2014 Economics Nobel Prize laureate, Jean Tirole talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 51. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 210 mots. Jean Tirole, lauréat du prix Nobel d’économie en 2014, est intervenu le 15 février 2019 lors du séminaire intitulé « Les réformes économiques en France : premier bilan, défis et perspectives » organisé au ministère de l’Économie et des Finances, à Bercy. Dans une tribune au Journal du Dimanche, Jean Tirole a listé il y a quelques semaines ses propositions pour trouver une fin positive à la crise des « gilets jaunes ». Il affirme en particulier que, « pour les travailleurs modestes, une hausse du Smic n’est pas désirable, car elle risquerait d’aggraver leur sous-emploi ». « Mieux vaudrait augmenter la prime d’activité ». Mais il demande surtout au gouvernement de continuer ses réformes. « La révolte des « gilets jaunes » est l’occasion pour recréer le consentement à l’impôt », appelle Jean Tirole. Au risque de paraître impopulaire par les temps qui courent, Jean Tirole maintient que la taxe carbone « est une bonne taxe ». « En un mot, elle nous permettra de léguer à nos enfants une planète viable », défend l’économiste. Il regrette à ce titre un manque d’information économique, regrettant que les Français n’aient découvert le principe de la taxe carbone, instaurée en 2014, qu’en 2018, « perdant ainsi quatre années dans l’adaptation de leurs décisions au nouveau contexte ». (Source : www.europe1.fr, lien à la fin de l'article complet).
European Commissioner for Economic and Financial Affairs Pierre Moscovici talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 1600, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 108 mots. Pierre Moscovici, Commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la Fiscalité et à l’Union douanière, en ouvrant à Bercy une journée de débats sur les réformes économiques en France, a jugé nécessaire de « garantir une fiscalité équitable pour lutter contre les inégalités ». « Il sera très difficile d’obtenir un consentement à l’impôt fort de la part des couches populaires et de certaines classes moyennes si elles ont le sentiment que les plus riches sont dans une forme d’évitement », a justifié M. Moscovici, tout en appuyant les objectifs fixés par Bruno Le Maire en matière de réformes économiques et de réduction de la dette publique. (Source : www.lunion.fr, lien à la fin de l'article complet).
Protesters take part in an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (gilets jaunes) movement, in the streets of Paris, on March 2, 2019. "Yellow Vest" protesters take to the streets for the 16th consecutive Saturday.
Prise de vue: Samedi 2 mars 2019, à 13 h 30. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 mars 2019 en petit nombre pour leur acte 16, émaillé de quelques heurts en régions, en se donnant rendez-vous dans les prochaines semaines pour marquer la fin du débat national controversé et les quatre mois de ce mouvement social inédit. À 14 h, le ministère de l’Intérieur comptabilisait 5.600 manifestants dans toute la France, dont 1.320 à Paris. La semaine dernière à la même heure, 11.600 personnes avaient été recensées, dont 4.000 dans la capitale. Les chiffres officiels sont régulièrement contestés par les « gilets jaunes ». Selon la préfecture de police de Paris, 17 personnes avaient été interpellées en fin d’après-midi. Le défilé parisien de 12 km parti de l’Arc de Triomphe, auquel participaient les figures Éric Drouet et Maxime Nicolle, s’est déroulé sans incident et s’est dispersé vers 18 h. Le cortège était pour la première fois encadré par des « gilets jaunes » faisant la sécurité à moto. Source : la-croix.com, voir l'article sur newsimages.
French far-right Rassemblement National (RN) party president Marine le Pen (C) meets people as she visits the 2019 Agriculture fair on February 28, 2019 in Paris.
Prise de vue: Jeudi 28 février 2019, à 10 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/7.1, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 220 mots. En visite au Salon de l’Agriculture le samedi 23 février 2019, Emmanuel Macron avait plaidé pour une Europe qui retrouve sa « souveraineté alimentaire », en promettant une Politique agricole commune « réinventée » qui assure la « souveraineté alimentaire, environnementale et industrielle » de l’Europe. Marine Le Pen avait alors dénoncé des « mensonges éhontés ». Une accusation répétée ce jeudi lors de son passage au Salon de l’Agriculture. « Il en est où le plan Marshall de 5 milliards pour l’agriculture, et le plan Ambition bio ? Ça en est où toutes ces belles promesses ? », s’est-elle interrogée devant la presse. Avec Emmanuel Macron, « c’est le chaos et la baisse des aides de la PAC », a-t-elle insisté. « Emmanuel Macron va-t-il ‘Alstomiser’ l’agriculture française », a-t-elle interrogé. Alors que la France et l’Allemagne soutenaient la fusion du Français Alstom et de l’Allemand Siemens, Bruxelles a rejeté en ce début d’année cette union. Une décision qui avait réjoui la députée du Pas-de-Calais. Pour Marine Le Pen, une « Alstomisation » livrerait l’agriculture française aux « prédateurs » de toute sorte : les « prédateurs du bas », avec la loi EgAlim et la hausse des marges dans la grande distribution et les « prédateurs du haut », avec « les sommes faramineuses » versées à l’Union européenne. Source : boursorama.com, lien à la fin de l'article complet.
