Picture taken on October 30, 2019, during the 10th edition of the Paris Games Week, a video game show in France organized by the S.E.L.L. (Union of Publishers of Leisure Software). Ranked in the top 3 international video gaming shows, this annual event welcomed 316,000 visitors in 2018 and is a showcase for the video game industry. Builders, editors, studios and props gather to present end-of-year novelties, 2020 games in preview, technological innovations like new consoles and virtual reality, and Esport competitions.
Prise de vue: Mercredi 30 octobre 2019, à 11 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 11-24mm f/4L USM; focale: 12 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/60 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 204 mots Plus de 300.000 personnes sont attendues à la Paris Games Week 2019, à Paris Expo Porte de Versailles du 30 octobre au 3 novembre 2019. LE salon français du jeu vidéo occupe l’équivalent de 12 terrains de foot pour un week-end rempli de tests de jeux, rencontres avec des concepteurs et des animations pour les joueurs et les joueuses de tous les âges. La plupart du temps, l’Esport ce sont des compétitions de jeux vidéo où s’affrontent les meilleurs joueurs de la planète lors de parties filmées et commentées en direct dans des arènes pleines à craquer. Toutes les générations sont présentes dans les stades pour les compétitions de Esport. L’âge moyen du joueur de jeu vidéo en France, c’est 40 ans. La France se situe au 3e rang mondial du jeu vidéo, juste derrière les États-Unis et le Japon avec Ubisoft, « une petite entreprise » créée en 1986 par 5 frères à Carentoir dans le Morbihan, qui a depuis vendu des centaines de millions de jeux dans le monde. Et chez les joueurs, ceux qu’on appelle les gamers, la France est aussi bien représentée avec la team Vitality, 4e mondiale, équipe cofondée par Fabien Devide. Source.
Railway worker wearing jacket of France's national state-owned railway company (SNCF) from the Chatillon TGV Technicentre speaks with press as he protests in front of the headquarters of the SNCF company, in Saint-Denis, near Paris, on October 29, 2019. Originally a local strike in Chatillon that was expressed without notice and without the approval of unions.This spontaneous movement risks calling others before the mobilization day of December 5th. 7 Atlantique TGV out of 10 did not circulate this Monday since the Montparnasse station.
Prise de vue: Mardi 29 octobre 2019, à 14 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 250, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 134 mots Après un rassemblement de moins de deux heures devant le siège de la SNCF à Saint-Denis, quelques dizaines de grévistes du technicentre de Châtillon ont voté la reconduction du mouvement social, débuté lundi 21 octobre 2019. De quoi entraîner de fortes perturbations sur la circulation des trains. Et cela devrait donc se poursuivre au cours des prochains jours. Une semaine après le début de la grève, les grévistes entendaient faire avancer le dialogue avec la direction, avec qui le contact est rompu depuis plusieurs jours. « On aurait pu sortir du conflit dès mercredi, mais il n’y a plus de contact depuis vendredi », expliquait Elvis Thoyer, gréviste du technicentre de Châtillon, en charge de la maintenance des systèmes de sécurité sur les trains. Une fin de non recevoir a été opposée aux grévistes. Source.
(From L to R) French Minister for the Ecological and Inclusive Transition Elisabeth Borne, French Finance and Economy Minister Bruno Le Maire, French energy giant EDF's CEO Jean-Bernard Levy and report head Jean-Martin Folz give a press conference to present a report concerning the construction of the EPR at the Flamanville nuclear plant, at the ministry of Economy, in Paris, on October 28, 2019.
Prise de vue: Lundi 28 octobre 2019, à 10 h 33. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/5, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 161 mots. Le Ministre de l’Économie a reçu ce lundi 28 octobre 2019 le rapport Folz, un audit sur les difficultés et les retards accumulés pour la construction de l’EPR de Flamanville. Bruno Le Maire a affirmé que ce projet est « un échec pour toute la filière électro-nucléaire française » et prévient qu’il faudra « en tirer les leçons et conséquences ». Le ministre a en effet décidé de rendre public le rapport qu’EDF a commandé à Jean-Martin Folz en juin 2019 sur la construction de l’EPR de Flamanville, soit trois mois avant l’annonce publique, le 9 octobre, d’un nouveau surcoût de 1,5 milliard d’euros et d’un report à 2023 de la mise en service du réacteur nucléaire, suite à un problème de soudures à refaire. Un problème identifié officiellement dès début 2017, qu’EDF pensait pouvoir contourner. L’Autorité de sûreté du nucléaire en a décidé autrement. Source.
