Samedi 10 mars 2018, Anne Hidalgo, maire de Paris, inaugurait une nouvelle zone « Paris Respire » à Château Rouge, dans le 18e arrondissement de la capitale. Chaque samedi, plusieurs rues seront ainsi réservées aux piétons et aux circulations douces. Il s’agit de la première concrétisation du programme « Tous mobilisés », engagé en décembre dernier par la maire de Paris pour apaiser ce quartier du 18e arrondissement. À Château Rouge, ce programme doit permettre de surmonter un certain nombre de difficultés qui perdurent depuis plusieurs années, en renforçant la lutte contre les incivilités, en réduisant les nuisances sonores, en garantissant la propreté, en améliorant le partage de l’espace public, ou encore en menant des petits travaux d'embellissement.
Catégorie: "Actualité"
EXTRAIT : 115 mots. (…) « Le 8 mars n’est pas la journée de la femme, ce n’est pas une fête. C’est une journée de lutte pour toutes », a déclaré lors d’une conférence de presse Véronique Séhier, coprésidente du Planning familial, membre du collectif baptisé 8mars15h40.
À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
► Données techniques de cette photo
EXTRAIT : 215 mots. Le groupe Canal+ a annoncé qu’il allait rétablir « dans la soirée » de mercredi le signal des chaînes du groupe TF1 aux clients de ses offres satellitaires, soit la majorité de ses abonnés, à la demande du CSA et du ministère de la Culture. « À la suite de la demande du CSA, et du communiqué du ministère de la Culture qui a précisé que les programmes des chaînes gratuites devaient être gratuits pour les clients servis par satellite, le groupe Canal+ va rétablir le signal dans la soirée » aux clients des offres satellitaires, dont TNT Sat, a précisé dans un communiqué le groupe de télévision payante.
« Nous avons obtenu que Canal+ rétablisse le signal satellite de TF1 dans la nuit », ce qui devrait intervenir « au plus tôt à partir de 23 h », a déclaré le président par interim du CSA Nicolas Curien. « Nous sommes très satisfaits, c’est un résultat obtenu par le dialogue et non par la contrainte », a-t-il ajouté, soulignant que le CSA « était essentiellement préoccupé de la situation des abonnés TNT Sat ». « C’est une bonne nouvelle, je me félicite de cette décision responsable qui permet aux téléspectateurs qui dépendent de la diffusion satellitaire de pouvoir accéder à TF1 », a salué de son côté la ministre de la Culture Françoise Nyssen.
« Nous avons obtenu que Canal+ rétablisse le signal satellite de TF1 dans la nuit », ce qui devrait intervenir « au plus tôt à partir de 23 h », a déclaré le président par interim du CSA Nicolas Curien. « Nous sommes très satisfaits, c’est un résultat obtenu par le dialogue et non par la contrainte », a-t-il ajouté, soulignant que le CSA « était essentiellement préoccupé de la situation des abonnés TNT Sat ». « C’est une bonne nouvelle, je me félicite de cette décision responsable qui permet aux téléspectateurs qui dépendent de la diffusion satellitaire de pouvoir accéder à TF1 », a salué de son côté la ministre de la Culture Françoise Nyssen.
EXTRAIT : 133 mots. Ce mardi 6 mars 2018, entre 10 000 et 15 000 jeunes jusqu’à 35 ans étaient attendus par 290 recruteurs sous la grande halle de la Villette pour le salon « Paris pour l’emploi des jeunes », proposé par la Ville de Paris.
4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
Au son du mégaphone et des battements de djembés, une centaine de personnes sont venues se faire entendre le lundi 5 mars 2018 sous les fenêtres de la préfecture de Seine-Saint-Denis à Bobigny. Le rassemblement, à l’initiative de Réseau éducation sans frontières (RESF) qui milite pour la défense des sans-papiers, visait à exiger un accès plus rapide et égalitaire des étrangers au service public, notamment la délivrance d’un récépissé dès le premier rendez-vous et une décision rendue dans un délai de quatre mois.
► Données techniques de cette photo
EXTRAIT : 134 mots. Déjà en conflit ouvert avec Orange sur les droits de diffusion de ses chaînes, TF1 a été la cible jeudi soir d’une déclaration de guerre de Canal+, qui a décidé de lui couper le signal. Dans un communiqué, Canal+ indique qu’il interrompt la diffusion des chaînes du groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI et leurs services associés) faute d’arriver à un accord commercial avec ce dernier, dont il dénonce « les exigences financières déraisonnables et infondées ».
