Catégorie: "Etranger"
People take part in a demonstration on January 06, 2017 in Paris to commemorate the killing on January 9, 2013 at the Kurdish Information Centre in Paris of the three top Kurdish activists Sakine Cansiz, Fidan Dogan and Leyla Soylemez.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Samedi 6 janvier 2018, à 10 h 20. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 11 décembre 2017, à 15 h 27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III, 1/125 s, f/5.6, ISO 4000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +2x III, 205 mm.
EXTRAIT : 70 mots
Le lundi 11 décembre 2017 après-midi, Arnold Schwarzenegger était accueilli par la maire de Paris, Anne Hidalgo, dans le cadre d’une conférence de presse commune autour du C40, dont elle est la présidente.
Cette organisation, créée il y a dix ans par Ken Livingstone alors maire de Londres, regroupe les plus grandes métropoles dans l’objectif de lutter contre le réchauffement climatique et d’accélérer la mutation écologique…
Former Governor of the US State of California Arnold Schwarzenegger (L) and Mayor of Paris Anne Hidalgo (R) address a press conference on the air quality in big cities in Paris on December 11, 2017.
Cravate et vélo verts, l’entrée remarquée de Schwarzenegger à l’Hôtel de Ville
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 11 décembre 2017, à 14 h 40. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM, 185 mm.
EXTRAIT : 109 mots
Arnold Schwarzenegger sait soigner ses entrées. En visite à Paris ce lundi 11 décembre 2017 pour rencontrer Anne Hidalgo, l’ancien gouverneur de Californie est entré dans la cour de l’Hôtel de Ville… à vélo, sous l’œil des photographes et des caméras. Applaudi par la maire de Paris, il s’est ensuite délesté de sa
bicyclette vert fluo – un Vélib’ parisien – pour saluer l’édile.
Si Arnold Schwarzenegger a choisi un vélo pour entrer à l’hôtel de Ville, ainsi qu’une cravate verte, c’est parce que sa visite concerne la lutte des grandes villes et régions du monde pour une meilleure qualité de l’air…
Former Governor of the US State of California Arnold Schwarzenegger (C) waves as he rides a bicycle in Paris on December 11, 2017, on the sidelines of meetings with Mayor of Paris Anne Hidalgo.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Vendredi 24 novembre 2017, à 16 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 12800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 280 mm.
EXTRAIT
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées devant l’ambassade de Libye ce 24 novembre 2017 à Paris pour réclamer la fin de pratiques esclavagistes, après la diffusion d’un documentaire sur la chaîne américaine CNN confirmant que de nom-
breux Africains, candidats à l’émigration vers l’Europe, étaient réduits en esclavage lors de leur transit par la Libye. La vidéo témoigne du chaos libyen depuis le renversement de Mouammar Kadhafi en 2011…
French rap singer Rost (C) speaks outside the Embassy of Libya in Paris during a demonstration againts slavery in Libya on November 24, 2017.
Sept mille clients de la banque portugaise qui avaient été poussés à placer leurs économies dans un produit financier douteux n’ont jamais été remboursés après sa faillite.
Ils ont fait entendre leur voix en manifestant le 17 juin 2017 au Trocadéro, à Paris, pour réclamer des compensations après la perte de leur épargne.
En effet, au début des années 2000, un nombre important de petits épargnants portugais s’étaient vu proposer par la Banque BES (Banco Espirito Santo) un nouveau produit financier, présenté comme sûr. Il s’agissait en fait d’un produit normalement destiné aux entreprises, qui n’aurait jamais dû être proposé à de simples particuliers. Sept mille clients ont investi, au total, plus de 700 millions d’euros dans ce qu’ils croyaient être une épargne.
Parmi ces clients figure une grande proportion d’émigrés (en France, en Suisse, au Luxembourg) et de retraités.