People gather place de la Nation, one of the Paris’ major crossroad on October 27, 2019, to protest against Islamophobia and media bias in France. A new row over secularism and the wearing of the Islamic hijab in public buildings has erupted in France after a far-right politician asked a woman accompanying her son and other children on a school trip to remove her headscarf.
Prise de vue: Dimanche 27 octobre 2019, à XX h XX. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/2.8, ISO 100, Compensation: -4/3. Flash: non
Des collectifs d’associations et de citoyens organisaient des rassemblements dans toute la France le dimanche 27 octobre 2019 afin de dénoncer l’Islamophobie en France et, selon les organisateurs, les dérives politiques et médiatiques observées dans ce domaine ces dernières semaines, notamment après que Julien Odoul, élu Rassemblement National, ait demandé début octobre à une mère de quitter la salle du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, à cause de son voile. Celle-ci accompagnait son fils lors d’une sortie scolaire. L’événement a relancé le débat sur le port du voile. À Paris, le Comité d’organisation du rassemblement Ensemble contre l’islamophobie avait appelé à se rassembler place de la Nation, pour demander au chef de l’Etat et aux membres du gouvernement de condamner fermement les actions islamophobes et de tout mettre en œuvre pour ne plus banaliser ce phénomène.
Women hold placards reading names of women victims of femicide as they lay on the ground of place de la Republique, in Paris, during a "die-in" demonstration called by different associations to denounce feminicides in France, on October 19, 2019. 121st victim of a femicide in France in year 2019 died on October 14.
Prise de vue: Samedi 19 octobre 2019, à 15 h 13. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -1. Flash: non
Résumé: 307 mots. Cinq « die-in », ces manifestations où des personnes s’allongent au sol pour simuler la mort, ont été organisés à Paris samedi après-midi à l’appel du collectif féministe #NousToutes pour dénoncer les féminicides. « Dès la mi-octobre, nous avons atteint le nombre de victimes total de l’année dernière, soit 121 femmes, a lancé au micro Fatima Benomar, une des membres et organisatrices d’un des cinq événements simultanés, place de la République, où était également présente Caroline De Haas, militante du collectif #NousToutes. Les quatre autres mobilisations similaires se sont tenues sur les places de la Nation, Bastille, Saint-Michel et Châtelet. « Des solutions existent, il n’y a pas de fatalité », a souligné Mme Benomar, rappelant que « les victimes émettent souvent des signaux d’alerte, appellent le 115, le 3919, portent plainte, et on les incite plutôt à déposer une main courante, on leur propose une médiation avec le conjoint violent, on minimise le récit, on les culpabilise ». D’abord debout, elles se sont allongées par terre l’une après l’autre, au fur et à mesure qu’un fichier sonore diffusait des dialogues fictifs, inspirés de dialogues téléphoniques véritables, illustrant le « mauvais » accueil des victimes dans les commissariats. « Je voudrais vous signaler que mon mari me frappe et ce soir, j’ai très peur qu’il m’arrive quelque chose de grave », pouvait-on entendre une femme, dans un des dialogues. « Qu’est-ce que vous appelez “il vous frappe” ? Des gifles ? C’est pas des coups », lui répond le policier fictif. Après le « die-in », les femmes se sont relevées au cri de « Pas une de plus », puis « 121 femmes assassinées, Macron, faut se réveiller ! ». Le collectif, qui réclame un milliard d’euros pour cette cause, appelle à « une grande marche » contre les violences faites aux femmes samedi 23 novembre 2019. Source
Woman holds a placard reading « We are home » during a demonstration on October 19, 2019 on the place de la Republique in Paris. A new row over secularism and the wearing of the Islamic hijab in public buildings has erupted in France after a far-right politician asked a woman accompanying her son and other children on a school trip to remove her headscarf.
