= Lancer la lecture automatique = Arrêter la lecture automatique = Ouvrir la galerie. Taille maximale des images en mettant en plus en grand écran (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Fermer la galerie. Puis retour à l'écran normal (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Ouvrir l'image en cours dans une nouvelle fenêtre Sur l'image en cours : ou clic sur la moité droite = Image suivante ou clic sur la moitié gauche = Image prédédente. Ces opérations arrêtent la lecture automatique si elle est active.
Workers from the Park Hyatt Vendôme Hôtel and others luxury hotels in Paris demonstrate place Vendôme in Paris on September 25, 2018 against unsuitable working conditions, low remunerations, acceleration of subcontracting, closure of hotels without caring about staff.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 160. Flash: non
C’est une manifestation dans un des quartiers les plus chics de Paris qui n’est pas passée inaperçue, mardi 25 septembre 2018, femmes de chambre, valets et équipiers ont brandi des drapeaux CGT et hurlé leurs revendications devant le bâtiment où ils travaillent, le Park Hyatt Paris-Vendôme, un élégant hôtel 5 étoiles rue de la Paix. Qu’ils soient sous-traitants pour la plupart ou employés directement par l’hôtel pour certains d’entre eux, plusieurs dizaines de personnes ont réclamé une amélioration de leurs conditions de travail sur le trottoir d’une des rues les plus huppées de la capitale. Ils n’en sont pas à leur coup d’essai, puisqu’ils avaient déjà fait grève et manifesté à de nombreuses reprises depuis plusieurs années, organisant un « défilé de mode alternatif » lors de la fashion week de Paris.
Prise de vue: Lundi 18 septembre 2017, à 18 h 47."> App.: Canon EOS-1D X, 1/640 sec, f/8, ISO 5000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Déterminés à ne pas abandonner le « 16, rue Jean-Jaurès », plus de cent manifestants se sont massés sur le parvis de l’hôtel de ville de Villejuif, en marge du conseil municipal, le lundi 18 septembre 2017 en soirée.
Réunies pour la troisième fois en trois semaines, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et Unef ont de nouveau crié leur refus de voir disparaître la Bourse du travail de Villejuif. Et avec elles, une centaine de manifestants s’est massée sur le parvis de l’hôtel de ville à 18 h 30. Trente minutes plus tard,
le maire, Franck Le Bohellec (LR), réunissait l’assemblée municipale pour un conseil extraordinaire. Une séance réclamée par plusieurs élus d’opposition ces dernières semaines. Car, comme ils l’ont écrit au préfet le 7 septembre, la vente de la maison des syndicats n’a fait l’objet d’« aucun débat ». Mais en dépit des espoirs nourris, à l’annonce de la convocation de l’assemblée, l’avenir du « 16, rue Jean-Jaurès » ne figurait pas à l’ordre du jour. Drapeaux levés, devant les grilles gardées par une demi-douzaine de policiers, la CGT déplorait ce lundi une « énième provocation ».
Members of several labor unions, as CGT, FO, FSU Solidaires and Unef, demonstrate in front of the Villejuif’s town hall, a southern Paris suburb, on September 18, 2017 to protest against the labour exchange sale. A banner reads « The labor exchange is not to sale »
Emmanuel Macron a été élu, le dimanche 7 mai 2017, président de la République en battant largement la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen. À 20 heures, des cris de joie et une marée de drapeaux tricolores ont accueilli l’annonce de sa victoire. « On
a gagné ! » : les partisans du candidat En marche ! réunis dimanche soir sur l’esplanade du Louvre, dans le centre de Paris, sous un ciel gris, exultent lorsque les écrans affichent l’image de leur champion.
