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Il organise ce dimanche 14 octobre une vente aux enchères exceptionnelle qui servira à financer l’action de sa Fondation baptisée GoodPlanet. Des prix inédits sont à gagner comme une immersion dans les coulisses de The Voice avec Nikos Aliagas, une journée de préparation du journal de 20 heures de TF1 avec Gilles Bouleau, un concert de Calogero avec l’artiste, un déjeuner avec le photographe franco-brésilien Sebastião Salgado ou avec l’acteur français Clovis Cornillac, une journée aux côtés de la chanteuse Zazie… Tous les bénéfices de cette vente seront reversés à la Fondation et contribueront notamment au maintien de la gratuité au public du site du Domaine de Longchamp, où est implantée la Fondation. Ils permettront également le développement de nouveaux projets de sensibilisation à l’écologie et à la solidarité tels que la création d’une ruche à taille humaine ou encore l’ouverture d’un espace dédié à l’alimentation et l’agriculture durable.Partager sur ::
Catégorie: "Politique"
Apercu en tête du cortège lors de la marche contre le réchauffement climatique organisée à Paris le 13 octobre 2018, le photographe mondialement connu pour ses photos est aussi un fervent militant de la cause écologique.
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Les agents des directions régionales et départementales du ministère de la Jeunesse et des sports avaient déposé un préavis de grève pour la journée du jeudi 11 octobre 2018 et ils étaient une centaine au pied de l’immeuble du Ministère, à Paris, pour faire entendre leur colère.
Cette manifestation faisait écho aux annonces de cet été du gouvernement. Celui-ci, par la voix de son Premier ministre, évoquait alors une possible suppression de 1.600 postes rattachés au ministère de la Jeunesse et des Sports, correspondant à une coupe franche parmi les conseillers techniques sportifs. Avant que la nouvelle ministre, Roxana Maracineanu, ne tente de calmer le jeu.
Six jours seulement après sa nomination comme ministre des sports, Roxana Maracineanu tapait en effet déjà du poing sur la table. Face aux journalistes, elle a déploré les coupes budgétaires auxquelles son ministère est contraint. « Je pense que cette annonce est vraiment très brutale, ce ne sont pas les bons mots qui ont été employés, avait-t-elle dénoncé. Effectivement, c’est un objectif qui vient d’en haut, sans forcément connaître les spécificités vraiment précises du sport, et c’est à moi de les expliquer maintenant ».
La nouvelle patronne du sport français s’exprimait en marge de La Parisienne, une course féminine dans la capitale. Pour l’ancienne championne de natation, c’était son premier plongeon médiatique, quelques jours à peine après la démission surprise de Laura Flessel.
Cette manifestation faisait écho aux annonces de cet été du gouvernement. Celui-ci, par la voix de son Premier ministre, évoquait alors une possible suppression de 1.600 postes rattachés au ministère de la Jeunesse et des Sports, correspondant à une coupe franche parmi les conseillers techniques sportifs. Avant que la nouvelle ministre, Roxana Maracineanu, ne tente de calmer le jeu.
Six jours seulement après sa nomination comme ministre des sports, Roxana Maracineanu tapait en effet déjà du poing sur la table. Face aux journalistes, elle a déploré les coupes budgétaires auxquelles son ministère est contraint. « Je pense que cette annonce est vraiment très brutale, ce ne sont pas les bons mots qui ont été employés, avait-t-elle dénoncé. Effectivement, c’est un objectif qui vient d’en haut, sans forcément connaître les spécificités vraiment précises du sport, et c’est à moi de les expliquer maintenant ».
La nouvelle patronne du sport français s’exprimait en marge de La Parisienne, une course féminine dans la capitale. Pour l’ancienne championne de natation, c’était son premier plongeon médiatique, quelques jours à peine après la démission surprise de Laura Flessel.
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Alors que lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, des heurts ont opposé les forces de l’ordre à une centaine de « black-blocs » positionnés en tête du cortège qui défilait à Paris entre Montparnasse et la place d’Italie. Des mouvements ayant entrainé notamment un blessé parmi les manifestants.
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Lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, pour la première fois depuis la rentrée, afin de protester contre la « destruction du modèle social » du gouvernement et avec l’espoir d’organiser d’autres mobilisations par la suite. Pascal Pavageau, le secrétaire général de Force ouvrière, qui manifestait à Paris, a expliqué qu’il serait dans la rue « pas contre Emmanuel Macron » mais contre « la vision d’individualisation, de casse de notre modèle social, portée par le chef de l’Etat et son gouvernement ». « Il ne faut jamais se réjouir du fait qu’une manifestation soit un pseudo-échec quantitatif », a ajouté M. Pavageau, comme s’il anticipait une faible mobilisation.