Prise de vue: Samedi 19 octobre 2019, à 13 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 200, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé: 316 mots. « Racisme d’État ! À bas, à bas, l’islamophobie ! ». C’est derrière ce slogan que plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés ce samedi 19 octobre 2019 place de la République à Paris. Après une semaine marquée par des débats très virulents sur le port du voile, déclenchés par l’interpellation d’une accompagnatrice de sortie scolaire par un élu du RN en Bourgogne-Franche-Comté, le collectif de Défense des Jeunes du Mantois avait appelé à un « rassemblement fraternel » au pied de la statue de Marianne, dans le Xe arrondissement de la capitale. Beaucoup de femmes portant le voile avaient fait le déplacement. « Personne ne supporte plus l’autre, on vit dans un climat très tendu qui détruit toute société. J’espère que ça va se calmer. Toutes les guerres commencent par la haine » témoigne une jeune femme dans le HuffPost. « On veut juste vivre normalement comme tout citoyen français, on paye nos impôts, on est intégrées, on travaille au quotidien et on est tous Français dans l’âme », résume Samira, également interrogée par Le HuffPost. Elle dit avoir peur, comme plusieurs des manifestantes qui portent le foulard. « C’est la chasse aux sorcières voilées. On ne vous fait pas de mal, j’ai 57 ans, je n’ai pas bougé, je suis née en France, je suis restée là, je suis Française, mais laissez nous tranquille on n’a rien fait ! » implore cette manifestante. Elle-même a accompagné des sorties scolaires il y a quelques années, elle assure que « si on n’était pas là, il n’y avait pas de sortie scolaire, c’est nous qui les faisions, car les parents travaillaient. Et là, on savait nous appeler ! ‘Jamila vous venez? On n’a pas assez de monde’ et après on s’attaque à nous ? » regrette-t-elle avant de lancer au polémiste connu pour ses discours anti-musulmans : « Arrêtez M. Zemmour ! ». Source
CityScoot CEO for France and Italy Bertrand Fleurose (R) and Uber general manager for France, Switzerland and Austria Steve Salom (L) pose with one of CityScoot's electric scooter after a press conference with Uber to announce that CityScoot will be soon available on the Uber application, at the Autonomy and Urban Mobility show, in Paris on October 16, 2019.
Prise de vue: Mercredi 16 octobre 2019, à 10 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/2.8, ISO 1600, Compensation: +2/3. Flash: non
Résumé: 234 mots. Uber, géant américain des transports, a annoncé ce mercredi 16 octobre 2019 une innovation qui fait de Paris « la capitale mondiale de la mobilité ». Après les VTC, les vélos et trottinettes électriques de Jump, l’application Uber va en effet intégrer, « dans les prochaines semaines, avant 2020 », les 4000 scooters électriques en libre-service de Cityscoot. Cityscoot, lancé en 2016, est le leader français du secteur des scooters en libre-service, avec 4000 scooters, 150 000 utilisateurs, et 15 000 à 20 000 trajets par jour à Paris et dans une quinzaine de villes de proche banlieue. L’accord entre les deux entreprises est un « partenariat commercial », dans lequel Cityscoot reversera à Uber une commission, dont le montant n’a pas été dévoilé, pour tous les trajets effectués à scooter via l’appli Uber, a expliqué Bertrand Fleurose, PDG fondateur de Cityscoot. « On voulait s’associer avec le leader, a expliqué Steve Salom, directeur général d’Uber pour la France. La complémentarité est totale. Nos utilisateurs de VTC le font surtout les soirs et week-ends, et sont en majorité des femmes. Les trajets en Cityscoot se font plus en semaine, par des hommes en majorité ». En intégrant les scooters, après avoir déjà proposé depuis le printemps les trottinettes et vélos électriques rouges de Jump , Uber ambitionne de devenir une « plateforme de mobilité totale, capable de concurrencer la voiture individuelle », a poursuivi Steve Salom. Source
Prise de vue: Mercredi 16 octobre 2019, à 9 h 25. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 4000. Flash: non
The Urban Mobility Summit – fondé en 2015 - ouvrait ses portes le 16 octobre 2019 dans la Grande Halle de La Villette, à Paris. Fondé en 2015, cet événement dédié à la mobilité urbaine rassemble chaque année près de 8 000 visiteurs du monde entier et permet de découvrir les innovations en terme de véhicules individuels et collectifs et de circulations douces.