Plusieurs milliers de manifestants ont défilé samedi 7 janvier 2017 à Paris afin de réclamer « justice » pour trois militantes kurdes assassinées en 2013 dans la capitale française. « Nous voulons la justice », « Erdogan terroriste », scandaient les manifestants réunis en fin de matinée, malgré un froid glacial, sous une forêt de drapeaux. Fort d’environ 5000 personnes, le cortège parti de la gare du Nord a rejoint la place de la République sous forte protection policière. Sakine Cansiz, 54 ans, une des fondatrices du Parti des travailleurs du Kurdistan, réputée proche de son chef historique Abdullah Öcalan, Fidan Dogan, 28 ans, et Leyla Saylemez, 24 ans, avaient été abattues le 9 janvier 2013 de plusieurs balles à la tête, au siège d’une association kurde en plein coeur de Paris. Accusé du triple assassinat, le Turc Omer Güney, qui devait être jugé fin janvier, est mort à Paris le 17 décembre dernier, victime d’une tumeur cérébrale. Son décès a éteint l’action publique à l’encontre de ce suspect qui avait toujours clamé son innocence. Au terme de l’instruction, les enquêteurs avaient pointé « l’implication » de membres des services secrets turcs, le MIT, dans ce triple assassinat, mais sans pouvoir établir qui étaient les commanditaires de ces crimes, selon une source proche du dossier. Les investigations n’avaient pas permis d’établir si ces agents avaient agi « avec l’aval de leur hiérarchie » ou « à l’insu de leur service afin de le discréditer ou de nuire au processus de paix », entamé à l’époque entre Ankara et le PKK, toujours selon cette source. Les services secrets turcs ont officiellement démenti en janvier 2014 tout rôle dans les assassinats.
Des milliers de membres de la communauté asiatique vêtus de T-shirts blancs, une marée de drapeaux bleu-blanc-rouge et une revendication, la « sécurité » : la communauté chinoise, jeunesse en tête, s’est mobilisée en masse dimanche 4 septembre 2016 à Paris, excédée après l’agression mortelle d’un père de famille. Avant de quitter la place de la République, le cortège – 13.500 à 14.000 personnes selon la police, 100.000 selon les organisateurs – a observé une minute de silence en mémoire de Zang Chaolin, un couturier de 49 ans décédé en août après avoir été agressé à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Trois jeunes, soupçonnés d’avoir voulu voler le sac de son ami, ont été incarcérés mercredi. Sur Twitter, le Premier ministre Manuel Valls a assuré « nos compatriotes d’origine asiatique » de son « soutien total », jugeant « insupportables » les violences qui les visent.
Several thousand Chinese living in France demonstrated in Paris on Sunday, September 4, 2016, demanding more security after a rise in attacks on the community, including the murder of a 49-year-old father of two last month.
Deux semaines après l’agression mortelle d’un de ses ressortissants, la communauté chinoise d’Aubervilliers s’est réunie le 21 août 2016 devant la mairie pour dénoncer la violence dont elle est la cible. Elle a défilé à travers la ville, en présence de Mériem Derkaoui, maire d’Aubervilliers, portant des drapeaux tricolores et des banderoles sur lesquelles était inscrit « Sécurité, liberté, égalité, fraternité ». En fin de défilé, des altercations avec d’autre habitants d’Aubervilliers se sont produites, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre pour séparer les protagonistes. Avec 105 agressions ces huit derniers mois, les Chinois d’Aubervilliers sont régulièrement la cible d’attaques. Deux à trois vols avec violences ont lieu chaque jour, notamment car les Chinois ont la réputation d’avoir de l’argent en liquide sur eux et de ne pas parler à la police. La majorité de la communauté chinoise ne parle d’ailleurs pas français, ou très peu. Le 12 août, un cuisinier chinois est mort après une agression à Aubervilliers, le maire de la ville avait alors dénoncé un « ciblage raciste ».
FRANCE, Aubervilliers: People wave French national flags as they march during a demonstration in Aubervilliers, in the north of Paris, on August 21, 2016, organized by several associations of the Chinese community to ask for protection measures, after the death of Zhang Chaolin killed on August 7, 2016. Chinese Zhang Chaolin, aged 49, was assaulted by three men in the streets in Aubervilliers on August 7, 2016 and died 5 days later from a coma.