Lorsque la banque BES a fait faillite, en août 2014, ces épargnes ont été placées du côté de la “mauvaise banque”, alors que les actifs jugés sains ont été placés dans la “bonne banque”, devenues le Novo Banco. L’État a injecté 4,9 milliards d’euros pour sauver la “bonne banque”, mais les économies de ceux que la presse portugaise a nommé “les lésés de la banque BES” n’ont pas été sauvées.
Une vague de protestations a alors pris forme au Portugal et dans les pays où ces immigrés vivent, sous la bannière de quelques associations créées pour l’occasion comme les “Lésés du Novo Banco” (LNB) ou le “Mouvement des émigrés lésés” (MEL).
Victims of toxic investments made by former Banco Espirito Santo (BES) now Novo Banco (New Bank) hold posters and shout slogans in front of the Eiffel tower, in Paris on June 17, 2017 during a demonstration of Portuguese emigrants living in France to claim their lost monies following the during the collapse of BES. According to the movement of aggrieved Emigrants, launched in Paris, some 8000 Portuguese abroad, including 4,000 in France, had traded their savings against BES financial products, mostly presented as safe, totaling 720 million euros.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article,
Le Qatar se retrouve en position de fragilité ce lundi 5 juin 2017. Sur les six pays – dont le Qatar – composant le conseil de coopération du Golfe, trois d’entre eux – l’Arabie Saoudite, Bahreïn et les Émirats arabes unis – ont brusquement annoncé qu’ils cessaient toute relation diplomatique avec Doha.
Puissance régionale, l’Égypte a également décidé de suivre la même voie.
Pour justifier cette décision, les pays évoquent le soutien au terrorisme dont serait coupable le Qatar. « Le Qatar accueille divers
groupes terroristes pour déstabiliser la région, comme la confrérie des Frères musulmans, Daesh et Al-Qaïda » a accusé un responsable saoudien. L’Arabie Saoudite, tout comme l’Égypte, a décidé de fermer toutes ses frontières (terrestre, maritime, aérienne) aux Qataris.
Doha a réagi ce lundi matin. Dans un communiqué, le pays dénonce des mesures « injustifiées » et « sans fondement », qui ont « un objectif clair : placer l’État (du Qatar) sous tutelle, ce qui marque une violation de sa souveraineté ».
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.
Pour sensibiliser l’opinion sur le sort des journalistes emprisonnés en Turquie, Reporters sans frontière (RSF) a lancé le week-end du 27 au 28 mai 2017 à Paris une opération de soutien avec l’artiste de street art C215, qui a réalisé le portrait de dix d’entre eux sur du mobilier urbain dans plusieurs arrondissements de la capitale.
C215, historien de formation, est connu dans le monde entier pour ses pochoirs et fresques murales, à Port-au-Prince, New
Delhi ou encore Brooklyn. Il a commencé à peindre en 2006, principalement des portraits, et il est connu pour le caractère engagé de ses œuvres et pour ses prises de position sur l’actualité.
RSF souligne que depuis l’instauration de l’état d’urgence en Turquie en juillet 2016 plus de 140 médias ont fermé, plus de 700 cartes de presse ont été annulées et plus de 100 journalistes sont emprisonnés.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (68 photos).
Plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées, dimanche 2 avril à Paris, pour exiger « justice » et « vérité » après la mort de Liu Shaoyao, un père de famille chinois de 56 ans, tué le dimanche 26 mars à son domicile du 19e arrondissement par le tir d’un policier. Au milieu de banderoles « Vérité justice, dignité » et d’affiches « J’aime la France », « Pour la paix, la justice ! Contre la violence », les manifestants, roses blanches à la main, se sont retrouvés sur la place de la République pour « un rassemblement de recueillement » à l’appel de plusieurs associations de la com-
munauté chinoise.
Les manifestants ont observé une minute de silence au pied de la statue au centre de la place, où avait été tendue une banderole avec la mention « Police assassin, on veut la justice » et la photo de la victime.