Firefighters protest at place de la Republique, during the day of mobilization and national demonstration of the professional French firefighters in Paris, on October 15, 2019.
Prise de vue: Mardi 15 octobre 2019, à 12 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé: 210 mots. Des milliers de pompiers professionnels «en colère» ont défilé mardi 15 octobre 2019 après-midi à Paris pour dénoncer le manque d’effectifs et de reconnaissance de leur profession, lors d’une manifestation nationale qui s’est conclue par des échauffourées avec les forces de l’ordre. La marche a réuni entre 7.000 à 10.000 personnes, selon les neuf syndicats de la profession qui avaient tous appelé à la mobilisation. Plusieurs dizaines d’autres pompiers se sont également rassemblés devant l’Assemblée nationale, où ils ont été dispersés en fin de journée après plusieurs heures de face-à-face tendu avec les forces de l’ordre. La préfecture de police a dénoncé « l’irresponsabilité de certains manifestants » qui ont maintenu des actions « en dépit des ordres de dispersion ». Trois membres des forces de l’ordre ont été blessés et six manifestants interpellés pour violences ou jets de projectiles, selon la Préfecture de Police. Ils ont reçu le renfort d’infirmiers et infirmières, de médecins hospitaliers et d’employés du Samu, qui dénoncent eux aussi les manques d’effectifs dans leurs services « débordés ». Des « gilets jaunes» ont également fraternisé avec des pompiers, entonnant notamment leur habituel refrain « On est là » avant le départ de la place de la République. Source
Supporters of the Turkish National Soccer Team are waiting to enter the Stade de France in Saint-Denis, suburb of Paris on October 14, 2019, for the Group H qualification football match between France and Turkey, despite tensions between the two countries. Wednesday's release by Turkish President Recep Tayyip Erdogan of a military operation against a Kurdish militia in Syria sparked an international outcry. France has denounced a "unilateral offensive" and suspended its arms sales to Turkey. And in Paris, several demonstrations in support of the Kurds of Syria have already taken place this weekend.
Prise de vue: Lundi 14 octobre 2019, à 17 h 09. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/7.1, ISO 1600, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 348 mots. Ils n’ont pas arrêté, pas une seconde, de chanter, danser, d’exhiber leur drapeau et leurs couleurs, rouge et blanche, dès la fin de l’après-midi, aux abords du Stade de France. Sans baisser de volume, ni se lasser d’arpenter, sous un grand drapeau turc, la rue Jules-Rimet, dans un flux et reflux aussi entêtant que les chansons de Tarkan et de Fatih Bulut que les enceintes ont crachées durant des heures. Au contraire, l’espace se libérant devant le café brasserie Le Rendez-vous, en face de la Porte B du SDF, les supporters ont pu esquisser des pas de danse, loin d’un contexte géopolitique lourd avec l’intervention militaire turque en Syrie, dans une zone principalement peuplée de Kurdes. Que tous avaient en tête mais qu’ils ne souhaitaient pas voir parasiter la rencontre : « On est venus de partout de Belgique, de France, de Strasbourg, de Lyon… On est fiers de notre équipe mais on ne cherche pas la bagarre, on est juste venu assister à cette finale du groupe. Bien sûr que le Stade va être turc mais il n’y aura pas débordement. Et je pense même que la Marseillaise ne sera pas sifflée », assurait Serkan Avci, chauffeur VTC de 29 ans. Osman, Franco-turc de 21 ans et gérant dans le BTP à Reims, cherchait, lui aussi, à dédramatiser le contexte autour de la rencontre : « Vous le voyez, l’ambiance est gentille, tout le monde chante, danse. ». Sa position sur Erdogan et l’intervention militaire ? « Il y a ce que disent les médias turcs et ce que disent les médias français. Pour ces derniers, Erdogan attaque les Kurdes alors qu’il ne fait qu’attaquer le PKK, qui est un mouvement terroriste. Erdogan ne fait que nettoyer notre frontière. Mais les Kurdes, eux, sont nos frères. Mon meilleur ami est kurde, il est même pro-PKK alors que je suis pro Erdogan mais il sait que je serai toujours là pour lui et lui pour moi ». Source
A woman is wearing a battle dress with the Kurdistan Army insignia during a demonstration at the place de la Republique in Paris, on October 12, 2019, in support of the Kurds and against the Turkish offensive in Syria. On October 9, 2019, the Turkish military began its assault against Kurdish-held territory in northern Syria , pummeling with artillery and airstrikes. Kurds are rapidly evacuating the region and at least 24 people have been killed in northern Syria. According to Turkish president Recep Erdogan, Turkey’s goal is to create a buffer zone separating Syria’s Kurds from the Turkish border.