“text-align: justify;">Quatre jours après l’attaque de jihadistes qui a causé la mort de 21 personnes à Tunis, près d’un millier de personnes se sont rassemblées place de la République à Paris pour afficher leur solidarité avec la Tunisie. Brandissant des drapeaux tunisiens, des affiches comme « Je suis Bardo, je suis Tunisie », « La démocratie vivra malgré eux » ou encore « Non au terrorisme, non au fanatisme, non à la barbarie », les manifestants ont respecté une minute de silence pour les victimes et ont chanté à plusieurs reprises l’hymne tunisien. Parmi les orateurs, Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle française de 2012, a assuré « être de tout cœur » avec les Tunisiens. Mercredi, deux jeunes Tunisiens armés de kalachnikov ont ouvert le feu sur des touristes qui s’apprêtaient à visiter le musée du Bardo, le plus prestigieux du pays, avant de les pourchasser à l’intérieur du bâtiment. Vingt-et-une personnes, vingt touristes et un policier tunisien, ont été tuées dans cette attaque, la première à être revendiquée par l’organisation de l’État islamique (EI) sur le sol tunisien et à viser des étrangers depuis la révolution de 2011.
Around 900 people demonstrated on March 21, 2015 at Republique Square in Paris in solidarity with Tunisia after the March 18 attack on the ‘Museum Bardo.
Ouverture: ƒ/7.1, Canon EOS-1D X, 15 février 2015, flash: non, focale: 24 mm, ISO: 320, localisation: 48° 52.1786′ 0″ N 2° 21.1528′ 0″ E, vitesse: 1/250 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Quelques milliers de manifestants, 2.000 selon la police, ont exprimé dimanche 15 février 2015 à Paris leur soutien au « David grec » contre le « Goliath de la finance » à l’appel d’un collectif d’associations, de partis de gauche et d’extrême gauche. Les manifestants ont défilé dans le centre de Paris, de la place de la République à la place du Palais Royal, avec des banderoles et des drapeaux de Syriza, le parti du chef de gouvernement grec Alexis Tsipras, du Parti communiste, très présent dans le cortège, de Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) ou encore d’Europe Ecologie les verts (EELV) et du petit mouvement Nouvelle Donne. Sur le parcours, la foule composée pour une large part d’hommes et de femmes d’âge mûr a scandé en chœur « En Grèce, en France, résistance contre l’austérité et la finance », ou encore « Syriza va gagner contre l’austérité, avec le peuple grec solidarité ». Le gouvernement d’Alexis Tsipras, qui bénéficie d’un fort soutien des Grecs, doit négocier lundi avec les 19 ministres des Finances de l’Eurogroupe un accord sur la dette colossale du pays, en espérant ne pas avoir à annoncer des concessions.
French leftist parties rallied in Paris to support the newly-elected Syriza party in Greece. Pierre Laurent, national secretary of the French Communist party, and Jean-Luc Mélenchon, leader of the French Left Front party joined the rally.
Une marée humaine de près de 1,5 million de personnes et une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement le dimanche 11 janvier 2015 après-midi : une marche immense et inédite d’hommage aux 17 personnes tuées par trois djihadistes français. Dirigeants du monde entier, personnalités, partis, syndicats, groupes religieux juifs, chrétiens, musulmans, associations mais surtout simples citoyens constituent cette foule monstre. La place de la République, lieu de départ de la manifestation, était noire de monde au début de la marche qui a débuté vers 15 h, sous très forte surveillance policière. Des quatre coins de Paris convergeaient des dizaines de milliers de personnes, avec des métros complètement saturés et des bus à l’arrêt.
Des milliers de manifestants s’étaient amassés dans un vaste périmètre autour de la place, avec de nombreuses pancartes « Je suis Charlie ». « Charlie, Liberté ! », scandait la foule, où flottaient de nombreux drapeaux français vendus à la sauvette, mais aussi d’autres étrangers.
nes de personnes ont manifesté le samedi 9 août 2014 à Paris à l’appel d’associations kurdes pour dénoncer les massacres commis par l’Etat islamique au Kurdistan irakien et appeler la communauté internationale à réagir. Les manifestants, un millier selon la police, s’étaient regroupés vers 18 h devant la gare de l’Est et ont ensuite défilé en direction de la place de Stalingrad, dans le nord de Paris, derrière une banderole dénonçant un « génocide » préparé par l’EI contre les Kurdes et la minorité Yazidi. Le cortège était composé pour une grande partie de sympathisants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, rebelles kurdes de Turquie) venus avec leurs drapeaux et des portraits de leur dirigeant Abdullah Öcalan emprisonné en Turquie.