French Prime Minister Édouard Philippe (C, with a beard visits the 56th International Agriculture Fair (Salon international de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition centre in Paris on February 27, 2019.
Prise de vue: Mercredi 27 février 2019, à 17 h 53. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 59 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
Le premier ministre Édouard Philippe est passé pour la troisième fois au Salon international de l’Agriculture le 27 février 2019 après midi, accompagné du Ministre de l’agriculture Didier Guillaume. Après la visite marathon d’Emmanuel Macron au Salon le samedi 23 février, c’est en effet au tour d’Édouard Philippe d’arpenter les allées de la plus grande ferme de France. Le Premier ministre a notamment souligné l’importance de la recherche et de la formation dans le secteur agricole, soulignant les besoins importants de recrutement.
President of Les Republicains (LR) right-wing party and president of the Auvergne Rhône-Alpes region , Laurent Wauquiez (C), visits the 56th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, on February 26, 2019.
Prise de vue: Mardi 26 février 2019, à 13 h 05. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 178 mots. Laurent Wauquiez consacre deux journées au salon de l’agriculture où la région compte de très nombreux exposants. Il a inauguré lundi 25 février 2019 le village régional, la ferme auberge de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a aussi parcouru le pavillon 1 pour échanger notamment avec les éleveurs auvergnats. Mardi, il a rencontré les acteurs des filières de production et les représentants du monde agricole. Un monde qu’il estime malmené par le président de la République qui n’a pas, selon lui, défendu assez les agriculteurs à Bruxelles. Selon lui, « le gouvernement n’a pas défendu notre politique agricole et nos agriculteurs » à Bruxelles car ce n’est pas une « priorité » d’Emmanuel Macron. « Là, ce que fait le président, c’est pas correct. Parce qu’on sait tous qu’en ce moment le budget de la politique agricole risque d’être amputé de 10 à 15%. Donc ensuite, quand il vient sur le salon en disant « je défends la politique agricole », c’est faux. Quand il dit ça, il ment », a lancé M. Wauquiez. Source : france3-regions.francetvinfo.fr, lien à la fin de l'article complet.
Greta Thunberg (C, with a white placard), the Swedish 16-year-old climate activist and the figurehead of the movement "Youth for Climate" takes part in a demonstration of students in front of the Paris Opera on February 21, 2019, to demand concrete measures to politicians to counter the global warming.
Prise de vue: Vendredi 22 février 2019, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/1000 sec, f/5.6, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 120 mots. Un millier de jeunes se sont rassemblés vendredi 22 février 2019 à Paris, autour de l’adolescente suédoise et égérie du climat Greta Thunberg, pour la deuxième journée d’une mobilisation française des jeunes pour le climat, jusqu’alors timide. Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Youths, mostly high school and college students, demonstrate near the French Ministry for Ecology in Paris on February 15, 2019 to protest against climate change, part of a Europe-wide movement that has seen walkouts in Belgium, Great-Britain, Germany, and Sweden.
Prise de vue: Vendredi 15 février 2019, à 14 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 25 mm. Exposition: Auto, program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 125, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 156 mots. Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni. À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation. La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
A woman demonstrator offers a rose to a French police officer during a demonstration in Paris on February 9, 2019 as the « Yellow Vests » (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The Yellow Vests movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 10 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre les « gilets jaunes » et les policiers, l’ambiance n’est pas toujours tendue. En témoigne cette photo prise le 9 février 2019 sur les Champs-Élysées, à Paris, lors de la 13e séquence de manifestations des gilets jaunes. Une femme offre une rose rouge à un policier qui lui barre le chemin, et qui conserve la fleur. Une ambiance bon enfant qui tranche avec les scènes de tension vues ou racontées ces derniers jours.
