4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
Catégorie: "Société"
4 000 offres d’emploi ou de formation étaient proposées par 290 entreprises, collectivités ou associations, représentant 300 métiers. Dans le top 5 des secteurs qui recrutent : le commerce et la vente, le tertiaire (accueil, gestion, RH), l’hôtellerie-restauration mais aussi l’informatique et le numérique. « Il y a tout type de contrats et on embauche autant de jeunes diplômés que de bac + 2, + 5 ou +8 » assurait l’organisatrice. Le vrai plus du salon, c’est de garantir des rendez-vous en face-à-face avec des recruteurs.
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Canal+ justifie sa décision en mettant en avant « l’intransigeance du groupe TF1 qui abuse de sa puissance de marché, et notamment de son canal numéro 1, pour imposer unilatéralement à ses distributeurs, dont le groupe Canal+, de payer pour continuer à diffuser ses chaînes disponibles gratuitement sur la TNT et sur Internet ».
Avec cette initiative, les élus veulent dénoncer un « déni de dignité et de solidarité » face à « l’explosion (…) inacceptable » du nombre de sans-abri en France, selon un communiqué. Au moins 3000 sans-abri ont été comptabilisés la nuit à Paris lors d’un récent recensement organisé par la mairie. A Paris, l’opération est loin de faire l’unanimité…
L’occasion de parler brièvement mais franchement du problème du loup, qui attaque et tue régulièrement des bêtes. « C’est le gouvernement qui fixe les quotas, plus que l’Europe », insiste Renaud Muselier. Brune Poirson lui rappelle avec le sourire que « des tirs de défense sont à présent autorisés ». « De toute façon, il faut l’éradiquer », insiste Renaud Muselier, au moment où Laurent Wauquiez, président des Républicains, passe non loin du groupe. « Y a un gros loup là-bas, si tu pouvais commencer par celui-là », lâche la secrétaire d’État…
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Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
Une inquiétude que le chef de l’État a rapidement pu mesurer. Dès son arrivée dans le grand pavillon de la Porte de Versailles, il a été accueilli par quelques sifflets, des applaudissements tout aussi timides, mais surtout par de jeunes agriculteurs déguisés en animaux de ferme. Après avoir pris le temps de répondre aux agriculteurs mécontents, le chef de l’État a commencé sa visite dans un calme précaire. C’est à la sortie du stand des bovins que le cortège présidentiel a été soudainement noyé par de longs sifflets. (…) De nouveau sifflé une demi-heure plus tard à l’entrée des stands porcins, le président a interpellé les manifestants. « Je vous engueule parce que je n’aime pas qu’on me siffle derrière. Après je viens vous voir et on s’explique », leur a-t-il promis.
L’intersyndicale réclame une hausse générale des rémunérations de 6 %. Très loin de la volonté de la direction. À l’issue des négociations annuelles obligatoires, celle-ci a fait ratifier une augmentation de 1 % par deux syndicats représentatifs, mais largement minoritaires : la CFE-CGC et la CFDT. Une « aumône » – aux dires des syndicats – qui ne passe pas.
Les groupes autonomes ont le « visage masqué, des lunettes de ski, des foulards, du produit pour les yeux : ils s’équipent pour évoluer sereinement au milieu des gaz lacrymogènes », raconte Patrice Ribeiro, du syndicat Synergie Officiers. « Certains se déplacent même en colonne comme les policiers « , dit-il. « Ils sont de plus en plus organisés, méthodiques. (…)
Alexandre Bompard a annoncé le 23 janvier la suppression de 2400 postes dans les sièges du groupe, via un plan de départs volontaires, ainsi que la sortie du groupe, par cession ou fermeture, de 273 ex-magasins Dia, qui affecte 2.100 salariés avec un plan social à la clé.
People gather outside the French Ministry for Solidarity and Health in Paris on January 30, 2018 during a national day of action and strike by EHPAD (Establishment for the Housing of Elderly Dependant People) workers to demand more resources for the care of the elderly.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 30 janvier 2018, à 14 h 03. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/5, ISO 250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
À l’appel d’une large intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, CFE-CGC et SUD), avec le soutien de l’association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et d’associations de retraités, des débrayages étaient prévus dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et dans des services d’aide et de soins à domicile. Le plus grand rassemblement avait lieu à Paris, où plusieurs centaines de personnes se tenaient à proximité du ministère des Solidarités et de la Santé.
Données techniques. Prise de vue: Mardi 23 janvier 2018, à 15 h 36. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/9, ISO 10000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Légende en anglais. General Secretary of the Ufap-Unsa (Union Federale Autonome Penitentiaire - Union nationale des syndicats autonomes) penitentiary union, Jean-Francois Forget (C) addresses the media as he arrives for a meeting with the French Justice minister on January 23, 2018 at the Justice ministry, place Vendôme, in Paris. A strike by French prison guards entered its second week on January 22, with at least 50 jails blocked over demands for better security and pay after a series of attacks on staff by inmates.
Les questions de sécurité, d’emploi et de rémunération devaient être au cœur des discussions que Nicole Belloubet souhaitait avec les principaux syndicats de la pénitentiaire (Ufap, FO et CGT) à partir de 15 h 30 à la Chancellerie, place Vendôme, à Paris.
Mais les mots de la Garde des Sceaux n’ont pas convaincu ses interlocuteurs, qui appellent à poursuivre les mouvements de blocage au sein des établissements pénitentiaires.
Pro-life demonstrators take part in a ‘March for life’ demonstration in Paris on January 21, 2018 against abortion, assisted reproduction and euthanasia. As the government prepares a consultation on the 2011 bioethics law that could see assisted reproduction permitted for lesbian couples and single women, the protesters called for it to be made stricter.
Prise de vue: Dimanche 21 janvier 2018, à 14 h 35. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/9, ISO 2000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Initiée par un collectif d’associations « En marche pour la vie », qui réunit notamment « Choisir la vie », la fondation Jérôme Lejeune, « Renaissance catholique » ou les « Survivants », la « Marche pour la vie » dénonce la « banalisation » de l’IVG.