Prise de vue: Samedi 12 octobre 2019, à 14 h 08. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 800. Flash: non
Résumé : 146 mots. Plusieurs milliers de personnes étaient réunies ce samedi 12 octobre 2019 place de la République, à Paris, en soutien aux Kurdes du Rojava. Depuis mercredi, la Turquie a lancé son offensive dans le nord-est syrien, attaquant les positions kurdes, et entraînant la fuite de plus de 100.000 civils. « J’ai le coeur brisé, confie Zilan, une jeune kurde d’origine turque. Je ne suis pas du Rojava, mais nous formons une grande famille ». Umut, solide bonhomme de 32 ans qui travaille dans le bâtiment, bouillonne d’impuissance depuis le début de semaine : « ça ne sert pas à grand-chose d’être ici. On serait plus utile là-bas, à se battre ». À deux pas, sur une estrade, les applaudissements pleuvent quand certaines personnalités politiques de gauche – Eric Coquerel, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel – appellent le gouvernement à agir. « C’est bien », se réjouit Bulbut. Source
People take part in Paris on October 11, 2019 in a demonstration called by the National Association for the Defense of Victims of Asbestos (ANDEVA), few weeks after a massive fire ravaged a chemical factory in Rouen and residents find pieces of fiber ciment with asbestos in their garden.
Prise de vue: Vendredi 11 octobre 2019, à 13 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -1. Flash: non
L’association nationale de défense des victimes de l’amiante (Andeva) organisait une manifestation ce vendredi 11 octobre 2019 après-midi à Paris pour sensibiliser les Français et les pouvoirs publics aux dangers de la fibre d’amiante. Une manifestation organisée chaque année, mais qui trouvait cette année une résonance particulière, quelques semaines après l’incendie de l’usine Lubrisol, à Rouen. Un site détruit qui comportait notamment pas moins de 8000 m² de toits en fibrociment, un matériau reconnu pour ses qualités isolantes mais contenant de l’amiante, dont des morceaux ont été retrouvés dans les jardins des habitants.
French Minister for Public Action and Accounts Gerald Darmanin (L) adresses tobacconists, in front of by Philippe Coy (3R), President of the National Tobacconists Confederation, during the Congress of the Confederation in Paris, on October 10, 2019. In the last few years, the increase in the price of tobacco has been devastating for tobacconists. Since 2003, 500 shops have closed their doors every year. Today, tobacconists sell food and other products, and also serve as an intermediaries for the local city hall, often times as a pick-up point for packages. More services should continue to arise in the next years in the hopes that if tobacconists diversify their business, they will be able to survive.