Canal+ justifie sa décision en mettant en avant « l’intransigeance du groupe TF1 qui abuse de sa puissance de marché, et notamment de son canal numéro 1, pour imposer unilatéralement à ses distributeurs, dont le groupe Canal+, de payer pour continuer à diffuser ses chaînes disponibles gratuitement sur la TNT et sur Internet ».
Canal+ justifie sa décision en mettant en avant « l’intransigeance du groupe TF1 qui abuse de sa puissance de marché, et notamment de son canal numéro 1, pour imposer unilatéralement à ses distributeurs, dont le groupe Canal+, de payer pour continuer à diffuser ses chaînes disponibles gratuitement sur la TNT et sur Internet ».
EXTRAIT : 178 mots. Une cinquantaine d’élus d’Île-de-France doit passer la nuit du mercredi 28 février au jeudi 1er mars dans les rues de Paris, en pleine vague de froid, pour réclamer une meilleure prise en charge des sans-abri. L’événement doit rassembler « des élus locaux (…) de tous partis confondus », a expliqué son initiatrice, Mama Sy, adjointe LR à la mairie d’Étampes. Les élus doivent se retrouver à 21 heures à la gare d’Austerlitz, « tous avec un duvet », a-t-elle précisé. Charge ensuite à chacun de trouver comment se réchauffer et passer la nuit dans les rues alentour alors que Météo France annonce des températures légèrement négatives pour la nuit de mercredi à jeudi.
Avec cette initiative, les élus veulent dénoncer un « déni de dignité et de solidarité » face à « l’explosion (…) inacceptable » du nombre de sans-abri en France, selon un communiqué. Au moins 3000 sans-abri ont été comptabilisés la nuit à Paris lors d’un récent recensement organisé par la mairie. A Paris, l’opération est loin de faire l’unanimité…
Avec cette initiative, les élus veulent dénoncer un « déni de dignité et de solidarité » face à « l’explosion (…) inacceptable » du nombre de sans-abri en France, selon un communiqué. Au moins 3000 sans-abri ont été comptabilisés la nuit à Paris lors d’un récent recensement organisé par la mairie. A Paris, l’opération est loin de faire l’unanimité…
EXTRAIT : 132 mots. Brune Poirson, secrétaire d’État à la transition écologique et solidaire, a plusieurs fois croisé le chemin du président de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur ce mardi 27 février 2018, sur le salon de l’Agriculture à Paris.
L’occasion de parler brièvement mais franchement du problème du loup, qui attaque et tue régulièrement des bêtes. « C’est le gouvernement qui fixe les quotas, plus que l’Europe », insiste Renaud Muselier. Brune Poirson lui rappelle avec le sourire que « des tirs de défense sont à présent autorisés ». « De toute façon, il faut l’éradiquer », insiste Renaud Muselier, au moment où Laurent Wauquiez, président des Républicains, passe non loin du groupe. « Y a un gros loup là-bas, si tu pouvais commencer par celui-là », lâche la secrétaire d’État…
L’occasion de parler brièvement mais franchement du problème du loup, qui attaque et tue régulièrement des bêtes. « C’est le gouvernement qui fixe les quotas, plus que l’Europe », insiste Renaud Muselier. Brune Poirson lui rappelle avec le sourire que « des tirs de défense sont à présent autorisés ». « De toute façon, il faut l’éradiquer », insiste Renaud Muselier, au moment où Laurent Wauquiez, président des Républicains, passe non loin du groupe. « Y a un gros loup là-bas, si tu pouvais commencer par celui-là », lâche la secrétaire d’État…
P
Interrogé au Salon de l’agriculture, le 27 février 2018, le président des Patriotes, Florian Philippot, soutient les mouvements sociaux pour mettre un « coup d’arrêt au projet global de démantèlement de la France , annonçant que son mouvement soutiendrait les « mouvements sociaux, à commencer par celui de la SNCF, pour faire le lien entre le Frexit et les luttes sociales ». Dans le viseur de l’ancien vice-président du Front national, outre la réforme de la SNCF annoncée par le gouvernement, « celle de la loi Travail selon la même méthode antidémocratique, qui elle-même s’ajoute au Ceta ou aux négociations avec le Mercosur, menaçant gravement notre agriculture ». « Autant de dossiers qui impliquent directement les politiques de l’Union européenne mais dont personne, étonnamment, ne veut parler ».