A Sentinelle security operation car burns in front of the Eiffel Tower, on the sidelines of a demonstration in Paris on February 9, 2019, as the "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 16 h 54. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 168 mots. Chaque samedi depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, des voitures sont régulièrement incendiées un peu partout en France, et plus particulièrement à Paris. Mais cette fois-ci, c’est un véhicule de l’opération Sentinelle qui a été attaqué. L’opération sentinelle est une opération de l’armée française qui a été déclenchée après les attentats de janvier 2015 sur le territoire français. Elle a notamment pour mission de protéger des monuments ou des lieux sensibles. Les vitres de protection installées autour de la tour Eiffel pour prévenir des risques d’attentats ont également été fortement endommagées par les manifestants. Des projectiles ont été jetés sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes. Plus tôt dans la journée, les Gilets jaunes s’étaient rassemblés devant l’Assemblée nationale. Des incidents ont éclaté avec les CRS à l’arrivée du cortège devant le bâtiment, où un manifestant, âgé d’une trentaine d’années selon les pompiers, a eu une main arrachée.
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
President of the Ile-de France regional council Valerie Pecresse (C, in red) visits the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 6, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Mercredi 6 février 2019, à 12 h 37. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 27 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/7.1, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 182 mots. La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse était présente à l’ouverture de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019. Elle vient d’exprimer quelques réserves après l’annonce par la ministre des Transports que le Charles de Gaulle Express, le projet de nouvelle ligne ferrée reliant l’aéroport Charles de Gaulle à la capitale, verrait bien le jour. Élisabeth Borne, la ministre des Transports, a assuré mercredi matin sur France Bleu Paris, que les travaux du CDG Express ne perturberaient pas le RER B. Des propos qui ne suffisent pas à rassurer totalement Valérie Pécresse, qui n’est pas convaincue de la capacité de SNCF Réseau de réaliser le projet CDG Express d’ici à 2024 sans dégrader les conditions de circulation des 1,6 millions de voyageurs de l’axe nord ». Le préfet de région, Michel Cadot, doit rendre un rapport fin mars ou début avril sur le planning des chantiers et des interruptions de trafic durant la période 2020-2023.
French Junior Minister for the Digital Sector attached to Finance Minister in charge of Public Action and Accounts Mounir Mahjoubi (C) visits the Salon des Entrepreneurs (Entrepreneurship fair) in Paris on February 6, 2019. Entrepreneurs' Fair Paris 2019 is a prominent and an international Fair related to different business services, one of the biggest entrepreneurship event in France. This event help the exhibitors to come together and showcase their most recent products and services along with increasing their visibility of the industry.
Prise de vue: Mercredi 6 février 2019, à 16 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/3.2, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 144 mots. Le secrétaire d’Etat chargé du numérique Mounir Mahjoubi a arpenté les stands de l’édition 2019 du Salon des entrepreneurs, au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, le 6 février 2019. Alors que la désignation de Bilal Hassani pour représenter la France à l’Eurovision faisait le buzz, Mounir Mahjoubi, s’est indigné du « torrent d’insultes sur les réseaux sociaux » à l’égard du jeune chanteur androgyne. Le secrétaire d’État a donc décidé de réagir et a annoncé qu’il allait proposer une loi contre les contenus haineux en 2019. « Déjà plus de 1 500 tweets insultants, discriminants ou menaçants en raison de son orientation et/ou de son apparence », avait annoncé le collectif Urgence Homophobie, qui s’est associé à Stop Homophobie pour attaquer en justice « chaque personne qui a insulté, discriminé ou menacé » en ligne le jeune chanteur.
Demonstrators walk in the rue de Rivoli during a 'Day of strikes' called by the France's General Confederation of Labour (CGT) French worker's union in the French capital Paris on February 5, 2019.
Prise de vue: Mardi 5 février 2019, à 15 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 245 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ». « À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical. En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics. À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
Pensioners hold a banner during a rally on January 31, 2019, in Paris, as part of a nation-wide day of demonstrations to protest against cuts in their pensions due to government reforms.
