'agrandissement pour pouvoir accueillir 100 millions de visiteurs/an).
C'est à l'issue de cette visite que, décidément trop écœuré, j'ai quitté cette chaîne pour aller me peaufiner la déprime sur France 2 avec trois minutes (c'est suffisant) du « Grand show de l'humour » de Michel Drucker…
Puis je suis allé me coucher en faisant civiquement bien attention de ne pas laisser la télé sur « veille » !
« Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Homme,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! »
Vigny
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C'est bien vrai, ça !
Piqué à l'instant sur France Inter…
Une émission (originale !) sur les relations ado/portable.
Question (en syntaxe média)
– Le portable, pour vous, c'est quoi ?
– Ben, c'est vachement important, ça permet de communiquer à distance !
Ben oui… Aussi !
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Un courrier qui tombe fort à propos
C'est à la réception de ce genre de missive que l'on mesure notre chance de n'avoir pas un conjoint Attaché parlementaire !
Mais, si minime que soit notre contribution, on ressent quelque légitime fierté à assurer l'aisance financière de nos représentants !
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Journée internationale du câlin
Juste après l’intronisation de Donald Trump et le reportage sur l’hôtel italien enseveli sous une avalanche, enfin une nouvelle agréable à entendre ce matin à la radio !
Aujourd’hui, tout le monde s’aime, s’étreint et se bise… Enfin, c’est comme le Père Noël, on aimerait y croire…
Et l’on y croit ! À Nîmes, au moins, où un correspondant a été dépêché pour nous donner in-situ une leçon de câlinage avec moult chuintements de bisous en fond sonore ; la base en étant la fameuse bise nîmoise : on se doit de se biser 3 fois, une bise pour le Père, une pour la Fils et une pour le Saint-Esprit ! (il est même des régions ou l’on rajoute la bise Amen, sans doute).
Une bien douce manière de commencer la journée…
Enfin sauf, peut-être, pour Tatie Marisol qui nous exhorte depuis des semaines à éternuer dans sa manche, jeter son mouchoir dans un récipient clos, à se laver les mains vingt fois par jour et même à proscrire jusqu’à la poignée de main…
Non Marisol ! Pas dans le foulard !
Je ne vous embrasse pas, mais le cœur y est !
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Une idée pour faire le buzz :
La nuit précédant l'ouverture des soldes, chambouler l'emplacement des rayons de l'hypermarché. Au matin, dès le moment où les plus lestes rampent sous le rideau de fer pour se ruer sur l’article repéré, activer les caméras de vidéo-surveillance.
Communiquer les enregistrements à une chaîne… d'information.
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Pour sortir de dessous la couette en fanfare…
Un taxi pour Tobrouk
… un air bien cadencé chargé de la chaleur du désert libyen pour balancer la froidure de ce dimanche.
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En croquant les dernières…
La légende veut que les papillotes soient nées à Lyon, rue du Bât-d'Argent, dans le quartier des Terreaux vers 1790, quand le jeune commis d'un confiseur eut l'idée, pour charmer sa belle qui travaillait à l'étage au-dessus, de lui envoyer des petits mots d'amour tortillés autour d'une confiserie.
La légende propose deux fins, l'une malheureuse et l'autre heureuse.
Selon la première, M. Papillot, le patron du commis, l'aurait surpris puis renvoyé, mais ayant trouvé l'idée des plus intéressantes, aurait décidé de la mettre à profit : la papillote était née. Selon la seconde, le commis épousa sa belle, qui n’était autre que la nièce de Sieur Papillot.
Il faut toutefois attendre l'année 1898 et la création de l'entreprise Révillon pour que le chocolat enrubanné prenne la route du succès qu'on lui connait.
Une légende de ma jeunesse précisée par Google
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Puisqu’il faudra bien se la fabriquer soi-même…
Bonne année !
Cathy & Guy
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Lendemain de fête…
Après les plantureuses agapes autour des spécialités familiales on calme le jeu et l'on en revient aux plats de l'ordinaire… Du très ordinaire même puisqu'on cède au plaisir basique de déguster à même la boîte de petites sardines discrètement relevées d'un filet de vinaigre…
Une boîte de sardines soigneusement choisie parmi les marques traditionnelles qui font la réputation de nos pêcheries de Douarnenez. De la sardine fine et fondante, conservée dans une huile d'olive vierge extra. Bref, de la sardine CSP+ (ℹ)CSP+ est un sigle qui désigne les catégories socio-professionnelles favorisées, dans le monde occidental des années 2000. C'est un terme employé essentiellement dans une optique de marketing. !
Et puis il est satisfaisant de penser que notre gourmandise contribue au soutien de nos patrons-pêcheurs, au maintien de l'emploi dans nos ports bretons et aussi que l'on répond bien civiquement à la consigne du « consommer français ».
Ah ben ouiche !
Il faut avoir de bons yeux et tomber par hasard sur cette ligne imprimée au dos de la boîte pour apprendre que nos petites sardines « riches en Oméga 3 » sont en fait « préparées en Pologne pour Connétable ».
Elle en a fait des voyages notre Sprattus sprattus de l'Atlantique Nord-Est !
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Réflexion en passant sous la torchère de Feyzin
un jour de circulation alternée (jour & nuit)
« Inexorablement, le végétal triomphera de nos conneries, sans coup férir, malgré nos dégueuleries nucléaires, notre ratissage de l’Amazonie et toutime. Dans moins de pas longtemps, le liseron repoussera sur les parkings, les chênes ou les baobabs sur les pistes d’aéroports ; (…) y’a que les déserts qui ne bougeront pas. Eux, ils attendent. Non pas la fin du monde, car ce sera le contraire qui se produira : la renaissance du monde ! »
San-Antonio – « Faites chauffer la colle », 1993
Merci pour les images Michel !
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Distribution compromise
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Préparons Noël
Petites astuces pour conserver un sapin intact pendant votre absence.
Origine Face Book
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