Trois jours après les 12 h 30 de présence d’Emmanuel Macron au Salon de l’agriculture, c’est au tour de son principal opposant de faire son apparition dans la plus grande ferme de France. Ce mardi et ce mercredi, Laurent Wauquiez fait halte porte de Versailles (Paris XVe), avec un double défi : essayer de faire oublier ses propos tonitruants tenus dans une école de commerce et diffusés dans l’émission « Quotidien » et incarner cette fameuse France de la ruralité qu’il prétend défendre à longueur de discours.
Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
EXTRAIT : 220 mots. L’Élysée s’attendait à un accueil mouvementé, ça n’a pas raté. Pour sa première visite au Salon de l’Agriculture en tant que président de la République, Emmanuel Macron a été copieusement sifflé par des manifestants samedi 24 février 2018 au matin, alors que le monde agricole traverse une période incertaine, dans l’attente de certaines décisions comme l’accord commercial avec le Mercosur, les états généraux de l’alimentation ou l’avenir de la politique agricole commune (PAC).
Une inquiétude que le chef de l’État a rapidement pu mesurer. Dès son arrivée dans le grand pavillon de la Porte de Versailles, il a été accueilli par quelques sifflets, des applaudissements tout aussi timides, mais surtout par de jeunes agriculteurs déguisés en animaux de ferme. Après avoir pris le temps de répondre aux agriculteurs mécontents, le chef de l’État a commencé sa visite dans un calme précaire. C’est à la sortie du stand des bovins que le cortège présidentiel a été soudainement noyé par de longs sifflets. (…) De nouveau sifflé une demi-heure plus tard à l’entrée des stands porcins, le président a interpellé les manifestants. « Je vous engueule parce que je n’aime pas qu’on me siffle derrière. Après je viens vous voir et on s’explique », leur a-t-il promis.
Une inquiétude que le chef de l’État a rapidement pu mesurer. Dès son arrivée dans le grand pavillon de la Porte de Versailles, il a été accueilli par quelques sifflets, des applaudissements tout aussi timides, mais surtout par de jeunes agriculteurs déguisés en animaux de ferme. Après avoir pris le temps de répondre aux agriculteurs mécontents, le chef de l’État a commencé sa visite dans un calme précaire. C’est à la sortie du stand des bovins que le cortège présidentiel a été soudainement noyé par de longs sifflets. (…) De nouveau sifflé une demi-heure plus tard à l’entrée des stands porcins, le président a interpellé les manifestants. « Je vous engueule parce que je n’aime pas qu’on me siffle derrière. Après je viens vous voir et on s’explique », leur a-t-il promis.
La direction d’Air France est inquiète. L’appel à la grève lancé pour le 22 février 2018 par onze syndicats de la compagnie est presque historique. « Du jamais-vu depuis 1993 », explique Sandrine Techer, secrétaire de section du Syndicat national du personnel navigant commercial (SNPNC). La journée de grève, organisée jeudi 22 février, devait réunir toutes les catégories de personnels – des pilotes aux hôtesses, en passant par les non-navigants.
L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
Alors qu’une manifestation a été organisée dès le mercredi 21 février 2018 devant le conseil d’Etat, Gérard Collomb a présenté son projet de loi sur l’asile et l’immigration, «totalement équilibré» selon le ministre de l’Intérieur.
Ce texte vise à réduire à six mois les délais d’instruction de la demande d’asile et à faciliter la reconduite à la frontière pour les déboutés. Le Premier ministre Édouard Philippe disait ce mardi que le texte s’inscrivait dans le cadre plus large de « notre politique d’immigration et d’asile » qui « repose sur deux principes, humanité et efficacité ».
Le projet est très critiqué par les associations et fait des vagues jusque dans la majorité pour sa logique de fermeté. Plusieurs acteurs de l’asile se sont mis en grève aujourd’hui : l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), mais aussi la Cour nationale du droit d’asile qui entame son neuvième jour de grève.
Ce texte vise à réduire à six mois les délais d’instruction de la demande d’asile et à faciliter la reconduite à la frontière pour les déboutés. Le Premier ministre Édouard Philippe disait ce mardi que le texte s’inscrivait dans le cadre plus large de « notre politique d’immigration et d’asile » qui « repose sur deux principes, humanité et efficacité ».
Le projet est très critiqué par les associations et fait des vagues jusque dans la majorité pour sa logique de fermeté. Plusieurs acteurs de l’asile se sont mis en grève aujourd’hui : l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), mais aussi la Cour nationale du droit d’asile qui entame son neuvième jour de grève.