Prise de vue: Jeudi 31 janvier2019, à 14 h 59. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 155 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4.5, ISO 200, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 255 mots. Le froid hivernal n’a pas découragé les retraités, bien au contraire. Ce jeudi 31 janvier 2019, nos aînés sont à nouveau descendus dans la rue pour une sixième journée d’action depuis septembre 2017 afin de défendre leur pouvoir d’achat. À l’appel de neuf syndicats et associations, les retraités se sont mobilisé partout en France pour réclamer en outre l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une revalorisation de leurs pensions à la hauteur de l’inflation. À Paris, des milliers de retraités ont manifesté pacifiquement au départ de la place d’Italie et en direction du ministère des Finances à Bercy. Dans le cortège, les représentants syndicaux appelant à la démission du président Macron, et les retraités qui se présentent comme les grands oubliés de la politique des mesures fiscales du gouvernement. Comme la majorité des retraités présents place d’Italie à Paris, Agnès dénonce la politique fiscale du gouvernement, qu’elle qualifie de « cercle infernal » : « On prend à Paul pour donner à Jean. Mais au final, aucun citoyen n’est gagnant », s’exclame-t-elle. Dans le cortège, seuls quelques retraités gilets jaunes. « Cela fait neuf ans que je suis à la retraite, avant je pouvais mettre de côté quelques économies alors que maintenant j’ai même quelques restrictions sur mes dépenses alimentaires », s’inquiète Jacques, ancien salarié dans la restauration. Pour Yves, retraité depuis près de cinq ans, c’est le « droit à la retraite qui est remis en cause lentement, mais sûrement ».
Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
A police vehicle sprays water cannon at protesters during an anti-government demonstration in Paris on January 26, 2019 called by the Yellow Vests "Gilets Jaunes" movement. 'Yellow vest' anti-government protesters have taken to the streets in France for the 11th consecutive Saturday on January 26, despite recent divisions in their ranks, and with a displayed tenacity facing an executive which is regaining popularity ten days after the opening of the "great national debate", the French president's bid to prove he will take on board the fierce criticism of "yellow vest" protesters who have upended his reform agenda.
Prise de vue: Samedi 26 janvier 2019, à 16 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
Ce samedi 26 janvier 2019, lors de l’acte 11 du mouvement des gilets jaunes, la mobilisation a été en baisse par rapport à la semaine passée. Au total, le ministère de l’Intérieur a recensé 69 000 manifestants partout en France, et 4 000 à Paris. La « Nuit jaune », voulue par Éric Drouet et déclaré en préfecture n’a finalement pas eu lieu. Après plusieurs heurts place de la République, les forces de l’ordre ont évacué les gilets jaunes, malgré l’autorisation de manifester jusqu’à 22 heures. Dans Paris, cinq manifestations différentes ont été déclarées. Autre fait marquant : Jérôme Rodrigues, un proche d’Éric Drouet, a été blessé à l’œil alors qu’il était sur la place de la Bastille. L’IGPN a été saisie pour en déterminer les causes.
Éric Drouet appelle à « un soulèvement sans précédent »
RÉSUMÉ : 217 mots. « La France en colère » déclare « l’état d’urgence du peuple ». Dans un communiqué publié ce samedi 26 janvier 2019 en fin de journée, le groupe créé par Éric Drouet, l’une des figures des gilets jaunes, réagit à la blessure d’une autre figure médiatique du mouvement, Jérôme Rodrigues, touché à l’œil plus tôt dans la journée, au moment même où il était en train de filmer le cortège parisien de « l’acte XI » en direct sur son compte Facebook. « Il ne peut donc pas s’agir d’une erreur », affirme le communiqué. Munition d’un lanceur de balles de défense, éclat de grenade ou autre projectile, l’origine de sa blessure était inconnue en fin de journée, a de son côté indiqué la préfecture de police de Paris. Le communiqué du groupe sous-entend par ailleurs que le ministre de l’Intérieur aurait laissé faire les casseurs pour ternir l’image du mouvement : « Monsieur Castaner, prenez vos responsabilités, nous ne jouons pas. Les Black block étaient présents et avaient annoncé leur présence ce samedi, vous les avez laissé prendre la tête de plusieurs cortèges en attendant naïvement qu’ils passent à l’action. L’inaction des pouvoirs publics est inacceptable ». Le groupe d’Éric Drouet appelle enfin à un regain de mobilisation « par tous les moyens utiles et nécessaire ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
LBD : le ministère n’oblige pas vraiment les policiers à filmer leurs tirs
RÉSUMÉ : 253 mots. Pour calmer l’émoi suscité par les blessures infligées à des manifestants, depuis le début du mouvement des gilets jaunes, par les lanceurs de balles de défense (LBD), le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé mardi 22 janvier 2019, devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, que les forces de l’ordre enregistreraient désormais leurs tirs en vidéo. Et ce, dès « l’acte 11 » de la mobilisation prévu le samedi suivant. Sauf que RTL révèlait mercredi 23 janvier que le télégramme du ministère de l’Intérieur adressé en ce sens aux policiers leur explique que ces enregistrements… n’ont pas de valeur absolument contraignante. « Je mets comme seul réserve un moment de réaction où ils seraient bousculés, à terre, etc., où évidemment je ne leur en voudrais pas d’utiliser une arme de défense pour garantir leur propre défense », a précisé le patron de Beauvau. Seulement, le télégramme envoyé aux pandores, semble aller plus loin que cette objection puisque les consignes du ministère spécifient qu'« en aucun cas, l’absence d’enregistrement ne peut constituer un motif invalidant le recours aux lanceurs de balles de défense ». Le ministre de l’Intérieur a dénombré quatre pertes de vision – 15 selon Libération –, indiquant des tirs à la tête, contraires aux consignes d’emploi des LBD. Le 15 janvier, le directeur général de la police nationale, Eric Morvan, rappelait ainsi à ses troupes que « le tireur ne doit viser exclusivement que le torse ainsi que les membres supérieurs ou inférieurs ».