« Pas de quartier aux fachos », « à bas le FN ». Plusieurs centaines de manifestants ont défilé le dimanche 9 février 2014 à Paris pour dénoncer ce qu’ils qualifient de « montée de la droite » dans la société. Des associations féministes, lesbiennes, marxistes, anti-capitalistes, ainsi que des collectifs de squatters, de sans-papiers et des « vegan antifa » – mouvement végétarien anti-fasciste – agitant des drapeaux frappés de la faucille et du marteau ou des couleurs de la Palestine, ont défilé dans le nord de la capitale, encadrés par de nombreux gendarmes et policiers. Cette manifestation était organisée à l’occasion du 80e anniversaire de la manifestation de la gauche, trois jours après que l’extrême droite eut tenté, le 6 février 1934, de pénétrer dans le Palais Bourbon. La manifestation du 9 février 2014 s’est achevée avec un hommage à Clément Méric, un jeune militant d’extrême gauche tué en juin 2013 à Paris lors d’une bagarre avec des skinheads.
Plusieurs milliers de personnes ont défilé, dimanche 15 décembre 2013 après-midi, dans les rues de Versailles (Yvelines) à l’appel de La Manif pour tous pour dénoncer « la familiphobie du gouvernement ». Selon la police, la manifestation a mobilisé environ six mille personnes, les organisateurs avançant quant à eux le chiffre de trente mille participants. Le cortège, garni de ballons et de drapeaux bleus et roses, ainsi que de bonnets roses, s’est ébranlé peu après 15 h 30 derrière une banderole portant l’inscription « Familles attaquées = société en danger ». Quelques responsables politiques yvelinois ont participé au défilé, dont les députés UMP Valérie Pécresse et Jean-Frédéric Poisson, ainsi que les maires de Versailles et du Chesnay.
Les derniers opposants au mariage pour tous ont quitté dimanche 21 avril 2013 vers minuit l’esplanade des Invalides à Paris, redevenue paisible après de brefs incidents dans la soirée et une manifestation qui a rassemblé l’après-midi plusieurs dizaines de milliers de personnes. En première partie de soirée, plusieurs dizaines d’entre eux ont mené un face à face tendu avec les forces de l’ordre à proximité de la station de métro. Chantant la Marseillaise et brandissant des drapeaux français, certains agenouillés, le groupe de manifestants a été vigoureusement repoussé par les policiers et gendarmes qui ont contraint une partie d’entre eux à descendre dans la station.
Plusieurs centaines d’opposants au mariage homosexuel ont commencé à défiler jeudi 18 avril 2013 en soirée à Paris pour la troisième soirée consécutive en direction de l’Assemblée nationale, où le projet de loi est examiné en seconde lecture et alors que les discussions devraient s’achever dans la nuit. Partis comme la veille du métro Sèvres-Babylone, dans le centre de Paris, vers 19 h 40, les manifestants, sans doute plus d’un millier, agitaient leurs drapeaux roses et bleus habituels, scandant « Hollande, ta loi, on n’en veut pas ! » Le cortège, conduit par la porte-parole des opposants au mariage homosexuel, Frigide Barjot, a rejoint devant l’Assemblée nationale des politiques opposés au mariage pour tous : Henri Guaino, Hervé Mariton, Christian Jacob, Elisabeth Montfort.
La mobilisation ne faiblit pas, un mois après l’adoption à l’Assemblée nationale du projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe. Les opposants au mariage pour tous se sont rassemblés, dimanche 24 mars à Paris, pour demander une nouvelle fois le retrait du texte. Ils étaient près de 300.000 selon les chiffres de la police. Les organisateurs, eux, revendiquent 1,4 million de participants, soit 400.000 de plus que lors d’un précédent rassemblement, le 13 janvier 2013. Alors que le projet de loi sera examiné au Sénat – et vraisemblablement voté – à partir du 4 avril, les organisateurs ont qualifié cette manifestation de « grande armée qui se lève », en référence à l’avenue du même nom qui remonte vers la place de l’Étoile, où avait lieu le rassemblement. Drapeaux au vent, bleu outremer, fuchsia, blancs, les manifestants ont été encadrés par quelque 8.000 bénévoles, reconnaissables à leur T-shirt jaune ou rouge, pour assurer accueil et sécurité.