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Plusieurs centaines de personnes se sont mobilisées contre les violences faites aux femmes, samedi 6 octobre 2018 à Paris. L’appel à ce rassemblement avait notamment été lancé par l’humoriste et comédienne Muriel Robin, qui a interprété le rôle de Jacqueline Sauvage dans un téléfilm diffusé cette semaine.
« Justice pour les femmes » : tel était le slogan scandé par les centaines de personnes réunies devant l’ancien palais de justice de Paris et ayant répondu à l’appel de plusieurs personnalités, notamment Muriel Robin. Parmi les participants, on pouvait voir la députée de La France insoumise Clémentine Autain, la maire de Paris Anne Hidalgo ou la sénatrice socialiste Laurence Rossignol.
« Justice pour les femmes » : tel était le slogan scandé par les centaines de personnes réunies devant l’ancien palais de justice de Paris et ayant répondu à l’appel de plusieurs personnalités, notamment Muriel Robin. Parmi les participants, on pouvait voir la députée de La France insoumise Clémentine Autain, la maire de Paris Anne Hidalgo ou la sénatrice socialiste Laurence Rossignol.
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Comme pour mieux balayer toute idée de crise politique, le président de la République, Emmanuel Macron, a visité ce mercredi 3 octobre 2018 le Mondial de l’Automobile à Paris.
Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée
Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…).
Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures.
Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto.
« En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée
Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…).
Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures.
Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto.
« En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
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À l’appel du collectif #NousToutes , un Die-In a été organisé le 29 septembre 2018 place de la République, à Paris, pour fêter le premier anniversaire de la vague #MeToo. En octobre 2017, après la publication des enquêtes accusant le producteur américain Harvey Weinstein d’agressions sexuelles, l’actrice américaine Alyssa Milano propose de la reprendre sous forme de hashtag pour partager des témoignages de violences sexuelles et sexistes dans différents milieux.
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À Paris, Christiane Taubira, ancienne garde des Sceaux et ministre de la Justice est venue marquer son soutien au combat mené par l’ONG Handicap International contre l’utilisation d’armes explosives en zones peuplées, des mines antipersonnel et armes à sous-munitions.
Récemment, l’ex-ministre s’est engagée pleinement dans le combat pour la libération du réalisateur ukrainien Oleg Sentsov, détenu en Sibérie, en participant à une grève de la faim collective devant l’ambassade de Russie à Paris.
Les sorties médiatiques de Christiane Taubira sont cependant rares depuis son départ du gouvernement, en 2016.
« Je suis en retrait du bruit et du brouhaha politique », expliquait-t-elle dans un entretien vidéo accordé à la revue Regards.
Récemment, l’ex-ministre s’est engagée pleinement dans le combat pour la libération du réalisateur ukrainien Oleg Sentsov, détenu en Sibérie, en participant à une grève de la faim collective devant l’ambassade de Russie à Paris.
Les sorties médiatiques de Christiane Taubira sont cependant rares depuis son départ du gouvernement, en 2016.
« Je suis en retrait du bruit et du brouhaha politique », expliquait-t-elle dans un entretien vidéo accordé à la revue Regards.
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Plusieurs centaines d’enseignants, représentant de nombreuses organisations syndicales, se sont rassemblés le 27 septembre 2018 place de la Sorbonne, à Paris, afin de manifester leur désaccord avec la réforme de l’enseignement professionnel. Dernier élément de la réforme du lycée, celle du lycée professionnel a été présentée par le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer le 28 mai 2018. Inspirée par le rapport Calvez – Marcon, la réforme pourrait accentuer la déprofessionnalisation de la filière, faisant notamment de la seconde professionnelle une année de tri et de préparation à l’apprentissage. L’enjeu de cette réforme est de première importance. L’enseignement professionnel porte depuis 20 ans un extraordinaire effort de démocratisation de l’éducation. Selon les décisions qui seront prises par Jean-Michel Blanquer, c’est l’avenir des jeunes des quartiers populaires qui s’ouvrira ou se refermera.
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EXTRAIT : 131 mots. Quelques centaines de sympathisants de La Manif pour tous se sont rassemblés le 25 septembre 2018 en soirée à Paris pour dénoncer l’avis favorable à l’extension de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes.