Prise de vue: Jeudi 10 octobre 2019, à 13 h 21. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 500, Compensation: +1/3. Flash: non
Résumé : 204 mots. Gérald Darmanin, le Ministre de l’Action et des Comptes publics, est intervenu devant les buralistes réunis au Novotel Paris Centre à l’occasion du Congrès de la Confédération nationale des buralistes, le 10 octobre 2019. La fiscalité sur les produits du tabac, y compris celle sur le tabac à rouler, ne sera pas augmentée dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécu, au-delà des hausses déjà « prévues », a assuré le ministre. « Je refuserai tout amendement parlementaire qui viendrait à augmenter la fiscalité du tabac qui n’était pas prévue, je tiendrai ma promesse », a-t-il affirmé devant les quelque 350 buralistes présents. « Je respecterai l’engagement qui consiste à ne pas faire de mauvaise surprise », a répété Gérald Darmanin, précisant : « Ce ne serait pas correct, vis-à-vis de vous, que de changer la fiscalité », en particulier celle du « tabac à rouler ». Les buralistes craignent que la fiscalité de ce produit ne soit alignée sur celle du paquet de cigarettes, plus élevée, ce qui ferait baisser les ventes, dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2020. Source
Secretary general of French Union Force Ouvriere (FO) Yves Veyrier (C) takes part in a rally in front the Montparnasse train station in Paris on October 8, 2019, to protest against proposed pension reforms. The government pension reforms aims to simplify the current system, with a standardised pension plan rather than the current version, which has 42 different schemes.
Prise de vue: Mardi 8 octobre 2019, à 13 h 54. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 258 mots. Yves Veyrier, le secrétaire général de Force Ouvrière, s’est rendu auprès de retraités qui manifestaient sous la pluie, entre Montparnasse et la rue de Varennes, contre les projets de réforme des retraites. Élu en novembre 2018 à l’âge de 60 ans, le numéro un de Force ouvrière a comme mission prioritaire de cicatriser les blessures causées par les récents scandales ayant ébranlé le syndicat, conduisant à la démission de Pascal Pavageau. Ce représentant de l’aile réformiste du syndicat a recueilli 46% des votes du parlement du syndicat, à peine deux points de plus que Christian Grolier, patron de la fonction publique, soutenu par l’aile contestataire et trotskiste, et 11% à Patrice Clos, numéro un de la fédération des transports et proche de Pavageau. Veyrier va devoir composer avec chacun, et ne disposera pas de réelle marge de manœuvre pour réformer FO. « Il est très structuré », assure un dirigeant du syndicat, « de plus c’est un fin connaisseur de l’appareil », ce qui sera sans doute utile pour préserver un semblant d’unité. S’il fait montre d’une grande courtoisie, il n’a jusqu’à présent jamais pris la lumière, restant dans un relatif anonymat. Le militant Veyrier gravit les échelons un à un, jusqu’à prendre la tête de sa fédération. Il rejoint la direction nationale en 2004, appelé par Jean-Claude Mailly au moment où celui-ci devient secrétaire général. Quand Pascal Pavageau devient numéro 1, Veyrier se voit confier les études prospectives et l’histoire de l’organisation. Un placard. Source.
Several tens of thousands people take part in a protest against a government plan to let single women and lesbians become pregnant with fertility treatments, on October 6, 2019 in Paris. The French National Assembly on September 26, 2019 voted in favor of a bill on bio-ethic giving all women access to fertility treatments such as in vitro fertilisation, "procreation medicalement assistee" or PMA in French and artificial insemination. So far, only heterosexual couples have the right to use medically assisted procreation methods.
Prise de vue: Dimanche 6 octobre 2019, à 15 h 06. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 170 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 147 mots. Mariannes coiffées d’un bonnet phrygien, grands-parents, grappes d’étudiants, familles avec enfants en poussette… les opposants à la PMA pour toutes ont battu le pavé dimanche 6 octobre 2019 après-midi à Paris dans une ambiance proche de celle des premiers rassemblements de 2013 contre la loi Taubira. En fin de défilé, le compteur des organisateurs, sur les écrans géants, s’est arrêté sur le chiffre de 600.000 personnes, sous les acclamations de la foule. Le cabinet indépendant Occurrence, lui, a compté 74.500 personnes. La Préfecture de police a de son côté chiffré à 42.000 le nombre de manifestants. La Manif pour tous a jugé l’estimation donnée par les autorités « en contradiction avec les échanges opérationnels » avec la Préfecture de police. Elle a demandé un accès aux vidéos de la Préfecture sur l’ensemble des itinéraires de la manifestation.