« Nous voulons faire pression et soutenir la famille pour rétablir la vérité et lutter contre les violences policières », a expliqué Sacha Lin Jung, de l’association Chinois résidant en France, qui a co-organisé le rassemblement.
A memorial for Shaoyao Liu, a 56-year-old father killed by police last week, turns into a violent clash between Chinese protesters and police on April 2, 2017 near Place de la Republique.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (20 photos).
Les organisations CAPJPO-EuroPalestine et Droits Devant ont appelé à manifester le 1er avril 2017 à Paris pour « célébrer la résistance palestinienne à l’occupation et à la colonisation de l’occupant israélien » et « exiger des sanctions » contre l’État hébreu. La mobilisation s’est déroulé sur la place du Châtelet, où quelques centaines de manifestants pro-palestiniens ont déployé des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : « Non à la collaboration avec l’occupant israélien ».
À quelques mètres du rassemblement, des contre-manifestants,
tenus à l’écart par un important dispositif policier, ont scandé des slogans hostiles au mouvement Boycott-Désinvestissement-Sanctions (BDS), qui prône notamment le boycott des produits israéliens afin de protester contre la politique de colonisation menée par l’État hébreu en Cisjordanie.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, avait appelé à interdire la tenue du rassemblement pro-palestinien, assurant que celui-ci reprenait « les pires clichés antisémites » et constituait une menace de « troubles à l’ordre public ».
A man speaks to police officers as both supporters and opponents of the Israeli occupation of formerly Palestinian land gather at Place du Chatelet to demonstrate on April 1, 2017 in Paris, France.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (20 photos).
La plupart des slogans étaient écrits en anglais. « Avec son discours misogyne, j’ai peur que Trump autorise implicitement les hommes à se comporter comme lui », expliquait Alexandra, une trentenaire, toute de rose vêtue.
A woman holds a sign reading 'Thank you. We will miss you' in Paris on January 21, 2017 during a women's march in solidarity with women in the US marching against Trump.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.
Accusé du triple assassinat, le Turc Omer Güney, qui devait être jugé fin janvier, est mort à Paris le 17 décembre dernier, victime d’une tumeur cérébrale. Son décès a éteint l’action publique à l’encontre de ce suspect qui avait toujours clamé son innocence.
Au terme de l’instruction, les enquêteurs avaient pointé « l’implication » de membres des services secrets turcs, le MIT, dans ce triple assassinat, mais sans pouvoir établir qui étaient les commanditaires de ces crimes, selon une source proche du dossier. Les investigations n’avaient pas permis d’établir si ces agents avaient agi « avec l’aval de leur hiérarchie » ou « à l’insu de leur service afin de le discréditer ou de nuire au processus de paix », entamé à l’époque entre Ankara et le PKK, toujours selon cette source.
Les services secrets turcs ont officiellement démenti en janvier 2014 tout rôle dans les assassinats.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (19 photos).
Castro avait abandonné en avril 2011 ses dernières responsabilités officielles, en cédant son poste de premier secrétaire du Parti communiste de Cuba à Raul, numéro deux du parti depuis sa fondation en 1965. L’ex-président cubain avait totalement disparu des écrans cubains entre février 2014 et avril 2015, ce qui avait alimenté de nombreuses rumeurs sur son état de santé.
Mais depuis un an et demi, même si ses déplacement restaient limités, il avait recommencé à publier des « réflexions » et s’était remis à recevoir chez lui personnalités et dignitaires étrangers. Son décès survient à peine deux ans après l’annonce historique du rapprochement entre Cuba et les États-Unis, initiée par Barack Obama et Raul Castro.
A man holds a sign as dozens gather in Paris on December 4, 2016 to pay their last respects to Cuban revolutionary Fidel Castro, who died on November 25.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (14 photos).