Source : www.marianne.net, lien à la fin de l'article complet.
Nathalie Loiseau, Minister for European Affairs (R), and Agnès Pannier-Runacher (L), Minister of State attached to the Minister of the Economy and Finance, take part in a press conference on January 25, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris, following a meeting of professional federations representing every French sector and company, in order to take stock of the UK’s exit from the European Union, the key issues concerning the withdrawal agreement and businesses’ preparedness for all scenarios between now and March 2019.
Prise de vue: Vendredi 25 janvier 2019, à 12 h 20. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 120 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/5, ISO 2000, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 153 mots. Nathalie Loiseau et Agnès Pannier-Runacher préparent les entreprises à un Brexit sans accord. Nathalie Loiseau, ministre chargée des Affaires européennes, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, ont présenté le 25 janvier 2019 aux fédérations professionnelles un plan de sensibilisation des entreprises à l’impact d’un Brexit sans accord. La France regrette le vote de la Chambre des Communes le 15 janvier rejetant la ratification de l’accord de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne. Un débat parlementaire a lieu cette semaine et la Chambre des Communes se prononcera par un vote le 29 janvier. C’est dans ce contexte d’incertitude que le Gouvernement a pris la décision d’accélérer la préparation à un Brexit sans accord. Le Premier ministre a décidé le 17 janvier 2019 de mettre en œuvre le plan préparé en cas d’absence d’accord.
French ruling party La Republique en Marche (LREM) newly elected leader Stanislas Guerini (C) speaks during a conférence of LREM in Paris, on December 24, 2019. The LREM founded by French President Emmanuel Macron has elected Stanislas Guerini as its new leader on December 01, 2018. Stanislas Guerini is 36-years-old, an MP from Paris, and is said to be close to the head of state. Guerini’s first task will be to remobilize the electorate with a view to European elections due in May.
Prise de vue: Jeudi 24 janvier 2019, à 11 h 24. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 100 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/3.2, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 194 mots. En présentant jeudi 24 janvier 2019 sa nouvelle équipe, le délégué général de La République en Marche, Stanislas Guérini, espère redonner de la voix au parti présidentiel, dans l’ornière depuis les succès-éclair de l’année 2017. « Il s’agit d’élargir massivement les fonctions opérationnelles », explique un cadre du mouvement, qui y voit une chance de « refaire de la politique » et de « faire vivre un débat qui n’existe pas » ailleurs dans le camp macroniste. La nouvelle équipe devrait recevoir le concours de parlementaires, et de ministres tels que Marlène Schiappa et Sébastien Lecornu. De quoi relever un parti apathique depuis dix-huit mois ? LREM, qui fêtera début avril son troisième anniversaire, peut certes être considéré comme l’une des entreprises politiques les plus fructueuses de la Ve République : son fondateur a remporté la présidentielle dès sa première tentative, et le mouvement est devenu majoritaire à l’Assemblée, un résultat lui assurant un généreux financement public. « LREM peut devenir un espace de régulation au sein du mouvement », veut croire un député. Programme ambitieux pour un parti qui devra d’abord prouver, aux européennes de mai, qu’il reste une machine électorale performante.
Source : www.liberation.fr (Dominique Albertini), lien à la fin de l'article complet.