La neige est arrivée vers 9 h en Ile-de-France par les Yvelines le vendredi 10 février 2018, juste quelques jours après un premier passage qui avait fortement perturbé les transports de la région.
Le célèbre ordonnancement des jardins à la française du château de Versailles s’est mué pour l’occasion en un joli ballet blanc, toutes les équipes chargées de l’exploitation du site étant à l’œuvre pour assurer l’accessibilité du parc et du jardin aux visiteurs.
Le célèbre ordonnancement des jardins à la française du château de Versailles s’est mué pour l’occasion en un joli ballet blanc, toutes les équipes chargées de l’exploitation du site étant à l’œuvre pour assurer l’accessibilité du parc et du jardin aux visiteurs.
L’AccorHotels Arena, à Paris, accueillait le 7 février 2018 la 2e édition du Meeting de Paris Indoor, rendez-vous devenu incontournable de l’athlétisme français. De nombreuses stars de l’athlé tricolore comme Kevin Mayer, Jimmy Vicaut et Christophe Lemaître ont répondu présents sur la scène spectaculaire de l’AccorHotels Arena, à Bercy.
Jarret Eaton à la hauteur du 60 m haies
L’Américain Jarret Eaton a fait honneur à son statut de meilleur performeur mondial sur 60m haies mercredi soir à l’AccordHotels Arena, lors du Meeting de Paris Indoor. Il s’est imposé en 7s62. Côté français, Simon Krauss prend la troisième place (7s75), dans le même temps que Loïc Desbonnes.
Manyonga roi de la longueur
Le Sud-Africain Luvo Manyonga a été le roi de la longueur à Bercy, le 7 février 2018 lors du Meeting de Paris organisé à l’AccorHotels Arena. Avec un saut à 8,32m, il a établi un nouveau record indoor d’Afrique a seulement quatre centimètres du record d’Afrique de Gaisah (8,36m). Pour sa première participation à un meeting indoor, Manyonga l’emporte devant le Français Jean-Pierre Bertrand (7,54m) et le Grec Miltiadis Tentoglou (7,87m).
Impressionnante Stefanidi à la perche
La championne du monde de saut à la perche, la Grecque Katerina Stefanidi, a répondu plus que présente mercredi 7 février 2018 à l’AccorHotels Arena de Paris . Engagée dans un duel grec tant attendu face à Nikoleta Kiriakopoulou, elle a finalement pris le dessus sur sa compatriote en étant la seule à passer la barre des 4,71m. Assurée de remporter le concours, elle pouvait tranquillement tenter les 4,81m qu’elle passait au deuxième essai. Gourmande jusqu’au bout, elle tentait 4,91m, synonyme de record de Grèce, mais ne parvenait pas à les passer.
Un rendez-vous manqué pour Jimmy Vicaut
Le Français Jimmy Vicaut avait une revanche à prendre sur Christophe Lemaitre après la victoire de ce dernier lors du meeting de Mondeville le 3 février dernier. Le meeting indoor de Paris, organisé le 7 février 2018 à l’AccorHotels Arena de Paris, était le rendez- vous parfait mais c’est raté. Victime de douleurs à l’adducteur droit dès la première foulée de sa série, Vicaut a déclaré forfait pour la finale. A l’arrivée, c’est l’Ivoirien Gué-Arthur Cissé qui termine en tête (6s61) devant le Britannique Ojie Edoburun (6s63) et Christophe Lemaitre (6s66).
Un nouveau record personnel pour Kevin Mayer
EXTRAIT : 146 mots.Le Français Kevin Mayer a éclaboussé de toute sa classe la deuxième édition du Meeting de Paris Indoor. Sous les yeux des 5253 spectateurs de l’AccorHotels Arena qui avaient bravé la neige, le champion du monde du décathlon a survolé le triathlon avec un record personnel à la clé. Un record personnel battu de trois centièmes sur 60 m haies en 7s79, avec une course à la fois propre et pleine de puissance. Un jet à 15,96 m au poids, à seulement un centimètre de sa meilleure performance, après deux mois sans avoir lancé à l’entraînement à cause d’une douleur au poignet. Un bond à 7,48 m à la longueur malgré un début de concours compliqué. En observant les chiffres, Kevin Mayer, vainqueur du triathlon avec 2814 points, pourrait sembler avoir déjà atteint son pic de forme. Ce qu’il dément…