Décidée en 2007 entre Nicolas Sarkozy et Vladimir Poutine, la construction, au pied de la Tour-Eiffel, de cet ensemble architectural coiffé de cinq bulbes dorés devait fournir à l’Église russe
– 150 millions de fidèles, soit la moitié de l’orthodoxie mondiale – une vitrine aussi prestigieuse qu’inédite en Occident.
D’une certaine manière, l’objectif est atteint. De retour sur le devant de la scène russe et mondiale après plus de soixante-dix ans de persécution par le régime soviétique, cette Église mal connue en France est désormais assurée de drainer l’attention. La magnificence du projet – retoqué une première fois par une municipalité parisienne réticente –, son emplacement dans le quartier le plus touristique de la capitale concourent à poser un signe « égal » entre Russie et orthodoxie, alors que la galaxie orthodoxe compte en réalité quatorze Églises, toutes placées sous la primauté symbolique du patriarche œcuménique de Constantinople.
Seule ombre au tableau pour une Église russe déjà réputée pour sa proximité avec le pouvoir moscovite, l’édifice est entre-temps devenu une annexe de l’ambassade de la Fédération de Russie. Cette inauguration religieuse sans Poutine fournit au patriarche Kirill l’occasion de marquer son territoire, la frontière entre l’usage à la fois cultuel et culturel du site – censé abriter un centre culturel et une école – n’étant pas clairement définie. La cathédrale du quai Branly est emblématique des défis et ambiguïtés qui caractérisent l’orthodoxie russe. Cette Église, dont les têtes pensantes avaient fui la révolution bolchevique en 1917 avant de contribuer depuis leur exil parisien à l’essor d’une riche tradition œcuménique autour de l’Institut Saint-Serge , a bel ; et bien failli disparaître sous la terreur soviétique. Fils et petit-fils de prêtres morts au goulag, le patriarche Kirill s’est donné pour tâche de la ramener au premier plan, d’abord comme responsable des relations extérieures du patriarcat de Moscou, puis comme patriarche depuis 2008. Sous sa houlette et avec l’appui du Kremlin, l’Église russe a connu un essor spectaculaire. Dernière institution à couvrir le territoire de l’ex-URSS, elle a triplé le nombre de ses diocèses. Des centaines d’églises et de monastères sont construits ou rouverts chaque année. Moscou a aussi ramené dans son giron la quasi-totalité des Églises russes hors frontières – États-Unis, Amérique latine, Asie – qui s’étaient séparées d’elle durant la guerre froide.
Le développement de la présence russe orthodoxe en Chine, en Afrique, mais aussi au Proche-Orient sert d’autant mieux l’influence russe que les paroisses deviennent de véritables délégations culturelles. Sa récente rencontre avec le pape François confère à Kirill une stature de leader religieux planétaire, en mesure de disputer au patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée, son leadership sur l’orthodoxie. Mais cette visibilité nouvelle masque une réalité plus nuancée. Si la fameuse « âme russe » qui fascine tant l’Occident ne peut être séparée de l’orthodoxie, le taux de pratique en Russie et dans l’espace russe n’excède guère 8 % et seuls deux Russes sur trois se considèrent orthodoxes. « Ce sont là les stigmates de trois générations qui n’ont pas été formées dans la religion », explique à Moscou Alexandre Kyrlezhev, membre de la commission biblique et théologique de l’Église orthodoxe russe.
Orthodox priests walk around a new Russian cathedral in Paris on December 4, 2016 to bless it.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (16 photos).
Refugees carrying their belongings camp along avenue de Flandre, Place de la Bataille-de-Stalingrad in Paris, France on October 29, 2016. The neighborhood has seem an increased number of incoming refugees after the demolition of Calais' Jungle camp. Interior Minister Bernard Cazeneuve has promised on Friday that this camp would be dismantled in the coming days.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (13 photos).
Jean Ping, the former candidate for president of Gabon, former Foreign Minister of Gabon, former President of the United Nations General Assembly and former President Commission of the African Union, is greeted by a cheering crowd in Paris, France on October 29, 2016.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (17 photos).