A Paris, les militants ont manifesté a proximité du siège du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) qui, dans la matinée, a rendu un avis qui ouvre la voie à l’extension de la PMA aux couples de femmes lesbiennes et aux femmes seules. « Vous êtes vigilants, attentifs et prêts à venir manifester pour l’enfant en quelques heures », a lancé la présidente de la Manif pour tous Ludovine de la Rochère.
(…) À quelques centaines de mètres de là, une contre-manifestation rassemblait environ 200 personnes, favorables, elles, à l’avis du CCNE.
A Paris, les militants ont manifesté a proximité du siège du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) qui, dans la matinée, a rendu un avis qui ouvre la voie à l’extension de la PMA aux couples de femmes lesbiennes et aux femmes seules. « Vous êtes vigilants, attentifs et prêts à venir manifester pour l’enfant en quelques heures », a lancé la présidente de la Manif pour tous Ludovine de la Rochère.
(…) À quelques centaines de mètres de là, une contre-manifestation rassemblait environ 200 personnes, favorables, elles, à l’avis du CCNE.
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Devant environ 400 personnes à Mantes-la-Ville la présidente du Rassemblement national (RN) a voulu remobiliser sa base, le 23 septembre 2018, à huit mois des élections européennes.
« Parce que nous sommes des dissidents, rien de nous sera épargné », a estimé Marine Le Pen lors d’une « fête du drapeau » organisée dans la seule ville d’Ile-de-France tenue par le RN. Cette manifestation faisait écho aux populaires fêtes BBR (bleu-blanc-rouge) organisées par son père Jean-Marie Le Pen jusqu’en 2006. « Chaque jour le système nous (sert) une persécution supplémentaire. Un jour une perquisition, un autre jour une mise en examen », a-t-elle énuméré, évoquant aussi les difficultés bancaires de son parti, dont certains comptes ont été clôturés par la Société générale. Marine Le Pen est mise en examen, ainsi qu’une quinzaine d’autres personnes, pour emplois fictifs présumés au Parlement européen.
Dans le cadre de cette affaire, les juges ont saisi 2 millions d’euros d’aide publique dus au RN, craignant que le parti, très endetté, ne s’en serve pour rembourser ses emprunts et ne soit plus en mesure de payer d’éventuels dommages.
« Parce que nous sommes des dissidents, rien de nous sera épargné », a estimé Marine Le Pen lors d’une « fête du drapeau » organisée dans la seule ville d’Ile-de-France tenue par le RN. Cette manifestation faisait écho aux populaires fêtes BBR (bleu-blanc-rouge) organisées par son père Jean-Marie Le Pen jusqu’en 2006. « Chaque jour le système nous (sert) une persécution supplémentaire. Un jour une perquisition, un autre jour une mise en examen », a-t-elle énuméré, évoquant aussi les difficultés bancaires de son parti, dont certains comptes ont été clôturés par la Société générale. Marine Le Pen est mise en examen, ainsi qu’une quinzaine d’autres personnes, pour emplois fictifs présumés au Parlement européen.
Dans le cadre de cette affaire, les juges ont saisi 2 millions d’euros d’aide publique dus au RN, craignant que le parti, très endetté, ne s’en serve pour rembourser ses emprunts et ne soit plus en mesure de payer d’éventuels dommages.
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Un hommage a été rendu le samedi 22 septembre 2018 place de la République, à Paris, à Vanesa Campos, 36 ans, tuée dans la nuit du 16 au 17 août dernier, en plein bois de Boulogne.
Cette transgenre de 36 ans a été mortellement blessée au thorax, alors qu’elle tentait d’empêcher une dizaine de personnes de détrousser des victimes.
Plus largement, les amis de la victime et associations ont manifesté pour dénoncer la « responsabilité politique » liée à l’adoption de la loi sur la prostitution en avril 2016.
Selon eux, ce texte qui pénalise les clients oblige les professionnels du sexe à travailler de manière plus isolée et donc plus dangereuse.
Cette transgenre de 36 ans a été mortellement blessée au thorax, alors qu’elle tentait d’empêcher une dizaine de personnes de détrousser des victimes.
Plus largement, les amis de la victime et associations ont manifesté pour dénoncer la « responsabilité politique » liée à l’adoption de la loi sur la prostitution en avril 2016.
Selon eux, ce texte qui pénalise les clients oblige les professionnels du sexe à travailler de manière plus isolée et donc plus dangereuse.
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Le maire PCF de Choisy-le-Roi Didier Guillaume a réuni les habitants de la ville le 18 septembre 2018, devant l’ancienne mairie, afin de témoigner de l’opposition des Choisyens et de leurs élus au projet de QPS (quartier de préparation à la sortie) envisagé par le ministère de la Justice, un établissement fermé de 180 places destiné à accueillir des détenus en fin de peine. Une pétition lancée par le maire le 23 juin avait rassemblé près de 4 500 signatures en quinze jours.
L’autre site en balance dans le Val-de-Marne se trouve dans la zone de la Ballastière nord à Limeil-Brévannes.
Le maire de Choisy avait appris par l’Agence publique pour l’immobilier de la Justice (Apij) que le terrain envisagé est situé avenue Louis-Luc, en plein quartier du Port.
Une friche entourée d’un hôtel et d’une résidence étudiante d’un côté, et d’une imprimerie de l’autre, avec des immeubles d’habitation en face.
L’autre site en balance dans le Val-de-Marne se trouve dans la zone de la Ballastière nord à Limeil-Brévannes.
Le maire de Choisy avait appris par l’Agence publique pour l’immobilier de la Justice (Apij) que le terrain envisagé est situé avenue Louis-Luc, en plein quartier du Port.
Une friche entourée d’un hôtel et d’une résidence étudiante d’un côté, et d’une imprimerie de l’autre, avec des immeubles d’habitation en face.
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Des manifestants se sont donné rendez-vous Place Denfer-Rochereau, à Paris, le 12 septembre 2018 pour appeler le gouvernement à hâter l’inscription de l’interdiction du glyphosate dans la loi mais aussi appeler plus généralement à une réduction de l’utilisation des pesticides en général au nom de la biodiversité et des insectes pollinisateurs ainsi qu’exiger un meilleur soutien de l’agriculture biologique.
Le cortège s’est ensuite déplacé jusqu’au ministère de la Transition Écologique et Solidaire où il devait être reçu par un conseiller du Ministre.
Le cortège s’est ensuite déplacé jusqu’au ministère de la Transition Écologique et Solidaire où il devait être reçu par un conseiller du Ministre.
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EXTRAIT : 238 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé dans le calme, le samedi 5 mai 2018, entre l’Opéra et la Bastille à Paris pour faire « La fête à Macron ». Un calme seulement rompu par une échauffourée place de la Bastille.
La manifestation a été voulue et organisée par le médiatique député de la Somme François Ruffin, rattaché au groupe parlementaire de la France insoumise, pour dénoncer la politique du chef de l’État « et de son monde ». Tous voulaient participer à un « pot-au-feu » de luttes, soucieux de dépasser les seules mobilisations des cheminots ou des étudiants.
L’image neutre de Ruffin, militant du terrain, a permis de passer outre les divergences politiques au sein de la gauche radicale en vue de la mobilisation.
Mais c’est Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, qui a largement repris le mouvement au fil de la journée…
Selon les souhaits des organisateurs, les politiques devaient rester en queue du cortège, à distance, donc, du carré de tête, « le carré des luttes », réservé aux syndicats…
Mais au final, le grand bus à plate-forme de La France insoumise ne s’est pas retrouvé bien loin du carré de tête.
C’est du haut de ce bus que le député de Marseille a pris la parole à 15 heures, dans une sorte de discours officiel. Une parole reprise à son arrivée place de la Bastille, deux heures plus tard.
La manifestation a été voulue et organisée par le médiatique député de la Somme François Ruffin, rattaché au groupe parlementaire de la France insoumise, pour dénoncer la politique du chef de l’État « et de son monde ». Tous voulaient participer à un « pot-au-feu » de luttes, soucieux de dépasser les seules mobilisations des cheminots ou des étudiants.
L’image neutre de Ruffin, militant du terrain, a permis de passer outre les divergences politiques au sein de la gauche radicale en vue de la mobilisation.
Mais c’est Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, qui a largement repris le mouvement au fil de la journée…
Selon les souhaits des organisateurs, les politiques devaient rester en queue du cortège, à distance, donc, du carré de tête, « le carré des luttes », réservé aux syndicats…
Mais au final, le grand bus à plate-forme de La France insoumise ne s’est pas retrouvé bien loin du carré de tête.
C’est du haut de ce bus que le député de Marseille a pris la parole à 15 heures, dans une sorte de discours officiel. Une parole reprise à son arrivée place de la Bastille, deux heures plus tard.
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